Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
Pirate des mots et
Philanalyste en herbe
Présente des propos libres sans gravité
Dans les rubriques « politique » & « philosophie ».
Pirate des mots et
Philanalyste en herbe
Présente des propos libres sans gravité
Dans les rubriques « politique » & « philosophie ».
J’aime CICÉRON,
probablement le meilleur des politiciens !
Mais pas nécessairement le meilleur des philosophes…
Petit billet d'humeur, réalisé après avoir vu et apprécié une « théorie attribuée » à CICÉRON, qui circule sur les réseaux sociaux…
La voici toute affinée en belle capture d’écran :
La voici toute affinée en belle capture d’écran :
Alors, alors, je me lance !
CICÉRON fut en effet un grand homme politique, dans la Rome antique.
Il n’était pas d’extraction noble — ce n’était pas non plus un aristocrate — mais il voulait réussir à s’imposer en politique ; il voulait arriver, et savait que « la fin justifie les moyens ».
Il vivra alors dans l’obsession d’accéder à tous les pouvoirs, espérant se créer une renommée… (mais qui se souvient d'ÉROSTRATE ?), en n’hésitant pas même à piller les pauvres de leurs subsides et les savants de leur savoir — notamment les philosophes grecs — pour compiler des œuvres à sa manière.
CICÉRON — excellent orateur — rusé et malin politique, capable de mettre à mort ses rivaux sans jugement, réussira à s’enrichir plus que l'on ne peut l'imaginer ! On pourrait presque lui attribuer sans s’inquiéter de sa légitimité, cette théorie et sa pratique, bien d'actualité !
D’autant qu’il se dit et se fait la maxime : « On ne prête qu’aux riches » !
Avant que la tête ne lui soit coupée, à ce cher CICÉRON, ses détracteurs lui ont aussi coupé les mains pour tout ce qu'il avait volé au peuple, et pour les horreurs écrites sur ses ennemis.
Pour toujours davantage ensuquer les peuples, dans les documents officiels, sont principalement retenus les soucis politiques de ce stratège, plutôt que son plaisir à s’enrichir sur le dos des cons-tribuables, car ce serait lui faire mauvaise presse. Les politiques d’aujourd’hui veulent continuer à « faire carrière » sans souci. Il ne faut pas que les peuples puissent trouver de faille dans les maîtres que suivent leurs tyrans.
CICÉRON, né dans une modeste famille, s'est construit une carrière sur mesure comme questeur, édile, préteur, avocat, historien, journaliste et fut même « proconsul », c’est-à-dire gouverneur... Il a eu quelques temps de gloire et beaucoup de traversées du désert… nécessitant toujours des concessions, des compromis, des accommodations avec les lois et bien entendu de la traîtrise, à sacrifier sans souci des amis de trente ans.
CICÉRON, l’homme politique par excellence, en fait, ayant l’art et la manière d’user et d’abuser du peuple… bien qu’il fut considéré par les autres puissants d’un jour comme « instrument passif de la monarchie ».
Faut-il voir en lui le plus pourris parmi les pourris ?
Un grand maître de la Ripoublique ?
Un vrai Ripoublicain ?
Non, pas nécessairement !
Un puissant se croit dieu… sans voir les ficelles qui le manipule… car dans l’univers des pouvoirs, chacun est otage d’un autre, et le vice se meut dans une vis sans fin.
Et la mort aussi s’annonce tôt ou tard pour le politicien.
La vie de CICÉRON est donc bien un exemple à suivre pour tout bon politicien, depuis plus de deux mille ans !
Ah, la petite anecdote de Jacques CHIRAC est à noter en digression lorsqu’il affirmait à propos d’Alain JUPPÉ : « Il est probablement le meilleur d’entre nous ». La question est de savoir si dans un panier de pommes pourries — que sont les politiciens aux dires de Louis Antoine de SAINT-JUST lorsqu’il écrivait que « le pire ennemi du peuple c’est son gouvernement » — la meilleure des pommes pourries n’est pas forcément à sortir du lot de ses congénères, toutes aussi toxiques les unes que les autres ?
Qui peut lutter contre un politicien ?
Il y a le pirate.
C'est à CICÉRON que l'on doit la haine toujours actuelle pour le pirate : le pirate est celui qui osait (ose) refuser de payer l'impôt permettant aux politiciens et aux religieux de vivre oisivement, au crochet de celles et ceux qui œuvrent, et qui le rendait (rend) aux pauvres, avec talent. Le pirate récupérait avec art — sans honte et sans culpabiliser — ce qui était pris au peuple par les tyrans et leurs sbires, avec violence, ruse et autorité !
Vive les pirates !
Le pirate… en regardant sur le grand Wikipédia, hors de tout le mal qui puisse être dit de lui… il y a la source… l’origine du mot qui est plutôt plaisante :
Voici un extrait de Wikipédia :
« Le mot « pirate » vient du latin pirata (« celui qui tente la fortune, qui est entreprenant ») — attesté depuis CICÉRON — qui s'est imposé devant le terme praedo maritimus.
Pirata est un emprunt au grec πειρατής (…)
Peiratês, dérivé du verbe πειράω (peiraô) signifiant « s'efforcer de », « essayer de », « tenter sa chance à l'aventure ». CICÉRON déclare les pirates de l'Antiquité « ennemis communs à tous » (communis hostis omnium), car ils échappent aux catégories habituelles du droit ».
Oui, un pirate est bien l’ennemi commun à tous, pour tout système…
Le pirate est un Robin des Bois sans frontières et de toutes les époques !
Merci à CICÉRON d’en avoir fait son pire ennemi, car qui ne peut être plus sympathique que l’individu libre qui lutte contre tout système ?
Bon, c’est certainement vrai mais limité au regard de celles et ceux qui ne sont pas des moutons d’un système, sachant qu'il y en a fort peu…
Les autres cèdent et se plient… subissent ou acquiescent de gré ou de force, comme quasi tous ceux qui adhèrent aux idées des tyrans devant lesquels ils s’agenouillent. Bien entendu, les idées de CICÉRON sont excellentes aux yeux de tous les kapos des systèmes, qui récupèrent des miettes de leurs maîtres, certains d'avoir mérité un quelconque pouvoir ou de maigres privilèges du « bon berger »; et cependant, ils partiront un jour ou l'autre comme tous et chacun, à l’abattoir !
Les journalistes, par exemple, sont les kapos en chef de tout système…
Étienne de La BOÉTIE ne connaissait pas encore Nicolas SARKOZY mais il avait déjà tout compris de la misère du peuple :
CICÉRON fut en effet un grand homme politique, dans la Rome antique.
Il n’était pas d’extraction noble — ce n’était pas non plus un aristocrate — mais il voulait réussir à s’imposer en politique ; il voulait arriver, et savait que « la fin justifie les moyens ».
Il vivra alors dans l’obsession d’accéder à tous les pouvoirs, espérant se créer une renommée… (mais qui se souvient d'ÉROSTRATE ?), en n’hésitant pas même à piller les pauvres de leurs subsides et les savants de leur savoir — notamment les philosophes grecs — pour compiler des œuvres à sa manière.
CICÉRON — excellent orateur — rusé et malin politique, capable de mettre à mort ses rivaux sans jugement, réussira à s’enrichir plus que l'on ne peut l'imaginer ! On pourrait presque lui attribuer sans s’inquiéter de sa légitimité, cette théorie et sa pratique, bien d'actualité !
D’autant qu’il se dit et se fait la maxime : « On ne prête qu’aux riches » !
Avant que la tête ne lui soit coupée, à ce cher CICÉRON, ses détracteurs lui ont aussi coupé les mains pour tout ce qu'il avait volé au peuple, et pour les horreurs écrites sur ses ennemis.
Pour toujours davantage ensuquer les peuples, dans les documents officiels, sont principalement retenus les soucis politiques de ce stratège, plutôt que son plaisir à s’enrichir sur le dos des cons-tribuables, car ce serait lui faire mauvaise presse. Les politiques d’aujourd’hui veulent continuer à « faire carrière » sans souci. Il ne faut pas que les peuples puissent trouver de faille dans les maîtres que suivent leurs tyrans.
CICÉRON, né dans une modeste famille, s'est construit une carrière sur mesure comme questeur, édile, préteur, avocat, historien, journaliste et fut même « proconsul », c’est-à-dire gouverneur... Il a eu quelques temps de gloire et beaucoup de traversées du désert… nécessitant toujours des concessions, des compromis, des accommodations avec les lois et bien entendu de la traîtrise, à sacrifier sans souci des amis de trente ans.
CICÉRON, l’homme politique par excellence, en fait, ayant l’art et la manière d’user et d’abuser du peuple… bien qu’il fut considéré par les autres puissants d’un jour comme « instrument passif de la monarchie ».
Faut-il voir en lui le plus pourris parmi les pourris ?
Un grand maître de la Ripoublique ?
Un vrai Ripoublicain ?
Non, pas nécessairement !
Un puissant se croit dieu… sans voir les ficelles qui le manipule… car dans l’univers des pouvoirs, chacun est otage d’un autre, et le vice se meut dans une vis sans fin.
Et la mort aussi s’annonce tôt ou tard pour le politicien.
La vie de CICÉRON est donc bien un exemple à suivre pour tout bon politicien, depuis plus de deux mille ans !
Ah, la petite anecdote de Jacques CHIRAC est à noter en digression lorsqu’il affirmait à propos d’Alain JUPPÉ : « Il est probablement le meilleur d’entre nous ». La question est de savoir si dans un panier de pommes pourries — que sont les politiciens aux dires de Louis Antoine de SAINT-JUST lorsqu’il écrivait que « le pire ennemi du peuple c’est son gouvernement » — la meilleure des pommes pourries n’est pas forcément à sortir du lot de ses congénères, toutes aussi toxiques les unes que les autres ?
Qui peut lutter contre un politicien ?
Il y a le pirate.
C'est à CICÉRON que l'on doit la haine toujours actuelle pour le pirate : le pirate est celui qui osait (ose) refuser de payer l'impôt permettant aux politiciens et aux religieux de vivre oisivement, au crochet de celles et ceux qui œuvrent, et qui le rendait (rend) aux pauvres, avec talent. Le pirate récupérait avec art — sans honte et sans culpabiliser — ce qui était pris au peuple par les tyrans et leurs sbires, avec violence, ruse et autorité !
Vive les pirates !
Le pirate… en regardant sur le grand Wikipédia, hors de tout le mal qui puisse être dit de lui… il y a la source… l’origine du mot qui est plutôt plaisante :
Voici un extrait de Wikipédia :
« Le mot « pirate » vient du latin pirata (« celui qui tente la fortune, qui est entreprenant ») — attesté depuis CICÉRON — qui s'est imposé devant le terme praedo maritimus.
Pirata est un emprunt au grec πειρατής (…)
Peiratês, dérivé du verbe πειράω (peiraô) signifiant « s'efforcer de », « essayer de », « tenter sa chance à l'aventure ». CICÉRON déclare les pirates de l'Antiquité « ennemis communs à tous » (communis hostis omnium), car ils échappent aux catégories habituelles du droit ».
Oui, un pirate est bien l’ennemi commun à tous, pour tout système…
Le pirate est un Robin des Bois sans frontières et de toutes les époques !
Merci à CICÉRON d’en avoir fait son pire ennemi, car qui ne peut être plus sympathique que l’individu libre qui lutte contre tout système ?
Bon, c’est certainement vrai mais limité au regard de celles et ceux qui ne sont pas des moutons d’un système, sachant qu'il y en a fort peu…
Les autres cèdent et se plient… subissent ou acquiescent de gré ou de force, comme quasi tous ceux qui adhèrent aux idées des tyrans devant lesquels ils s’agenouillent. Bien entendu, les idées de CICÉRON sont excellentes aux yeux de tous les kapos des systèmes, qui récupèrent des miettes de leurs maîtres, certains d'avoir mérité un quelconque pouvoir ou de maigres privilèges du « bon berger »; et cependant, ils partiront un jour ou l'autre comme tous et chacun, à l’abattoir !
Les journalistes, par exemple, sont les kapos en chef de tout système…
Étienne de La BOÉTIE ne connaissait pas encore Nicolas SARKOZY mais il avait déjà tout compris de la misère du peuple :
« Si les tyrans nous semblent grands,
C’est peut-être que nous sommes à genoux devant eux ».
C’est peut-être que nous sommes à genoux devant eux ».
Certains pensent — en lisant quelques bonnes notes rapportées par les copistes et historiens d’État — qu'il est un grand philosophe, ce CICÉRON, et même le « saint patron » des avocats...
Ou des journalistes…
Ou des politiciens.
Ou même des collecteurs d'impôts !
À lire, par plaisir, la tétralogie de Paul GILLON et de Richard MALKA : « L'Ordre de CICÉRON » pour se donner une idée du monde détestable des avocats !
C’est de la bande dessinée plutôt réussie, aux Éditions Glénat.
Ou des journalistes…
Ou des politiciens.
Ou même des collecteurs d'impôts !
À lire, par plaisir, la tétralogie de Paul GILLON et de Richard MALKA : « L'Ordre de CICÉRON » pour se donner une idée du monde détestable des avocats !
C’est de la bande dessinée plutôt réussie, aux Éditions Glénat.
Le petit Larousse illustré rend aussi l’hommage dû aux grands hommes, quand on cherche CICÉRON :
(…) « Né en 106 avant notre ère — avocat — Le plus éloquent des orateurs romains. Aucun Latin n’a dépassé la pureté, la richesse de sa langue, l’harmonieuse élégance de son style et l’habileté de sa dialectique ». (…)
CICÉRON est le type même de dieu qui sert les autres dieux qui exploitent les "pauvres" que nous sommes, si nous n’avons pas la force de devenir des PIRATES !
Et…
À avoir pu me pencher sérieusement sur son "œuvre intégrale" sans y tomber... (j’ai hérité de la collection complète des écrits de CICÉRON, reliée plein cuir… que j’ai assez rapidement offert à mon beau-frère qui aime le droit et les beaux livres… Oui, impossible d’afficher dans mon bureau cet auteur qui est un de mes souffre-douleur préféré, et cela prenait trop de place, caché dans un placard) ; et pour avoir joué avec un grand nombre des écrits rapportant les "bienfaits" de ce super vilain, je crains que ce qui nous est dit de "glorieux" de ce grand vilain reste de la relecture politique !
Oui, c'est bien pratique de créer des biographies officielles pour que de nos jours on en fasse un héros, comme cela est de mode avec tous ces tyrans que l'on dit "philosophes", pour endormir les peuples.
CICÉRON fut — comme beaucoup — un homme qui s'est enrichi sur le peuple et qui aimait le pouvoir et la guerre (même sans la faire, pour rappeler la devise de Bernard Henri LÉVY, dit BHL, qui lui, n’aime pas la guerre semble-t-il, mais invite tout homme sensé à la faire, certainement parce que La Barbarie est à visage humain…).
Celui qui envoie les autres mourir ou travailler pour un système n'a rien d'un philosophe !
La philosophie n’est pas dans la haine de l’autre.
La philosophie c'est l'amour humain et non l'amour d'une religion, d'un parti politique, d'un état, ou d'une doctrine quelconque :
La philosophie doit s'intéresser à l'humain sans le castrer, le piller, le plier ou l'enfermer !
Comme pour MARC AURÈLE, SAINT AUGUSTIN et tant d'autres, ces hommes ont du sang sur les mains et la relecture de leurs soi-disant propos servent pour endormir les peuples afin de légitimer les tyrans !!!
Faut-il alors « cracher » sur tous les dits « philosophes » dont l’histoire officielle nous instruit ?
Non !
Bien entendu… nous devons oser apprendre et chercher davantage au-delà des textes rapportés. C’est tout un art de réaliser des recoupements en allant retrouver la « petite histoire », semblant plus honnête que celle qui fait loi… au risque même d’être stigmatisés dans des « théories du complot » ou massacrés dans des suites de procès interminables !
C’est le prix de la liberté !
Enfin, oui ! C’est notamment par des recherches passionnantes que j'ai eu plaisir à "réhabiliter" ARISTOTE, plutôt malmené par l’audacieux Alfred Abdank KORZYBSKI et sa formidable « Introduction à la Sémantique Générale ». Le terme non-aristotélicien (Ā) repris par l’écrivain Alfred Elton van VOGT dans le Cycle « Le Monde des Ā », n’est plus d’usage dans mes travaux. Je préfère utiliser le terme « pluripossibles » pour les individus hors normalités (les IHN).
Oui, ARISTOTE n'est plus à mes yeux "le plus infâme" des dits "philosophes". J’ai découvert ô combien ses écrits furent peut-être les plus trahis par les copistes et traducteurs... cela au vu des contradictions hallucinantes en regard de sources différentes niant la véracité des textes rapportés !
Ce qui fut écrit au nom d’ARISTOTE sert de légitimité aux tyrans religieux et politiques de notre époque.
Le plus grand art des politiques est de "réécrire" l'histoire afin que cela soit "éducatif et productif".
Il y a tant de drôles de dieux dans les panthéons de bien des Ripoubliques !!
Louis Antoine de SAINT-JUST rapportait que « de tous les arts, (sans majuscule), celui de gouverner n’a produit que des monstres ».
L’humain se laisse docilement emprisonner avec des lois, des obligations et des interdits décidés pour son bien… par des tyrans qui ont pris le pouvoir ou qui se le sont donnés en inventant un ersatz de démocratie qui s’appelle le « droit de vote », énorme piège à cons-tribuables, qui est vanté comme la solution pour être libre… de suivre le bon berger !
Non ! Rappelons encore et toujours les propos lapidaires du Léopard du Panthéon, en 1887 :
(…) « Né en 106 avant notre ère — avocat — Le plus éloquent des orateurs romains. Aucun Latin n’a dépassé la pureté, la richesse de sa langue, l’harmonieuse élégance de son style et l’habileté de sa dialectique ». (…)
CICÉRON est le type même de dieu qui sert les autres dieux qui exploitent les "pauvres" que nous sommes, si nous n’avons pas la force de devenir des PIRATES !
Et…
À avoir pu me pencher sérieusement sur son "œuvre intégrale" sans y tomber... (j’ai hérité de la collection complète des écrits de CICÉRON, reliée plein cuir… que j’ai assez rapidement offert à mon beau-frère qui aime le droit et les beaux livres… Oui, impossible d’afficher dans mon bureau cet auteur qui est un de mes souffre-douleur préféré, et cela prenait trop de place, caché dans un placard) ; et pour avoir joué avec un grand nombre des écrits rapportant les "bienfaits" de ce super vilain, je crains que ce qui nous est dit de "glorieux" de ce grand vilain reste de la relecture politique !
Oui, c'est bien pratique de créer des biographies officielles pour que de nos jours on en fasse un héros, comme cela est de mode avec tous ces tyrans que l'on dit "philosophes", pour endormir les peuples.
CICÉRON fut — comme beaucoup — un homme qui s'est enrichi sur le peuple et qui aimait le pouvoir et la guerre (même sans la faire, pour rappeler la devise de Bernard Henri LÉVY, dit BHL, qui lui, n’aime pas la guerre semble-t-il, mais invite tout homme sensé à la faire, certainement parce que La Barbarie est à visage humain…).
Celui qui envoie les autres mourir ou travailler pour un système n'a rien d'un philosophe !
La philosophie n’est pas dans la haine de l’autre.
La philosophie c'est l'amour humain et non l'amour d'une religion, d'un parti politique, d'un état, ou d'une doctrine quelconque :
La philosophie doit s'intéresser à l'humain sans le castrer, le piller, le plier ou l'enfermer !
Comme pour MARC AURÈLE, SAINT AUGUSTIN et tant d'autres, ces hommes ont du sang sur les mains et la relecture de leurs soi-disant propos servent pour endormir les peuples afin de légitimer les tyrans !!!
Faut-il alors « cracher » sur tous les dits « philosophes » dont l’histoire officielle nous instruit ?
Non !
Bien entendu… nous devons oser apprendre et chercher davantage au-delà des textes rapportés. C’est tout un art de réaliser des recoupements en allant retrouver la « petite histoire », semblant plus honnête que celle qui fait loi… au risque même d’être stigmatisés dans des « théories du complot » ou massacrés dans des suites de procès interminables !
C’est le prix de la liberté !
Enfin, oui ! C’est notamment par des recherches passionnantes que j'ai eu plaisir à "réhabiliter" ARISTOTE, plutôt malmené par l’audacieux Alfred Abdank KORZYBSKI et sa formidable « Introduction à la Sémantique Générale ». Le terme non-aristotélicien (Ā) repris par l’écrivain Alfred Elton van VOGT dans le Cycle « Le Monde des Ā », n’est plus d’usage dans mes travaux. Je préfère utiliser le terme « pluripossibles » pour les individus hors normalités (les IHN).
Oui, ARISTOTE n'est plus à mes yeux "le plus infâme" des dits "philosophes". J’ai découvert ô combien ses écrits furent peut-être les plus trahis par les copistes et traducteurs... cela au vu des contradictions hallucinantes en regard de sources différentes niant la véracité des textes rapportés !
Ce qui fut écrit au nom d’ARISTOTE sert de légitimité aux tyrans religieux et politiques de notre époque.
Le plus grand art des politiques est de "réécrire" l'histoire afin que cela soit "éducatif et productif".
Il y a tant de drôles de dieux dans les panthéons de bien des Ripoubliques !!
Louis Antoine de SAINT-JUST rapportait que « de tous les arts, (sans majuscule), celui de gouverner n’a produit que des monstres ».
L’humain se laisse docilement emprisonner avec des lois, des obligations et des interdits décidés pour son bien… par des tyrans qui ont pris le pouvoir ou qui se le sont donnés en inventant un ersatz de démocratie qui s’appelle le « droit de vote », énorme piège à cons-tribuables, qui est vanté comme la solution pour être libre… de suivre le bon berger !
Non ! Rappelons encore et toujours les propos lapidaires du Léopard du Panthéon, en 1887 :
« Ne votez pas, car voter c’est se soumettre,
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
Seul l’art semble donner à l’humain quelques échappatoires, vite rattrapés par le système !
Et pour ce qui est de l'art — lorsqu'il est revisité — c'est de même un nettoyage rigoureux des mœurs ou des pensées non conformes, qui est imposé par tout système !
On brûle quelques livres quand on est d’un parti extrême ou d’un autre… ou tous les livres au nom d’une religion (sauf un quand il s’agit aujourd'hui du Coran ou hier, de la Bible) ; on couvre les corps dénudés de La Chapelle Sixtine, on brise le sexe des statues… ou on brise les statues en totalité (selon les doctrines religieuses d’usage).
Et les peuples s’invitent parfois à visiter des ruines !
Dans la littérature, la censure est aussi omniprésente… insidieuse et redoutable, puisque les copistes, traducteurs, imprimeurs, distributeurs et publicistes sont quasi tous sous les « ordres » des tyrans.
Pour ce qui est des « journalistes », ils sont les kapos des systèmes, formatés à « La grande école des ratés » de Dik MAY, d’après le journal L’Illustration !
Même la poésie de Pierre de RONSARD a été corrigée de ses penchants dérangeants !!!
Ah ah... oui ! et pour ce monsieur, il semble bien que certains de ses poèmes furent « féminisés » pour en faire un homme respectable, que certains pensent même sagement homophobe.
Que retenir des cours de littérature sachant que dans les manuels pour les professeurs, l’on a réécrit toutes les biographies des écrivains devant avoir « la cote » aux yeux des dirigeants ?
Comment ne pas se désoler lorsque l’on découvre que nos maîtres penseurs et chanteurs ont, par exemple, pour Blaise PASCAL de MONS, réinventé un personnage qui est maintenant qualifié de « philosophe religieux », lui ce libertin passionné de l’amour humain.
J’aime quand un de mes amis écrit que « la philosophie est un système de pensée libre »…
Mais est-ce que la philosophie doit se limiter à être libre « dans un système de pensées » ?
Le système n’est-il pas déjà castrateur ?
Je ne souhaite pas encenser un philosophe — surtout pas — et ce n'est pas nécessairement CICÉRON que je veux stigmatiser… ni juger et encore moins condamner… dans ces propos libres sans gravité.
En effet, nous sommes peut-être tous autant victimes de notre ignorance, de nos peurs, de nos lâchetés et de nos maladresses que coupables des mêmes sources qui font de notre monde, ce qu'il est.
Ma lutte serait plutôt à objectiver quant à l'usage que les politiciens font, de ce qu'ils nomment la "philosophie"… Comme CICÉRON fut lui-même un politique, je me questionne sur la problématique d'associer philosophie et politique et religion et guerre…
Pour donner un exemple à mes propos : ARISTOTE est présenté selon les historiens comme « conseiller d'Alexandre le Grand », comme certains verraient en BHL — Bernard Henri LÉVY — le « conseiller de Nicolas SARKOZY »… Le lien n’est pas douteux.
À chacun sa grandeur et sa soif de guerre.
La responsable du blog publicitaire de Bernard Henri LÉVY osait écrire, dans le fronton en page principale, que « L'art de la philosophie ne vaut que s'il est un art de la guerre » !
Ah, mais que de bêtises et quelle horreur que d'oser assimiler philosophie et guerre !
« Faire » de la philosophie en étant aussi un politique ou un religieux, à mes yeux, c’est tragique pour ceux qui en subissent les frasques.
C'est comme pour un médecin… qui « fait » de la politique : il y a une opposition formelle avec le serment d'Hippocrate qui stipule qu’un homme de médecine (du chirurgien au dentiste, du psychiatre à l'ophtalmologue, en passant par le proctologue) ne doit pas avoir de pouvoir ou d’autorité ou d’influence sur quiconque ! L'homme de soin est à côté du malade, à son service, sans le diriger.
Comment ne pas se trouver coi en découvrant que Che GÉVARA pouvait être juge et bourreau… qu’il se réservait le droit de donner la mort, alors qu’il était médecin ?
Comment ne pas se désoler de savoir que Louis Ferdinand CÉLINE était aussi médecin et redoutablement antisémite ?
Pour la philosophie, l'autorité doit être horizontale et non verticale.
De l’œuvre attribuée à CICÉRON, s'il a eu de beaux propos rapportés, comme pour celle de Saint AUGUSTIN, (j'ai aimé l'étudier pendant de longues années de recherches et d’études en théologie) les actes de l’homme ne sont pas en corrélation avec la considération de tous et chacun.
Pour Saint AUGUSTIN — dans ses écrits et ses actes — il y a énormément de problématiques autour de la liberté, liées aux sources manichéennes du personnage dont la "réécriture des textes" et les contradictions sont fort fort nombreuses ; mais cela n'est pas accessible au commun, hélas… alors que dans l'idée du christianisme, il y a vraiment le principe de "l'amour humain".
On aurait pu éviter tant de massacres…
Ah, si l'on commençait à étudier sans gober la parole de maîtres plus dominus que magisters ? Mais qui est prêt à oser dire "non" aux certitudes imposées ? C'est comme pour les "religions de l'Islam" : moins d'un pour-cent, à ce qu'il semble, des "croyants" a lu le Coran…
Les croyants de l’Islam ne connaissent pas cette tragique suite de préceptes qui prennent leurs fondements sur la peur des flammes d'un enfer pour celle ou celui qui n'est pas dans la soumission. On se crée "une idée" avec des bribes de textes rapportés, des "dires" de "sages" et des citations parfois magnifiques… attribuées à un dieu ou à un autre et l'on continue à obéir, à faire la guerre… au lieu d'apprendre à aimer, à vivre, à créer…
Voilà… Merci CICÉRON.
Il est vrai que j'aime me pencher sur la question des philosophes de tous poils qui ont construit notre monde… ou ont participé activement à le détruire.
Alors, alors, CICÉRON est-il un philosophe ?
Son écriture est plutôt réputée… et il fut riche à pouvoir s’autocélébrer de son temps… mais cela suffit-il vraiment pour l’affirmer philosophe ?
Si c’était le cas, de tout temps les pages des dictionnaires se seraient remplies encore davantage de drôles de philosophes venus du Café de Flore comme Bernard Henri LÉVY, ou nous serions entourés de « Zarathoustra des classes moyennes », comme Michel HOUELLEBECQ.
Que nous offrent-t-ils pour progresser dans l’art d’aimer la sagesse ?
Pas grand chose, hélas !
Et ces propos libres sans gravité nous invitent à d'autres déclinaisons en lien avec toutes les formes de pouvoir et c’est une lutte plaisante contre ces volontaires désireux d'entrer par tous les moyens au Panthéon de la Ripoublique.
Merci de votre attention pour ce billet d’humeur.
Et pour ce qui est de l'art — lorsqu'il est revisité — c'est de même un nettoyage rigoureux des mœurs ou des pensées non conformes, qui est imposé par tout système !
On brûle quelques livres quand on est d’un parti extrême ou d’un autre… ou tous les livres au nom d’une religion (sauf un quand il s’agit aujourd'hui du Coran ou hier, de la Bible) ; on couvre les corps dénudés de La Chapelle Sixtine, on brise le sexe des statues… ou on brise les statues en totalité (selon les doctrines religieuses d’usage).
Et les peuples s’invitent parfois à visiter des ruines !
Dans la littérature, la censure est aussi omniprésente… insidieuse et redoutable, puisque les copistes, traducteurs, imprimeurs, distributeurs et publicistes sont quasi tous sous les « ordres » des tyrans.
Pour ce qui est des « journalistes », ils sont les kapos des systèmes, formatés à « La grande école des ratés » de Dik MAY, d’après le journal L’Illustration !
Même la poésie de Pierre de RONSARD a été corrigée de ses penchants dérangeants !!!
Ah ah... oui ! et pour ce monsieur, il semble bien que certains de ses poèmes furent « féminisés » pour en faire un homme respectable, que certains pensent même sagement homophobe.
Que retenir des cours de littérature sachant que dans les manuels pour les professeurs, l’on a réécrit toutes les biographies des écrivains devant avoir « la cote » aux yeux des dirigeants ?
Comment ne pas se désoler lorsque l’on découvre que nos maîtres penseurs et chanteurs ont, par exemple, pour Blaise PASCAL de MONS, réinventé un personnage qui est maintenant qualifié de « philosophe religieux », lui ce libertin passionné de l’amour humain.
J’aime quand un de mes amis écrit que « la philosophie est un système de pensée libre »…
Mais est-ce que la philosophie doit se limiter à être libre « dans un système de pensées » ?
Le système n’est-il pas déjà castrateur ?
Je ne souhaite pas encenser un philosophe — surtout pas — et ce n'est pas nécessairement CICÉRON que je veux stigmatiser… ni juger et encore moins condamner… dans ces propos libres sans gravité.
En effet, nous sommes peut-être tous autant victimes de notre ignorance, de nos peurs, de nos lâchetés et de nos maladresses que coupables des mêmes sources qui font de notre monde, ce qu'il est.
Ma lutte serait plutôt à objectiver quant à l'usage que les politiciens font, de ce qu'ils nomment la "philosophie"… Comme CICÉRON fut lui-même un politique, je me questionne sur la problématique d'associer philosophie et politique et religion et guerre…
Pour donner un exemple à mes propos : ARISTOTE est présenté selon les historiens comme « conseiller d'Alexandre le Grand », comme certains verraient en BHL — Bernard Henri LÉVY — le « conseiller de Nicolas SARKOZY »… Le lien n’est pas douteux.
À chacun sa grandeur et sa soif de guerre.
La responsable du blog publicitaire de Bernard Henri LÉVY osait écrire, dans le fronton en page principale, que « L'art de la philosophie ne vaut que s'il est un art de la guerre » !
Ah, mais que de bêtises et quelle horreur que d'oser assimiler philosophie et guerre !
« Faire » de la philosophie en étant aussi un politique ou un religieux, à mes yeux, c’est tragique pour ceux qui en subissent les frasques.
C'est comme pour un médecin… qui « fait » de la politique : il y a une opposition formelle avec le serment d'Hippocrate qui stipule qu’un homme de médecine (du chirurgien au dentiste, du psychiatre à l'ophtalmologue, en passant par le proctologue) ne doit pas avoir de pouvoir ou d’autorité ou d’influence sur quiconque ! L'homme de soin est à côté du malade, à son service, sans le diriger.
Comment ne pas se trouver coi en découvrant que Che GÉVARA pouvait être juge et bourreau… qu’il se réservait le droit de donner la mort, alors qu’il était médecin ?
Comment ne pas se désoler de savoir que Louis Ferdinand CÉLINE était aussi médecin et redoutablement antisémite ?
Pour la philosophie, l'autorité doit être horizontale et non verticale.
De l’œuvre attribuée à CICÉRON, s'il a eu de beaux propos rapportés, comme pour celle de Saint AUGUSTIN, (j'ai aimé l'étudier pendant de longues années de recherches et d’études en théologie) les actes de l’homme ne sont pas en corrélation avec la considération de tous et chacun.
Pour Saint AUGUSTIN — dans ses écrits et ses actes — il y a énormément de problématiques autour de la liberté, liées aux sources manichéennes du personnage dont la "réécriture des textes" et les contradictions sont fort fort nombreuses ; mais cela n'est pas accessible au commun, hélas… alors que dans l'idée du christianisme, il y a vraiment le principe de "l'amour humain".
On aurait pu éviter tant de massacres…
Ah, si l'on commençait à étudier sans gober la parole de maîtres plus dominus que magisters ? Mais qui est prêt à oser dire "non" aux certitudes imposées ? C'est comme pour les "religions de l'Islam" : moins d'un pour-cent, à ce qu'il semble, des "croyants" a lu le Coran…
Les croyants de l’Islam ne connaissent pas cette tragique suite de préceptes qui prennent leurs fondements sur la peur des flammes d'un enfer pour celle ou celui qui n'est pas dans la soumission. On se crée "une idée" avec des bribes de textes rapportés, des "dires" de "sages" et des citations parfois magnifiques… attribuées à un dieu ou à un autre et l'on continue à obéir, à faire la guerre… au lieu d'apprendre à aimer, à vivre, à créer…
Voilà… Merci CICÉRON.
Il est vrai que j'aime me pencher sur la question des philosophes de tous poils qui ont construit notre monde… ou ont participé activement à le détruire.
Alors, alors, CICÉRON est-il un philosophe ?
Son écriture est plutôt réputée… et il fut riche à pouvoir s’autocélébrer de son temps… mais cela suffit-il vraiment pour l’affirmer philosophe ?
Si c’était le cas, de tout temps les pages des dictionnaires se seraient remplies encore davantage de drôles de philosophes venus du Café de Flore comme Bernard Henri LÉVY, ou nous serions entourés de « Zarathoustra des classes moyennes », comme Michel HOUELLEBECQ.
Que nous offrent-t-ils pour progresser dans l’art d’aimer la sagesse ?
Pas grand chose, hélas !
Et ces propos libres sans gravité nous invitent à d'autres déclinaisons en lien avec toutes les formes de pouvoir et c’est une lutte plaisante contre ces volontaires désireux d'entrer par tous les moyens au Panthéon de la Ripoublique.
Merci de votre attention pour ce billet d’humeur.
Yves Philippe de Francqueville ©
yvesdefrancqueville@yahoo.fr
0685415368
yvesdefrancqueville@yahoo.fr
0685415368
Vous avez aimé ?
N'hésitez pas à partager :
MERCI !
En septembre 2015, la moyenne calculée sur près de deux années — sur tous mes sites et blogs — s'approche des 15.000 visites par mois… Merci pour votre fidélité qui m'encourage à écrire !
Si vous souhaitez faire un don pour donner à l'auteur davantage de liberté pour l'écriture… alors que plus de six mille pages de notes et de textes attendent d'être mises à la lumière… n'hésitez pas !
Les propos libres sans gravité, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©.
Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui considère la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
Le ou les journalistes * (voir petite note explicative) qui peuvent se sentir impliqués dans les écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, peuvent en être honorés… ils sont ainsi immortalisés ! Pour ce qui est de Messieurs Bernard Henri LÉVY, Nicolas SARKOZY & compagnie, c'est aussi un plaisir de rechercher les pertinences philosophiques, et sociales, à travers leurs œuvres, faits et gestes…
Oui, je ne pense pas du tout que "L'art de la philosophie ne vaut que s'il est un art de la guerre" ! La guerre n'est pas compatible avec la philosophie, comme les religion ou la politique… et la philosophie ne semble pas être un art, même s'il y a l'art et la manière de jouer au philosophe ! Cette citation qui était sur le fronton du blog publicitaire de BHL est maintenant rangée au placard… heureusement !
Petite note explicative…
* Ce journaliste, oui, du Midi libre, dont je ne puis plus citer le nom haut et fort en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même vs Yves Philippe de FRANCQUEVILLE :
Ah, qui ne connaît pas le journaliste ? Le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même et ses articles grandioses du Midi Libre ?
Avec l’affaire judiciaire concernant Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, c’est encore une triste image du journalisme qui s’offre aux derniers lecteurs de ce journal de province à l’agonie. C’est résumable en quelques détestables pages du Midi Libre où ce journaliste spécialiste des brèves de prétoire et des rumeurs de la Salle des pas perdus du tribunal de Montpellier s’est affairé pour massacrer un homme libre en usant de toutes les vilénies et des propos diffamatoires et inexactes afin de charger un psychanalyste qui osait agir dans la ville pour défendre la veuve et l’orphelin.
Ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même préfère servir d’autres causes moins nobles… il est un élève reconnaissant de l'École de la médiocrité .
Pour mémoire, à lire en ligne les articles les plus odieux et désespérants de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même; c'est commentés par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville