Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots
et Philanalyste en herbe
vous propose en ligne
L'affaire du papyrus berbère
la suite du prologue :
Le domaine des Plôts
un récit initiatique
chapitre par chapitre…
à découvrir chaque semaine
ou dans sa continuité, selon l'espace-temps !
Pirate des mots
et Philanalyste en herbe
vous propose en ligne
L'affaire du papyrus berbère
la suite du prologue :
Le domaine des Plôts
un récit initiatique
chapitre par chapitre…
à découvrir chaque semaine
ou dans sa continuité, selon l'espace-temps !
Si vous n'avez pas lu le début du prologue… d'un clic découvrez-le : Prologue
La Maison des Légendes
La Maison des Légendes
Un récit
autour et au-delà
du Cycle de l’Austrel :
Le Cycle de Thulé
Épisode 1
L’affaire
du papyrus berbère
Les amours
d’un autre monde
première partie
© Saint-Aël 2019
Traduit de l’américain
par Olam Salomon P.
Seconde version supervisée
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
Pirate des mots et philanalyste en herbe.
autour et au-delà
du Cycle de l’Austrel :
Le Cycle de Thulé
Épisode 1
L’affaire
du papyrus berbère
Les amours
d’un autre monde
première partie
© Saint-Aël 2019
Traduit de l’américain
par Olam Salomon P.
Seconde version supervisée
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
Pirate des mots et philanalyste en herbe.
à Montpellier, mmxix.
Imprimé pour le plaisir,
aux dépens de l'auteur,
sans l'approbation, ni les privilèges…
de ceux qui pensent être dépositaires
de la vérité et, donc, des pouvoirs…
D’après HÉRACLITE,
En relecture libérée de toute gravité :
« La dispute est mère de toute rencontre et de toute création »
Si vous n'avez pas lu le début du prologue… d'un clic découvrez-le : Prologue
La Maison des Légendes
Sinon voici la
La Maison des Légendes
Sinon voici la
Suite du prologue
Le domaine des Plôts…
Quelques minutes de balade à la nuit tombante.
Ils traversent les jolis villages de Saint-Guilhem-le-Désert et de Saint-Jean-de-Fos, pour arriver sur la piste qui mène au sommet.
Quatre kilomètres à mériter, afin d’atteindre un espace naturel, protégé des folies commerciales de l’ère économique en plein déclin.
Les motos stoppent devant la maison forte.
Le parc est parsemé d’objets hétéroclites : notamment une chaise longue démesurée, un peigne si grand qu’il sert de parking à VTT, une ruche étrange avec sa tour ; comme un livre immense, attirant l’intérêt de Nancy.
Elle abandonne Yidir et Tomas qui se dirigent vers la bâtisse, pour prendre la minute nécessaire de lecture grâce à la LED de son téléphone.
Le texte est présenté dans une typographie moyenâgeuse :
Ils traversent les jolis villages de Saint-Guilhem-le-Désert et de Saint-Jean-de-Fos, pour arriver sur la piste qui mène au sommet.
Quatre kilomètres à mériter, afin d’atteindre un espace naturel, protégé des folies commerciales de l’ère économique en plein déclin.
Les motos stoppent devant la maison forte.
Le parc est parsemé d’objets hétéroclites : notamment une chaise longue démesurée, un peigne si grand qu’il sert de parking à VTT, une ruche étrange avec sa tour ; comme un livre immense, attirant l’intérêt de Nancy.
Elle abandonne Yidir et Tomas qui se dirigent vers la bâtisse, pour prendre la minute nécessaire de lecture grâce à la LED de son téléphone.
Le texte est présenté dans une typographie moyenâgeuse :
Nancy en profite pour scanner le flashcode :
Elle remarque le retour de ses amis accompagnés de leur hôte, un fier gaillard d’une quarantaine d’année, enchanté de l’intérêt porté par Nancy pour ce livre de plus de deux mètres de haut :
— Quelques-uns des vestiges et trésors, que nous avons récupérés des géants du château de Saint-Guilhem !
Bonsoir madame, je suis Alexandre.
Bienvenue à « La Maison des Légendes ».
— Nancy ! Bonsoir…
Un plaisir d’être accueillis sur ces lieux pétris d’histoires, pleins de mystères et d’humour !
Les mains se serrent.
Ils se dirigent tous vers la cour.
Alexandre regarde Yidir et Nancy :
— Vous êtes frère et sœur ?
Tomas, pris d’un grand fou-rire :
— C’est bien la première fois qu’un Marocain fraternise avec une mi Paraguayenne, mi Péruvienne !
— Ce serait alors incestueux, ajoute Yidir en prenant la main de Nancy, car nous sommes presque en couple, Nancy et moi !
Sans lâcher la main de Yidir, Nancy prend Tomas par le cou :
— Nous ne sommes pas encouplé, car l’amitié ne serait plus possible…
Yidir et moi devons beaucoup à Tomas, l’ami fidèle et sincère, qui invite à l’aventure.
Sourire d’Alexandre qui les convie à le suivre :
— Si l’aventure vous tente, je vous assure que la visite de la bibliothèque s’impose.
Venez donc découvrir quelques merveilles de ce lieu enchanté !
La nuit est tombée. Le vent a dégagé les nuages, offrant un ciel étoilé.
Ils se dirigent tous les quatre vers la maison forte.
Un fin chat noir passe entre les jambes de Nancy qui remarque en même temps, au bout de l’allée, l’étrange statue d’un Georlain.
Un volet claque…
La lourde porte s’ouvre avec un long grincement.
C’est une étroite tour, restaurée dans les règles de l’art médiéval, transformée en une bibliothèque dédiée aux légendes.
Quelques trois mille livres en rayonnages sur une hauteur étonnante, dans une classification par continents, pays, régions, cultures et traditions, agrémentés d’une série de blasons aux armoiries les plus diverses…
— Voici les prémices de notre belle bibliothèque : nous y apportons jour après jour, tout ce que nous pouvons découvrir, qui s’écrit autour des légendes.
Elles donnent naissance aux rêves et révèlent parfois l’Histoire de notre monde sous un autre regard.
La petite histoire peut être davantage authentique que l’officielle.
Nancy, ravie, s’agite… euphorique :
— Je vais dormir ici… y tenir un siège, même !
Tomas, tenant par les épaules Yidir… qui essaie doucement de se dégager :
— On t’abandonne… et on te retrouve dans huit jours !
Et Yidir qui a cessé de résister à Tomas :
— Avec Nancy et les livres, c’est « Cent ans de solitude » !
— Bravo Tomas, le lieu me plaît ! Elle attrape deux livres sans numéro, posés avec une vingtaine d’autres en désordre, sur la table centrale…
Oh ? Ces livres sont à classer ?
— À trier tout d’abord, si cela vous amuse !
— Bon, mon pauvre Yidir, le dîner risque d’être foutu…
Si nous voulons manger un peu avant que le jour ne pointe, il va falloir s’y mettre tous ensemble…
Nancy ne s’arrêtera que lorsque tout sera ordonné selon ses goûts !
— Ah, ah, j’ai bien fait d’écouter Tomas ; de vous convier tous les trois à « La Maison des Légendes » !
À l’ouvrage, donc !
Donnant/donnant…
Vous êtes donc invités pour le souper, avec grand plaisir…
L’équipe improvisée est efficace.
Titres, rayonnages, étiquettes… tous s’affairent dans une ambiance chaleureuse…
Yidir s’oublie dans la section Afrique du Nord : peu d’ouvrages, mais de qualité.
Il s’intéresse plus particulièrement à un livre du dix-huitième siècle, reprenant des écrits attribués à Abou al-Hassan al-Wazzani, plus connu sous le nom de Jean Léon de Médicis ou Léon l'Africain : né au quinzième siècle, la vie de ce chercheur diplomate est une vraie saga, qui mériterait vraiment quelques bons romans !
L’étude concerne la cité antique de Volubilis, qui aurait en fait plus de quatre mille ans d’âge.
Le site cacherait la ville sacrée d’un Pharaon, première lignée de princes berbères.
La légende voudrait même que le personnage de Moïse — repris par les textes bibliques, puis coraniques, pour en faire un prophète — soit né en ces lieux, orphelin héritier d’une très ancienne dynastie.
Ce serait aussi à Volubilis que le safran prendrait ses lettres de noblesse.
Volubilis !
Yidir se souvient de cette visite improbable avec ses parents, très peu de temps avant de venir en France. Son père voulait à tout prix qu’il découvre ce lieu de mémoire, dont toute une branche de sa famille se disait issue.
Les médias en parlent tristement, ces derniers jours : encore un trésor du patrimoine mondial de l’UNESCO mis en danger par les Factions Armées de l’Islam. Deux bombes ont été désamorcées au pied du célèbre arc de triomphe. C’est un site merveilleux, avec des trésors berbères, mauresques et romains, qui risque de disparaître par la folie des fanatiques religieux.
Tomas, toujours excellent pour la bonne blague, taquine ses amis.
Il trouve souvent le mot juste.
Parfois, non…
Se penchant sur le livre dans lequel Yidir s’est perdu :
— Tu te passionnes pour les fleurs, maintenant ?
Yidir a la réplique facile :
— Oui, je n’en ai pas autant que toi dans mon appartement, mais j’aime les fleurs, toutes les fleurs…
Certaines dans mon pays natal sont même sacrées : elles nous donnent les meilleurs safrans !
Mon cher Tomas, afin d’enrichir ta culture un peu trop hexagonale, apprends que Volubilis est un des sites les plus remarquables du Maroc, voire du monde !
Il serait à l’origine de grandes familles berbères dont je suis le noble descendant !
C’est ce que je suis en train d’approfondir… pendant que tu t’amuses…
— Oh, je travaille, moi…
Tiens… d’ailleurs, Alex ?
Je l’range où, ce bouquin ?
Nancy l’interpelle, sans quitter son rayon :
— Il parle de quelle légende ?
— Bah… on pourrait dire… hum… que tu « cousines » avec Yidir !
Alexandre se rapproche en riant :
— Des cousins ?
Je n’avais pas tout faux, finalement !
Yidir, intrigué, prend le livre que lui tend Tomas :
— Wahoo…
Des Amérindiens en Afrique, en Afrique du Nord, y’a vingt mille ans ?
Un scoop ou un gag ?
Nancy les rejoint, prend le livre et l’étudie attentivement :
— C’est déjà plus crédible que de prétendre qu’Astérix et Obélix ont découvert l’Amérique ou que des Arabes mahométans sont venus, dès le huitième siècle, annoncer l’Islam aux Indiens !
J’ai déjà lu de nombreux ouvrages sur les migrations des peuples… comme une étude se voulant sérieuse sur des colonies amérindiennes, en Afrique du Nord…
Ce n’est peut-être pas surprenant.
Je me souviens de belles histoires que me racontait ma grand-mère…
Oui, je le garde pour ce soir, si vous le voulez bien ?
Sourire d’Alexandre qui acquiesce, tout en consultant sa montre :
— Il est peut-être temps de vous installer dans vos chambres… et ce sera l’heure de passer à table !
Tous sortent de la tour, ils se dirigent vers les chambres d’hôte. Nancy, avec le livre à la main, semble ravie…
Toujours le chat noir avec eux : Kiki ne les quitte plus.
Tomas le prend dans ses bras.
Ils entrent dans la bâtisse.
Elle remarque le retour de ses amis accompagnés de leur hôte, un fier gaillard d’une quarantaine d’année, enchanté de l’intérêt porté par Nancy pour ce livre de plus de deux mètres de haut :
— Quelques-uns des vestiges et trésors, que nous avons récupérés des géants du château de Saint-Guilhem !
Bonsoir madame, je suis Alexandre.
Bienvenue à « La Maison des Légendes ».
— Nancy ! Bonsoir…
Un plaisir d’être accueillis sur ces lieux pétris d’histoires, pleins de mystères et d’humour !
Les mains se serrent.
Ils se dirigent tous vers la cour.
Alexandre regarde Yidir et Nancy :
— Vous êtes frère et sœur ?
Tomas, pris d’un grand fou-rire :
— C’est bien la première fois qu’un Marocain fraternise avec une mi Paraguayenne, mi Péruvienne !
— Ce serait alors incestueux, ajoute Yidir en prenant la main de Nancy, car nous sommes presque en couple, Nancy et moi !
Sans lâcher la main de Yidir, Nancy prend Tomas par le cou :
— Nous ne sommes pas encouplé, car l’amitié ne serait plus possible…
Yidir et moi devons beaucoup à Tomas, l’ami fidèle et sincère, qui invite à l’aventure.
Sourire d’Alexandre qui les convie à le suivre :
— Si l’aventure vous tente, je vous assure que la visite de la bibliothèque s’impose.
Venez donc découvrir quelques merveilles de ce lieu enchanté !
La nuit est tombée. Le vent a dégagé les nuages, offrant un ciel étoilé.
Ils se dirigent tous les quatre vers la maison forte.
Un fin chat noir passe entre les jambes de Nancy qui remarque en même temps, au bout de l’allée, l’étrange statue d’un Georlain.
Un volet claque…
La lourde porte s’ouvre avec un long grincement.
C’est une étroite tour, restaurée dans les règles de l’art médiéval, transformée en une bibliothèque dédiée aux légendes.
Quelques trois mille livres en rayonnages sur une hauteur étonnante, dans une classification par continents, pays, régions, cultures et traditions, agrémentés d’une série de blasons aux armoiries les plus diverses…
— Voici les prémices de notre belle bibliothèque : nous y apportons jour après jour, tout ce que nous pouvons découvrir, qui s’écrit autour des légendes.
Elles donnent naissance aux rêves et révèlent parfois l’Histoire de notre monde sous un autre regard.
La petite histoire peut être davantage authentique que l’officielle.
Nancy, ravie, s’agite… euphorique :
— Je vais dormir ici… y tenir un siège, même !
Tomas, tenant par les épaules Yidir… qui essaie doucement de se dégager :
— On t’abandonne… et on te retrouve dans huit jours !
Et Yidir qui a cessé de résister à Tomas :
— Avec Nancy et les livres, c’est « Cent ans de solitude » !
— Bravo Tomas, le lieu me plaît ! Elle attrape deux livres sans numéro, posés avec une vingtaine d’autres en désordre, sur la table centrale…
Oh ? Ces livres sont à classer ?
— À trier tout d’abord, si cela vous amuse !
— Bon, mon pauvre Yidir, le dîner risque d’être foutu…
Si nous voulons manger un peu avant que le jour ne pointe, il va falloir s’y mettre tous ensemble…
Nancy ne s’arrêtera que lorsque tout sera ordonné selon ses goûts !
— Ah, ah, j’ai bien fait d’écouter Tomas ; de vous convier tous les trois à « La Maison des Légendes » !
À l’ouvrage, donc !
Donnant/donnant…
Vous êtes donc invités pour le souper, avec grand plaisir…
L’équipe improvisée est efficace.
Titres, rayonnages, étiquettes… tous s’affairent dans une ambiance chaleureuse…
Yidir s’oublie dans la section Afrique du Nord : peu d’ouvrages, mais de qualité.
Il s’intéresse plus particulièrement à un livre du dix-huitième siècle, reprenant des écrits attribués à Abou al-Hassan al-Wazzani, plus connu sous le nom de Jean Léon de Médicis ou Léon l'Africain : né au quinzième siècle, la vie de ce chercheur diplomate est une vraie saga, qui mériterait vraiment quelques bons romans !
L’étude concerne la cité antique de Volubilis, qui aurait en fait plus de quatre mille ans d’âge.
Le site cacherait la ville sacrée d’un Pharaon, première lignée de princes berbères.
La légende voudrait même que le personnage de Moïse — repris par les textes bibliques, puis coraniques, pour en faire un prophète — soit né en ces lieux, orphelin héritier d’une très ancienne dynastie.
Ce serait aussi à Volubilis que le safran prendrait ses lettres de noblesse.
Volubilis !
Yidir se souvient de cette visite improbable avec ses parents, très peu de temps avant de venir en France. Son père voulait à tout prix qu’il découvre ce lieu de mémoire, dont toute une branche de sa famille se disait issue.
Les médias en parlent tristement, ces derniers jours : encore un trésor du patrimoine mondial de l’UNESCO mis en danger par les Factions Armées de l’Islam. Deux bombes ont été désamorcées au pied du célèbre arc de triomphe. C’est un site merveilleux, avec des trésors berbères, mauresques et romains, qui risque de disparaître par la folie des fanatiques religieux.
Tomas, toujours excellent pour la bonne blague, taquine ses amis.
Il trouve souvent le mot juste.
Parfois, non…
Se penchant sur le livre dans lequel Yidir s’est perdu :
— Tu te passionnes pour les fleurs, maintenant ?
Yidir a la réplique facile :
— Oui, je n’en ai pas autant que toi dans mon appartement, mais j’aime les fleurs, toutes les fleurs…
Certaines dans mon pays natal sont même sacrées : elles nous donnent les meilleurs safrans !
Mon cher Tomas, afin d’enrichir ta culture un peu trop hexagonale, apprends que Volubilis est un des sites les plus remarquables du Maroc, voire du monde !
Il serait à l’origine de grandes familles berbères dont je suis le noble descendant !
C’est ce que je suis en train d’approfondir… pendant que tu t’amuses…
— Oh, je travaille, moi…
Tiens… d’ailleurs, Alex ?
Je l’range où, ce bouquin ?
Nancy l’interpelle, sans quitter son rayon :
— Il parle de quelle légende ?
— Bah… on pourrait dire… hum… que tu « cousines » avec Yidir !
Alexandre se rapproche en riant :
— Des cousins ?
Je n’avais pas tout faux, finalement !
Yidir, intrigué, prend le livre que lui tend Tomas :
— Wahoo…
Des Amérindiens en Afrique, en Afrique du Nord, y’a vingt mille ans ?
Un scoop ou un gag ?
Nancy les rejoint, prend le livre et l’étudie attentivement :
— C’est déjà plus crédible que de prétendre qu’Astérix et Obélix ont découvert l’Amérique ou que des Arabes mahométans sont venus, dès le huitième siècle, annoncer l’Islam aux Indiens !
J’ai déjà lu de nombreux ouvrages sur les migrations des peuples… comme une étude se voulant sérieuse sur des colonies amérindiennes, en Afrique du Nord…
Ce n’est peut-être pas surprenant.
Je me souviens de belles histoires que me racontait ma grand-mère…
Oui, je le garde pour ce soir, si vous le voulez bien ?
Sourire d’Alexandre qui acquiesce, tout en consultant sa montre :
— Il est peut-être temps de vous installer dans vos chambres… et ce sera l’heure de passer à table !
Tous sortent de la tour, ils se dirigent vers les chambres d’hôte. Nancy, avec le livre à la main, semble ravie…
Toujours le chat noir avec eux : Kiki ne les quitte plus.
Tomas le prend dans ses bras.
Ils entrent dans la bâtisse.
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L'affaire du papyrus berbère est un récit initiatique, première partie des Amours d'un autre monde, épisode 1 du Cycle de Thulé des écrits de Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.
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Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui accueille la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur Yves Philippe de Francqueville apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
Vous avez lu
la seconde partie
du prologue :
Le Domaine des Plôts
de la première partie
Tomas
du livre
L'affaire du papyrus berbère
écrit par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.