Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots
et Philanalyste en herbe
vous propose en ligne
L'affaire du papyrus berbère
seconde partie :
Julien
Chapitre premier :
Jeu de presse…
un récit initiatique
chapitre par chapitre…
à découvrir chaque semaine
ou dans sa continuité, selon l'espace-temps !
Pirate des mots
et Philanalyste en herbe
vous propose en ligne
L'affaire du papyrus berbère
seconde partie :
Julien
Chapitre premier :
Jeu de presse…
un récit initiatique
chapitre par chapitre…
à découvrir chaque semaine
ou dans sa continuité, selon l'espace-temps !
Un récit
autour et au-delà
du Cycle de l’Austrel :
Le Cycle de Thulé
Épisode 1
L’affaire
du papyrus berbère
Les amours
d’un autre monde
première partie
© Saint-Aël 2019
Traduit de l’américain
par Olam Salomon P.
Seconde version supervisée
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
Pirate des mots et philanalyste en herbe.
à Montpellier, mmxix.
Imprimé pour le plaisir,
aux dépens de l'auteur,
sans l'approbation, ni les privilèges…
de ceux qui pensent être dépositaires
de la vérité et, donc, des pouvoirs…
D’après HÉRACLITE,
En relecture libérée de toute gravité :
« La dispute est mère de toute rencontre et de toute création »
Si vous avez manqué le début du récit,
d'un clic allez au prologue : La Maison des Légendes
Ou alors …
Voici la
d'un clic allez au prologue : La Maison des Légendes
Ou alors …
Voici la
Seconde partie :
Julien
I. 10
S'il est une chose dont on dise :
Vois ceci, c'est nouveau !
cette chose existait déjà
dans les siècles qui nous ont précédés.
Extrait de L’Ecclésiaste, ou Qohelet
S'il est une chose dont on dise :
Vois ceci, c'est nouveau !
cette chose existait déjà
dans les siècles qui nous ont précédés.
Extrait de L’Ecclésiaste, ou Qohelet
Chapitre premier
Jeu de presse…
Trois semaines se sont écoulées depuis leur retour en France, largement médiatisé.
À la télévision, à la radio, comme sur le papier, la presse a répandu suffisamment que le monde entier se moquait du papyrus.
Gag, canular bien monté, arnaque : les médias, en bonne entente avec le système économique, en rajoutent parfois. Pour les autorités civiles et religieuses, l’affaire dite du papyrus berbère est close…
Cela semblerait arranger finalement « tout le monde », que le papyrus soit un « faux ».
Hors les organes officiels, d’autres courants se développent, notamment sur la toile : c’est sûr, l’alphabet poissons est véridique ; son usage devrait permettre de comprendre l’écriture d’une langue originale, encore inconnue… ou peut-être oubliée ?
Les similitudes de signes — comparés à ceux des différentes langues berbères subsistantes — sont intéressantes. Cela réveille de l’intérêt pour beaucoup de jeunes du Maghreb, en exode à travers le monde.
Certains sont fort désireux de retrouver quelques racines pouvant réveiller une histoire, un passé perdu, effacé des mémoires par le temps et la misère des colonisations guerrières et religieuses.
Les mots parlent de nouveau sans tricher : les Berbères ne seraient pas des barbares, mais des civilisés porteurs d’une écriture, donc d’une culture à retrouver !
Le refus du test au carbone14, par les chercheurs habilités du royaume du Maroc, conforte davantage la théorie du complot.
Alors, alors…
Pour les plus fanatiques, tout est envisageable : le papyrus a-t-il été réalisé par des extra-terrestres, des aliens ?
Date-t-il d’avant hier ? Ou serait-il ancien de dix mille ans, voire de cent mille ans d’âge ?
Les auteurs seraient bien entendu plus civilisés que nous, venus sur la Terre afin de nous transmettre un message de paix !
Selon les plus optimistes… c’est une lettre d’amour et de révélations primordiales, s’adressant à notre civilisation décadente, pour nous prévenir, nous mettre en garde, car nous détruisons progressivement la planète avec nos cultures intensives, la pollution et nos guerres !
Nous avons bien envoyé une sonde Pioneer en 1972, sur laquelle était fixée une plaque gravée, relatant des informations positives sur notre monde ! Pourquoi d’autres mondes n’auraient-ils pas fait de même ?
Beaucoup, beaucoup de spéculations sur ce texte.
Il y a un courant dominant parmi celles et ceux qui sont assurés de sa véracité : ce serait le dernier vestige d’une civilisation très ancienne, peut-être issue de l’Atlantide… puisque le papyrus fut trouvé dans le Haut Atlas !
Atlas et Atlantide ?
Mêmes origines autour d’une légende ?
Les propositions d’idées, plus ou moins farfelues, vont bon train…
Systématiquement, celles sur les mystérieuses civilisations disparues — qui plaisent au public — sont rejetées par les institutions religieuses et politiques.
Il n’est pas bon de rappeler les histoires de conquêtes oubliées. Les velléités d’unité chez des peuples soumis peuvent réveiller des désirs de liberté, d’indépendance à toute tyrannie.
La découverte du papyrus est un mystère qui pourrait perturber l’équilibre des pouvoirs.
S’il n’est pas rapidement traduit et compris, son intérêt va se perdre très vite dans les légendes ou autres mystifications. En effet, si beaucoup en parlent, de l’alphabet poissons, personne pourtant n’arrive à trouver les moindres clefs, prémices annonciatrices qui amorceraient la traduction de ces vingt mètres d’écriture.
Yidir et Nancy se montrent fort discrets, tant auprès des amis que des réseaux. Ils évitent les communications complexes ou trop précises sur le sujet avec Tomas : tout contact étant probablement filtré. Ce dernier, pour sa part, comme à son habitude, ose le buzz par une multitude de disputes sur la toile et dans des lieux de rencontres libres, comme au « café philo », institution qui perdure depuis près de trente ans dans sa chère ville de Montpellier.
Tomas préfère donner aux voyeurs de la presse qu’il déteste — les kapos du système, selon ses dires — un maximum d’informations sans grand intérêt, bien visibles et accessibles, afin de ne pas laisser la place aux rumeurs, comme il en a déjà été la victime.
Afin de garder un formidable secret que le monde ne saurait respecter et surtout considérer, il faut le gaver de banal et de médiocre…
De la confiture pour les cochons ?
Non.
Des épluchures suffisent à les satisfaire. Repus, ils ne grognent plus…
Au milieu de la masse de gens qui sont heureux, voire béats dans le troupeau, il y a certainement des individus hors normalités — les IHN comme il aime les nommer — qui attendent le contact, pour offrir leurs talents et relancer l’aventure.
Tomas aime les questions ouvertes…
Il abhorre les réponses fermées, certitudes étatiques et religieuses.
Il tente donc de se positionner en naïf, en candide, afin d’espérer voir quelques pistes s’amorcer sur le sens de l’écriture à l’alphabet poissons, sans rien révéler de plus que ce qui fut dit aux autorités : ce serait trop dangereux.
De tous ces groupes d’amis qui parfois se combinent — tant ses passions sont multiples — certains se démarquent en se voulant davantage dans la confidence. Désireux de l’aider, quasi tous sont alors persuadés de la véracité de son histoire vécue avec Nancy et Yidir.
Naouel et Badr voient dans cette aventure la réalité de leurs origines berbères et militent auprès des autorités algériennes et marocaines pour que soient reconnues leurs spécificités culturelles. Ils sont dans toutes les pétitions pour le droit à l’étude du papyrus.
Pierre Louis — toujours fidèle depuis Rabelais — est l’un des plus fascinés par l’alphabet poissons. Il a déjà passé de longues heures à chercher quelques sources de codages… et espère trouver des explications qu’il communique surtout à Basile, son plus jeune frère, encore étudiant.
Ce dernier, très proche de Tomas, avec lequel il joue — tant autour d’une table que dans la salle de squash — a créé La Guilde du Papyrus, et se réunit quasi quotidiennement avec son colocataire de frère et trois autres amis, afin de rendre compte des avancées.
Au-delà de ses recherches, il ne veut pas en démordre : Tomas lui cache quelque chose : la surveillance policière, ses ennuis avec la justice qui semblent continuer… la visite courtoise d’un inspecteur lors de son absence… il doit y avoir un lien avec l’aventure au Maroc.
Ils sont nombreux, dans l’entourage de Tomas, celles et ceux désireux de le voir dévoiler des secrets.
Comment s’entraider, sans risque pour quiconque ?
Ah ! Parler des cylindres, du second papyrus ?
C’est inimaginable.
Cependant, il y a le fragment découpé.
Même Nancy et Yidir ne sont pas dans la confidence, afin de les protéger au mieux de sa folie.
Alors, il faut attendre… attendre qu’il puisse être validé par le CNRS…
Après, qu’il ait mille, dix mille ou cent mille ans… qu’il soit de notre monde ou d’un autre : une annonce osée officiellement ; et ainsi reprendre davantage le buzz avec tous les fidèles nourris de nouvelles informations de choc, sans les mettre en péril.
Toujours l’attente insupportable de confronter son trésor aux tests du carbone14.
Tomas sait qu’il ne peut pas risquer, sans se couvrir d’une certaine assurance, de dévoiler ce fragment. Il faut l’utiliser le plus judicieusement possible.
Il n’a pas droit à l’erreur.
Les autorités tenteront évidemment de le saisir.
D’autres ennuis s’ajouteront certainement, et surtout, si le papyrus est confisqué : plus de preuve matérielle !
L’histoire entrerait alors définitivement dans la légende.
Si Pierre Louis, ou d’autres comme Basile, tous aussi virulents, en apprenaient davantage, cela pourrait être dangereux pour eux, tant ils sont passionnés par le mystère. Basile est d’ailleurs dans la création d’un nouveau jeu, axé sur le monde de Sumer. Il est convaincu que l’alphabet poissons est le déclencheur des prémices de révélations prochaines sur d’autres mondes… des civilisations disparues !
Pour le moment, une vérité officielle est rapportée régulièrement dans des reportages et des shows télévisés d’informations continues, par les meilleurs experts du jour et autres grands spécialistes de la cause : l’Atlantide et autre Lémurie ne sont que des mythes…
Les philosophes mondains, ainsi que les sociologues experts en tout, habilités à parler au peuple, s’en mêlent pour nier, voire ridiculiser cette idée d’une île engloutie, dont fait référence Platon dans le Timée et le Critias !
Enfin, certains — tous fanatiques — généralement non autorisés à s’exprimer dans les médias de grand public, parlent de cette affaire du papyrus berbère, close si rapidement, comme d’un complot international.
Ce serait encore un mensonge d’État créé pour étouffer une fantastique découverte !
Roswell, à nouveau, est cité…
Luc Besson pense aux droits d’auteur pour un film…
À la télévision, à la radio, comme sur le papier, la presse a répandu suffisamment que le monde entier se moquait du papyrus.
Gag, canular bien monté, arnaque : les médias, en bonne entente avec le système économique, en rajoutent parfois. Pour les autorités civiles et religieuses, l’affaire dite du papyrus berbère est close…
Cela semblerait arranger finalement « tout le monde », que le papyrus soit un « faux ».
Hors les organes officiels, d’autres courants se développent, notamment sur la toile : c’est sûr, l’alphabet poissons est véridique ; son usage devrait permettre de comprendre l’écriture d’une langue originale, encore inconnue… ou peut-être oubliée ?
Les similitudes de signes — comparés à ceux des différentes langues berbères subsistantes — sont intéressantes. Cela réveille de l’intérêt pour beaucoup de jeunes du Maghreb, en exode à travers le monde.
Certains sont fort désireux de retrouver quelques racines pouvant réveiller une histoire, un passé perdu, effacé des mémoires par le temps et la misère des colonisations guerrières et religieuses.
Les mots parlent de nouveau sans tricher : les Berbères ne seraient pas des barbares, mais des civilisés porteurs d’une écriture, donc d’une culture à retrouver !
Le refus du test au carbone14, par les chercheurs habilités du royaume du Maroc, conforte davantage la théorie du complot.
Alors, alors…
Pour les plus fanatiques, tout est envisageable : le papyrus a-t-il été réalisé par des extra-terrestres, des aliens ?
Date-t-il d’avant hier ? Ou serait-il ancien de dix mille ans, voire de cent mille ans d’âge ?
Les auteurs seraient bien entendu plus civilisés que nous, venus sur la Terre afin de nous transmettre un message de paix !
Selon les plus optimistes… c’est une lettre d’amour et de révélations primordiales, s’adressant à notre civilisation décadente, pour nous prévenir, nous mettre en garde, car nous détruisons progressivement la planète avec nos cultures intensives, la pollution et nos guerres !
Nous avons bien envoyé une sonde Pioneer en 1972, sur laquelle était fixée une plaque gravée, relatant des informations positives sur notre monde ! Pourquoi d’autres mondes n’auraient-ils pas fait de même ?
Beaucoup, beaucoup de spéculations sur ce texte.
Il y a un courant dominant parmi celles et ceux qui sont assurés de sa véracité : ce serait le dernier vestige d’une civilisation très ancienne, peut-être issue de l’Atlantide… puisque le papyrus fut trouvé dans le Haut Atlas !
Atlas et Atlantide ?
Mêmes origines autour d’une légende ?
Les propositions d’idées, plus ou moins farfelues, vont bon train…
Systématiquement, celles sur les mystérieuses civilisations disparues — qui plaisent au public — sont rejetées par les institutions religieuses et politiques.
Il n’est pas bon de rappeler les histoires de conquêtes oubliées. Les velléités d’unité chez des peuples soumis peuvent réveiller des désirs de liberté, d’indépendance à toute tyrannie.
La découverte du papyrus est un mystère qui pourrait perturber l’équilibre des pouvoirs.
S’il n’est pas rapidement traduit et compris, son intérêt va se perdre très vite dans les légendes ou autres mystifications. En effet, si beaucoup en parlent, de l’alphabet poissons, personne pourtant n’arrive à trouver les moindres clefs, prémices annonciatrices qui amorceraient la traduction de ces vingt mètres d’écriture.
Yidir et Nancy se montrent fort discrets, tant auprès des amis que des réseaux. Ils évitent les communications complexes ou trop précises sur le sujet avec Tomas : tout contact étant probablement filtré. Ce dernier, pour sa part, comme à son habitude, ose le buzz par une multitude de disputes sur la toile et dans des lieux de rencontres libres, comme au « café philo », institution qui perdure depuis près de trente ans dans sa chère ville de Montpellier.
Tomas préfère donner aux voyeurs de la presse qu’il déteste — les kapos du système, selon ses dires — un maximum d’informations sans grand intérêt, bien visibles et accessibles, afin de ne pas laisser la place aux rumeurs, comme il en a déjà été la victime.
Afin de garder un formidable secret que le monde ne saurait respecter et surtout considérer, il faut le gaver de banal et de médiocre…
De la confiture pour les cochons ?
Non.
Des épluchures suffisent à les satisfaire. Repus, ils ne grognent plus…
Au milieu de la masse de gens qui sont heureux, voire béats dans le troupeau, il y a certainement des individus hors normalités — les IHN comme il aime les nommer — qui attendent le contact, pour offrir leurs talents et relancer l’aventure.
Tomas aime les questions ouvertes…
Il abhorre les réponses fermées, certitudes étatiques et religieuses.
Il tente donc de se positionner en naïf, en candide, afin d’espérer voir quelques pistes s’amorcer sur le sens de l’écriture à l’alphabet poissons, sans rien révéler de plus que ce qui fut dit aux autorités : ce serait trop dangereux.
De tous ces groupes d’amis qui parfois se combinent — tant ses passions sont multiples — certains se démarquent en se voulant davantage dans la confidence. Désireux de l’aider, quasi tous sont alors persuadés de la véracité de son histoire vécue avec Nancy et Yidir.
Naouel et Badr voient dans cette aventure la réalité de leurs origines berbères et militent auprès des autorités algériennes et marocaines pour que soient reconnues leurs spécificités culturelles. Ils sont dans toutes les pétitions pour le droit à l’étude du papyrus.
Pierre Louis — toujours fidèle depuis Rabelais — est l’un des plus fascinés par l’alphabet poissons. Il a déjà passé de longues heures à chercher quelques sources de codages… et espère trouver des explications qu’il communique surtout à Basile, son plus jeune frère, encore étudiant.
Ce dernier, très proche de Tomas, avec lequel il joue — tant autour d’une table que dans la salle de squash — a créé La Guilde du Papyrus, et se réunit quasi quotidiennement avec son colocataire de frère et trois autres amis, afin de rendre compte des avancées.
Au-delà de ses recherches, il ne veut pas en démordre : Tomas lui cache quelque chose : la surveillance policière, ses ennuis avec la justice qui semblent continuer… la visite courtoise d’un inspecteur lors de son absence… il doit y avoir un lien avec l’aventure au Maroc.
Ils sont nombreux, dans l’entourage de Tomas, celles et ceux désireux de le voir dévoiler des secrets.
Comment s’entraider, sans risque pour quiconque ?
Ah ! Parler des cylindres, du second papyrus ?
C’est inimaginable.
Cependant, il y a le fragment découpé.
Même Nancy et Yidir ne sont pas dans la confidence, afin de les protéger au mieux de sa folie.
Alors, il faut attendre… attendre qu’il puisse être validé par le CNRS…
Après, qu’il ait mille, dix mille ou cent mille ans… qu’il soit de notre monde ou d’un autre : une annonce osée officiellement ; et ainsi reprendre davantage le buzz avec tous les fidèles nourris de nouvelles informations de choc, sans les mettre en péril.
Toujours l’attente insupportable de confronter son trésor aux tests du carbone14.
Tomas sait qu’il ne peut pas risquer, sans se couvrir d’une certaine assurance, de dévoiler ce fragment. Il faut l’utiliser le plus judicieusement possible.
Il n’a pas droit à l’erreur.
Les autorités tenteront évidemment de le saisir.
D’autres ennuis s’ajouteront certainement, et surtout, si le papyrus est confisqué : plus de preuve matérielle !
L’histoire entrerait alors définitivement dans la légende.
Si Pierre Louis, ou d’autres comme Basile, tous aussi virulents, en apprenaient davantage, cela pourrait être dangereux pour eux, tant ils sont passionnés par le mystère. Basile est d’ailleurs dans la création d’un nouveau jeu, axé sur le monde de Sumer. Il est convaincu que l’alphabet poissons est le déclencheur des prémices de révélations prochaines sur d’autres mondes… des civilisations disparues !
Pour le moment, une vérité officielle est rapportée régulièrement dans des reportages et des shows télévisés d’informations continues, par les meilleurs experts du jour et autres grands spécialistes de la cause : l’Atlantide et autre Lémurie ne sont que des mythes…
Les philosophes mondains, ainsi que les sociologues experts en tout, habilités à parler au peuple, s’en mêlent pour nier, voire ridiculiser cette idée d’une île engloutie, dont fait référence Platon dans le Timée et le Critias !
Enfin, certains — tous fanatiques — généralement non autorisés à s’exprimer dans les médias de grand public, parlent de cette affaire du papyrus berbère, close si rapidement, comme d’un complot international.
Ce serait encore un mensonge d’État créé pour étouffer une fantastique découverte !
Roswell, à nouveau, est cité…
Luc Besson pense aux droits d’auteur pour un film…
La vérité est ailleurs…
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Être lu sense la vie de l'écrivain.
Merci.
pour me contacter : yvesdefrancqueville@yahoo.fr
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L'affaire du papyrus berbère est un récit initiatique, première partie des Amours d'un autre monde, épisode 1 du Cycle de Thulé des écrits de Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.
tous droits réservés ©.
Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui accueille la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur Yves Philippe de Francqueville apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
tous droits réservés ©.
Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui accueille la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur Yves Philippe de Francqueville apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
Vous avez lu le premier chapitre :
Jeu de presse…
de la seconde partie
Julien
du livre
L'affaire du papyrus berbère
écrit par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.
Jeu de presse…
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Julien
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écrit par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.