Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
pirate des mots et philanalyste en herbe,
présente dans :
Propos libres sans gravité
des sujets autour de la politique…
Sous un autre regard !
pirate des mots et philanalyste en herbe,
présente dans :
Propos libres sans gravité
des sujets autour de la politique…
Sous un autre regard !
Introduction
pour présenter
les propos politiques
Il n'est peut-être pas prématuré d'ouvrir ce lieu de
rencontres humanistes autour de la politique.
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE tente de
construire cet espace dédié à la « politique humaniste » dans
l'esprit de PLATON, de François RABELAIS, de Michel de MONTAIGNE, d’Alfred
KORZIBSKY, d’Albert CAMU, de Marguerite YOURCENAR, de Boris VIAN, d'Hakim BEY
et de tant d'autres personnages ayant recherché à travers leurs œuvres,
l'espace de liberté si difficile à saisir chez l'humain…
Comme « Max » — personnage central de la chanson de Hervé CRISTIANI — si libre qu’il nous affirmait :
Comme « Max » — personnage central de la chanson de Hervé CRISTIANI — si libre qu’il nous affirmait :
« Y en a même qui disent qu’ils l’ont vu voler
»
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE vous invite à vous envoler de même et
par le fait d’avoir pris un peu de hauteur, d’avoir vaincu la gravité, à
découvrir — dans cette T.A.Z. — « Temporary
Autonomous Zone », une Z.A.T. en français : « Zone Autonome Temporaire »
— des articles de « réflexions engagées », des notes travaillées, des
maximes, des extraits développés, corrigés et visités régulièrement de la
première et de la deuxième liasse de petites notes écrites par lui depuis plus
de vingt années… Merci principalement à Laurianne, à Alexandre, à Jean Philippe
et maintenant à Louis pour leur aide précieuse dans la mise sur ordinateur de
toutes ces pensées jetées sur des milliers de petits papiers, dont vous
retrouverez en tête de chaque article, la source numérotée. Ils ont fait et
font un travail formidable de classement permettant une action plus efficace
dans le travail de recherche.
Chaque jour, en fonction de l’espace temps, c’est un réel plaisir d’aborder un sujet pour l’étudier « sous un autre regard ».
Lorsque le résultat s’avère suffisamment élaboré, il est alors mis en ligne, avant de figure — lorsque l’ensemble sera cohérent — en un livre « papier » proposé à l’achat.
Tout les travaux de recherche sont donc à disposition sur l’Internet — pièce par pièce, étape par étape — pour des lecteurs curieux de poursuivre sans chaîne, la quête de l’humain.
Dans ces écrits, pas de vérités ou de certitudes, pas de solution miracle à notre état de pauvres mortels. Vous pourrez lire la recherche du sens de la vie par la quête de l’idée du beau. Cela vous est proposé à travers le plaisir d’apprendre, de rencontrer, de donner, de recevoir… d’aimer !
Cet espace se présente donc comme un atelier d’écriture avec la possibilité de discuter des réflexions critiques sur les idées présentées.
Il est important de prendre en considération le fait que chaque article nécessite pour l'auteur — au-delà du jaillissement qui sait être prolixe et efficace dans l’instant — un très grand nombre d'heures de travail pour vous permettre de découvrir des textes les plus aboutis possible.
Ne cherchez pas du populiste ou du facile…
Cette suite de propos est solidement encrée et ancrée dans des fondations réelles de recherches depuis plus de vingt-cinq années en lectures, écoutes, rencontres et discussions permettant la découverte de trésors enfouis ou le désir de nouvelles portes à dessiner.
La raison de ce site, avec ses différents sujets comme ici, le « politique », s'annonce donc pour espérer voir un jour le « genre humain » naître de « l'animal politique »… si cher aux traducteurs-copistes-interprètes d’ARISTOTE…
Oui, que nous puissions accroître — tout souhaitant en faire partie — le nombre d’humains, parmi tous les bipèdes qui peuplent la planète depuis « Adam »… pour reprendre la phrase de Marguerite YOURCENAR :
Chaque jour, en fonction de l’espace temps, c’est un réel plaisir d’aborder un sujet pour l’étudier « sous un autre regard ».
Lorsque le résultat s’avère suffisamment élaboré, il est alors mis en ligne, avant de figure — lorsque l’ensemble sera cohérent — en un livre « papier » proposé à l’achat.
Tout les travaux de recherche sont donc à disposition sur l’Internet — pièce par pièce, étape par étape — pour des lecteurs curieux de poursuivre sans chaîne, la quête de l’humain.
Dans ces écrits, pas de vérités ou de certitudes, pas de solution miracle à notre état de pauvres mortels. Vous pourrez lire la recherche du sens de la vie par la quête de l’idée du beau. Cela vous est proposé à travers le plaisir d’apprendre, de rencontrer, de donner, de recevoir… d’aimer !
Cet espace se présente donc comme un atelier d’écriture avec la possibilité de discuter des réflexions critiques sur les idées présentées.
Il est important de prendre en considération le fait que chaque article nécessite pour l'auteur — au-delà du jaillissement qui sait être prolixe et efficace dans l’instant — un très grand nombre d'heures de travail pour vous permettre de découvrir des textes les plus aboutis possible.
Ne cherchez pas du populiste ou du facile…
Cette suite de propos est solidement encrée et ancrée dans des fondations réelles de recherches depuis plus de vingt-cinq années en lectures, écoutes, rencontres et discussions permettant la découverte de trésors enfouis ou le désir de nouvelles portes à dessiner.
La raison de ce site, avec ses différents sujets comme ici, le « politique », s'annonce donc pour espérer voir un jour le « genre humain » naître de « l'animal politique »… si cher aux traducteurs-copistes-interprètes d’ARISTOTE…
Oui, que nous puissions accroître — tout souhaitant en faire partie — le nombre d’humains, parmi tous les bipèdes qui peuplent la planète depuis « Adam »… pour reprendre la phrase de Marguerite YOURCENAR :
« Depuis
Adam, très peu de bipèdes peuvent prétendre à l’appellation d’humains ».
Oui, quel plaisir de permettre à celles et ceux qui ont trouvé le
courage, la volonté, l'audace et l’aide dans l’attention… Cette force vive pour
quitter du regard ce mur de la Caverne, ce mur d'ombres illusoires, et d'avoir
enfin le sentiment de ne pas être seul dans cette quête d’apprendre.
Oui, quelle bonheur de savoir que d'autres sont comme eux — comme nous — en quête du « vivant »…
Alors, les yeux grands ouverts, ils se lèveront, et nous aussi, débarrassés de toute entrave, de toute gravité.
Debout, fiers, voici que s'offre à eux — à nous — la possibilité de découvrir qu'au-delà du grand feu des vérités intermédiaires, s'annonce la lumière du jour et de la nuit… au sortir de la Caverne !
Depuis tant de siècles, PLATON espère en vain nous découvrir vivants… libérés de toutes les illusions annoncées par des maîtres, des tyrans ou des dieux nous imposant avec art — essentiellement par la peur — l’obligation de ne pas apprendre par nous-mêmes.
Mais que peut-on construire seul… sous la pression de ceux qui savent ? Et comment s'éveiller, se révéler, terrassé par l'inertie désespérante de cette foule de moutons dociles ? Comment se démarquer de cette masse de condamnés — de sous vivants, de sousvivants — qui continuent sans cesse à écouter le gentil berger du jour ? Ah, ils sont tellement assurés que l'abattoir sera nécessairement pour les autres… aujourd’hui !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est le plus souvent possible « vivant »… parfois encore « survivant », dans les moments de tempêtes les plus violents.
C’est un pirate… plus particulièrement un pirate des mots.
Il a soif de toujours davantage de liberté pour que l’autre y aspire aussi et agisse afin de gagner par la lutte !
Il n’est pas dans le combat, encore moins dans la guerre… car comme le disait un des fondateurs du karaté :
Oui, quelle bonheur de savoir que d'autres sont comme eux — comme nous — en quête du « vivant »…
Alors, les yeux grands ouverts, ils se lèveront, et nous aussi, débarrassés de toute entrave, de toute gravité.
Debout, fiers, voici que s'offre à eux — à nous — la possibilité de découvrir qu'au-delà du grand feu des vérités intermédiaires, s'annonce la lumière du jour et de la nuit… au sortir de la Caverne !
Depuis tant de siècles, PLATON espère en vain nous découvrir vivants… libérés de toutes les illusions annoncées par des maîtres, des tyrans ou des dieux nous imposant avec art — essentiellement par la peur — l’obligation de ne pas apprendre par nous-mêmes.
Mais que peut-on construire seul… sous la pression de ceux qui savent ? Et comment s'éveiller, se révéler, terrassé par l'inertie désespérante de cette foule de moutons dociles ? Comment se démarquer de cette masse de condamnés — de sous vivants, de sousvivants — qui continuent sans cesse à écouter le gentil berger du jour ? Ah, ils sont tellement assurés que l'abattoir sera nécessairement pour les autres… aujourd’hui !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est le plus souvent possible « vivant »… parfois encore « survivant », dans les moments de tempêtes les plus violents.
C’est un pirate… plus particulièrement un pirate des mots.
Il a soif de toujours davantage de liberté pour que l’autre y aspire aussi et agisse afin de gagner par la lutte !
Il n’est pas dans le combat, encore moins dans la guerre… car comme le disait un des fondateurs du karaté :
« Combattre
est déjà une défaite ».
Il préfère la lutte, dans un jeu de la vie où :
« Vivre
est déjà une victoire » !
Encore et toujours prêt à en découdre avec le médiocre et tout ce qui
entrave l’humain dans la quête du savoir !
Parce que la liberté ne se demande pas… elle se gagne !
Sa lutte est sincère : les épreuves déjà endurées ne l'ont pas rendu amer ou vengeur, car il souhaite construire plutôt que de perdre son temps et son énergie à rechercher la vengeance…
Lao TSE écrivait :
Parce que la liberté ne se demande pas… elle se gagne !
Sa lutte est sincère : les épreuves déjà endurées ne l'ont pas rendu amer ou vengeur, car il souhaite construire plutôt que de perdre son temps et son énergie à rechercher la vengeance…
Lao TSE écrivait :
« Si
tu souhaites te venger, creuse deux tombes :
Une pour ton ennemi, et une pour toi-même ».
Une pour ton ennemi, et une pour toi-même ».
Il n’a pas d’ennemi…
Il se protège cependant des jaloux, des peureux, des lâches et des envieux qui trouvent le pirate trop rayonnant, trop audacieux, trop entreprenant, trop fier… trop vivant face à leur médiocrité.
Ah… un soleil n’a jamais fait d’ombre… il donne même du rayonnement aux astres qui prennent leur temps pour entrer en fusion…
Mais les âmes inertes des « sous vivants-morts » ne peuvent supporter l’éclat du vivant !
Alors, après mille coups… la phrase de Jean Pierre CLARIS de FLORIAN s’impose naturellement :
Il se protège cependant des jaloux, des peureux, des lâches et des envieux qui trouvent le pirate trop rayonnant, trop audacieux, trop entreprenant, trop fier… trop vivant face à leur médiocrité.
Ah… un soleil n’a jamais fait d’ombre… il donne même du rayonnement aux astres qui prennent leur temps pour entrer en fusion…
Mais les âmes inertes des « sous vivants-morts » ne peuvent supporter l’éclat du vivant !
Alors, après mille coups… la phrase de Jean Pierre CLARIS de FLORIAN s’impose naturellement :
« Pour vivre heureux, vivons cachés…
de celles et ceux qui ne peuvent pas comprendre,
et ne veulent pas de notre bonheur ».
de celles et ceux qui ne peuvent pas comprendre,
et ne veulent pas de notre bonheur ».
Maintenant, la route choisie du plaisir est passionnante.
S'il vous plaît à aller à sa rencontre, il en sera enchanté. Marcher quelques temps, ou naviguer sur quelques mers plus ou moins agitées en votre compagnie lui donnera plus de forces vives encore. Cependant, ne cherchez pas auprès de lui une quelconque sécurité ou assurance : il n'est pas dans le désir de construire autour de lui une autre ruche pour l'abeille libérée !
Comme pour Jonathan LIVINGSTON, le goéland affranchi des entraves de la vie quotidienne… splendidement conté par Richard BACH, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE aime s'envoler toujours plus haut, toujours plus loin… pour le plaisir de vous rencontrer et vivre avec vous quelques instants de plaisir… en liberté !
Ce pirate des mots n’appartient à « personne »…
Et il ne souhaite pas être prisonnier de « quiconque ».
N’avoir « ni dieu, ni maître », c’est avant tout ne pas être le dieu ou le maître de soi-même ou d’un autre !
Bonne lecture… à la découvertes des trésors d’un autre « génie du cœur » à la suite de Friedrich NIETZSCHE… sachant qu’à l’âge où ce philosophe désespéré s’était muré dans un mutisme total, désespéré du genre humain, perdu à l’amour… votre pirate ose l’aventure en liberté !
S'il vous plaît à aller à sa rencontre, il en sera enchanté. Marcher quelques temps, ou naviguer sur quelques mers plus ou moins agitées en votre compagnie lui donnera plus de forces vives encore. Cependant, ne cherchez pas auprès de lui une quelconque sécurité ou assurance : il n'est pas dans le désir de construire autour de lui une autre ruche pour l'abeille libérée !
Comme pour Jonathan LIVINGSTON, le goéland affranchi des entraves de la vie quotidienne… splendidement conté par Richard BACH, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE aime s'envoler toujours plus haut, toujours plus loin… pour le plaisir de vous rencontrer et vivre avec vous quelques instants de plaisir… en liberté !
Ce pirate des mots n’appartient à « personne »…
Et il ne souhaite pas être prisonnier de « quiconque ».
N’avoir « ni dieu, ni maître », c’est avant tout ne pas être le dieu ou le maître de soi-même ou d’un autre !
Bonne lecture… à la découvertes des trésors d’un autre « génie du cœur » à la suite de Friedrich NIETZSCHE… sachant qu’à l’âge où ce philosophe désespéré s’était muré dans un mutisme total, désespéré du genre humain, perdu à l’amour… votre pirate ose l’aventure en liberté !
« Corps,
cœur et âme » !
Que ces articles vous offrent le désir d'en écrire de nouveaux pour
vous aussi, afin de les offrir à celles et ceux qui nous ressemblent…
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville