Voici un article écrit par un pirate du mot — Yves Philippe de
FRANCQUEVILLE — qui se plaît à écumer les mers et les océans, afin de couler
avec art les médiocres écrivailleurs à la solde de quelques puissants, pour
rendre à la littérature sa raison d'être : le plaisir, la beauté, le rêve, avec
une sincérité restaurée.
Il utilise la toile de l'Internet pour exposer ses trésors gagnés à coup de plume, pour son plus grand plaisir.
Profitez donc de les découvrir de son vivant, avant qu'il ne soit retrouvé pendu au grand mat d'un vaisseau corsaire, à la solde d'un monarque…
Selon l'étymologie du mot, « le pirate » est un être « qui entreprend », « qui est audacieux »… qui aime la liberté !
À l'abordage !
Écrire semble si simple aujourd'hui grâce aux techniques, mais l'art de permettre à une idée de prendre forme en quelques mots nécessite du talent, du travail, de l'audace… parfois du génie.
Trop de tricheurs, de copieurs, de falsificateurs… surtout dans ces espaces particuliers que sont les médias.
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE vous offre ici un butin difficile à partager… en souvenir de sa rencontre avec ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même un spécialiste des brèves de prétoires et de salles des pas perdus… Oui, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, peut être sacré « maître étalon » du journalisme désespérant :
Il utilise la toile de l'Internet pour exposer ses trésors gagnés à coup de plume, pour son plus grand plaisir.
Profitez donc de les découvrir de son vivant, avant qu'il ne soit retrouvé pendu au grand mat d'un vaisseau corsaire, à la solde d'un monarque…
Selon l'étymologie du mot, « le pirate » est un être « qui entreprend », « qui est audacieux »… qui aime la liberté !
À l'abordage !
Écrire semble si simple aujourd'hui grâce aux techniques, mais l'art de permettre à une idée de prendre forme en quelques mots nécessite du talent, du travail, de l'audace… parfois du génie.
Trop de tricheurs, de copieurs, de falsificateurs… surtout dans ces espaces particuliers que sont les médias.
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE vous offre ici un butin difficile à partager… en souvenir de sa rencontre avec ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même un spécialiste des brèves de prétoires et de salles des pas perdus… Oui, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, peut être sacré « maître étalon » du journalisme désespérant :
De l’art d’être journaliste…
En politique !
Pourquoi donc les journalistes jouent-ils si souvent
Les apprentis sorciers ?
Avons-nous réellement besoin
De journalistes professionnels ?
Les apprentis sorciers ?
Avons-nous réellement besoin
De journalistes professionnels ?
Oh !
Je lis par le plus grand des hasards, au fil de mes lectures :
Je lis par le plus grand des hasards, au fil de mes lectures :
« L’École des Journalistes risque fort d’être
une nouvelle succursale
de la grande École des ratés ».
une nouvelle succursale
de la grande École des ratés ».
Quelle triste phrase extraite du journal « L’Illustration » en date du 22
juillet 1899 !
C’est la première critique acerbe au sujet de cette école toute nouvelle — pour former celles et ceux qui allaient nous inonder d’informations certifiées conformes aux normes françaises — voulue par Dick MAY, écrivaine passionnée de sciences sociales. Cette dame très sûre d’elle pensait que la presse maîtrisée serait l’outil idéal laïc pour développer une autre manière « d’éduquer le peuple ». Il fallait donc inciter les femmes et les hommes de France et de Navarre… comme pour les autres sujets de l’Empire colonial, à se séparer des croyances trop abstraites de leurs dieux qui avaient fait leur temps, pour recevoir l’instruction d’une morale politique en accord avec l’État.
La presse s’imposait naturellement !
Pour cela il semblait nécessaire à Dick MAY de créer une École des Journalistes où serait formatée au mieux dans ses idées politiques et sociales une armée d’écrivailleurs capables de bien jouer de la syntaxe sans faire trop de fautes d’orthographe…
Le modernisme aidant, l’usage de la parole et de l’image devient en effet l’arme absolue des forces au pouvoir, qui n’autorisent jamais la liberté d’expression…
Aussi, pour avoir le droit de s’exprimer « en conformité avec la bonne morale » il va obligatoirement falloir sortir sa carte d’identité de journaliste professionnel : cela devient donc une affaire d’État à confier à un homme politique ET journaliste… ce sera Émile BRACHARD.
Ce monsieur — devenu député français — issu de la petite bourgeoisie de province, avec son frère placé chef de bureau à la préfecture de Troyes en Champagne, et son père, employé de la Compagnie des Chemins de Fer de l’Est — sera tout heureux d’affirmer que « l'établissement de la carte d'identité de journaliste aidera puissamment à l'organisation méthodique d'une profession longtemps demeurée dans l'anarchie. Les intérêts moraux y vont de pair avec les intérêts matériels ».
Avec la définition de l’anarchie, reprise à Wikipédia, Émile BRACHARD montre bien la volonté de « réglementation » par une autorité de ce libre usage de la parole ou de l’expression écrite… il faut censurer !
C’est la première critique acerbe au sujet de cette école toute nouvelle — pour former celles et ceux qui allaient nous inonder d’informations certifiées conformes aux normes françaises — voulue par Dick MAY, écrivaine passionnée de sciences sociales. Cette dame très sûre d’elle pensait que la presse maîtrisée serait l’outil idéal laïc pour développer une autre manière « d’éduquer le peuple ». Il fallait donc inciter les femmes et les hommes de France et de Navarre… comme pour les autres sujets de l’Empire colonial, à se séparer des croyances trop abstraites de leurs dieux qui avaient fait leur temps, pour recevoir l’instruction d’une morale politique en accord avec l’État.
La presse s’imposait naturellement !
Pour cela il semblait nécessaire à Dick MAY de créer une École des Journalistes où serait formatée au mieux dans ses idées politiques et sociales une armée d’écrivailleurs capables de bien jouer de la syntaxe sans faire trop de fautes d’orthographe…
Le modernisme aidant, l’usage de la parole et de l’image devient en effet l’arme absolue des forces au pouvoir, qui n’autorisent jamais la liberté d’expression…
Aussi, pour avoir le droit de s’exprimer « en conformité avec la bonne morale » il va obligatoirement falloir sortir sa carte d’identité de journaliste professionnel : cela devient donc une affaire d’État à confier à un homme politique ET journaliste… ce sera Émile BRACHARD.
Ce monsieur — devenu député français — issu de la petite bourgeoisie de province, avec son frère placé chef de bureau à la préfecture de Troyes en Champagne, et son père, employé de la Compagnie des Chemins de Fer de l’Est — sera tout heureux d’affirmer que « l'établissement de la carte d'identité de journaliste aidera puissamment à l'organisation méthodique d'une profession longtemps demeurée dans l'anarchie. Les intérêts moraux y vont de pair avec les intérêts matériels ».
Avec la définition de l’anarchie, reprise à Wikipédia, Émile BRACHARD montre bien la volonté de « réglementation » par une autorité de ce libre usage de la parole ou de l’expression écrite… il faut censurer !
Extrait de Wikipédia : “L’anarchie (du grec ἀναρχία / anarkhia, composé de an, préfixe privatif : absence de, et arkhê, hiérarchie,
commandement ou « primauté ») désigne la situation d’une société où
il n'existe pas de chef, pas d'autorité unique, autrement dit où chaque sujet
ne peut prétendre à un pouvoir sur l'autre. Il peut exister une organisation,
un pouvoir
politique ou même
plusieurs, mais pas de domination unique ayant un caractère coercitif.
L’anarchie peut, étymologiquement, également être expliquée comme le refus de
tout principe premier, de toute cause première, et comme revendication de la
multiplicité face à l’unicité.(…) l'anarchie n'est pas le désordre social mais au
contraire l'ordre social absolu grâce notamment au collectivisme anti-capitaliste qui contrairement à l'idée de possessions
privées capitalisées, suggère
l'idée de possessions individuelles ne
garantissant quant à elles aucun droit de propriété concernant l'accumulation
de biens non utilisés1,
et au travers d'une liberté politique organisée autour du mandatement impératif, de l'autogestion,
du fédéralisme et de la démocratie directe. Pour ses partisans, l’anarchie est
donc organisée et structurée : c'est l'ordre moins le
pouvoir.”
La volonté d’imposer « la carte d’identité de journaliste »,
dans le principe du rapport BRACHARD, c’est d’instaurer l’obligation du nihil obstat du pouvoir pour l’imprimatur sur chaque article de
presse, sur tous les entretiens, en regard de la bonne morale du journaliste !
La mort de la liberté de la presse qui émane du rapport BRACHARD entraîne l'adoption par consensus d'une loi qui reconnaît qu'écrire dans un journal ou de parler en son nom était bien le signe d’un asservissement total à une force politique.
C’est presque un Ordre des Journalistes, dans la même veine que celui des Médecins qui va se construire progressivement jusqu’à nos jours donnant aux journalistes une croyance d’être choisis, que dis-je, élus comme la « voix des dieux ».
Il y a alors un formidable aplomb dans le maniement des droits de justice et l’annonce de toutes les vérités vraies que se donnent les écrivailleurs et les hérauts des ondes ! En 1945, par exemple, on remplace les pétainistes par les gaullistes… comme à chaque changement de pouvoir : la commission, régnant sur la presse, se charge elle-même de l’épuration des journalistes jugés collaborationnistes et d’en faire annonce dans les médias, à la demande des politiques… sans que l’on ne touche aux médecins collabos de l’Ordre des Médecins — ceux qui avaient en cœur votés les lois vichystes dont celles sur l’interdiction d’exercer pour les juifs —, aux généraux ayant abandonné leur poste qui étaient pétainistes et qui deviennent Gaullistes et surtout les juges… de l’Ordre de la Magistrature : ceux qui ont condamné les traîtres à l’État Français seront les mêmes à condamner les traîtres à la Quatrième République !
Et la presse annonce ou dénonce selon les ordres et le désordre !
Aujourd’hui, être journaliste politique, c’est un drôle de métier sous grande surveillance Étatique !
L’historien humaniste Henri GUILLEMIN sera une des victimes des journalistes politiques les plus intéressantes à étudier, en raison de son audace à annoncer l’Histoire en non conformité avec ce qui doit être inculqué au peuple… Henri GUILLEMIN est toujours considéré comme un paria et rejeté des médias, mais l’Internet offre aux curieux la possibilité extraordinaire d’aller au-delà des vérités imposée et YouTube nous propose déjà plus de cent-trente conférences de cet historien sans censure ni autocensure. Il arrive même à présenter Georges BERNANOS — que je n’apprécie guère — comme un personnage sensible à l’horreur de la dernière guerre d’Espagne entre les tyrans déçus nationalistes et tyrans républicains légitimés par un vote envoyant leurs moutons s’entredéchirer au nom du meilleur des berger!
Pour être un journaliste reconnu il faut savoir pratiquer avec malice l’autocensure et la condescendance.
Henri GUILLEMIN nous raconte avec un autre regard ces « héros » de notre Histoire : de Jeanne d’ARC à Charles De GAULLE en passant par Jean Jacques ROUSSEAU, Maximilien de ROBESPIERRE, Napoléon BONAPARTE, Jules VALLÈS, le Capitaine DREYFUS, Joseph STALINE et Philippe PETAIN… et tant d’autres personnes glorifiés ou maudits en leur temps par les journalistes selon les désirs des politiciens.
Il faut donc — pour décrocher le « label rouge©® de journaliste professionnel » — dépenser beaucoup d’énergie et parfois beaucoup d’argent dans quelques écoles « reconnues » par un État soucieux de voir bien formés ses pions fort utiles sur l’échiquier du monde…
L’art d’être journaliste politique nécessite un très très petit ego contredit par un énorme sentiment de supériorité et une bonne propension au voyeurisme.
Vouloir être journaliste politique, à l’époque où l’imprimerie populaire se développait, c’était certainement une nécessité alimentaire au XIX° siècle. Les écrivains méconnus où les mauvais romanciers tentaient leur chance en ajoutant à la demi-page quotidienne de leur roman fleuve, quelques articles relevés pour attirer le chaland.
Les politiques d’alors usent et abusent de ces écrivailleurs pour annoncer leurs programmes salvateurs ou pour se plaire à dénoncer au peuple les agissements de leurs concurrents… et la publicité s’installe de plus en plus dans cette société orientée vers la consommation…
La naissance du journaliste d’État se stigmatise par « l’Affaire DREYFUS » où Georges CLEMENCEAU utilise avec une grande habileté le nom et la plume d’Émile ZOLA pour affirmer sa politique.
Le « J’accuse » d’Émile ZOLA restera le point zéro du journalisme politique qui se veut indispensable… et révélateur de la vérité ! Oups… Le journal « L’Aurore » tournait à 30.000 exemplaires quotidiens confinés sur Paris… La légende (que la presse a construite de toute pièce) veut que ce soit bien plus de 200.000 qui furent édités ce jour… Formidable information pour la France entière… pour le monde entier… Mais au-delà de la bonne bourgeoisie bien pensante anti dreyfusarde de la capitale, qui se souciait de tout cela ? (Notons que toujours à ce jour, les deux tiers des cartes de presses sont distribuées en région parisienne).
Comme pour « L’Appel du 18 juin 1940 »… il n’a été entendu que par une poignée de Français ! Ceux qui résistaient à l’envahisseur étaient plus sur le terrain qu’accrochés à la radio… et n’a pas beaucoup de ressemblances avec les « facsimilés » dont la presse nous offre la belle légende !
Au XX° siècle, c’est la guerre qui nourrit le journaliste… La radio prend sa place avec le couronnement des jeux de propagandes sacralisés par la phrase célèbre :
La mort de la liberté de la presse qui émane du rapport BRACHARD entraîne l'adoption par consensus d'une loi qui reconnaît qu'écrire dans un journal ou de parler en son nom était bien le signe d’un asservissement total à une force politique.
C’est presque un Ordre des Journalistes, dans la même veine que celui des Médecins qui va se construire progressivement jusqu’à nos jours donnant aux journalistes une croyance d’être choisis, que dis-je, élus comme la « voix des dieux ».
Il y a alors un formidable aplomb dans le maniement des droits de justice et l’annonce de toutes les vérités vraies que se donnent les écrivailleurs et les hérauts des ondes ! En 1945, par exemple, on remplace les pétainistes par les gaullistes… comme à chaque changement de pouvoir : la commission, régnant sur la presse, se charge elle-même de l’épuration des journalistes jugés collaborationnistes et d’en faire annonce dans les médias, à la demande des politiques… sans que l’on ne touche aux médecins collabos de l’Ordre des Médecins — ceux qui avaient en cœur votés les lois vichystes dont celles sur l’interdiction d’exercer pour les juifs —, aux généraux ayant abandonné leur poste qui étaient pétainistes et qui deviennent Gaullistes et surtout les juges… de l’Ordre de la Magistrature : ceux qui ont condamné les traîtres à l’État Français seront les mêmes à condamner les traîtres à la Quatrième République !
Et la presse annonce ou dénonce selon les ordres et le désordre !
Aujourd’hui, être journaliste politique, c’est un drôle de métier sous grande surveillance Étatique !
L’historien humaniste Henri GUILLEMIN sera une des victimes des journalistes politiques les plus intéressantes à étudier, en raison de son audace à annoncer l’Histoire en non conformité avec ce qui doit être inculqué au peuple… Henri GUILLEMIN est toujours considéré comme un paria et rejeté des médias, mais l’Internet offre aux curieux la possibilité extraordinaire d’aller au-delà des vérités imposée et YouTube nous propose déjà plus de cent-trente conférences de cet historien sans censure ni autocensure. Il arrive même à présenter Georges BERNANOS — que je n’apprécie guère — comme un personnage sensible à l’horreur de la dernière guerre d’Espagne entre les tyrans déçus nationalistes et tyrans républicains légitimés par un vote envoyant leurs moutons s’entredéchirer au nom du meilleur des berger!
Pour être un journaliste reconnu il faut savoir pratiquer avec malice l’autocensure et la condescendance.
Henri GUILLEMIN nous raconte avec un autre regard ces « héros » de notre Histoire : de Jeanne d’ARC à Charles De GAULLE en passant par Jean Jacques ROUSSEAU, Maximilien de ROBESPIERRE, Napoléon BONAPARTE, Jules VALLÈS, le Capitaine DREYFUS, Joseph STALINE et Philippe PETAIN… et tant d’autres personnes glorifiés ou maudits en leur temps par les journalistes selon les désirs des politiciens.
Il faut donc — pour décrocher le « label rouge©® de journaliste professionnel » — dépenser beaucoup d’énergie et parfois beaucoup d’argent dans quelques écoles « reconnues » par un État soucieux de voir bien formés ses pions fort utiles sur l’échiquier du monde…
L’art d’être journaliste politique nécessite un très très petit ego contredit par un énorme sentiment de supériorité et une bonne propension au voyeurisme.
Vouloir être journaliste politique, à l’époque où l’imprimerie populaire se développait, c’était certainement une nécessité alimentaire au XIX° siècle. Les écrivains méconnus où les mauvais romanciers tentaient leur chance en ajoutant à la demi-page quotidienne de leur roman fleuve, quelques articles relevés pour attirer le chaland.
Les politiques d’alors usent et abusent de ces écrivailleurs pour annoncer leurs programmes salvateurs ou pour se plaire à dénoncer au peuple les agissements de leurs concurrents… et la publicité s’installe de plus en plus dans cette société orientée vers la consommation…
La naissance du journaliste d’État se stigmatise par « l’Affaire DREYFUS » où Georges CLEMENCEAU utilise avec une grande habileté le nom et la plume d’Émile ZOLA pour affirmer sa politique.
Le « J’accuse » d’Émile ZOLA restera le point zéro du journalisme politique qui se veut indispensable… et révélateur de la vérité ! Oups… Le journal « L’Aurore » tournait à 30.000 exemplaires quotidiens confinés sur Paris… La légende (que la presse a construite de toute pièce) veut que ce soit bien plus de 200.000 qui furent édités ce jour… Formidable information pour la France entière… pour le monde entier… Mais au-delà de la bonne bourgeoisie bien pensante anti dreyfusarde de la capitale, qui se souciait de tout cela ? (Notons que toujours à ce jour, les deux tiers des cartes de presses sont distribuées en région parisienne).
Comme pour « L’Appel du 18 juin 1940 »… il n’a été entendu que par une poignée de Français ! Ceux qui résistaient à l’envahisseur étaient plus sur le terrain qu’accrochés à la radio… et n’a pas beaucoup de ressemblances avec les « facsimilés » dont la presse nous offre la belle légende !
Au XX° siècle, c’est la guerre qui nourrit le journaliste… La radio prend sa place avec le couronnement des jeux de propagandes sacralisés par la phrase célèbre :
« Radio Paris
ment… Radio Paris ment…
Radio Paris est Allemand »…
Radio Paris est Allemand »…
De l’éloge du monde communiste et ses
désillusions à la montée du fascisme, du nazisme, du maccarthysme, aux discours
du Général de GAULLE — président en uniforme — comme avec ceux de Fidel CASTRO
ou des autres détenteurs de vérités politiques… L’important est que le peuple
comprenne où se trouvent les bons maîtres et qu’ils puissent fustiger les
méchants.
S’adonner au journalisme politique est aussi la solution originale pour de pseudo philosophes et de piètres écrivains qui trouveront même parfois de splendides raccourcis comme « le romanquête » qui n’est ni un roman, ni une enquête mais un mélange à la Bernard-Henri LEVY : ce n’est même pas une vérité, et ce n’est pas non plus historique… c’est pour faire de la vente !
C’est d’un vulgaire, tout cela !
Pour que vive le journalisme politique, il faut avoir sous la main des femmes et des hommes dociles, obéissants et suffisamment dévoués à la cause du jour.
Il faut surtout continuer à inonder le peuple d’images et de son… comme cela était de rigueur dans les pays du Pacte de Varsovie, avec les hauts parleurs dans les rues pour diffuser en continu la propagande.
Je me souviens…
Comme cela fut douloureux pour toute cette fange de moutons dociles au pouvoir régnant, cette « chasse aux sorcières » du mois de mai 1981, après la défaite de Valéry GISCARD d’ESTAING… Eh oui, à chaque changement politique, il y a son lot de charrettes !
François MITTERRAND n’avait pas le monopole de la dictature de la presse !
Parler d’indépendance dans la profession de journaliste c’est comme croire en la neutralité de la Suisse en cas de conflit… J'y vois plutôt l’occasion de s’enrichir sur le malheur du monde.
Ah, les grandes phrases du « droit à l’information », ou « c’est notre devoir de vous dire »… Oh, cette tragédie annuelle de la liste des journalistes tués ou prisonniers sur les lieux de guerre alors qu’ils filmaient pour notre vingt heures, les nations s’entre-déchirant…
Oui ! C’est formidable ce besoin des peuples à dîner en ingurgitant une habile construction nauséeuses d’informations sélectionnées et orchestrées avec art, par de mauvais acteurs au service d’un pouvoir !
Il est de bon ton de nous expliquer — grâce à ces hérauts armés de caméras — les « guerres dites justes » et celles qui ne sont pas rentables pour nos politiciens et leurs amis !
Le journalisme politique, c’est l'art de persuader, de déformer, et d’ouvrir à la consommation…
Au XXI° siècle, le journalisme ayant en plus perdu l’essentiel souhaité par Dick MAY, soit de bien jouer de la syntaxe sans faire trop de fautes d’orthographe… c’est devenu médiocre dans le fond, comme dans la forme !
Avant le couronnement de la télévision, la propagande en images faisait son show dans les salles de cinéma où l’on pouvait savourer les nouvelles autorisées, saupoudrées des publicités du jour…
Ah, comme le peuple est toujours aussi crédule…
Comme Patrick Le LAY a raison en parlant de :
S’adonner au journalisme politique est aussi la solution originale pour de pseudo philosophes et de piètres écrivains qui trouveront même parfois de splendides raccourcis comme « le romanquête » qui n’est ni un roman, ni une enquête mais un mélange à la Bernard-Henri LEVY : ce n’est même pas une vérité, et ce n’est pas non plus historique… c’est pour faire de la vente !
C’est d’un vulgaire, tout cela !
Pour que vive le journalisme politique, il faut avoir sous la main des femmes et des hommes dociles, obéissants et suffisamment dévoués à la cause du jour.
Il faut surtout continuer à inonder le peuple d’images et de son… comme cela était de rigueur dans les pays du Pacte de Varsovie, avec les hauts parleurs dans les rues pour diffuser en continu la propagande.
Je me souviens…
Comme cela fut douloureux pour toute cette fange de moutons dociles au pouvoir régnant, cette « chasse aux sorcières » du mois de mai 1981, après la défaite de Valéry GISCARD d’ESTAING… Eh oui, à chaque changement politique, il y a son lot de charrettes !
François MITTERRAND n’avait pas le monopole de la dictature de la presse !
Parler d’indépendance dans la profession de journaliste c’est comme croire en la neutralité de la Suisse en cas de conflit… J'y vois plutôt l’occasion de s’enrichir sur le malheur du monde.
Ah, les grandes phrases du « droit à l’information », ou « c’est notre devoir de vous dire »… Oh, cette tragédie annuelle de la liste des journalistes tués ou prisonniers sur les lieux de guerre alors qu’ils filmaient pour notre vingt heures, les nations s’entre-déchirant…
Oui ! C’est formidable ce besoin des peuples à dîner en ingurgitant une habile construction nauséeuses d’informations sélectionnées et orchestrées avec art, par de mauvais acteurs au service d’un pouvoir !
Il est de bon ton de nous expliquer — grâce à ces hérauts armés de caméras — les « guerres dites justes » et celles qui ne sont pas rentables pour nos politiciens et leurs amis !
Le journalisme politique, c’est l'art de persuader, de déformer, et d’ouvrir à la consommation…
Au XXI° siècle, le journalisme ayant en plus perdu l’essentiel souhaité par Dick MAY, soit de bien jouer de la syntaxe sans faire trop de fautes d’orthographe… c’est devenu médiocre dans le fond, comme dans la forme !
Avant le couronnement de la télévision, la propagande en images faisait son show dans les salles de cinéma où l’on pouvait savourer les nouvelles autorisées, saupoudrées des publicités du jour…
Ah, comme le peuple est toujours aussi crédule…
Comme Patrick Le LAY a raison en parlant de :
« Ce que nous
vendons à Coca-Cola®,
C’est du temps de cerveau humain disponible ».
C’est du temps de cerveau humain disponible ».
Au XXI° siècle, pour devenir Président d'une
République, la presse et les médias suffisent presque… avec beaucoup d'argent !
Avoir un de ses grands amis propriétaire d’une chaîne de TV aide beaucoup, surtout si d’autres détiennent de grandes parts d’actions dans la presse papier…
De tout temps, le journaliste politique est l’outil fort utile pour permettre la manipulation. Rappelons-nous l’importance des médias afin que l’illusion de Pearl Harbor convainc le peuple Américain d’aller combattre pour l’honneur de la patrie… alors qu’ils allaient mourir pour les industriels ! Oui, Anatole FRANCE l’avait déjà dit en 1920… et quant on découvre les impressionnants cimetières militaires géants, aux USA : ce ne sont pas des hommes enterrés, mais des dizaines de milliers d’avions abandonnés, payés par les con-tribuables, pour l’effort de guerre, et dont la plupart n’ont jamais été mis en service. Il y a aussi les cimetières de bombes, par millions de pièces à attendre la rouille pour disparaître ! Ah… c’est formidable d’imaginer de combien de milliards de dollars se sont enrichis les grands patrons des usines d’armement !
Les politiques font ce qu’ils veulent de l’Histoire, et de la justice grâce à la presse et aux autres médias.
Le film « La Banquière », avec Romy SCHNEIDER montre le talent des journalistes politiques… en lien avec la finance !
Celle ou celui qui dérange sera toujours condamné ou assassiné… et la justice — qui ne quitte jamais son bandeau bien plaqué sur les yeux — poursuit avec art depuis la nuit des temps ses procès iniques à la solde du pouvoir. Même le capitaine DREYFUS — réhabilité — reste une réelle victime de la presse politique et n’aura pas droit à la carrière à laquelle ses qualités le destinaient. Il fut jusque sa mort, l’objet des pouvoirs et pauvre pion d’une presse à scandale !
Comment accepter qu’un journaliste ou un juge arbore la Légion d’Honneur, hochet napoléonien donné pour une obéissance aveugle à des tyrans qui nous forcent à ce qu’un sang impur abreuve nos sillons ?
En citant une seconde fois Wikipédia : “Le 5 janvier 2009, les journalistes politiques Françoise FRESSOZ du journal Le Monde et Marie-Ève MALOUINES de la radio France Info ont annoncé refuser la décoration de la Légion d’Honneur : « Rien, dans mon parcours professionnel, ne justifie pareille distinction. Je pense en outre que, pour exercer librement sa fonction, un journaliste politique doit rester à l’écart des honneurs. Pour ces raisons, je me vois dans l’obligation de refuser cette distinction ». comme Jacques Tardi, dessinateur de bandes dessinées historiques et politiques qui refuse le 2 janvier 2013 sa nomination au grade de chevalier, affirmant vouloir « rester un homme libre et ne pas être pris en otage par quelque pouvoir que ce soit »”.
Nous constatons qu’il y a des hommes et des femmes libres dans notre monde.
J’en aime particulièrement certains qui m’ont édifié par leurs écrits…
René BARJAVEL était un être libre qui fustigeait avec art le monde journalistique, politique, religieux et militaire… Par nécessité alimentaire, il s’est prêté parfois à la petite presse, mais principalement dans la recherche critique et non dans la médiocrité. Il semble ne pas s’y être perdu. Un de ses meilleurs livres sur l’art de manipuler le peuple serait à mes yeux « Jour de feu », où dans les années 50 (1950) à Collioure, un certain Jésus se fait crucifier à l’issu d’un procès manipulé par la presse et le pouvoir bien en place !
René BARJAVEL est à considérer parmi les journalistes humanistes admirables ! Ses œuvres ont même une philosophie aux idées novatrices que je ne trouve pas chez les piètres sophistes du Café de Flore.
Je citerai aussi le seul journaliste — à ma connaissance — ayant osé dire « quelle horreur », à la tragédie d’Hiroshima… Tous les autres moutons serviles ont suivi joyeusement l’oncle Sam dans la poursuite de son génocide bienfaiteur ! Merci, oui, merci Monsieur Albert CAMUS. Vous étiez parmi celles et ceux qui savent écrire en liberté… vos descendants n’ont d’ailleurs pas cédé à la pression du pouvoir de Nicolas SARKOZY et de son collège politique de « bien-pensants », à vouloir vous enfermer dans ce sinistre Panthéon aux côtés de tous ces maréchaux de France, et autres faiseurs de morts, que vous avez su critiquer avec art !
Notre monde aura toujours son lot de médiocres — finalement dangereux — passionnés d’informations exceptionnelles…
Attention donc, un journaliste cache bien souvent un tueur en série !
Réjouissons-nous lorsque nous pouvons éviter de tomber dans le piège des rumeurs, chuchotements, brèves de prétoires ou de comptoirs… les scoops et les infos de dernières minutes, les grandes nouvelles et les drames orchestrés par nos médiocratures et ceux qui nous gouvernent… parce que nous leurs avons donné — par le biais des urnes — les pleins pouvoirs !
Oui au plaisir d’écrire en liberté.
Bravo à celles et ceux qui osent encore nous informer, nous édifier ou nous inciter à la colère en mettant les valeurs humanistes comme raison d'être !
Être journaliste politique au service d’un État, ou du parti adverse qui attend son tour, finalement, ce n’est pas exercer un métier… c’est se prendre pour un demi-dieu… et jouer à l’apprenti sorcier !
Le journaliste politique me fait penser au rôle du prisonnier d’un camp à qui les gardes donnent un simulacre de pouvoir en tant que kapo et qui devient alors lui-même un tyran pour ses frères de misère afin d’espérer la reconnaissance et la complaisance de ses bourreaux…
Avoir un de ses grands amis propriétaire d’une chaîne de TV aide beaucoup, surtout si d’autres détiennent de grandes parts d’actions dans la presse papier…
De tout temps, le journaliste politique est l’outil fort utile pour permettre la manipulation. Rappelons-nous l’importance des médias afin que l’illusion de Pearl Harbor convainc le peuple Américain d’aller combattre pour l’honneur de la patrie… alors qu’ils allaient mourir pour les industriels ! Oui, Anatole FRANCE l’avait déjà dit en 1920… et quant on découvre les impressionnants cimetières militaires géants, aux USA : ce ne sont pas des hommes enterrés, mais des dizaines de milliers d’avions abandonnés, payés par les con-tribuables, pour l’effort de guerre, et dont la plupart n’ont jamais été mis en service. Il y a aussi les cimetières de bombes, par millions de pièces à attendre la rouille pour disparaître ! Ah… c’est formidable d’imaginer de combien de milliards de dollars se sont enrichis les grands patrons des usines d’armement !
Les politiques font ce qu’ils veulent de l’Histoire, et de la justice grâce à la presse et aux autres médias.
Le film « La Banquière », avec Romy SCHNEIDER montre le talent des journalistes politiques… en lien avec la finance !
Celle ou celui qui dérange sera toujours condamné ou assassiné… et la justice — qui ne quitte jamais son bandeau bien plaqué sur les yeux — poursuit avec art depuis la nuit des temps ses procès iniques à la solde du pouvoir. Même le capitaine DREYFUS — réhabilité — reste une réelle victime de la presse politique et n’aura pas droit à la carrière à laquelle ses qualités le destinaient. Il fut jusque sa mort, l’objet des pouvoirs et pauvre pion d’une presse à scandale !
Comment accepter qu’un journaliste ou un juge arbore la Légion d’Honneur, hochet napoléonien donné pour une obéissance aveugle à des tyrans qui nous forcent à ce qu’un sang impur abreuve nos sillons ?
En citant une seconde fois Wikipédia : “Le 5 janvier 2009, les journalistes politiques Françoise FRESSOZ du journal Le Monde et Marie-Ève MALOUINES de la radio France Info ont annoncé refuser la décoration de la Légion d’Honneur : « Rien, dans mon parcours professionnel, ne justifie pareille distinction. Je pense en outre que, pour exercer librement sa fonction, un journaliste politique doit rester à l’écart des honneurs. Pour ces raisons, je me vois dans l’obligation de refuser cette distinction ». comme Jacques Tardi, dessinateur de bandes dessinées historiques et politiques qui refuse le 2 janvier 2013 sa nomination au grade de chevalier, affirmant vouloir « rester un homme libre et ne pas être pris en otage par quelque pouvoir que ce soit »”.
Nous constatons qu’il y a des hommes et des femmes libres dans notre monde.
J’en aime particulièrement certains qui m’ont édifié par leurs écrits…
René BARJAVEL était un être libre qui fustigeait avec art le monde journalistique, politique, religieux et militaire… Par nécessité alimentaire, il s’est prêté parfois à la petite presse, mais principalement dans la recherche critique et non dans la médiocrité. Il semble ne pas s’y être perdu. Un de ses meilleurs livres sur l’art de manipuler le peuple serait à mes yeux « Jour de feu », où dans les années 50 (1950) à Collioure, un certain Jésus se fait crucifier à l’issu d’un procès manipulé par la presse et le pouvoir bien en place !
René BARJAVEL est à considérer parmi les journalistes humanistes admirables ! Ses œuvres ont même une philosophie aux idées novatrices que je ne trouve pas chez les piètres sophistes du Café de Flore.
Je citerai aussi le seul journaliste — à ma connaissance — ayant osé dire « quelle horreur », à la tragédie d’Hiroshima… Tous les autres moutons serviles ont suivi joyeusement l’oncle Sam dans la poursuite de son génocide bienfaiteur ! Merci, oui, merci Monsieur Albert CAMUS. Vous étiez parmi celles et ceux qui savent écrire en liberté… vos descendants n’ont d’ailleurs pas cédé à la pression du pouvoir de Nicolas SARKOZY et de son collège politique de « bien-pensants », à vouloir vous enfermer dans ce sinistre Panthéon aux côtés de tous ces maréchaux de France, et autres faiseurs de morts, que vous avez su critiquer avec art !
Notre monde aura toujours son lot de médiocres — finalement dangereux — passionnés d’informations exceptionnelles…
Attention donc, un journaliste cache bien souvent un tueur en série !
Réjouissons-nous lorsque nous pouvons éviter de tomber dans le piège des rumeurs, chuchotements, brèves de prétoires ou de comptoirs… les scoops et les infos de dernières minutes, les grandes nouvelles et les drames orchestrés par nos médiocratures et ceux qui nous gouvernent… parce que nous leurs avons donné — par le biais des urnes — les pleins pouvoirs !
Oui au plaisir d’écrire en liberté.
Bravo à celles et ceux qui osent encore nous informer, nous édifier ou nous inciter à la colère en mettant les valeurs humanistes comme raison d'être !
Être journaliste politique au service d’un État, ou du parti adverse qui attend son tour, finalement, ce n’est pas exercer un métier… c’est se prendre pour un demi-dieu… et jouer à l’apprenti sorcier !
Le journaliste politique me fait penser au rôle du prisonnier d’un camp à qui les gardes donnent un simulacre de pouvoir en tant que kapo et qui devient alors lui-même un tyran pour ses frères de misère afin d’espérer la reconnaissance et la complaisance de ses bourreaux…
Luttons contre toute forme d’enfermement
Et préparons-nous à construire l’évolution.
Je crois en l’humain…
Et préparons-nous à construire l’évolution.
Je crois en l’humain…
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Je dédie cet article à ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, journaliste professionnel spécialiste
des salles des pas perdus des tribunaux de Montpellier. C’est un symbole :
le porte parole de celles et ceux qui n’ont même pas vu l’homme qui a vu
l’homme qui dit avoir vu l’ours… et qui a tellement peur de ses maîtres, qu’il
en écrit des articles nauséeux.
Oui, merci encore à ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, pour m'avoir — par l'exemple — démontré ce qui se faisait de plus désespérant dans l'art d'écrire pour gagner de quoi survivre, sans avoir aucune valeur humaine…
Pour découvrir davantage sur l'œuvre de ce journaliste passionné dans les brèves de prétoire, même lorsqu'il n'y est pas… allez sur le site qui en fait l'éloge pour y lire : trois articles de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même en relecture et bien entendu commentés… par le pirate des mots, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Vous découvrirez ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même peut être sacré "maître étalon" du journalisme désespérant (cité quatre fois, c’est bon pour les moteurs de recherche, lors des référencements automatiques ) !
Oui, merci encore à ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, pour m'avoir — par l'exemple — démontré ce qui se faisait de plus désespérant dans l'art d'écrire pour gagner de quoi survivre, sans avoir aucune valeur humaine…
Pour découvrir davantage sur l'œuvre de ce journaliste passionné dans les brèves de prétoire, même lorsqu'il n'y est pas… allez sur le site qui en fait l'éloge pour y lire : trois articles de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même en relecture et bien entendu commentés… par le pirate des mots, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Vous découvrirez ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même peut être sacré "maître étalon" du journalisme désespérant (cité quatre fois, c’est bon pour les moteurs de recherche, lors des référencements automatiques ) !
Article réalisé par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe… Tous droits réservés ©…
Si le nom de l'auteur apparait souvent, c'est afin de satisfaire les moteurs de recherche…