Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots
et Philanalyste en herbe
vous propose en ligne
L'affaire du papyrus berbère
première partie : Tomas
chapitre trois :
une nuit plutôt agitée…
un récit initiatique
chapitre par chapitre…
à découvrir chaque semaine
ou dans sa continuité, selon l'espace-temps !
Pirate des mots
et Philanalyste en herbe
vous propose en ligne
L'affaire du papyrus berbère
première partie : Tomas
chapitre trois :
une nuit plutôt agitée…
un récit initiatique
chapitre par chapitre…
à découvrir chaque semaine
ou dans sa continuité, selon l'espace-temps !
Un récit
autour et au-delà
du Cycle de l’Austrel :
Le Cycle de Thulé
Épisode 1
L’affaire
du papyrus berbère
Les amours
d’un autre monde
première partie
© Saint-Aël 2019
Traduit de l’américain
par Olam Salomon P.
Seconde version supervisée
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
Pirate des mots et philanalyste en herbe.
autour et au-delà
du Cycle de l’Austrel :
Le Cycle de Thulé
Épisode 1
L’affaire
du papyrus berbère
Les amours
d’un autre monde
première partie
© Saint-Aël 2019
Traduit de l’américain
par Olam Salomon P.
Seconde version supervisée
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
Pirate des mots et philanalyste en herbe.
à Montpellier, mmxix.
Imprimé pour le plaisir,
aux dépens de l'auteur,
sans l'approbation, ni les privilèges…
de ceux qui pensent être dépositaires
de la vérité et, donc, des pouvoirs…
D’après HÉRACLITE,
En relecture libérée de toute gravité :
« La dispute est mère de toute rencontre et de toute création »
Suite de la première partie :
Chapitre trois
Une nuit plutôt agitée…
Chacun bien emmitouflé dans son duvet, devant le feu qui s’éteint, Yidir souhaite encore discuter sur de nombreuses hypothèses, quant à l’origine et au sens de leur découverte : comprendre notamment le lien avec ses origines Berbères, s’il se réfère aux signes vraiment proches de l’écriture des caractères tifinaghs.
Tomas ne veut même pas en entendre parler… et Nancy a beaucoup de difficultés à tenir la discussion.
Après quelques minutes, un sommeil fiévreux les gagne tous.
Tomas ronfle…
Yidir, de concert.
L’orage s’est éloigné.
La pluie éparse ne s’entend quasi plus de l’intérieur de la grotte.
Soudainement, le cylindre resté ouvert émet un léger bourdonnement et se colore d’une lumière bleutée…
Il se désintègre totalement, sans bruit, ni odeur.
Aucun des trois n’est témoin de cette nouvelle scène très étrange.
Tomas se dispute dans un rêve fort complexe, compliqué même, et bouleversant : dans ses mains il recueille les larmes de Yidir et de Nancy, qui pleurent une étrange légende qu’il écrit en lettres de sang, comme sa propre histoire.
Le pays de Nancy, le pays de Yidir… le sien, les trois disparaissent dans le sang.
Encore du sang…
Des larmes de sang coulent, coulent, comme les trois larmes gravées sur son blason, qu’il trace encore et encore, pour ne pas oublier…
Tomas préfère sortir de son rêve avant qu’il ne tourne complètement au cauchemar, afin de reprendre ses esprits.
Il sait si bien le faire.
Éveillé, il a repris une certaine vigueur.
L'opportunité est très belle pour en profiter physiquement, puis d’aller uriner, tranquille…
Sans réveiller Nancy et Yidir qui dorment l’un contre l’autre, dans leur duvet…
Il prend sa lampe frontale et sort de la grotte.
Le vent s’est calmé, il ne pleut plus…
Une petite lune se lève dans le ciel. Elle se libère des nuages…
Pas besoin de lumière.
Nu, sous le regard des étoiles, Tomas se soulage…
La constellation d’Orion est magnifiquement visible.
Prendre quelques instants de plaisir, encore.
Fomenter d’autres rêves, sous la voûte…
Le temps d’uriner, il rentre, apaisé.
Tournant quasi rituellement sa chevalière, pour remettre le blason dans l’alignement de ses doigts, il ne peut s’empêcher de regarder les trois larmes de gueules, posées en face, sur le chef d’argent.
Un sursaut encore… nouveau plaisir.
Un frisson lui traverse le corps.
Alors qu’il passe devant le premier papyrus roulé dans le plaid, une idée lui vient à l’esprit, qu’il met aussitôt en action : ouvrir le second cylindre…
C’est celui aux six larmes. Il y a le même cartouche, avec des signes similaires.
Encore cette fois, à la pression du pouce — par enchantement — l’ensemble s’anime.
Toujours la même sensation d’être ausculté par un scanner géant, d’être mis à nu…
La pâte de verre s’illumine, se colore et se déforme, comme si elle était constituée de milliers de petites pièces de Lego, emboîtées et liées par de savantes articulations.
Se dévoile un papyrus analogue au premier.
Tomas reprend ses esprits, souffle… il est prêt.
Il ose : son projet fou peut être mis à exécution.
Déroulant mètre après mètre, il choisit la colonne entière de la fin du rouleau : une bande écrite, de quinze centimètres de large, sur près de cinquante de haut…
Alors, avec soin, prenant son opinel, il découpe ce mystérieux tissage aux signes improbables.
Il contemple le fruit de son acte audacieux.
Soudainement le cylindre se met à vibrer, s’éclairant d’une lumière rouge… puis change de couleur, vers le bleu…
Très vite, dans l’inquiétude, il y repose délicatement le papyrus amputé…
Et le cylindre se referme doucement, automatiquement… mystérieusement.
Toujours sans bruit, avec la même couleur bleutée.
Tomas murmure :
— Et si c’était vraiment extra-terrestre ?
Il réfléchit.
Comment cacher son trophée… le rendre invisible à la douane ?
Finalement, il décide de rouler le fragment, afin de le dissimuler dans sa « bouteille Thermos », vidée et séchée avec un torchon.
Il vérifie bien que la trace de son méfait soit invisible au regard.
C’est efficace : même lorsque l’on jette un œil dans la bouteille, on y voit parfaitement le fond — le papyrus s’étant bien déployé sur les bords — rien ne pourrait dévoiler la présence du morceau découpé.
Il replace l’objet du délit dans une poche extérieure de son sac à dos… aux yeux de tous, en toute innocence.
Plutôt fier de son action, et détendu, Tomas retourne à son sac de couchage.
Il réussit à s’endormir, comme le plus souvent, en quelques secondes…
* * * * *
Dans la grotte, les ronflements de Tomas rejoignent de concert ceux de Yidir, avec une amplification sourde… et finissent par réveiller Nancy.
Assise sur son duvet, n’espérant pas de miracle — vu la dose d’alcool bue par les deux compères — elle trouve très vite l’idée d’user au mieux de la situation, sans se prendre la tête.
Elle est presque disposée à passer le reste de sa nuit à revoir et étudier le rouleau.
Le papyrus est parfaitement tissé, en très bon état…
La matière donne une impression de synthétique, doux au toucher…
C’est une écriture très nette, le texte très propre…
Qui serait capable, dans ce monde de médiocres où le « pas assez » règne, de ne pas trouver tout cela « trop » ?
C’est plus fort qu’elle : comment ne pas aimer ce papyrus ?
Son origine ne l’inquiète pas vraiment.
À travers les légendes du pays de sa mère, de ce qui lui fut raconté, associé à ses nombreuses lectures, parlant de trésors comme celui-ci, elle savait qu’un jour, la rencontre se ferait !
Elle trouvera, c’est certain, le sens du texte, après en avoir déchiffré l’écriture.
C’est sa préoccupation.
Les signes sont géométriques : des ronds et des traits, assemblés comme des poissons… cela doit nécessairement former un alphabet.
Pourquoi pas « l’alphabet poissons » ?
Cela lui plaît ; elle le proposera aux garçons.
S’il y a demain quelques soucis avec la faculté, il lui faudrait conserver un maximum de données, pour étudier au mieux cette écriture inconnue.
Elle décide de continuer à photographier avec ses lunettes Apple à quadruple focales, colonne par colonne, avec soin, l’ensemble du papyrus, afin de conserver le contenu exact de la vingtaine de mètres de texte écrit…
Patiemment, le temps s’écoule : prise par prise, elle s’offre une mémoire de ce trésor étrange.
Elle prépare l’envoi codé pour quelques collègues discrets, dès que les contacts cellulaires le permettront, de retour à la ville.
Il y a le second cylindre…
Avec courage, elle le prend, souhaitant récupérer l’autre papyrus et continuer la prise d’images.
Plaçant le pouce sur les signes gravés dans l’ovale, elle ressent un bourdonnement ainsi qu’un étrange frissonnement qui lui traverse le corps. Exactement comme en parlait Tomas.
Le cylindre s’éclaire, vibre, sans se déployer.
Elle essaie de nouveau, imitant, répétant le geste de Tomas. Rien n’y fait : l’objet reste dorénavant inerte.
Malgré plusieurs tentatives, il lui est impossible de l’ouvrir.
Elle ne parvient pas à mettre en branle le mécanisme, à la pression de ses doigts.
Au sixième ou septième essai, elle ressent comme une légère électrocution qui lui traverse le corps. C’est suffisamment désagréable pour lui faire lâcher le cylindre.
Le système est certainement bloqué.
Trop fatiguée pour analyser davantage la situation… elle baille et retourne se coucher, un peu groggy.
Peut-être dormira-t-elle une ou deux heures encore, avant que le réveil ne sonne ?
Le jour pointe déjà sur les montagnes…
Comme à son habitude, et parce qu’il aime ça, Tomas se lève en premier, prépare le petit déjeuner et réveille ses amis alors que tout est prêt pour le service.
Le repas pris doit être copieux, car il n’y aura pas beaucoup de pauses pendant la descente.
Le temps leur est compté s’ils veulent arriver ce soir, même tard, à Agadir.
Arrivés aux motos, ils appelleront l’hôtel pour réserver la nuit : les téléphones captent un peu au premier village.
Le soleil brille.
L’orage de cette nuit semble déjà oublié par la nature.
Les sacs sont prêts devant la grotte.
Nancy s’offre un petit brin de toilette et ferme les dernières poches.
Les garçons finissent de nettoyer à l’intérieur, veillant à bien cacher leur visite, afin que personne ne puisse trouver le second papyrus.
Il est temps de partir.
Tomas sort enfin de la grotte, avec Yidir. Ils sont affolés.
Yidir tient le papyrus, roulé dans le plaid…
— Nancy, le premier cylindre a disparu…
— Oui… c’est dingue !
Nous l’avons cherché partout…
Volatilisé !
Encore un mystère de plus…
Tomas fait de grands signes vers le ciel…
Yidir l’interpelle :
— Oh, que fais-tu ?
— J’attends…
J’attends d’une minute à l’autre l’arrivée de p’tits hommes verts !
— Arrête tes conneries, tu me fiches la trouille…
— Incroyable…
Incroyable ! Cela va nous rendre fous…
Allez, les garçons, il faut partir.
Que penser de tout cela ?
Ne laissons pas de traces de notre passage…
Nancy récupère le rouleau de papyrus des mains de Yidir et l’accroche à son sac :
— On reviendra plus tard, pour comprendre…
Vous l’avez bien caché ?
L’autre cylindre ?
— Oui… et on n’en parle à personne !
— De MA grotte non plus…
Tomas prend encore quelques minutes pour déplacer de gros cailloux afin de rendre plus discrète l’entrée.
Enfin, avec un peu d’argile humide, il dissimule au mieux l’inscription gravée dans la roche.
— Je l’ai prise en photo… comme celles dans la grotte !
— Ah, bien jouée, Nancy…
— Les amis, on oublie le sommet…
Le Toubkal sera pour une prochaine fois…
Je le regrette.
MA montagne réserve tant de surprises qu’il est difficile de ne pas repartir un peu résigné !
Sacs à dos…
La redescente… au pas de course.
Le trajet est ponctué de courtes pauses, avec Yidir en guide efficace.
Une marche rapide, en silence, pour garder l’énergie nécessaire. L’euphorie a laissé place à une certaine inquiétude.
Le village enfin, à la nuit tombante.
Le cousin, surpris de les voir arriver avec quatre jours d’avance, est désolé de ne pas pouvoir retenir ses hôtes à dîner.
Des remerciements et pas trop d’explications pour se justifier…
Un coup de fil à l’hôtel qui les attend : ils récupèreront la même suite, c’est plutôt rassurant.
Les batteries chargées au maximum, les motos sont prêtes pour un rapide retour sur la ville d’Agadir.
Assise sur son duvet, n’espérant pas de miracle — vu la dose d’alcool bue par les deux compères — elle trouve très vite l’idée d’user au mieux de la situation, sans se prendre la tête.
Elle est presque disposée à passer le reste de sa nuit à revoir et étudier le rouleau.
Le papyrus est parfaitement tissé, en très bon état…
La matière donne une impression de synthétique, doux au toucher…
C’est une écriture très nette, le texte très propre…
Qui serait capable, dans ce monde de médiocres où le « pas assez » règne, de ne pas trouver tout cela « trop » ?
C’est plus fort qu’elle : comment ne pas aimer ce papyrus ?
Son origine ne l’inquiète pas vraiment.
À travers les légendes du pays de sa mère, de ce qui lui fut raconté, associé à ses nombreuses lectures, parlant de trésors comme celui-ci, elle savait qu’un jour, la rencontre se ferait !
Elle trouvera, c’est certain, le sens du texte, après en avoir déchiffré l’écriture.
C’est sa préoccupation.
Les signes sont géométriques : des ronds et des traits, assemblés comme des poissons… cela doit nécessairement former un alphabet.
Pourquoi pas « l’alphabet poissons » ?
Cela lui plaît ; elle le proposera aux garçons.
S’il y a demain quelques soucis avec la faculté, il lui faudrait conserver un maximum de données, pour étudier au mieux cette écriture inconnue.
Elle décide de continuer à photographier avec ses lunettes Apple à quadruple focales, colonne par colonne, avec soin, l’ensemble du papyrus, afin de conserver le contenu exact de la vingtaine de mètres de texte écrit…
Patiemment, le temps s’écoule : prise par prise, elle s’offre une mémoire de ce trésor étrange.
Elle prépare l’envoi codé pour quelques collègues discrets, dès que les contacts cellulaires le permettront, de retour à la ville.
Il y a le second cylindre…
Avec courage, elle le prend, souhaitant récupérer l’autre papyrus et continuer la prise d’images.
Plaçant le pouce sur les signes gravés dans l’ovale, elle ressent un bourdonnement ainsi qu’un étrange frissonnement qui lui traverse le corps. Exactement comme en parlait Tomas.
Le cylindre s’éclaire, vibre, sans se déployer.
Elle essaie de nouveau, imitant, répétant le geste de Tomas. Rien n’y fait : l’objet reste dorénavant inerte.
Malgré plusieurs tentatives, il lui est impossible de l’ouvrir.
Elle ne parvient pas à mettre en branle le mécanisme, à la pression de ses doigts.
Au sixième ou septième essai, elle ressent comme une légère électrocution qui lui traverse le corps. C’est suffisamment désagréable pour lui faire lâcher le cylindre.
Le système est certainement bloqué.
Trop fatiguée pour analyser davantage la situation… elle baille et retourne se coucher, un peu groggy.
Peut-être dormira-t-elle une ou deux heures encore, avant que le réveil ne sonne ?
Le jour pointe déjà sur les montagnes…
Comme à son habitude, et parce qu’il aime ça, Tomas se lève en premier, prépare le petit déjeuner et réveille ses amis alors que tout est prêt pour le service.
Le repas pris doit être copieux, car il n’y aura pas beaucoup de pauses pendant la descente.
Le temps leur est compté s’ils veulent arriver ce soir, même tard, à Agadir.
Arrivés aux motos, ils appelleront l’hôtel pour réserver la nuit : les téléphones captent un peu au premier village.
Le soleil brille.
L’orage de cette nuit semble déjà oublié par la nature.
Les sacs sont prêts devant la grotte.
Nancy s’offre un petit brin de toilette et ferme les dernières poches.
Les garçons finissent de nettoyer à l’intérieur, veillant à bien cacher leur visite, afin que personne ne puisse trouver le second papyrus.
Il est temps de partir.
Tomas sort enfin de la grotte, avec Yidir. Ils sont affolés.
Yidir tient le papyrus, roulé dans le plaid…
— Nancy, le premier cylindre a disparu…
— Oui… c’est dingue !
Nous l’avons cherché partout…
Volatilisé !
Encore un mystère de plus…
Tomas fait de grands signes vers le ciel…
Yidir l’interpelle :
— Oh, que fais-tu ?
— J’attends…
J’attends d’une minute à l’autre l’arrivée de p’tits hommes verts !
— Arrête tes conneries, tu me fiches la trouille…
— Incroyable…
Incroyable ! Cela va nous rendre fous…
Allez, les garçons, il faut partir.
Que penser de tout cela ?
Ne laissons pas de traces de notre passage…
Nancy récupère le rouleau de papyrus des mains de Yidir et l’accroche à son sac :
— On reviendra plus tard, pour comprendre…
Vous l’avez bien caché ?
L’autre cylindre ?
— Oui… et on n’en parle à personne !
— De MA grotte non plus…
Tomas prend encore quelques minutes pour déplacer de gros cailloux afin de rendre plus discrète l’entrée.
Enfin, avec un peu d’argile humide, il dissimule au mieux l’inscription gravée dans la roche.
— Je l’ai prise en photo… comme celles dans la grotte !
— Ah, bien jouée, Nancy…
— Les amis, on oublie le sommet…
Le Toubkal sera pour une prochaine fois…
Je le regrette.
MA montagne réserve tant de surprises qu’il est difficile de ne pas repartir un peu résigné !
Sacs à dos…
La redescente… au pas de course.
Le trajet est ponctué de courtes pauses, avec Yidir en guide efficace.
Une marche rapide, en silence, pour garder l’énergie nécessaire. L’euphorie a laissé place à une certaine inquiétude.
Le village enfin, à la nuit tombante.
Le cousin, surpris de les voir arriver avec quatre jours d’avance, est désolé de ne pas pouvoir retenir ses hôtes à dîner.
Des remerciements et pas trop d’explications pour se justifier…
Un coup de fil à l’hôtel qui les attend : ils récupèreront la même suite, c’est plutôt rassurant.
Les batteries chargées au maximum, les motos sont prêtes pour un rapide retour sur la ville d’Agadir.
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Être lu sense la vie de l'écrivain.
Merci.
pour me contacter : yvesdefrancqueville@yahoo.fr
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L'affaire du papyrus berbère est un récit initiatique, première partie des Amours d'un autre monde, épisode 1 du Cycle de Thulé des écrits de Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.
tous droits réservés ©.
Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui accueille la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur Yves Philippe de Francqueville apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
Vous avez lu le chapitre trois :
Une nuit plutôt agitée
de la première partie
Tomas
du livre
L'affaire du papyrus berbère
écrit par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.
Une nuit plutôt agitée
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Tomas
du livre
L'affaire du papyrus berbère
écrit par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.