Yves de FRANCQUEVILLE
pirate des mots et philanalyste en herbe,
présente dans :
Propos libres sans gravité
quelques sujets autour de la santé…
Sous un autre regard !
pirate des mots et philanalyste en herbe,
présente dans :
Propos libres sans gravité
quelques sujets autour de la santé…
Sous un autre regard !
Introduction
pour
présenter
des articles
autour de la santé…
et du bien vivre… ensemble !
Cette présentation commence par une ode à celles et ceux qui voient
dans l’humain — quel qu’il soit, d’où qu’il soit — un être aimable, à protéger
ou à secourir, à consoler ou à soigner. Je rends donc hommage à toutes et tous,
qui sont dans cette démarche constructrice, en fonction de leurs disponibilités
et bien entendu, de leurs compétences…
Il n’y a pas de hiérarchie dans l’univers terrible de la douleur… et chaque personne au service de l’autre en souffrance, est importante. Toutes celles et ceux qui œuvrent pour le bien-être de l’humain sont à considérer, sans oublier les préposés aux tâches les plus humbles dans les hôpitaux, les cliniques, les maisons de retraites et autres lieux où la vie est en danger.
Il y a bien des livres et des articles, des récompenses et des témoignages pour nous faire rêver de personnes formidables décrivant le monde idéal de la santé. Il est même rassurant de pouvoir parfois nous regrouper autour de quelques figures humanistes pouvant servir de guides, comme le docteur Bernard RIEUX, dans « La Peste » d’Albert CAMUS…
Oui, le monde de la santé est très vaste… il ne se résume pas à la médecine…
Et tout n’est pas joyeux dans cet univers complexe et multiple…
Je ne suis pas médecin… et cependant, j’ose parler de la santé !
Oui, je suis devenu, au fil de mes rencontres et de mon apprentissage, un humaniste passionné, chercheur du sens de la vie. Mes travaux ont apporté beaucoup de questionnements, et même des découvertes.
Est-il possible d’en développer quelques-unes autour de propos libres sans gravité ?
C’est ce que je vais tenter de réaliser avec ce site.
Des lois de plus en plus restrictives enferment le droit à la santé et au bien-être sous le joug d’institutions étatiques ou religieuses, porteuses de la vérité. Alors se sont créées depuis près de soixante dix ans, de plus en plus de formations diplômantes qui rejettent parfois le sens commun, le bon sens, la bonne fame… au profit de certitudes d’un instant, validées par des autorités souvent installées par la force, le silence et l’indifférence, ou par la ruse… C’est le principe du « vide juridique », qui est comblé par une obligation entraînant un intérêt économique ou politique, sous couvert de protection, de sécurité, voire de « risque zéro ». À force de nous inviter à avoir peur des sectes, on nous impose une vie carcérale qui n’est pas celle que nous souhaitons sans qu’il y ait de sédition publique ! L’humain est toujours plus sollicité — pour son bonheur — à se soumettre volontairement, et il obéit !
Les métiers d’Art disparaissent au profit de charges de services au rabais qui ne valorisent pas la personne, et l’économie s’intéresse uniquement à la consommation à outrance, parfois même forcée, source de profit pour une minorité parasite qui s’ennuie. Et la surproduction de médiocre demande toujours plus d’esclaves travaillant à la chaîne et/ou enchaînés… qu’ils soient de chez nous ou d’ailleurs. Notre pays déborde de réglementations exigeant des dépenses pour notre soi-disant bien-être, et chaque année de nouvelles idées germent chez nos politiques avides de s’enrichir ou d’aider les entreprises des amis ou de la famille : de l’alarme pour piscine aux éthylotests… en passant par le gilet jaune ou le détecteur de fumée, le vaccin préventif ou le devoir de manger comme il se doit, cinq fruits ou légumes par jour et même trois produits laitiers et tant d’autres conseils d’orthodontie, ou de préventions diverses devenant au final obligatoire ; nous devons nous soumettre, nous devons consommer, nous devons obéir. Tout arrive à point pour nous empêcher de mourir… ou pour nous protéger de la vie ? Et demain nous seront invités à faire la guerre, aller tuer et se faire tuer, toujours pour la bonne cause !
Oscar WILDE avait eu la vision prophétique de voir que du XX° siècle nous ne retiendrions de bon que l’apparition du « confort » :
Il n’y a pas de hiérarchie dans l’univers terrible de la douleur… et chaque personne au service de l’autre en souffrance, est importante. Toutes celles et ceux qui œuvrent pour le bien-être de l’humain sont à considérer, sans oublier les préposés aux tâches les plus humbles dans les hôpitaux, les cliniques, les maisons de retraites et autres lieux où la vie est en danger.
Il y a bien des livres et des articles, des récompenses et des témoignages pour nous faire rêver de personnes formidables décrivant le monde idéal de la santé. Il est même rassurant de pouvoir parfois nous regrouper autour de quelques figures humanistes pouvant servir de guides, comme le docteur Bernard RIEUX, dans « La Peste » d’Albert CAMUS…
Oui, le monde de la santé est très vaste… il ne se résume pas à la médecine…
Et tout n’est pas joyeux dans cet univers complexe et multiple…
Je ne suis pas médecin… et cependant, j’ose parler de la santé !
Oui, je suis devenu, au fil de mes rencontres et de mon apprentissage, un humaniste passionné, chercheur du sens de la vie. Mes travaux ont apporté beaucoup de questionnements, et même des découvertes.
Est-il possible d’en développer quelques-unes autour de propos libres sans gravité ?
C’est ce que je vais tenter de réaliser avec ce site.
Des lois de plus en plus restrictives enferment le droit à la santé et au bien-être sous le joug d’institutions étatiques ou religieuses, porteuses de la vérité. Alors se sont créées depuis près de soixante dix ans, de plus en plus de formations diplômantes qui rejettent parfois le sens commun, le bon sens, la bonne fame… au profit de certitudes d’un instant, validées par des autorités souvent installées par la force, le silence et l’indifférence, ou par la ruse… C’est le principe du « vide juridique », qui est comblé par une obligation entraînant un intérêt économique ou politique, sous couvert de protection, de sécurité, voire de « risque zéro ». À force de nous inviter à avoir peur des sectes, on nous impose une vie carcérale qui n’est pas celle que nous souhaitons sans qu’il y ait de sédition publique ! L’humain est toujours plus sollicité — pour son bonheur — à se soumettre volontairement, et il obéit !
Les métiers d’Art disparaissent au profit de charges de services au rabais qui ne valorisent pas la personne, et l’économie s’intéresse uniquement à la consommation à outrance, parfois même forcée, source de profit pour une minorité parasite qui s’ennuie. Et la surproduction de médiocre demande toujours plus d’esclaves travaillant à la chaîne et/ou enchaînés… qu’ils soient de chez nous ou d’ailleurs. Notre pays déborde de réglementations exigeant des dépenses pour notre soi-disant bien-être, et chaque année de nouvelles idées germent chez nos politiques avides de s’enrichir ou d’aider les entreprises des amis ou de la famille : de l’alarme pour piscine aux éthylotests… en passant par le gilet jaune ou le détecteur de fumée, le vaccin préventif ou le devoir de manger comme il se doit, cinq fruits ou légumes par jour et même trois produits laitiers et tant d’autres conseils d’orthodontie, ou de préventions diverses devenant au final obligatoire ; nous devons nous soumettre, nous devons consommer, nous devons obéir. Tout arrive à point pour nous empêcher de mourir… ou pour nous protéger de la vie ? Et demain nous seront invités à faire la guerre, aller tuer et se faire tuer, toujours pour la bonne cause !
Oscar WILDE avait eu la vision prophétique de voir que du XX° siècle nous ne retiendrions de bon que l’apparition du « confort » :
« Le confort est la seule chose que notre
civilisation puisse nous donner ».
Pour le XXI° siècle, c’est la « médiocritude », développée pour
le dieu de la surconsommation qui semble être le leitmotiv de notre
civilisation de cons-somateurs.
Et la santé dans tout
cela ?
Elle s’enferme…
La santé doit-elle être prisonnière du monde industrio-médical ?
Les médecins ont-ils le monopole du bien-être ?
La médecine est un métier comme un autre… avec ses bons docteurs et d’autres plutôt dangereux, au service d’une cause. Il est possible parfois de tenir tête à un homme seul… lorsque nous sommes dans le doute, face à une vérité entraînant des démarches que nous pourrions juger néfastes à notre santé. Mais s’ils sont plusieurs, et s’ils se regroupent, cela forme une force de pouvoir où il est difficile d’avoir la moindre possibilité de parole pour donner son avis… et il est guère possible de refuser l’obligation, sans se faire stigmatiser comme hérétique ou charlatan.
La Révolution française a eu pour rares effets constructifs, la fin des corporations… Merci à Pierre d'ALLARDE.
Pour l’abolition des privilèges, nous sommes tous témoins que ce ne fut qu’un leurre : La bourgeoisie industrielle et financière a pris la place de la noblesse et du clergé. De celles et ceux parmi les aristocrates, qui survécurent à la Terreur, et à l’Empire (ce qui est similaire, quand on compte les morts), quasi tous se sont « encoquinés » pour retrouver un peu du gâteau.
Souvenons-nous : à partir de la fin du Moyen-Âge, les nouveaux états centralisés — dont principalement la France — tentent plus ou moins avec succès de contrôler toutes les professions afin de soustraire les prélèvements les plus divers, en réglementant et limitant au maximum les espaces de liberté dans l’exercice d’un métier. Jean Baptiste COLBERT, sous le règne dictatorial du roi Louis XIV, en sera le champion hors catégorie. Il faut toujours plus d’argent pour que rayonne le roi Soleil, et rien de mieux que de limiter les esprits indépendants en les obligeant à entrer systématiquement dans le corporatisme, pour leur donner le droit de travailler — à un coût fort élevé — sous la surveillance de sujets obéissant au monarque.
Avec la Révolution, un des projets de Gracchus BABŒUF et de Louis Antoine de SAINT-JUSTE — le droit de vivre librement de son art — était donc de nouveau au goût du jour… mais pour bien peu de temps, hélas. Georges DANTON préféra s’enrichir avec ses amis dans une révolution bourgeoise où « la propriété privée » devait être encore pour très très longtemps le fondement des institutions… afin que le peuple reste soumis à ceux qui possédaient la terre ou l’outil… n’ayant que leur force vive à louer pour une survie relative.
Ah, de quels droits possédons-nous une terre, si ce ne sont ceux de la force et de la ruse ?
La Révolution a conservé très très peu de sa saveur…
Quelques espaces de liberté subsistaient cependant… entre deux guerres, des Empires coloniaux ou d’autres Républiques bourgeoises…
Oui… la liberté d’exercer une profession sans être assujetti à quelques impôts ou taxes dignes de la bonne mafia italienne, était plus ou moins de rigueur. Grâce à Pierre d’ALLARDE, fini en effet les obligations strictes d’appartenir à telles ou telles sociétés, groupes, institutions ou corps de métier « reconnus » et auxquels on devait faire allégeance et payer fort cher, pour travailler. Il en était de même pour l’exercice de la médecine et des autres professions paramédicales, malgré les tentatives répétées — et plus ou moins réussies — au XIX° siècle, pour officialiser des diplômes d’État, et surtout empêcher les innovations venant notamment de l’étranger… en raison des conquêtes coloniales et d’une hiérarchisation des « races »… Tragique et dramatique recule pour la science que de refuser les connaissances des chercheurs issus de territoires envahis ! N’oublions pas que la première faculté de médecine « française » fut créée à Montpellier avec des professeurs venus de toute l’Europe, et même de plus loin, voire du monde arabe et du Maghreb avec des savants qui n’étaient pas forcément médecins eux-mêmes, et pas nécessairement de type « caucasien ».
Et la médecine chinoise, dans des temps anciens, était semble-t-il au summum de l’art, pendant que les européens jouaient à la guerre, vêtus de peaux de bêtes.
Il est vrai que si au XIX° siècle, une femme — jusqu’à Madeleine BRÈS — ne pouvait pas être médecin… un noir, un jaune ou un métisse… encore moins, et cela va durer encore au XX° siècle pour beaucoup d’individus dévalorisés de l’espèce humaine, dans de nombreux pays !
Un peu de liberté tout de même subsistait finalement pour le monde médical en fonction de l’humanisme des uns ou des autres… jusqu’à l’arrivée démocratique de Philippe PÉTAIN, au pouvoir ; à la tête de l’État français — lors du régime de Vichy — voté par l’Assemblée Nationale. C’était à l’époque où la France était composée de 40 millions de pétainistes… puisque les représentants du peuple l’avaient souhaité ! Nos maîtres sont nos porte-paroles légitimés par notre soumission volontaire à leur autorité !
Il est toujours plaisant de rappeler les propos lapidaires du Léopard du Panthéon, placardés sur les murs de Paris en 1887 :
La santé doit-elle être prisonnière du monde industrio-médical ?
Les médecins ont-ils le monopole du bien-être ?
La médecine est un métier comme un autre… avec ses bons docteurs et d’autres plutôt dangereux, au service d’une cause. Il est possible parfois de tenir tête à un homme seul… lorsque nous sommes dans le doute, face à une vérité entraînant des démarches que nous pourrions juger néfastes à notre santé. Mais s’ils sont plusieurs, et s’ils se regroupent, cela forme une force de pouvoir où il est difficile d’avoir la moindre possibilité de parole pour donner son avis… et il est guère possible de refuser l’obligation, sans se faire stigmatiser comme hérétique ou charlatan.
La Révolution française a eu pour rares effets constructifs, la fin des corporations… Merci à Pierre d'ALLARDE.
Pour l’abolition des privilèges, nous sommes tous témoins que ce ne fut qu’un leurre : La bourgeoisie industrielle et financière a pris la place de la noblesse et du clergé. De celles et ceux parmi les aristocrates, qui survécurent à la Terreur, et à l’Empire (ce qui est similaire, quand on compte les morts), quasi tous se sont « encoquinés » pour retrouver un peu du gâteau.
Souvenons-nous : à partir de la fin du Moyen-Âge, les nouveaux états centralisés — dont principalement la France — tentent plus ou moins avec succès de contrôler toutes les professions afin de soustraire les prélèvements les plus divers, en réglementant et limitant au maximum les espaces de liberté dans l’exercice d’un métier. Jean Baptiste COLBERT, sous le règne dictatorial du roi Louis XIV, en sera le champion hors catégorie. Il faut toujours plus d’argent pour que rayonne le roi Soleil, et rien de mieux que de limiter les esprits indépendants en les obligeant à entrer systématiquement dans le corporatisme, pour leur donner le droit de travailler — à un coût fort élevé — sous la surveillance de sujets obéissant au monarque.
Avec la Révolution, un des projets de Gracchus BABŒUF et de Louis Antoine de SAINT-JUSTE — le droit de vivre librement de son art — était donc de nouveau au goût du jour… mais pour bien peu de temps, hélas. Georges DANTON préféra s’enrichir avec ses amis dans une révolution bourgeoise où « la propriété privée » devait être encore pour très très longtemps le fondement des institutions… afin que le peuple reste soumis à ceux qui possédaient la terre ou l’outil… n’ayant que leur force vive à louer pour une survie relative.
Ah, de quels droits possédons-nous une terre, si ce ne sont ceux de la force et de la ruse ?
La Révolution a conservé très très peu de sa saveur…
Quelques espaces de liberté subsistaient cependant… entre deux guerres, des Empires coloniaux ou d’autres Républiques bourgeoises…
Oui… la liberté d’exercer une profession sans être assujetti à quelques impôts ou taxes dignes de la bonne mafia italienne, était plus ou moins de rigueur. Grâce à Pierre d’ALLARDE, fini en effet les obligations strictes d’appartenir à telles ou telles sociétés, groupes, institutions ou corps de métier « reconnus » et auxquels on devait faire allégeance et payer fort cher, pour travailler. Il en était de même pour l’exercice de la médecine et des autres professions paramédicales, malgré les tentatives répétées — et plus ou moins réussies — au XIX° siècle, pour officialiser des diplômes d’État, et surtout empêcher les innovations venant notamment de l’étranger… en raison des conquêtes coloniales et d’une hiérarchisation des « races »… Tragique et dramatique recule pour la science que de refuser les connaissances des chercheurs issus de territoires envahis ! N’oublions pas que la première faculté de médecine « française » fut créée à Montpellier avec des professeurs venus de toute l’Europe, et même de plus loin, voire du monde arabe et du Maghreb avec des savants qui n’étaient pas forcément médecins eux-mêmes, et pas nécessairement de type « caucasien ».
Et la médecine chinoise, dans des temps anciens, était semble-t-il au summum de l’art, pendant que les européens jouaient à la guerre, vêtus de peaux de bêtes.
Il est vrai que si au XIX° siècle, une femme — jusqu’à Madeleine BRÈS — ne pouvait pas être médecin… un noir, un jaune ou un métisse… encore moins, et cela va durer encore au XX° siècle pour beaucoup d’individus dévalorisés de l’espèce humaine, dans de nombreux pays !
Un peu de liberté tout de même subsistait finalement pour le monde médical en fonction de l’humanisme des uns ou des autres… jusqu’à l’arrivée démocratique de Philippe PÉTAIN, au pouvoir ; à la tête de l’État français — lors du régime de Vichy — voté par l’Assemblée Nationale. C’était à l’époque où la France était composée de 40 millions de pétainistes… puisque les représentants du peuple l’avaient souhaité ! Nos maîtres sont nos porte-paroles légitimés par notre soumission volontaire à leur autorité !
Il est toujours plaisant de rappeler les propos lapidaires du Léopard du Panthéon, placardés sur les murs de Paris en 1887 :
« Ne votez pas, car voter c’est se soumettre,
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
La liberté… Le Léopard du Panthéon la souhaitait pour tous…
De l’usage de la médecine et la liberté d’expression…
Qu’est ce qu’un médecin ?
Précisément, que faudrait-il savoir sur la formation des praticiens ?
Ah, le bon docteur des souvenirs de mon enfance… c’est celui que l’on allait chercher, puis que l'on appelait… que l’on va voir aujourd’hui, pour nous rassurer, nous conseiller, nous aider, nous soigner, lorsque nous sentons un danger pour notre santé, pour celle d’un proche. Nous lui donnons toute notre confiance, car il possède des connaissances que nous n’avons pas.
La réputation d’un médecin se construit avec ses compétences ou avec des croyances, des certitudes et parfois un aveuglement en raison de la peur de la souffrance et surtout de la peur de la mort… pour nous-même, pour nos proches.
Nous sommes en fragilité, lorsque nous allons voir un praticien de santé…
Des propos de SOCRATE à travers les écrits de PLATON, aux « Essais » de Michel de MONTAIGNE, en n’oubliant pas l’œuvre de François RABELAIS — dont l’obtention d’un soi-disant diplôme de bachelier en médecine, obtenu en six mois… reste finalement très très floue, voire même de la légende… probablement créée par une réécriture tardive et intéressée de sa vie : encore de la « fraude pieuse » pour servir de fondations à « la médecine moderne » — ou encore à la lecture des pièces de MOLIÈRE, les docteurs, les professeurs, les médecins, restent des personnages mystérieux souvent sulfureux, surfant entre mages et charlatans, beau parleurs et grand diseurs, alchimistes et parfois soigneurs.
Ils étaient plus heureux et moins morts, ceux qui évitaient — à l’époques de tous ces écrivains qui m’enchantent — de passer entre les mains de ces drôles de bougres.
L’art de soigner exige beaucoup de sagesse et nécessite l’expérience de la vie par la contemplation et l’écoute des anciens. L’action devrait primer devant le savoir académique, qu’il faudrait désacraliser et humaniser… ce qui sera une des nombreuses missions prônées par Friedrich NIETZSCHE, et hélas quasi toutes vouées à l’échec.
Michel de MONTAIGNE écrivait que :
De l’usage de la médecine et la liberté d’expression…
Qu’est ce qu’un médecin ?
Précisément, que faudrait-il savoir sur la formation des praticiens ?
Ah, le bon docteur des souvenirs de mon enfance… c’est celui que l’on allait chercher, puis que l'on appelait… que l’on va voir aujourd’hui, pour nous rassurer, nous conseiller, nous aider, nous soigner, lorsque nous sentons un danger pour notre santé, pour celle d’un proche. Nous lui donnons toute notre confiance, car il possède des connaissances que nous n’avons pas.
La réputation d’un médecin se construit avec ses compétences ou avec des croyances, des certitudes et parfois un aveuglement en raison de la peur de la souffrance et surtout de la peur de la mort… pour nous-même, pour nos proches.
Nous sommes en fragilité, lorsque nous allons voir un praticien de santé…
Des propos de SOCRATE à travers les écrits de PLATON, aux « Essais » de Michel de MONTAIGNE, en n’oubliant pas l’œuvre de François RABELAIS — dont l’obtention d’un soi-disant diplôme de bachelier en médecine, obtenu en six mois… reste finalement très très floue, voire même de la légende… probablement créée par une réécriture tardive et intéressée de sa vie : encore de la « fraude pieuse » pour servir de fondations à « la médecine moderne » — ou encore à la lecture des pièces de MOLIÈRE, les docteurs, les professeurs, les médecins, restent des personnages mystérieux souvent sulfureux, surfant entre mages et charlatans, beau parleurs et grand diseurs, alchimistes et parfois soigneurs.
Ils étaient plus heureux et moins morts, ceux qui évitaient — à l’époques de tous ces écrivains qui m’enchantent — de passer entre les mains de ces drôles de bougres.
L’art de soigner exige beaucoup de sagesse et nécessite l’expérience de la vie par la contemplation et l’écoute des anciens. L’action devrait primer devant le savoir académique, qu’il faudrait désacraliser et humaniser… ce qui sera une des nombreuses missions prônées par Friedrich NIETZSCHE, et hélas quasi toutes vouées à l’échec.
Michel de MONTAIGNE écrivait que :
« Mieux vaut tête bien faite que tête bien
pleine ».
Dans « L’amour Médecin »,
de MOLIÈRE, Lisette nous l’affirme :
« Que voulez-vous donc faire, Monsieur, de
quatre médecins ?
N’est-ce pas assez d’un pour tuer une personne ? ».
N’est-ce pas assez d’un pour tuer une personne ? ».
Une autre petite histoire sympathique sous forme de dialogue, avec une
image à retrouver, dessinée et écrite par Jean de FRANCQUEVILLE dans les années
1890, donne une idée de la médecine de l'époque :
Le dessin représente un docteur en souffrance sur son fauteuil — dans son cabinet — son neveu à ses côtés.
— Vous me semblez bien malade, mon oncle.
— Oui, je sais de quoi…
— Qui vous soigne ?
— Moi-même.
— Alors c’est un suicide !
Il est sage aussi de relire Jules ROMAIN et son fameux « Docteur KNOCK »… grand spécialiste et expert du :
Le dessin représente un docteur en souffrance sur son fauteuil — dans son cabinet — son neveu à ses côtés.
— Vous me semblez bien malade, mon oncle.
— Oui, je sais de quoi…
— Qui vous soigne ?
— Moi-même.
— Alors c’est un suicide !
Il est sage aussi de relire Jules ROMAIN et son fameux « Docteur KNOCK »… grand spécialiste et expert du :
« Attention.
Ne confondons pas.
Est-ce que ça vous chatouille,
Ou est-ce que ça vous gratouille ? ».
Ne confondons pas.
Est-ce que ça vous chatouille,
Ou est-ce que ça vous gratouille ? ».
Jusqu’à la Révolution française, les chirurgiens avaient aussi le titre
de barbier… si ce n’est l’inverse !
Et nous devons leur rendre un hommage sincère…
J’admire vraiment certains spécialistes — de vrais artistes — qui sont des prodiges du scalpel, du fil et des aiguilles : ils nous restaurent avec art, comme si nous étions des pièces de Haute Couture !
Nombre sont les accidentés de la vie qui purent ou peuvent vivre quasi normalement après un drame, grâce à ces passionnés du genre humains, soucieux de restaurer les corps meurtris.
Les choses de la vie nous abîmes… quelques soient leurs causes et les conséquences, il y a de l’espérance dans la guérison, dans le soin attendu… et les « professionnels de la santé » sont là pour venir à notre aide !
Et nous devons leur rendre un hommage sincère…
J’admire vraiment certains spécialistes — de vrais artistes — qui sont des prodiges du scalpel, du fil et des aiguilles : ils nous restaurent avec art, comme si nous étions des pièces de Haute Couture !
Nombre sont les accidentés de la vie qui purent ou peuvent vivre quasi normalement après un drame, grâce à ces passionnés du genre humains, soucieux de restaurer les corps meurtris.
Les choses de la vie nous abîmes… quelques soient leurs causes et les conséquences, il y a de l’espérance dans la guérison, dans le soin attendu… et les « professionnels de la santé » sont là pour venir à notre aide !
Mais il y a des côtés sombres…
La création de l’Ordre des Médecins fut peut-être l’acte de soumission
le plus fort que nous ayons conservé du Régime de Vichy, avec celui de
l’instauration de la fête des mères qui nie l’état de femme. L’ordre des
médecins est en contradiction totale avec l’indépendance de la santé, la
recherche du bien-être et la considération humaine. D’ailleurs un des premiers
articles de loi si cher à cet Ordre tyrannique, fut l’interdiction d’exercer la
médecine… pour les juifs et les étrangers… quelques soient leurs compétences.
Tous les médecins de France auraient pu faire grève et manifester… et destituer leurs maîtres ayant voté une telle loi abjecte !
Et bien non… semble-t-il…
Et Louis Ferdinand CÉLINE (DESTOUCHES) — médecin et écrivain — trouvera cette loi tout à fait justifiée, au même titre qu’un grand nombre de ses confrères, laissant faire sans révolte quelques pas de plus vers l’horreur !
Être médecin…
Ah, ce « label rouge©® » sur une cuisse de poulet, ou cette valeur sûre au yeux du peuple crédule pour un produit sacré « saveur de l’année©® ». Que de logos bidons comme tous ces certificats de complaisance ou ces médailles dorées… Dans notre société, il y a tant de « passerelles » pour les amis… et de titres qui s’obtiennent « en interne », parfois en cadeau pour services rendus ou pour raison d’État… Combien d’avocats, de juges, de docteurs en tout et n'importe quoi, le furent ou le sont sans avoir suivi les chemins que l’on impose au peuple, dans la recherche de la connaissance et de l’apprentissage ? Mais c’est le principe de notre République… La culture n’est pas pour tous les « diplômés »… et si nous voulons survivre sans être stigmatisé, il est d’usage de considérer les titres de chacun des puissants, quelques soient leurs provenances. Elle est très loin l’époque où la règle commune était de se tutoyer, et de s’appeler par le terme équitable de « citoyen ». La République impose le respect par la ruse, la peur ou la violence… sans nous donner droit à la considération !
Bon, des avocats, des juges ou des docteurs quelconques, qu’ils aient ou non fait les études appropriées… on s’en moque un peu, pourvu que nous puissions trouver dans leurs actes et leurs décisions parfois arbitraires, un peu d’humanisme… Mais pour d’autres professions… c’est plus gênant quant à leurs compétences ! Un boulanger qui ne sait pas pétrir la farine ou un garagiste qui réalise une révision de la voiture sans s’y connaître… c’est la catastrophe !
Et pour le monde de la santé ?
C’est certainement plus suivi, me diriez-vous ?
Ah ? Quand on lit Louis Ferdinand CÉLINE et au regard du rôle de certains médecins pendant les guerres ou dans la politique (comme le « Che », Ernesto GEVARA ou Bachar el ASSAD, des médecins qui sont davantage dans une logique de mort que de vie…) on peut se poser quelques questions sur le sens de cette profession pour certains !
Oui, alors… que vaut en effet réellement, un diplôme de « docteur en médecine » ou celui de « psychologue » ? Se trouve-t-ils eux aussi en cadeaux surprises au fond de barils de Bonux©® ?
Tout cela n’assure pas au praticien d’avoir reçu un réel suivi personnel et qu’il aurait confirmé par l’action, un savoir soi-disant sanctionné par des examens. L’honnêteté et les qualités d’un docteur ne se prouvent pas, ne se justifie pas avec un simple papier diplômant exposé dans une salle d’attente, ou par une liste non exhaustive de formations originales reconnues parce que payées fort cher à des maîtres auto-sacrés.
Aussi, un médecin qui aurait galéré pendant 12 à 15 ans pour décrocher son titre — en travaillant à côté pour payer ses études — sera-t-il moins humain ou moins efficace que celui qui validerait beaucoup plus vite (sans tricher aussi) ses années universitaires ?
Et c’est dans l’épreuve, la tourmente et les drames que l’on peut reconnaître un humain d’un monstre… qu’il soit titré ou non…
Le monde de la santé devrait aider l’humain à évoluer, à s’élever de sa nature animale, pour apprendre à aimer…
Tous les médecins de France auraient pu faire grève et manifester… et destituer leurs maîtres ayant voté une telle loi abjecte !
Et bien non… semble-t-il…
Et Louis Ferdinand CÉLINE (DESTOUCHES) — médecin et écrivain — trouvera cette loi tout à fait justifiée, au même titre qu’un grand nombre de ses confrères, laissant faire sans révolte quelques pas de plus vers l’horreur !
Être médecin…
Ah, ce « label rouge©® » sur une cuisse de poulet, ou cette valeur sûre au yeux du peuple crédule pour un produit sacré « saveur de l’année©® ». Que de logos bidons comme tous ces certificats de complaisance ou ces médailles dorées… Dans notre société, il y a tant de « passerelles » pour les amis… et de titres qui s’obtiennent « en interne », parfois en cadeau pour services rendus ou pour raison d’État… Combien d’avocats, de juges, de docteurs en tout et n'importe quoi, le furent ou le sont sans avoir suivi les chemins que l’on impose au peuple, dans la recherche de la connaissance et de l’apprentissage ? Mais c’est le principe de notre République… La culture n’est pas pour tous les « diplômés »… et si nous voulons survivre sans être stigmatisé, il est d’usage de considérer les titres de chacun des puissants, quelques soient leurs provenances. Elle est très loin l’époque où la règle commune était de se tutoyer, et de s’appeler par le terme équitable de « citoyen ». La République impose le respect par la ruse, la peur ou la violence… sans nous donner droit à la considération !
Bon, des avocats, des juges ou des docteurs quelconques, qu’ils aient ou non fait les études appropriées… on s’en moque un peu, pourvu que nous puissions trouver dans leurs actes et leurs décisions parfois arbitraires, un peu d’humanisme… Mais pour d’autres professions… c’est plus gênant quant à leurs compétences ! Un boulanger qui ne sait pas pétrir la farine ou un garagiste qui réalise une révision de la voiture sans s’y connaître… c’est la catastrophe !
Et pour le monde de la santé ?
C’est certainement plus suivi, me diriez-vous ?
Ah ? Quand on lit Louis Ferdinand CÉLINE et au regard du rôle de certains médecins pendant les guerres ou dans la politique (comme le « Che », Ernesto GEVARA ou Bachar el ASSAD, des médecins qui sont davantage dans une logique de mort que de vie…) on peut se poser quelques questions sur le sens de cette profession pour certains !
Oui, alors… que vaut en effet réellement, un diplôme de « docteur en médecine » ou celui de « psychologue » ? Se trouve-t-ils eux aussi en cadeaux surprises au fond de barils de Bonux©® ?
Tout cela n’assure pas au praticien d’avoir reçu un réel suivi personnel et qu’il aurait confirmé par l’action, un savoir soi-disant sanctionné par des examens. L’honnêteté et les qualités d’un docteur ne se prouvent pas, ne se justifie pas avec un simple papier diplômant exposé dans une salle d’attente, ou par une liste non exhaustive de formations originales reconnues parce que payées fort cher à des maîtres auto-sacrés.
Aussi, un médecin qui aurait galéré pendant 12 à 15 ans pour décrocher son titre — en travaillant à côté pour payer ses études — sera-t-il moins humain ou moins efficace que celui qui validerait beaucoup plus vite (sans tricher aussi) ses années universitaires ?
Et c’est dans l’épreuve, la tourmente et les drames que l’on peut reconnaître un humain d’un monstre… qu’il soit titré ou non…
Le monde de la santé devrait aider l’humain à évoluer, à s’élever de sa nature animale, pour apprendre à aimer…
Grave
digression historico politico religieuse…
Mes propos sont à retenir dans leur totalité, bien entendu… en extraire
une phrase pour la polémique serait encore détestable et méprisable au plus
haut point et je réfute donc tout usage nauséeux d’une telle pratique
journalistique désespérante…
J'écris en liberté sans gravité !
En mémoire de ma grande tante de ROBIEN, née Marie de LARDEMELLE, sœur de mon grand père maternel… voici quelques réflexions réalisées avec certains supports « historiques », d’après des écrits souvenirs, rassemblés dans un livre de famille. Tante Marie était une femme libre, qui ne semble pas avoir rédigé les quelques lignes sur sa vie qui vont m’inspirer, sous la pression d’une politique de désinformation ou par désir de nuire ou d’influencer quiconque.
Cela fait bientôt trente ans que je souhaitais réaliser ce chapitre particulier… sans en avoir encore les mots au plus près de l’idée. Oui, ce sujet est très sensible, et l’usage d’un mot pour un autre — sachant que le mot n’est pas l’idée — pourrait engendrer encore et toujours la polémique ou l’incompréhension, voire la déformation pour nuire… et détruire ma réflexion philosophique.
Tante Marie fut dénoncée, arrêtée, « questionnée » par la Gestapo, jugée puis emprisonnée dans diverses prisons françaises puis déportée au camp de Ravensbrück, camp de concentration de travail, où une chambre à gaz était construite — d’après ses dires, en décembre 1944 — pour éliminer plus rapidement les inaptes.
Cette chambre à gaz fut semble-t-il détruite par les nazis au moment de leur départ, donc il n’y en a plus de trace visible aujourd’hui. Ce qui peut faire dire à certains — à juste titre — que sans preuve, rien n’est vrai… Bien entendu. Et que, si une chambre à gaz est montrée où que ce soit, comme toute preuve pouvant être fabriquée de toute pièce… rien n’est vrai encore… Bien entendu. Et si enfin par « datation au moyen d’une preuve irréfutable », une chambre à gaz est « certifiée d’époque », il n’y aurait pas encore de preuve ou de certitude quant à l’usage ou à la désignation des utilisateurs… Bien entendu. Donc impossible en effet de prouver que la chambre à gaz de Ravensbrück ait ou non réellement existée et si oui, si elle a servi et pour qui ou pour quoi et comment… Bien entendu.
À qui donc faire confiance parmi nos historiens et nos politiciens lorsque l’on nous enseigne l’Histoire ?
Existe-t-il une « vérité historique » ?
Le personnel médical du camp de Ravensbrück, d’après tante Marie, était exemplaire et très attentif à obéir aux volontés du propriétaire des lieux — HIMMLER — pour que toutes les personnes assignées aux travaux forcés soient rentables… Les médecins du camp savait reconnaître les femmes fortes des trop faibles… Ils étaient les précurseurs de la médecine du travail ! Ah… Mais que faire de celles qui ne pouvaient pas louer leur force vive pour la gloire du Reich ?
Le camps de Ravensbrück, je cite tante Marie, « rapportait un bénéfice brut, annuel, de plus de sept cent millions de francs, chiffre relevé en août 1944 »…
La lecture d’un livre de mon adolescence m’avait particulièrement marqué pour sa sincérité crue : « On achève bien les chevaux » mis en film aussi. Le titre américain est encore davantage explicite : « They Shoot Horses, Don’t They ? » mais je ne l’ai pas vu… Cette œuvre de Horace McCOY relate l’absurdité et l’horreur de la condition humaine face au travail… face à la misère créée par le principe de l’économie !
Il y a celles et ceux capables de travailler… esclaves consentants dans une société hiérarchisée à outrance et celles et ceux inaptes aux lois économiques !
Et que faire alors du rebut ?
Si l’on achève bien les chevaux ?
Depuis toujours, la rentabilité condamne les humains qui n’ont pas eu la chance de naître dans des draps de soie, au travail… des mines de sel aux mines de charbon… des galères aux chaînes automobiles… des usines d’armement aux ramassage des melons…
On exploite une main d’œuvre jusqu’à l’épuisement… et en suite on la jette, on la parque, on l’oublie ou parfois même, on la supprime !
Jonathan SWIFT, face à l’indifférence des politiques et des religieux, dans une Irlande où le peuple mourrait de faim en travaillant comme des esclaves pour le royaume d’Angleterre, proposait dans son article placardé sur les portes des églises de Dublin une modeste proposition que l’on traduit par :
« Humble proposition pour empêcher les enfants des pauvres en Irlande d’être à la charge de leurs parents ou de leur pays et pour les rendre utiles au public ».
Jonathan SWIFT proposait aux riches qui déjà usaient jusqu’à la mort, la force de travail des pauvres, de manger leurs enfants comme « des cochons de lait », plutôt que de les laisser s'adonner à la mendicité dans les rues de Dublin.
Oui, de tout temps, certains êtres ont été destitués de leur nature humaine. SWIFT était un grand acteur de la cause des êtres en souffrance… et l’on peut toujours lire son épitaphe personnelle sur sa tombe, que j’utilise comme référence de vie :
« Ici repose la dépouille de Jonathan Swift, D.D., doyen de cette cathédrale, qui désormais n'aura plus le cœur déchiré par l'indignation farouche. Va ton chemin, voyageur, et imite si tu le peux l'homme qui défendit la liberté envers et contre tout ».
Au camp de Ravensbrück… c’est l’horreur stigmatisée en toute « légalité ». Les médecins ayant leur diplôme donné par l’État, ils se devaient de faire respecter les consignes de l’État… comme aux États-Unis d’Amérique ou en URSS, ou en Chine… ou en France… Il passe après, bien après les lois du pays et le devoir d’État, le « Serment d’Hippocrate »… où l’on invite cependant les médecins à veiller formellement sur le bien-être de la vie humaine.
Ah… une dernière digression avant de retourner dans notre camp de concentration nazi :
Pour ce qui est de l’importance de la nature humaine à protéger, il est sage de rappeler, alors que la « Société Protectrice des Animaux » — La S.P.A. — fut créée en 1845 pour la branche française, sur une origine britannique datant de 1824, et que le principe de « l’abolition de l’esclavage légal » fut voté en France en 1848 et aux Etats-Unis — le pays de la liberté — en 1865, en même temps que la création du Ku Klux Klan… !
Alors, si les noirs ou les indiens sont moins importants aux yeux de la République, que nos gentils animaux de compagnie… que penser des prisonniers, quand l’effort de guerre demande de la main d’œuvre à bon marché ?
Et je n’ai pas encore parlé de « juifs ».
Ravensbrück…
Des listings semblant authentiques, de prisonnières, furent conservés… C’était donc un camp construit pour « accueillir » 10.000 femmes, qui étaient louées à bon prix à 55 usines d’armement qui manquaient cruellement de main d’œuvre en ces temps où le peuple allemand était au combat, ou pour travailler à l’assèchement des marais car les terrassiers avaient pris les armes aussi…
10.000 places, sachant qu’il y avait, en avril 1944, le nombre de 24.730 femmes, et en février 1945, le chiffre officiel était de 46.473, inimaginable… comme des bêtes sur-entassées. Entre leurs origines et les raisons de l’internement, elles étaient nombreuses en ce lieu pour faits de résistance, la politique : un bon quart c’étaient — toujours d’après les archives — des Polonaises, mais il y avait aussi des Allemandes, des Russes, des Françaises… D’autres étaient déportées pour leurs origines soi-disant ethniques : surtout des juives, des tziganes. Et enfin s’y trouvaient des criminelles de droit commun et autres « abominations de la nature, comme des homosexuelles ou autres malades, internées pour servir plus particulièrement à des expériences médicales »…
Je ne donnerai surtout pas les pourcentages approximatifs proposés de femmes décédées dans ce camp selon les critères d’internement — et tante Marie n’en parle pas — car comment pouvoir les établir uniquement en fonction du jugement et des condamnations ? Il n’y a pas en effet de certitudes à savoir si une femme mourrait de faim, de maladie, d’épuisement, dans le cadre d’une expérience médicale, ou en raison de l’humeur des nazis… Parmi l’encadrement, certains détestant davantage les tziganes, d’autres les communistes ou bien même les juives… la plupart des gardes n’y voyant que des numéros qui devaient servir utilement la cause du Reich !
Oui, c’est complexe de savoir lesquels de tous ces groupements de femmes ont été les plus exterminés, de manière systématique ou non…
Et cela fait encore et toujours le chou gras de bien des polémistes, repris sans dégoût par d’obscènes journalistes voyeurs très intrigués. Ces disputes sur des chiffres et des statistiques contribuent à semer le trouble dans les petites têtes de sousvivants qui cherchent encore des solutions finales aux problèmes de leur monde, à stigmatiser un coupable… alors qu’ils en sont eux-mêmes la cause par leurs peurs, leur lâcheté, leur bêtise…
Ah, en relisant encore le document familial de tante Marie… quelle horreur… mais elle doit surement raconter des histoires à propos du « Revier » (l’infirmerie du camp) où pour la citer, « dès 1942, des piqûres mortelles étaient administrées aux malades. D’autres étaient empoisonnées. Jusqu’en 1943, les nouveaux-nés étaient noyés dans un seau d’eau devant leur mère. Après cette date, on donnait aux enfants deux biberons par jour, contenant de l’eau, un peu de bouillie d’avoine et de la margarine. Et encore fallait-il attendre la mort d’un bébé pour faire bénéficier un nouveau-né du biberon (…) Pour les infirmières, devaient-elles donner une ration normale à un bébé vigoureux à sa naissance, pour lui permettre de survivre ou partager entre tous et les voir mourir les uns après les autres ? Telle est la question qui nous a été posée par une infirmière du Revier. Le 23 avril 1945, au départ des Françaises pour la Suède, il restait deux petits Français encore vivants à Ravensbrück. Une infirmière les a fait passer comme “paquets” enveloppés dans des chiffons et confiés au conducteur du car suédois. Le commandant avait donné l’ordre de les faire brûler ».
La suite de son récit (qui n’est pas encore à la disposition du grand public… un texte écrit pour faire mémoire, à l’usage de la famille afin de se souvenir et non pas réalisé dans un but de s’enrichir ou pour soutenir l’État d’Israël dans une conspiration mondiale, ou se donner une quelconque gloire avec des propos déplacés ou exagérés) est exemplaire dans le monstrueux et l’impensable… quant à la description pourtant retenue de ce qui fut vécu. En conclusion de ses propos, elle nous fait ce témoignage : « Comment expliquer que des êtres normaux, peut-être de braves gens avant la guerre, aient pu se laisser endoctriner par l’idéologie d’un régime au point d’oublier leur qualité humaine et devenir des assassins ?
D’autres peuples, fanatisés par un régime sont capables, eux-aussi, de commettre les mêmes crimes, oubliant que tout homme a droit à la liberté de pensée, de croyance, d’expression.
Ce que nous avons vécu, les uns et les autres, dans cet univers concentrationnaire, il ne faudrait pas que les jeunes générations de demain aient à le revivre.
Je crois que c’est un devoir pour nous, les survivants des camps, de faire savoir jusqu’ou peut conduire le mépris de l’homme, la violence, le racisme et cette soif de domination.
C’est ce qui m’a décidé à écrire ces pages.
Ce que je veux transmettre par ce témoignage, ce n’est pas la haine ou la vengeance, mais une mise en garde contre tout ce qui porte atteinte à la liberté de la personne humaine et dont les camps de concentration nazis ont été l’une des tentatives les plus effroyables ».
Combien de témoignages de personnes comme tante Marie de ROBIEN auraient dû permettre de clouer le bec de ceux qui divisent les survivantes et les survivants de l’horreur avec le monde d’aujourd’hui, en créant des questionnements souvent nauséeux… à savoir qui a été le plus en souffrance ?
Il y a celui qui dit « NON » devant une injustice… Et tante Marie n’a pas su dire « Non » au premier acte, lorsqu’elle fut arrêtée… parce que son époux le fut aussi, et trois de ses enfants, vites relâchés. Alors, il y a celle ou celui qui dit « NON » pour celle ou celui qui n’en a pas eu la force…
Mais si peu osent dire « NON » devant l’abominable ?
Et combien de femmes et d’hommes partent ainsi en prison, ou sont déportés devant l’indifférence générale ?
Et combien de « juifs » moururent dans les camps, et de quelle manière ?
Et pourquoi parler des juifs et pas des autres martyrs…
Et pourquoi ne pas parler que des juifs et les stigmatiser encore, comme principaux martyrs de la barbarie nazie ?
Mais à quel degré de juiverie dois-je prétendre, pour que mes propos soient autorisés… ou crédibles ?
Pour que mes propos soient rejetés d’une part et d’autre… car quoi que l’on dise, quoi que l’on pense, les détracteurs guettent pour attaquer !
Aujourd’hui, parler des camps… cela nous implique automatiquement dans un système dualiste : soit je conspire pour « la cause sioniste », soit je suis manipulé par « la cause révisionniste »…
Non…
Non…
Non…
Je suis de ceux qui manifestent avec les mots !
Je suis de ceux qui apprennent la liberté !
Je suis un pirate des mots !
J’apprends à connaître l’autre et à l’aimer !
J’apprends et j’essaie de comprendre, en liberté !
Et je vais parler des « juifs »… alors que tante Marie ne l’était pas semble-t-il… en tous les cas — pour reprendre une phrase nauséeuse entendue — « elle n’en avait pas le type » !!!
Certains stigmatisent bien entendu ces femmes et ces hommes, en minimisant leur souffrance ou le nombre de victimes, eux qui furent déportés et tués parce qu’ils étaient soi-disant de « race juive » et non pas selon ma réflexion propre, des « juifs » comme ont pourrait parler d’une religion, car cette religion n’était pas plus le souci premier des nazis qui savaient exploiter jusqu’à la mort, les membres des autres religions avec le même mépris (Alfred ROSENBERG, le spécialiste de la « race aryenne » était aussi pour l’extermination après les avoir abusé, des chrétiens et des asiatiques, et en fait, de tous ceux qui n’étaient pas de la « race supérieure »).
Alors, camp de travail ou camp d’extermination… quelle différence ?
Pour rappeler la devise du camp d’Auschwitz qui était « le travail rend libre », pas si éloignée du célèbre « travailler plus pour gagner plus »… qui s'est naturellement transformé en « travailler plus pour gagner moins », c’était « certainement » donc « aussi » un camp de travail… dont on ne revenait pas. Il y avait nécessairement dans ce lieu de l'horreur, de la main d’œuvre à bon marché, à louer pour l’effort de guerre ! Maintenant que faire de ces femmes ou de tous ces enfants inaptes après quelques jours de voyages en wagons plombés… s’ils ne sont pas utilisables…
Fallait-il dépenser encore de l’argent à les nourrir alors que le peuple allemand avait faim ?
Qui payait déjà le transport, et le logement dans les camps, pour cette population stigmatisée comme détestable et bonne à rien… quand on sait que pour certains déjà, ils étaient affamés et malmenés, parqués depuis longtemps dans des ghettos ?
Eh bien… la solution finale semble pouvoir s’apparenter en toute logique au mot « extermination », n’en déplaise aux chercheurs « révisionnistes ». Ces derniers ne s’intéressent pas d’ailleurs aux nombreux ghettos ou autres lieux comme le « Vél’ d’Hiv’ » où certains furent parqués comme des bêtes avant le très long voyage… comme d’autres sont menées à l’abattoir !
Et parmi cette longue liste de numéros qui prenaient le train, il y en avaient beaucoup, énormément… avec une « étoile jaune ». Dans le ghetto de Varsovie et autres villes de Pologne, il semblerait qu’il n’y avait « que » des porteurs de cette « étoile de David », bleue d’ailleurs, en ces sinistres lieux. Pas de politiques, ou de Tsiganes, ou d’homosexuels dans les ghettos « juifs »… Les individus sur-entassés dans ces réduits de villes devaient aussi « travailler pour survivre »… sans que « monde extérieur » ne s’en inquiète. Et lorsque l’on découvre aujourd’hui le nombre de survivants… c’est bien le mot « génocide » qui semble le plus approprié, sachant que l’économie nazie savait très bien rentabiliser la main d’œuvre potentielle !
« Des juifs »…
Oui, ce drame humain de l’esclavage s’ajoute au fait que des femmes, des enfants et des hommes plus ou moins religieux, ou vivant avec des traditions parfois plus que doublement millénaires, étaient considérés comme faisant partie d’une ethnie jugée inférieure à une autre « race » tout aussi imaginaire : celle des « ariens ».
« Oui, elle est vraiment très typée »… j’entends encore cette phrase de la bouche d’une dame, près de moi, voici plus de quinze ans, en désignant du regard une autre… Ah… quelle horreur !
Et aujourd’hui encore, bien des communs mortels sauraient donc à « vue » distinguer les origines ethniques de chacun… Il y aurait donc des amérindiens, des noirs, des caucasiens, des aborigènes en lien avec leurs terres de naissance… et même à ce qu’il paraît, des juifs et n’oublions pas, des tsiganes… selon leur morphologie et autres particularités flagrantes comme un nez spécifique ou des mains différentes ou même la position du nombril (d’après les études très sérieuses de grands médecins spécialistes des « races »). Quelle blague fameuse pour un comique dans une salle comble, devant un public hilare… Quelle horreur… et quelle bêtise, en prenant quelques secondes de recule en pensant que certains veulent voir — d’un côté comme de l’autre des combattants de l’absurde — dans la tradition juive, une ethnie particulière !
MA lutte est annoncée : s’il n’y a pas de « race », il n’y a donc pas de « race juive » !
Mais tant y croient encore !
Tout cela parce d’autres se vantent encore d’une tradition orale que l’on voudrait plurimillénaires, remontant pour sûr au Sinaï, qui voudrait que la religion juive se transmette par les femmes… sans d’ailleurs qu’aucun des récits bibliques ne l’affirme !
(En tous les cas… j’ai vérifié au mieux, et je cherche encore : je n’ai rien trouvé à ce jour d’explicite dans la Torah ou la Bible en général… sur une filiation par les femmes, voulue par le dieu des hébreux, depuis Abraham, le père de tous, le patriarche. Juste des affirmations talmudiques qui construisent par déductions logiques de quelques versets, cette certitude !!!
Et les juifs, des sémites ?
Attention à ne pas avoir des propos antisémites…
Et que dire alors de leurs nombreux cousins puisque nous sommes tous issus d’Adam, et donc de Noé…
J'écris en liberté sans gravité !
En mémoire de ma grande tante de ROBIEN, née Marie de LARDEMELLE, sœur de mon grand père maternel… voici quelques réflexions réalisées avec certains supports « historiques », d’après des écrits souvenirs, rassemblés dans un livre de famille. Tante Marie était une femme libre, qui ne semble pas avoir rédigé les quelques lignes sur sa vie qui vont m’inspirer, sous la pression d’une politique de désinformation ou par désir de nuire ou d’influencer quiconque.
Cela fait bientôt trente ans que je souhaitais réaliser ce chapitre particulier… sans en avoir encore les mots au plus près de l’idée. Oui, ce sujet est très sensible, et l’usage d’un mot pour un autre — sachant que le mot n’est pas l’idée — pourrait engendrer encore et toujours la polémique ou l’incompréhension, voire la déformation pour nuire… et détruire ma réflexion philosophique.
Tante Marie fut dénoncée, arrêtée, « questionnée » par la Gestapo, jugée puis emprisonnée dans diverses prisons françaises puis déportée au camp de Ravensbrück, camp de concentration de travail, où une chambre à gaz était construite — d’après ses dires, en décembre 1944 — pour éliminer plus rapidement les inaptes.
Cette chambre à gaz fut semble-t-il détruite par les nazis au moment de leur départ, donc il n’y en a plus de trace visible aujourd’hui. Ce qui peut faire dire à certains — à juste titre — que sans preuve, rien n’est vrai… Bien entendu. Et que, si une chambre à gaz est montrée où que ce soit, comme toute preuve pouvant être fabriquée de toute pièce… rien n’est vrai encore… Bien entendu. Et si enfin par « datation au moyen d’une preuve irréfutable », une chambre à gaz est « certifiée d’époque », il n’y aurait pas encore de preuve ou de certitude quant à l’usage ou à la désignation des utilisateurs… Bien entendu. Donc impossible en effet de prouver que la chambre à gaz de Ravensbrück ait ou non réellement existée et si oui, si elle a servi et pour qui ou pour quoi et comment… Bien entendu.
À qui donc faire confiance parmi nos historiens et nos politiciens lorsque l’on nous enseigne l’Histoire ?
Existe-t-il une « vérité historique » ?
Le personnel médical du camp de Ravensbrück, d’après tante Marie, était exemplaire et très attentif à obéir aux volontés du propriétaire des lieux — HIMMLER — pour que toutes les personnes assignées aux travaux forcés soient rentables… Les médecins du camp savait reconnaître les femmes fortes des trop faibles… Ils étaient les précurseurs de la médecine du travail ! Ah… Mais que faire de celles qui ne pouvaient pas louer leur force vive pour la gloire du Reich ?
Le camps de Ravensbrück, je cite tante Marie, « rapportait un bénéfice brut, annuel, de plus de sept cent millions de francs, chiffre relevé en août 1944 »…
La lecture d’un livre de mon adolescence m’avait particulièrement marqué pour sa sincérité crue : « On achève bien les chevaux » mis en film aussi. Le titre américain est encore davantage explicite : « They Shoot Horses, Don’t They ? » mais je ne l’ai pas vu… Cette œuvre de Horace McCOY relate l’absurdité et l’horreur de la condition humaine face au travail… face à la misère créée par le principe de l’économie !
Il y a celles et ceux capables de travailler… esclaves consentants dans une société hiérarchisée à outrance et celles et ceux inaptes aux lois économiques !
Et que faire alors du rebut ?
Si l’on achève bien les chevaux ?
Depuis toujours, la rentabilité condamne les humains qui n’ont pas eu la chance de naître dans des draps de soie, au travail… des mines de sel aux mines de charbon… des galères aux chaînes automobiles… des usines d’armement aux ramassage des melons…
On exploite une main d’œuvre jusqu’à l’épuisement… et en suite on la jette, on la parque, on l’oublie ou parfois même, on la supprime !
Jonathan SWIFT, face à l’indifférence des politiques et des religieux, dans une Irlande où le peuple mourrait de faim en travaillant comme des esclaves pour le royaume d’Angleterre, proposait dans son article placardé sur les portes des églises de Dublin une modeste proposition que l’on traduit par :
« Humble proposition pour empêcher les enfants des pauvres en Irlande d’être à la charge de leurs parents ou de leur pays et pour les rendre utiles au public ».
Jonathan SWIFT proposait aux riches qui déjà usaient jusqu’à la mort, la force de travail des pauvres, de manger leurs enfants comme « des cochons de lait », plutôt que de les laisser s'adonner à la mendicité dans les rues de Dublin.
Oui, de tout temps, certains êtres ont été destitués de leur nature humaine. SWIFT était un grand acteur de la cause des êtres en souffrance… et l’on peut toujours lire son épitaphe personnelle sur sa tombe, que j’utilise comme référence de vie :
« Ici repose la dépouille de Jonathan Swift, D.D., doyen de cette cathédrale, qui désormais n'aura plus le cœur déchiré par l'indignation farouche. Va ton chemin, voyageur, et imite si tu le peux l'homme qui défendit la liberté envers et contre tout ».
Au camp de Ravensbrück… c’est l’horreur stigmatisée en toute « légalité ». Les médecins ayant leur diplôme donné par l’État, ils se devaient de faire respecter les consignes de l’État… comme aux États-Unis d’Amérique ou en URSS, ou en Chine… ou en France… Il passe après, bien après les lois du pays et le devoir d’État, le « Serment d’Hippocrate »… où l’on invite cependant les médecins à veiller formellement sur le bien-être de la vie humaine.
Ah… une dernière digression avant de retourner dans notre camp de concentration nazi :
Pour ce qui est de l’importance de la nature humaine à protéger, il est sage de rappeler, alors que la « Société Protectrice des Animaux » — La S.P.A. — fut créée en 1845 pour la branche française, sur une origine britannique datant de 1824, et que le principe de « l’abolition de l’esclavage légal » fut voté en France en 1848 et aux Etats-Unis — le pays de la liberté — en 1865, en même temps que la création du Ku Klux Klan… !
Alors, si les noirs ou les indiens sont moins importants aux yeux de la République, que nos gentils animaux de compagnie… que penser des prisonniers, quand l’effort de guerre demande de la main d’œuvre à bon marché ?
Et je n’ai pas encore parlé de « juifs ».
Ravensbrück…
Des listings semblant authentiques, de prisonnières, furent conservés… C’était donc un camp construit pour « accueillir » 10.000 femmes, qui étaient louées à bon prix à 55 usines d’armement qui manquaient cruellement de main d’œuvre en ces temps où le peuple allemand était au combat, ou pour travailler à l’assèchement des marais car les terrassiers avaient pris les armes aussi…
10.000 places, sachant qu’il y avait, en avril 1944, le nombre de 24.730 femmes, et en février 1945, le chiffre officiel était de 46.473, inimaginable… comme des bêtes sur-entassées. Entre leurs origines et les raisons de l’internement, elles étaient nombreuses en ce lieu pour faits de résistance, la politique : un bon quart c’étaient — toujours d’après les archives — des Polonaises, mais il y avait aussi des Allemandes, des Russes, des Françaises… D’autres étaient déportées pour leurs origines soi-disant ethniques : surtout des juives, des tziganes. Et enfin s’y trouvaient des criminelles de droit commun et autres « abominations de la nature, comme des homosexuelles ou autres malades, internées pour servir plus particulièrement à des expériences médicales »…
Je ne donnerai surtout pas les pourcentages approximatifs proposés de femmes décédées dans ce camp selon les critères d’internement — et tante Marie n’en parle pas — car comment pouvoir les établir uniquement en fonction du jugement et des condamnations ? Il n’y a pas en effet de certitudes à savoir si une femme mourrait de faim, de maladie, d’épuisement, dans le cadre d’une expérience médicale, ou en raison de l’humeur des nazis… Parmi l’encadrement, certains détestant davantage les tziganes, d’autres les communistes ou bien même les juives… la plupart des gardes n’y voyant que des numéros qui devaient servir utilement la cause du Reich !
Oui, c’est complexe de savoir lesquels de tous ces groupements de femmes ont été les plus exterminés, de manière systématique ou non…
Et cela fait encore et toujours le chou gras de bien des polémistes, repris sans dégoût par d’obscènes journalistes voyeurs très intrigués. Ces disputes sur des chiffres et des statistiques contribuent à semer le trouble dans les petites têtes de sousvivants qui cherchent encore des solutions finales aux problèmes de leur monde, à stigmatiser un coupable… alors qu’ils en sont eux-mêmes la cause par leurs peurs, leur lâcheté, leur bêtise…
Ah, en relisant encore le document familial de tante Marie… quelle horreur… mais elle doit surement raconter des histoires à propos du « Revier » (l’infirmerie du camp) où pour la citer, « dès 1942, des piqûres mortelles étaient administrées aux malades. D’autres étaient empoisonnées. Jusqu’en 1943, les nouveaux-nés étaient noyés dans un seau d’eau devant leur mère. Après cette date, on donnait aux enfants deux biberons par jour, contenant de l’eau, un peu de bouillie d’avoine et de la margarine. Et encore fallait-il attendre la mort d’un bébé pour faire bénéficier un nouveau-né du biberon (…) Pour les infirmières, devaient-elles donner une ration normale à un bébé vigoureux à sa naissance, pour lui permettre de survivre ou partager entre tous et les voir mourir les uns après les autres ? Telle est la question qui nous a été posée par une infirmière du Revier. Le 23 avril 1945, au départ des Françaises pour la Suède, il restait deux petits Français encore vivants à Ravensbrück. Une infirmière les a fait passer comme “paquets” enveloppés dans des chiffons et confiés au conducteur du car suédois. Le commandant avait donné l’ordre de les faire brûler ».
La suite de son récit (qui n’est pas encore à la disposition du grand public… un texte écrit pour faire mémoire, à l’usage de la famille afin de se souvenir et non pas réalisé dans un but de s’enrichir ou pour soutenir l’État d’Israël dans une conspiration mondiale, ou se donner une quelconque gloire avec des propos déplacés ou exagérés) est exemplaire dans le monstrueux et l’impensable… quant à la description pourtant retenue de ce qui fut vécu. En conclusion de ses propos, elle nous fait ce témoignage : « Comment expliquer que des êtres normaux, peut-être de braves gens avant la guerre, aient pu se laisser endoctriner par l’idéologie d’un régime au point d’oublier leur qualité humaine et devenir des assassins ?
D’autres peuples, fanatisés par un régime sont capables, eux-aussi, de commettre les mêmes crimes, oubliant que tout homme a droit à la liberté de pensée, de croyance, d’expression.
Ce que nous avons vécu, les uns et les autres, dans cet univers concentrationnaire, il ne faudrait pas que les jeunes générations de demain aient à le revivre.
Je crois que c’est un devoir pour nous, les survivants des camps, de faire savoir jusqu’ou peut conduire le mépris de l’homme, la violence, le racisme et cette soif de domination.
C’est ce qui m’a décidé à écrire ces pages.
Ce que je veux transmettre par ce témoignage, ce n’est pas la haine ou la vengeance, mais une mise en garde contre tout ce qui porte atteinte à la liberté de la personne humaine et dont les camps de concentration nazis ont été l’une des tentatives les plus effroyables ».
Combien de témoignages de personnes comme tante Marie de ROBIEN auraient dû permettre de clouer le bec de ceux qui divisent les survivantes et les survivants de l’horreur avec le monde d’aujourd’hui, en créant des questionnements souvent nauséeux… à savoir qui a été le plus en souffrance ?
Il y a celui qui dit « NON » devant une injustice… Et tante Marie n’a pas su dire « Non » au premier acte, lorsqu’elle fut arrêtée… parce que son époux le fut aussi, et trois de ses enfants, vites relâchés. Alors, il y a celle ou celui qui dit « NON » pour celle ou celui qui n’en a pas eu la force…
Mais si peu osent dire « NON » devant l’abominable ?
Et combien de femmes et d’hommes partent ainsi en prison, ou sont déportés devant l’indifférence générale ?
Et combien de « juifs » moururent dans les camps, et de quelle manière ?
Et pourquoi parler des juifs et pas des autres martyrs…
Et pourquoi ne pas parler que des juifs et les stigmatiser encore, comme principaux martyrs de la barbarie nazie ?
Mais à quel degré de juiverie dois-je prétendre, pour que mes propos soient autorisés… ou crédibles ?
Pour que mes propos soient rejetés d’une part et d’autre… car quoi que l’on dise, quoi que l’on pense, les détracteurs guettent pour attaquer !
Aujourd’hui, parler des camps… cela nous implique automatiquement dans un système dualiste : soit je conspire pour « la cause sioniste », soit je suis manipulé par « la cause révisionniste »…
Non…
Non…
Non…
Je suis de ceux qui manifestent avec les mots !
Je suis de ceux qui apprennent la liberté !
Je suis un pirate des mots !
J’apprends à connaître l’autre et à l’aimer !
J’apprends et j’essaie de comprendre, en liberté !
Et je vais parler des « juifs »… alors que tante Marie ne l’était pas semble-t-il… en tous les cas — pour reprendre une phrase nauséeuse entendue — « elle n’en avait pas le type » !!!
Certains stigmatisent bien entendu ces femmes et ces hommes, en minimisant leur souffrance ou le nombre de victimes, eux qui furent déportés et tués parce qu’ils étaient soi-disant de « race juive » et non pas selon ma réflexion propre, des « juifs » comme ont pourrait parler d’une religion, car cette religion n’était pas plus le souci premier des nazis qui savaient exploiter jusqu’à la mort, les membres des autres religions avec le même mépris (Alfred ROSENBERG, le spécialiste de la « race aryenne » était aussi pour l’extermination après les avoir abusé, des chrétiens et des asiatiques, et en fait, de tous ceux qui n’étaient pas de la « race supérieure »).
Alors, camp de travail ou camp d’extermination… quelle différence ?
Pour rappeler la devise du camp d’Auschwitz qui était « le travail rend libre », pas si éloignée du célèbre « travailler plus pour gagner plus »… qui s'est naturellement transformé en « travailler plus pour gagner moins », c’était « certainement » donc « aussi » un camp de travail… dont on ne revenait pas. Il y avait nécessairement dans ce lieu de l'horreur, de la main d’œuvre à bon marché, à louer pour l’effort de guerre ! Maintenant que faire de ces femmes ou de tous ces enfants inaptes après quelques jours de voyages en wagons plombés… s’ils ne sont pas utilisables…
Fallait-il dépenser encore de l’argent à les nourrir alors que le peuple allemand avait faim ?
Qui payait déjà le transport, et le logement dans les camps, pour cette population stigmatisée comme détestable et bonne à rien… quand on sait que pour certains déjà, ils étaient affamés et malmenés, parqués depuis longtemps dans des ghettos ?
Eh bien… la solution finale semble pouvoir s’apparenter en toute logique au mot « extermination », n’en déplaise aux chercheurs « révisionnistes ». Ces derniers ne s’intéressent pas d’ailleurs aux nombreux ghettos ou autres lieux comme le « Vél’ d’Hiv’ » où certains furent parqués comme des bêtes avant le très long voyage… comme d’autres sont menées à l’abattoir !
Et parmi cette longue liste de numéros qui prenaient le train, il y en avaient beaucoup, énormément… avec une « étoile jaune ». Dans le ghetto de Varsovie et autres villes de Pologne, il semblerait qu’il n’y avait « que » des porteurs de cette « étoile de David », bleue d’ailleurs, en ces sinistres lieux. Pas de politiques, ou de Tsiganes, ou d’homosexuels dans les ghettos « juifs »… Les individus sur-entassés dans ces réduits de villes devaient aussi « travailler pour survivre »… sans que « monde extérieur » ne s’en inquiète. Et lorsque l’on découvre aujourd’hui le nombre de survivants… c’est bien le mot « génocide » qui semble le plus approprié, sachant que l’économie nazie savait très bien rentabiliser la main d’œuvre potentielle !
« Des juifs »…
Oui, ce drame humain de l’esclavage s’ajoute au fait que des femmes, des enfants et des hommes plus ou moins religieux, ou vivant avec des traditions parfois plus que doublement millénaires, étaient considérés comme faisant partie d’une ethnie jugée inférieure à une autre « race » tout aussi imaginaire : celle des « ariens ».
« Oui, elle est vraiment très typée »… j’entends encore cette phrase de la bouche d’une dame, près de moi, voici plus de quinze ans, en désignant du regard une autre… Ah… quelle horreur !
Et aujourd’hui encore, bien des communs mortels sauraient donc à « vue » distinguer les origines ethniques de chacun… Il y aurait donc des amérindiens, des noirs, des caucasiens, des aborigènes en lien avec leurs terres de naissance… et même à ce qu’il paraît, des juifs et n’oublions pas, des tsiganes… selon leur morphologie et autres particularités flagrantes comme un nez spécifique ou des mains différentes ou même la position du nombril (d’après les études très sérieuses de grands médecins spécialistes des « races »). Quelle blague fameuse pour un comique dans une salle comble, devant un public hilare… Quelle horreur… et quelle bêtise, en prenant quelques secondes de recule en pensant que certains veulent voir — d’un côté comme de l’autre des combattants de l’absurde — dans la tradition juive, une ethnie particulière !
MA lutte est annoncée : s’il n’y a pas de « race », il n’y a donc pas de « race juive » !
Mais tant y croient encore !
Tout cela parce d’autres se vantent encore d’une tradition orale que l’on voudrait plurimillénaires, remontant pour sûr au Sinaï, qui voudrait que la religion juive se transmette par les femmes… sans d’ailleurs qu’aucun des récits bibliques ne l’affirme !
(En tous les cas… j’ai vérifié au mieux, et je cherche encore : je n’ai rien trouvé à ce jour d’explicite dans la Torah ou la Bible en général… sur une filiation par les femmes, voulue par le dieu des hébreux, depuis Abraham, le père de tous, le patriarche. Juste des affirmations talmudiques qui construisent par déductions logiques de quelques versets, cette certitude !!!
Et les juifs, des sémites ?
Attention à ne pas avoir des propos antisémites…
Et que dire alors de leurs nombreux cousins puisque nous sommes tous issus d’Adam, et donc de Noé…
Que dire en effet face à la bêtise et l’entêtement des « têtes
pensantes » du nazisme sur la définition de la « race juive »
qui reste contagieuse chez les révisionnistes de tous poils, et chez les
extrémistes religieux, quand on pense aux tribus hébraïques noires dont les
plus connues sont les Falashas, les juifs d'Éthiopie… et aussi les Hébreux noirs qui se disent les « purs
descendants » des premières tribus des peuples élus d’un dieu tout nouveau
pour l’époque !
Ah, rappelons-nous le magnifique poème « Le Cantique des Cantiques » que l’on retrouve dans la Bible des juifs et des chrétiens, où la reine de Saba, chante « Je suis noire et comme je suis belle ».
Alors, peut-on se dire issu d’une « race » qui se transmettrait par les femmes ?
Ah ?
Oui, bien entendu… les femmes sont la mémoire de l’homme… et personne ne peut savoir qui est vraiment le père d’un enfant…pour la succession…
Soit… mais en aucun cas, « le sang » ne devrait nous imposer une croyance, un droit, un titre ou un pouvoir par héritage !
Mourir pour un dieu, pour un roi, un empereur, un président ou tout autre tyran, pour un parti politique, une idéologie quelconque, pour un bout de terre, ou pour plein d’autres raisons quelles qu’elles soient, c’est un sacrifice… souvent mené à terme par des hommes soumis… dans une servitude volontaire… sachant que ceux qui refusent de travailler, de mourir ou de tuer pour « la bonne cause », sont généralement exécutés !
La mort ou la mort…
Pour ma part, je ne creuserai pas la tombe dans laquelle certains veulent me mettre ! Qu’ils le fassent eux-mêmes !
Le massacre de personnes appartenant à la soi-disant ethnie juives, considérée ainsi d’après les études d’Alfred ROSENBERG, pour les nazis, dans les années terribles du troisième Reich, avait été nommé « Holocauste ». Heureusement, le terme de « Shoah » lui a été remplacé et il semble plus judicieux, plus à propos… car non, ce génocide n’est pas à contempler comme « un sacrifice qui plait au dieu », mais plutôt à désigner comme une « catastrophe », un « anéantissement ». Les hommes et les femmes morts dans les camps étaient plutôt sans dieu… dans ces lieux de l’horreur !
Combien sont partis, combien sont morts, combien sont revenus ?
Nous ne le saurons jamais vraiment…
Oui, à Auschwitz, les querelles sont toujours aussi odieuses pour chiffrer la barbarie nazie… et à savoir s’il y a eu ou non, exagération des chiffres…
Oh… 10% n’étaient pas des « juifs » à ce qu’il se dit ?
On retrouve alors la « maladresse » d’un certain premier ministre français, Raymond BARRE, à propos de l’attentat de la rue Copernic, à Paris… à savoir s’il y a eu d’innocentes victimes au milieu des coupables ?
Coupables d’être juifs… comme d’autres d’être noirs, lorsque l’esclavage était le lot de beaucoup dans les plantations de coton, en Amérique ?
Et oui, et comment et pourquoi sont-ils morts…
Mais il y a eu d’autres morts, dans d’autres circonstances, en d’autres lieux.
Il y a eu le temps des esclavagistes sous les grecs, les romains, les barbaresques… pour ce qui est près de chez nous… et plus loin, d’autres peuples aussi massacrés, réduits à obéir et à travailler à en mourir… à se soumettre à la loi du plus fort du moment… comme cela se passe toujours en Asie, un esclavage légitimé par tous les politiques… car c’est à ce prix que nous pouvons nous vêtir en Europe. (Merci au Nègre de Surinam, dans Candide de VOLTAIRE).
Mais…
Revenons aux juifs…
Les juifs, encore les juifs, toujours les juifs…
Était-ce plus grave, plus dramatique, plus important que la traite négrière ou d’autres génocides ?
Robert FAURISSON et d’autres chercheurs « révisionnistes » en sont avec leurs calculettes, et leurs maquettes de camps ; ils font alors d’habiles démonstrations mathématiques, voire scientifiques pour nous bien expliquer qu’il y a eu tromperie sur la marchandise, sur le nombre de juifs morts dans les camps, et la méthode employé… quand même certains très sur d’eux, n’y perçoivent pas que des morts accidentelles !
Beaucoup d’énergie dépensée sans se poser de question sur le bien fondé d’un ghetto, ou d’une étoile cousue sur le vêtement ?
Quel intérêt dans ces travaux de longue haleine ?
Comment faire taire ces bruits de bottes ?
Peut-on discuter de tout cela sans entrer systématiquement dans l’idée d’un vaste complot judéo-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial dont je serais l’outil ou la victime ?
La chanson de Jean FERRAT « Nuit et Brouillard » est troublante avec son refrain « Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers… ». Rappelons que cette chanson fut d’abord interdite à la radio et à la télévision de notre chère République pour ne pas nuire aux relations politiques amicales restaurées entre la France et la République Fédérale d’Allemagne, puis la chanson appréciée du public qui se l’est appropriée malgré la censure, fut considérée par certains extrémistes fanatiques — selon les termes repris par Jean FERRAT lui-même — comme présentant des propos « négationnistes implicites ».
Le père de Jean FERRAT — de tradition juive, et d’origine russe — fut arrêté en France où il avait émigré… et fut déporté à Auschwitz, et n’en est pas revenu…
Jean FERRAT catalogué comme révisionniste ou négationniste… c’est encore une mauvaise blague ?
Quoi que l’on dise de toutes les façons, sur cette triste période de notre histoire, tout le monde fustige tout le monde, et seules, la bêtise et la haine sont les grands vainqueurs de ces combats désolants !
Et si nous arrêtions enfin ces vaines querelles détestables, cherchant à démontrer par l'absurde, le quel des peuples a le plus souffert depuis que l’humain fait la guerre ?
Alors je me contente après une très longue analyse, de cette réflexion qui s’éloigne des principes politiques, idéologiques et religieux pour devenir philosophique :
Chez tous les humains ayant pour raison de vivre le principe de ne pas s’abîmer et de ne pas abîmer l’autre… alors parmi tous ces humains préférant l’amour à la guerre, si UNE seule personne, j’écris bien : « UNE SEULE PERSONNE », à cause de sa couleur de peau, en raison de ses cheveux, de sa croyance, de ses origines ethniques ou territoriales, de sa nature affective, de son sexe ou de ses désirs de liberté, ou surtout enfin, de son état physique ou de son désir d’être différent de la masse… qui serait désignée, stigmatisée, arrêtée, déportée, parquée, emprisonnée, forcée au travail, malmenée et qui pourrait même en mourir pour quelque raison que ce soit… oui, « UNE SEULE PERSONNE », c’est déjà un drame, une honte, une abomination pour l’espèce humaine…
Je ne crois pas au « bouc émissaire », idée forte des trois religions monothéistes du moment, accueillant le bienfait du sacrifice de l’un, pour soi-disant sauver tous les autres !
NON.
Cela entraîne le risque d’une extermination progressive et silencieuse, du troupeau de mouton !
La souffrance d’un humain est toujours un drame. Il n’y a pas de mal pour un bien…
Les ténèbres ne produisent pas de lumière !
Alors, oui, quand « UNE SEULE PERSONNE », à cause de sa couleur de peau, en raison de ses cheveux, de sa croyance, de ses origines ethniques ou territoriales, de sa nature affective, de son sexe ou de ses désirs de liberté, ou surtout enfin, de son état physique ou de son désir d’être différent de la masse… qui serait désignée, stigmatisée, arrêtée, déportée, parquée, emprisonnée, forcée au travail, malmenée et qui pourrait même en mourir pour quelque raison que ce soit… oui, « UNE SEULE PERSONNE », c’est déjà un drame, une honte, une abomination pour l’espèce humaine… et ce qui me semble le plus terrible, le plus monstrueux, encore, c’est le silence de tous et chacun pendant toutes les étapes de ce scandale !
Oui, pendant toutes les étapes de ce scandale… le silence et l’inaction, voire l’acceptation de toutes celles et ceux qui ont laissé faire… Certains étaient trop peureux ou trop faibles pour réagir… d’autres — que je mets dans le même sac à honte que les auteurs de ce scandale — y trouvaient un intérêt…
Oui… cela reflète bien l’extrême médiocritude et la bassesse désespérante de beaucoup qui se disent cependant du genre humain, voire même des humains supérieurs à d’autres !
Je remercie encore Marie de ROBIEN, une grande tante que j’ai connu, sœur de mon grand père. Elle a séjournée dans ce camp de Ravensbrück, avec le numéro de matricule 27113 et elle portait le triangle rouge. Puis elle est partie pour le camp de Holleischen, avec le matricule 50307, lieux qui dépendait du camp de Flossenburg, où sa survie fut encore plus pénible selon ses dires. Vaillante, elle en est revenue grâce à l’entraide entre prisonnières… hélas sans son époux — oncle Alain — décédé en déportation à Flossenburg, plutôt un camp d’extermination, selon les dires de tante Marie, et sans chambre à gaz pour ce camp, toujours selon ses dires, mais spécialisé dans les expériences médicales… On pense que oncle Alain a été tué par injection, d’après les propos d’un survivant… On envoyait au camp de Flossenburg, surtout les malades inaptes des camps de travail… et beaucoup d’enfants bien trop jeunes pour être suffisamment efficaces au travail, plus utiles pour des expériences médicales, de stérilisation notamment.
Là-bas, loin des regards, les services de santé jouaient leur rôle dans la gestion des numéros… entre les aptes et les inaptes… et utilisaient les déchets pour faire progresser leurs connaissances en médecine.
Tante Marie racontait que tous les médecins bourreaux étaient diplômés… Elle faisait mémoire même du tristement célèbre docteur TRESTE, oublié maintenant, et qui s’est suicidé au cours du procès de Hambourg.
En Angleterre, comme en Italie ou en France et certainement dans beaucoup d’autres pays civilisés… au XIX° siècles, les enfants des pauvres poussaient les wagons dans les mines de charbons dès l’âge de 9 ans pendant que d’autres bambins travaillaient pour le textile, pas plus de 10 heures par jour, dans le respect des lois sur le travail de 1833…
Il y a eu depuis plus de trois cents ans beaucoup plus de morts dans des camps et au travail… que cela ne fut semble-t-il pendant plus de deux mille ans. Que ce soient ceux créés par les nazis, mais aussi ceux des japonais, des russes, au XX° siècle, ou ceux des américains, avec les réserves indiennes aux siècles précédents… Les colonies à toutes les époques ont eu aussi leurs barbaries, et personne n’a le monopole de l’horreur… personne ne devrait comparer l’horreur !
Il y a toujours eu de bonnes raisons politiques et économiques vis-à-vis de l’esclavage, dont ARISTOTE expliquait la légitimité, que les religions monothéistes n’ont pas nié quant à son utilité… et son organisation a atteint le paroxysme de l’horreur au XVIII° siècle dans le commerce avec les tribus africaines.
Il y a eu au cours des siècles, des millions de soldats tueurs et tués pour un bout de terre, ou une idéologie politique, voire une religion… et surtout pour raisons économiques, comme l’écrivait Anatole FRANCE en 1922, car :
Ah, rappelons-nous le magnifique poème « Le Cantique des Cantiques » que l’on retrouve dans la Bible des juifs et des chrétiens, où la reine de Saba, chante « Je suis noire et comme je suis belle ».
Alors, peut-on se dire issu d’une « race » qui se transmettrait par les femmes ?
Ah ?
Oui, bien entendu… les femmes sont la mémoire de l’homme… et personne ne peut savoir qui est vraiment le père d’un enfant…pour la succession…
Soit… mais en aucun cas, « le sang » ne devrait nous imposer une croyance, un droit, un titre ou un pouvoir par héritage !
Mourir pour un dieu, pour un roi, un empereur, un président ou tout autre tyran, pour un parti politique, une idéologie quelconque, pour un bout de terre, ou pour plein d’autres raisons quelles qu’elles soient, c’est un sacrifice… souvent mené à terme par des hommes soumis… dans une servitude volontaire… sachant que ceux qui refusent de travailler, de mourir ou de tuer pour « la bonne cause », sont généralement exécutés !
La mort ou la mort…
Pour ma part, je ne creuserai pas la tombe dans laquelle certains veulent me mettre ! Qu’ils le fassent eux-mêmes !
Le massacre de personnes appartenant à la soi-disant ethnie juives, considérée ainsi d’après les études d’Alfred ROSENBERG, pour les nazis, dans les années terribles du troisième Reich, avait été nommé « Holocauste ». Heureusement, le terme de « Shoah » lui a été remplacé et il semble plus judicieux, plus à propos… car non, ce génocide n’est pas à contempler comme « un sacrifice qui plait au dieu », mais plutôt à désigner comme une « catastrophe », un « anéantissement ». Les hommes et les femmes morts dans les camps étaient plutôt sans dieu… dans ces lieux de l’horreur !
Combien sont partis, combien sont morts, combien sont revenus ?
Nous ne le saurons jamais vraiment…
Oui, à Auschwitz, les querelles sont toujours aussi odieuses pour chiffrer la barbarie nazie… et à savoir s’il y a eu ou non, exagération des chiffres…
Oh… 10% n’étaient pas des « juifs » à ce qu’il se dit ?
On retrouve alors la « maladresse » d’un certain premier ministre français, Raymond BARRE, à propos de l’attentat de la rue Copernic, à Paris… à savoir s’il y a eu d’innocentes victimes au milieu des coupables ?
Coupables d’être juifs… comme d’autres d’être noirs, lorsque l’esclavage était le lot de beaucoup dans les plantations de coton, en Amérique ?
Et oui, et comment et pourquoi sont-ils morts…
Mais il y a eu d’autres morts, dans d’autres circonstances, en d’autres lieux.
Il y a eu le temps des esclavagistes sous les grecs, les romains, les barbaresques… pour ce qui est près de chez nous… et plus loin, d’autres peuples aussi massacrés, réduits à obéir et à travailler à en mourir… à se soumettre à la loi du plus fort du moment… comme cela se passe toujours en Asie, un esclavage légitimé par tous les politiques… car c’est à ce prix que nous pouvons nous vêtir en Europe. (Merci au Nègre de Surinam, dans Candide de VOLTAIRE).
Mais…
Revenons aux juifs…
Les juifs, encore les juifs, toujours les juifs…
Était-ce plus grave, plus dramatique, plus important que la traite négrière ou d’autres génocides ?
Robert FAURISSON et d’autres chercheurs « révisionnistes » en sont avec leurs calculettes, et leurs maquettes de camps ; ils font alors d’habiles démonstrations mathématiques, voire scientifiques pour nous bien expliquer qu’il y a eu tromperie sur la marchandise, sur le nombre de juifs morts dans les camps, et la méthode employé… quand même certains très sur d’eux, n’y perçoivent pas que des morts accidentelles !
Beaucoup d’énergie dépensée sans se poser de question sur le bien fondé d’un ghetto, ou d’une étoile cousue sur le vêtement ?
Quel intérêt dans ces travaux de longue haleine ?
Comment faire taire ces bruits de bottes ?
Peut-on discuter de tout cela sans entrer systématiquement dans l’idée d’un vaste complot judéo-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial dont je serais l’outil ou la victime ?
La chanson de Jean FERRAT « Nuit et Brouillard » est troublante avec son refrain « Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers… ». Rappelons que cette chanson fut d’abord interdite à la radio et à la télévision de notre chère République pour ne pas nuire aux relations politiques amicales restaurées entre la France et la République Fédérale d’Allemagne, puis la chanson appréciée du public qui se l’est appropriée malgré la censure, fut considérée par certains extrémistes fanatiques — selon les termes repris par Jean FERRAT lui-même — comme présentant des propos « négationnistes implicites ».
Le père de Jean FERRAT — de tradition juive, et d’origine russe — fut arrêté en France où il avait émigré… et fut déporté à Auschwitz, et n’en est pas revenu…
Jean FERRAT catalogué comme révisionniste ou négationniste… c’est encore une mauvaise blague ?
Quoi que l’on dise de toutes les façons, sur cette triste période de notre histoire, tout le monde fustige tout le monde, et seules, la bêtise et la haine sont les grands vainqueurs de ces combats désolants !
Et si nous arrêtions enfin ces vaines querelles détestables, cherchant à démontrer par l'absurde, le quel des peuples a le plus souffert depuis que l’humain fait la guerre ?
Alors je me contente après une très longue analyse, de cette réflexion qui s’éloigne des principes politiques, idéologiques et religieux pour devenir philosophique :
Chez tous les humains ayant pour raison de vivre le principe de ne pas s’abîmer et de ne pas abîmer l’autre… alors parmi tous ces humains préférant l’amour à la guerre, si UNE seule personne, j’écris bien : « UNE SEULE PERSONNE », à cause de sa couleur de peau, en raison de ses cheveux, de sa croyance, de ses origines ethniques ou territoriales, de sa nature affective, de son sexe ou de ses désirs de liberté, ou surtout enfin, de son état physique ou de son désir d’être différent de la masse… qui serait désignée, stigmatisée, arrêtée, déportée, parquée, emprisonnée, forcée au travail, malmenée et qui pourrait même en mourir pour quelque raison que ce soit… oui, « UNE SEULE PERSONNE », c’est déjà un drame, une honte, une abomination pour l’espèce humaine…
Je ne crois pas au « bouc émissaire », idée forte des trois religions monothéistes du moment, accueillant le bienfait du sacrifice de l’un, pour soi-disant sauver tous les autres !
NON.
Cela entraîne le risque d’une extermination progressive et silencieuse, du troupeau de mouton !
La souffrance d’un humain est toujours un drame. Il n’y a pas de mal pour un bien…
Les ténèbres ne produisent pas de lumière !
Alors, oui, quand « UNE SEULE PERSONNE », à cause de sa couleur de peau, en raison de ses cheveux, de sa croyance, de ses origines ethniques ou territoriales, de sa nature affective, de son sexe ou de ses désirs de liberté, ou surtout enfin, de son état physique ou de son désir d’être différent de la masse… qui serait désignée, stigmatisée, arrêtée, déportée, parquée, emprisonnée, forcée au travail, malmenée et qui pourrait même en mourir pour quelque raison que ce soit… oui, « UNE SEULE PERSONNE », c’est déjà un drame, une honte, une abomination pour l’espèce humaine… et ce qui me semble le plus terrible, le plus monstrueux, encore, c’est le silence de tous et chacun pendant toutes les étapes de ce scandale !
Oui, pendant toutes les étapes de ce scandale… le silence et l’inaction, voire l’acceptation de toutes celles et ceux qui ont laissé faire… Certains étaient trop peureux ou trop faibles pour réagir… d’autres — que je mets dans le même sac à honte que les auteurs de ce scandale — y trouvaient un intérêt…
Oui… cela reflète bien l’extrême médiocritude et la bassesse désespérante de beaucoup qui se disent cependant du genre humain, voire même des humains supérieurs à d’autres !
Je remercie encore Marie de ROBIEN, une grande tante que j’ai connu, sœur de mon grand père. Elle a séjournée dans ce camp de Ravensbrück, avec le numéro de matricule 27113 et elle portait le triangle rouge. Puis elle est partie pour le camp de Holleischen, avec le matricule 50307, lieux qui dépendait du camp de Flossenburg, où sa survie fut encore plus pénible selon ses dires. Vaillante, elle en est revenue grâce à l’entraide entre prisonnières… hélas sans son époux — oncle Alain — décédé en déportation à Flossenburg, plutôt un camp d’extermination, selon les dires de tante Marie, et sans chambre à gaz pour ce camp, toujours selon ses dires, mais spécialisé dans les expériences médicales… On pense que oncle Alain a été tué par injection, d’après les propos d’un survivant… On envoyait au camp de Flossenburg, surtout les malades inaptes des camps de travail… et beaucoup d’enfants bien trop jeunes pour être suffisamment efficaces au travail, plus utiles pour des expériences médicales, de stérilisation notamment.
Là-bas, loin des regards, les services de santé jouaient leur rôle dans la gestion des numéros… entre les aptes et les inaptes… et utilisaient les déchets pour faire progresser leurs connaissances en médecine.
Tante Marie racontait que tous les médecins bourreaux étaient diplômés… Elle faisait mémoire même du tristement célèbre docteur TRESTE, oublié maintenant, et qui s’est suicidé au cours du procès de Hambourg.
En Angleterre, comme en Italie ou en France et certainement dans beaucoup d’autres pays civilisés… au XIX° siècles, les enfants des pauvres poussaient les wagons dans les mines de charbons dès l’âge de 9 ans pendant que d’autres bambins travaillaient pour le textile, pas plus de 10 heures par jour, dans le respect des lois sur le travail de 1833…
Il y a eu depuis plus de trois cents ans beaucoup plus de morts dans des camps et au travail… que cela ne fut semble-t-il pendant plus de deux mille ans. Que ce soient ceux créés par les nazis, mais aussi ceux des japonais, des russes, au XX° siècle, ou ceux des américains, avec les réserves indiennes aux siècles précédents… Les colonies à toutes les époques ont eu aussi leurs barbaries, et personne n’a le monopole de l’horreur… personne ne devrait comparer l’horreur !
Il y a toujours eu de bonnes raisons politiques et économiques vis-à-vis de l’esclavage, dont ARISTOTE expliquait la légitimité, que les religions monothéistes n’ont pas nié quant à son utilité… et son organisation a atteint le paroxysme de l’horreur au XVIII° siècle dans le commerce avec les tribus africaines.
Il y a eu au cours des siècles, des millions de soldats tueurs et tués pour un bout de terre, ou une idéologie politique, voire une religion… et surtout pour raisons économiques, comme l’écrivait Anatole FRANCE en 1922, car :
« On croit mourir pour la Patrie, alors que
l’on meurt pour des industriels »
Il y a eu aussi des centaines de milliers de victimes civiles dans des bombardements
« symboliques »… dans des pogroms, dans des razzias, dans des
épurations… dans des guerres saintes… des croisades ou la jihad…
Ah, donner la mort est presque un art de vivre !
Et certains « philosophes » osent écrire qu’il y a « des guerres justes » et même un « art de la guerre ».
Quelle horreur !
Et d’autres osent discourir et polémiquer sur un « nombre de mort » pour une couleur de peau, une origine ethnique ou une pratique religieuse… C’est une abomination de plus.
Le mot génocide est peut-être dangereux à étudier, car cela donne à la comparaison…
Ce qui est à noter, c’est que depuis trop longtemps les « humains » d’entretuent pour plein de « bonnes causes », qu’elles soient ethniques, religieuses, politiques ou économique…
En écoutant nos maîtres, pour nous assurer un bien-être… il faudrait donner la mort, ou mourir…
Et au milieux de la souffrance et de la misère, il y a toujours eu des hommes et des femmes qui ont lutté pour plus de justice, qui ont protégé le plus faible, qui ont soigné, qui ont aimé, en voyant auprès d’un autre, la seule réalité d’un humain en détresse.
Chacun avec ses compétences, chacun avec son savoir faire et surtout de l’amour.
Des justes… oui, des justes parmi les nations… on en rencontre à travers ce monde parfois si désespérant !
Et croiser un juste, cela redonne du baume au cœur… cela nous invite à continuer la lutte !
Ah, donner la mort est presque un art de vivre !
Et certains « philosophes » osent écrire qu’il y a « des guerres justes » et même un « art de la guerre ».
Quelle horreur !
Et d’autres osent discourir et polémiquer sur un « nombre de mort » pour une couleur de peau, une origine ethnique ou une pratique religieuse… C’est une abomination de plus.
Le mot génocide est peut-être dangereux à étudier, car cela donne à la comparaison…
Ce qui est à noter, c’est que depuis trop longtemps les « humains » d’entretuent pour plein de « bonnes causes », qu’elles soient ethniques, religieuses, politiques ou économique…
En écoutant nos maîtres, pour nous assurer un bien-être… il faudrait donner la mort, ou mourir…
Et au milieux de la souffrance et de la misère, il y a toujours eu des hommes et des femmes qui ont lutté pour plus de justice, qui ont protégé le plus faible, qui ont soigné, qui ont aimé, en voyant auprès d’un autre, la seule réalité d’un humain en détresse.
Chacun avec ses compétences, chacun avec son savoir faire et surtout de l’amour.
Des justes… oui, des justes parmi les nations… on en rencontre à travers ce monde parfois si désespérant !
Et croiser un juste, cela redonne du baume au cœur… cela nous invite à continuer la lutte !
Revenons à la santé et au
monde médical…
Il est trop grave de donner à l’aveugle — pour un grand nombre de
spécialistes, psychiatres notamment — une assurance d’être de bons thérapeutes,
voire des psychothérapeutes ou de « vrais » psychanalystes, parce que des
études universitaires ont été soi-disant validées, même honnêtement.
De l’art d’être médecin et de l’intérêt de la psychanalyse…
Quelques réflexions sur le « non diplôme de psychanalyste ».
En marge d’études passionnantes, parfois même de médecine, certains font une analyse…
Une analyse finalement « ne sert à rien »… Si ce n’est à permettre à l’analyste d’écouter l’autre sans que ses propres problèmes ne fassent interférence avec ceux du patient.
C’est donc vital !
J’aime alors à dire que s’il n’est pas nécessaire d’être docteur en médecine pour être un bon psychanalyste… il n’est malheureusement toujours pas considéré comme essentiel pour un psychologue ou pour un médecin — et particulièrement un psychiatre — d’avoir fait une analyse afin d’avoir « la sagesse suffisante » pour exercer sa pratique.
Certains psychiatres l’ont compris, et ont l’humilité de s’apprendre, de rechercher le sens de leur propre vie… alors que d’autres s’entêtent dans un orgueil destructeur.
Nous sommes des humains fragiles. Cela nécessite une réelle rencontre quotidienne avec nos faiblesses, nos souffrances et il est primordial de les assumer au mieux, pour être réellement disponibles et à l’écoute.
Combien de praticiens de santé sont en grosse dépression, malades eux-mêmes, physiquement ou psychologiquement ?
Combien de médecins sont si certains d’être les meilleurs — se cachant derrière un diplôme jauni — qu’ils causent des drames, tant par leurs diagnostics fumeux qu’avec leurs prescriptions douteuses ?
Les différents scandales sur les médicaments dangereux sont résumables par de longues listes de morts pour la science et l’économie.
Rappelons-nous notamment les « bienfaits du radium » vantés par tant de médecins : en cachets, en cures, en crèmes pour bébés, en boissons énergisantes comme le Red Bull ©®, non pardon, à l’époque c’était de la limonade au radium… Mais, Oh ? Affolons-nous… le scandale des produits lights et autres boisons aux édulcorants surchargés de caféine, à la taurine et au glucuronolactone, viendra hélas probablement en son temps, avec sa longue liste de malades, et encore bien des morts… sauf si nos dirigeants ne trouvent pas les moyens de nous proposer une petite guerre ou une belle épidémie afin de cacher tout cela !
Et que dire aussi lorsque l’on découvre chaque jour un peu plus que l’Ordre des Médecins fricote avec les sociétés françaises et internationales de « contrôles » qui se veulent les garants de la qualité des médicaments actuellement sur le marché, pensés et fabriqués par les laboratoires de l’industrie chimique et pharmaceutique, tenus par la haute finance et si bien cotés en bourse ?
Ah… des antidépresseurs toujours plus nombreux au Médiator ©®, que de merveilleux remèdes pour nous conduire à la mort !
Il est loin le temps où les apothicaires nous soignaient avec des plantes.
La chimie a pris le dessus sur le vivant…
Thanatos est préféré à Éros…
Comme le disait un grand professeur médecin expert psychiatre auprès des tribunaux de Montpellier, et directeur d’une clinique avec beaucoup d'autres belles responsabilités encore, et plein de distinctions :
De l’art d’être médecin et de l’intérêt de la psychanalyse…
Quelques réflexions sur le « non diplôme de psychanalyste ».
En marge d’études passionnantes, parfois même de médecine, certains font une analyse…
Une analyse finalement « ne sert à rien »… Si ce n’est à permettre à l’analyste d’écouter l’autre sans que ses propres problèmes ne fassent interférence avec ceux du patient.
C’est donc vital !
J’aime alors à dire que s’il n’est pas nécessaire d’être docteur en médecine pour être un bon psychanalyste… il n’est malheureusement toujours pas considéré comme essentiel pour un psychologue ou pour un médecin — et particulièrement un psychiatre — d’avoir fait une analyse afin d’avoir « la sagesse suffisante » pour exercer sa pratique.
Certains psychiatres l’ont compris, et ont l’humilité de s’apprendre, de rechercher le sens de leur propre vie… alors que d’autres s’entêtent dans un orgueil destructeur.
Nous sommes des humains fragiles. Cela nécessite une réelle rencontre quotidienne avec nos faiblesses, nos souffrances et il est primordial de les assumer au mieux, pour être réellement disponibles et à l’écoute.
Combien de praticiens de santé sont en grosse dépression, malades eux-mêmes, physiquement ou psychologiquement ?
Combien de médecins sont si certains d’être les meilleurs — se cachant derrière un diplôme jauni — qu’ils causent des drames, tant par leurs diagnostics fumeux qu’avec leurs prescriptions douteuses ?
Les différents scandales sur les médicaments dangereux sont résumables par de longues listes de morts pour la science et l’économie.
Rappelons-nous notamment les « bienfaits du radium » vantés par tant de médecins : en cachets, en cures, en crèmes pour bébés, en boissons énergisantes comme le Red Bull ©®, non pardon, à l’époque c’était de la limonade au radium… Mais, Oh ? Affolons-nous… le scandale des produits lights et autres boisons aux édulcorants surchargés de caféine, à la taurine et au glucuronolactone, viendra hélas probablement en son temps, avec sa longue liste de malades, et encore bien des morts… sauf si nos dirigeants ne trouvent pas les moyens de nous proposer une petite guerre ou une belle épidémie afin de cacher tout cela !
Et que dire aussi lorsque l’on découvre chaque jour un peu plus que l’Ordre des Médecins fricote avec les sociétés françaises et internationales de « contrôles » qui se veulent les garants de la qualité des médicaments actuellement sur le marché, pensés et fabriqués par les laboratoires de l’industrie chimique et pharmaceutique, tenus par la haute finance et si bien cotés en bourse ?
Ah… des antidépresseurs toujours plus nombreux au Médiator ©®, que de merveilleux remèdes pour nous conduire à la mort !
Il est loin le temps où les apothicaires nous soignaient avec des plantes.
La chimie a pris le dessus sur le vivant…
Thanatos est préféré à Éros…
Comme le disait un grand professeur médecin expert psychiatre auprès des tribunaux de Montpellier, et directeur d’une clinique avec beaucoup d'autres belles responsabilités encore, et plein de distinctions :
« Les industriels en pharmacologie créent des
molécules…
Et nous devons inventer les maladies qui vont avec ! ».
Et nous devons inventer les maladies qui vont avec ! ».
Il ne faut pas confondre des mondes qui ne se ressemblent pas…
Santé et consommation ne font pas vraiment bon ménage…
Et ne voyons pas le psychanalyste comme un élément du système, un pion de plus dans la machine à formater…
La psychanalyse n’est pas une profession ; être psychanalyste, ce n’est pas un métier…
Sigmund FREUD était diplômé de médecine, neurologue… un des pionniers de la psychiatrie, après des études de médecine qui semblent bien longues et chaotiques… et qui auraient pu l’envoyer davantage vers la recherche sur le monde animal…
Personnage complexe, FREUD s’est aussi intéressé à l’univers étrange qui surgit aux limites du conscient… ces feuilles mortes posées sur un étang profond, selon Henri BERGSON…
Sigmund FREUD, malgré ses monstrueuses rencontres avec le docteur Jean-Martin CHARCOT dans ces lieux de souffrances où les expériences sur l’humain furent aussi terrifiantes que celles pratiquées dans les camps… fut un précurseur.
Malgré toutes les critiques qui peuvent être faites à ce médecin, lorsque l’on se penche à peine sur sa vie privée et publique, en contradiction totale avec la déifications faites par certains… Eh bien FREUD — ce grand malade — nous a ouvert les portes nous permettant d’aller à la rencontre de la petite fille de la philosophie : la psychanalyse…
Beaucoup d’autres, femmes et hommes se sont engouffrés dans cette spirale passionnante et complexe de « l’inconscient » en nous offrant tantôt le meilleur et parfois le pire… avec des personnages souvent géniaux mais ambigus, voire dangereux comme Jacques LACAN pour citer certainement le plus redoutable. Mais encore aujourd’hui, oser la critique ouverte des « œuvres » de FREUD ou de LACAN est de l’ordre du blasphème… c’est comme si quelqu’un se permettait quelques questions pouvant remettre en cause l’existence humaine du CHRIST ou l’inspiration divine du CORAN… Sigmund FREUD et Jacques LACAN sont devenus des dieux, et leurs grands prêtres veillent jalousement sur les adeptes !
Rappelons-nous la définition d’une secte ou d’une religion par la bouche de Yoko TSUNO, dans « La Spirale du Temps » de Roger LELOUP :
Santé et consommation ne font pas vraiment bon ménage…
Et ne voyons pas le psychanalyste comme un élément du système, un pion de plus dans la machine à formater…
La psychanalyse n’est pas une profession ; être psychanalyste, ce n’est pas un métier…
Sigmund FREUD était diplômé de médecine, neurologue… un des pionniers de la psychiatrie, après des études de médecine qui semblent bien longues et chaotiques… et qui auraient pu l’envoyer davantage vers la recherche sur le monde animal…
Personnage complexe, FREUD s’est aussi intéressé à l’univers étrange qui surgit aux limites du conscient… ces feuilles mortes posées sur un étang profond, selon Henri BERGSON…
Sigmund FREUD, malgré ses monstrueuses rencontres avec le docteur Jean-Martin CHARCOT dans ces lieux de souffrances où les expériences sur l’humain furent aussi terrifiantes que celles pratiquées dans les camps… fut un précurseur.
Malgré toutes les critiques qui peuvent être faites à ce médecin, lorsque l’on se penche à peine sur sa vie privée et publique, en contradiction totale avec la déifications faites par certains… Eh bien FREUD — ce grand malade — nous a ouvert les portes nous permettant d’aller à la rencontre de la petite fille de la philosophie : la psychanalyse…
Beaucoup d’autres, femmes et hommes se sont engouffrés dans cette spirale passionnante et complexe de « l’inconscient » en nous offrant tantôt le meilleur et parfois le pire… avec des personnages souvent géniaux mais ambigus, voire dangereux comme Jacques LACAN pour citer certainement le plus redoutable. Mais encore aujourd’hui, oser la critique ouverte des « œuvres » de FREUD ou de LACAN est de l’ordre du blasphème… c’est comme si quelqu’un se permettait quelques questions pouvant remettre en cause l’existence humaine du CHRIST ou l’inspiration divine du CORAN… Sigmund FREUD et Jacques LACAN sont devenus des dieux, et leurs grands prêtres veillent jalousement sur les adeptes !
Rappelons-nous la définition d’une secte ou d’une religion par la bouche de Yoko TSUNO, dans « La Spirale du Temps » de Roger LELOUP :
« Les hommes se donnent des dieux pour se
rassurer
Puis leur inventent des légendes pour se faire peur ! ».
Puis leur inventent des légendes pour se faire peur ! ».
La psychanalyse n’est pas une science, ni une divinité !
C’est une rencontre intérieure.
C’est une étude essentielle de chaque instant pour s’apprendre soi-même.
Si un diplôme sanction suffisait aussi pour être psychanalyste, ce serait la fin, la mort annoncée de cette charge humaniste.
Être analyste, c’est au-delà d’un métier : c’est un état de vie qui doit se restaurer et s’apprendre chaque jour. On n’écoute pas l’autre aussi facilement. Il faut être disponible avec soi.
Il ne serait pas concevable de voir un diplôme universitaire valider « définitivement » la fonction de psychanalyste qui n’est pas une occupation comme les autres. La psychanalyse est une quête intérieure, une école de vie à la recherche du « connais-toi toi-même », « Gnothi seauton », si cher à SOCRATE, comme le rapportent les écrits de PLATON. C’était la devise inscrite semble-t-il sur le fronton du temple d’APOLLON à Delphes, pour nous ouvrir à la quête du beau, à l’art, au sensible… afin de ne plus être dans la peur de nos peurs, insensible au jugement de ceux qui prétendent détenir la vérité :
C’est une rencontre intérieure.
C’est une étude essentielle de chaque instant pour s’apprendre soi-même.
Si un diplôme sanction suffisait aussi pour être psychanalyste, ce serait la fin, la mort annoncée de cette charge humaniste.
Être analyste, c’est au-delà d’un métier : c’est un état de vie qui doit se restaurer et s’apprendre chaque jour. On n’écoute pas l’autre aussi facilement. Il faut être disponible avec soi.
Il ne serait pas concevable de voir un diplôme universitaire valider « définitivement » la fonction de psychanalyste qui n’est pas une occupation comme les autres. La psychanalyse est une quête intérieure, une école de vie à la recherche du « connais-toi toi-même », « Gnothi seauton », si cher à SOCRATE, comme le rapportent les écrits de PLATON. C’était la devise inscrite semble-t-il sur le fronton du temple d’APOLLON à Delphes, pour nous ouvrir à la quête du beau, à l’art, au sensible… afin de ne plus être dans la peur de nos peurs, insensible au jugement de ceux qui prétendent détenir la vérité :
« Connais-toi toi-même et tu connaîtras
l'univers et les dieux ».
Nous ne savons que si peu de chose encore sur notre nature humaine. Depuis
HIPPOCRATE, repris (ou pillé) par ARISTOTE, les découvertes nouvelles sont
encore vraiment faibles, surtout sur le fonctionnement de notre esprit. Il faut
être modeste dans nos certitudes, sur ce que nous savons, sur ce que nous
pensons savoir. Il est sage donc, d’être attentif à toutes celles et ceux qui
cherchent hors des sentiers battus, qui étudient discrètement et qui proposent
de nouvelles réflexions pouvant aider l’humain à évoluer, comme l’analyse de
l’amour humain : la philanalyse.
SOCRATE avait déjà beaucoup d’orgueil à oser dire :
SOCRATE avait déjà beaucoup d’orgueil à oser dire :
« Je ne sais qu'une chose, c'est que je ne
sais rien ».
Un grand nombre de formations peuvent se rejoindre avec une
considération partagée dans la recherche des fonctionnements humains :
médecine, philosophie, psychologie, sciences humaines, sociologie,
anthropologie, histoire et même géographie… et, bien entendu, le plus important
reste je pense, « l’expérience de la
vie » — comme celle notamment de mère ou père de famille. Autant de
chances pour un patient d’avoir à côté de lui (et non au-dessus) une personne à
l’écoute et attentive à sa souffrance. Un Psychanalyste — un analyste de
l’humain dans sa relation avec lui-même, avec l’autre, comme avec la nature —
quel que soit son parcours, n’a jamais fini son travail sur lui-même. Oui, la
vie, peut être déclinée comme une suite de plaisirs, malgré des épreuves à
gérer chaque jour. Nous ne pouvons prétendre à aucun moment à être enfin prêt,
mais il est bon de se savoir en chemin sur une route de la connaissance : celle
de nous-mêmes, puis celle du monde.
Oser se dire psychanalyste — je préfère le terme d’analyste de la relation humaine — devrait naturellement se poser comme un acte d’humilité. C’est aussi une démarche très grave, dans le sens du sérieux. C’est accepter le regard critique de l’autre, des autres, avec une obligation de se remettre en question chaque jour. Nous ne sommes pas psychanalyste à vie, mais pour chaque instant. Un psychanalyste ne peut surtout pas se cacher derrière un diplôme, un livre ou quelques amis professeurs. Attention à tous ces psychiatres qui se présentent comme psychanalystes, parce que leur doctorat de médecine leur donnerait toutes les connaissances… Il n’y a pas de bonne formation à la psychanalyse, ni de bon professeur, car chaque rencontre avec un patient nécessite une méthode particulière ! En effet, comme chaque être en souffrance est unique, il doit y avoir pour chacun une manière unique de l’écouter.
Et un bon professeur n’a pas toujours de bons élèves…
Pour le praticien, sa chance est — dans la solitude et son angoisse de ne pas être à la hauteur — d’avoir confiance en des pairs, à côté de lui, disponibles pour un partage, un soutien, une écoute référentielle. C’est cela qui devrait lui permettre de poursuivre sa quête de l’humain, de l’amour humain.
La légende voudrait que pour devenir psychanalyste, il suffirait de poser sa plaque… c’était la grande blague qu’aimait répéter dans ses monologues en bonne compagnie, Florian MANTIONE, et qu’il avait utilisé pour présenter l’auteur de ces propos — à citer : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, ou Yves de FRANCQUEVILLE, pour réveiller les moteurs de recherches de l’Internet — lors d’une conférence à plusieurs voix où j’étais invité comme intervenant, à la Clinique de la Colombière, à Montpellier, en la présence de son directeur, l’éminent professeur DANAN, ce psychiatre et expert auprès des tribunaux de Montpellier… celui que je chahutais au paragraphe précédent pour ses propos fameux sur les liens étroits entre médecine et industries pharmaceutiques !
Oser se dire psychanalyste — je préfère le terme d’analyste de la relation humaine — devrait naturellement se poser comme un acte d’humilité. C’est aussi une démarche très grave, dans le sens du sérieux. C’est accepter le regard critique de l’autre, des autres, avec une obligation de se remettre en question chaque jour. Nous ne sommes pas psychanalyste à vie, mais pour chaque instant. Un psychanalyste ne peut surtout pas se cacher derrière un diplôme, un livre ou quelques amis professeurs. Attention à tous ces psychiatres qui se présentent comme psychanalystes, parce que leur doctorat de médecine leur donnerait toutes les connaissances… Il n’y a pas de bonne formation à la psychanalyse, ni de bon professeur, car chaque rencontre avec un patient nécessite une méthode particulière ! En effet, comme chaque être en souffrance est unique, il doit y avoir pour chacun une manière unique de l’écouter.
Et un bon professeur n’a pas toujours de bons élèves…
Pour le praticien, sa chance est — dans la solitude et son angoisse de ne pas être à la hauteur — d’avoir confiance en des pairs, à côté de lui, disponibles pour un partage, un soutien, une écoute référentielle. C’est cela qui devrait lui permettre de poursuivre sa quête de l’humain, de l’amour humain.
La légende voudrait que pour devenir psychanalyste, il suffirait de poser sa plaque… c’était la grande blague qu’aimait répéter dans ses monologues en bonne compagnie, Florian MANTIONE, et qu’il avait utilisé pour présenter l’auteur de ces propos — à citer : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, ou Yves de FRANCQUEVILLE, pour réveiller les moteurs de recherches de l’Internet — lors d’une conférence à plusieurs voix où j’étais invité comme intervenant, à la Clinique de la Colombière, à Montpellier, en la présence de son directeur, l’éminent professeur DANAN, ce psychiatre et expert auprès des tribunaux de Montpellier… celui que je chahutais au paragraphe précédent pour ses propos fameux sur les liens étroits entre médecine et industries pharmaceutiques !
Ah, l’humour de Florian MANTIONE !
Je pense que derrière un humour cachant peut-être une certaine jalousie, il se trompe : Oui… il faut comprendre qu’il est très très difficile de « poser sa plaque ».
D’ailleurs, il n’y a quasiment plus de psychanalystes indépendants, de moins de cinquante ans, en France !
Et cependant, des facultés comme celle de Montpellier, inventent des formations plus ou moins diplômantes de psychanalystes autour d’adeptes de feu Jacques LACAN…
Donner un « pseudo diplôme » comme le souhaiteraient certains, rendrait la tâche moins délicate pour « poser sa plaque », mais cela risquerait de rendre les psychanalystes moins honnêtes avec eux-mêmes, voire trop sûrs d’eux-mêmes. Il y a de bons garagistes, et des mauvais. Il y a des dentistes humanistes et de très vilains arracheurs de dents fort diplômés. Donnons-nous l’audace d’être de bons analystes, avec nos fragilités et notre droit à l’erreur sans être destructeurs, en écoutant, en débattant, en apprenant toujours avec nos référents, collègues et professeurs. La Psychanalyse n’est pas une science, une doctrine, une religion… Ce n’est pas non plus une magie blanche ou noire.
Comme pour le médecin — lui, bien tenu évidemment au serment d’HIPPOCRATE — personne ne peu prétendre guérir !
Allons, nous dit SOCRATE, porter un coq au dieu !
Je ne suis pas médecin.
Par quelques clics à travers mes sites et blogs, vous avez de belles pages détaillées sur mon parcours de vivant.
Il est difficile de résumer mon histoire avec la création de ce nouveau site : près de vingt cinq années d’études, de travail, de rencontres, de recherches tout azimut, souvent mises à mal par des êtres médiocres, mais parfois puissants.
Faut-il se venger ?
Non, comme l’a dit un des fondateurs du karaté,
Je pense que derrière un humour cachant peut-être une certaine jalousie, il se trompe : Oui… il faut comprendre qu’il est très très difficile de « poser sa plaque ».
D’ailleurs, il n’y a quasiment plus de psychanalystes indépendants, de moins de cinquante ans, en France !
Et cependant, des facultés comme celle de Montpellier, inventent des formations plus ou moins diplômantes de psychanalystes autour d’adeptes de feu Jacques LACAN…
Donner un « pseudo diplôme » comme le souhaiteraient certains, rendrait la tâche moins délicate pour « poser sa plaque », mais cela risquerait de rendre les psychanalystes moins honnêtes avec eux-mêmes, voire trop sûrs d’eux-mêmes. Il y a de bons garagistes, et des mauvais. Il y a des dentistes humanistes et de très vilains arracheurs de dents fort diplômés. Donnons-nous l’audace d’être de bons analystes, avec nos fragilités et notre droit à l’erreur sans être destructeurs, en écoutant, en débattant, en apprenant toujours avec nos référents, collègues et professeurs. La Psychanalyse n’est pas une science, une doctrine, une religion… Ce n’est pas non plus une magie blanche ou noire.
Comme pour le médecin — lui, bien tenu évidemment au serment d’HIPPOCRATE — personne ne peu prétendre guérir !
Allons, nous dit SOCRATE, porter un coq au dieu !
Je ne suis pas médecin.
Par quelques clics à travers mes sites et blogs, vous avez de belles pages détaillées sur mon parcours de vivant.
Il est difficile de résumer mon histoire avec la création de ce nouveau site : près de vingt cinq années d’études, de travail, de rencontres, de recherches tout azimut, souvent mises à mal par des êtres médiocres, mais parfois puissants.
Faut-il se venger ?
Non, comme l’a dit un des fondateurs du karaté,
« Combattre est déjà une défaite ».
Je préfère user de la plume, et offrir grâce au progrès de l’Internet,
une communication franche et directe.
C’est donc la parole libérée : le moyen choisi pour tenter de réparer le massacre orchestré par quelques juges iniques et une presse de caniveau salace et diffamante, notamment le Midi Libre de Montpellier, qui a besoin des brèves de comptoir de ses écrivailleurs semblant étrangement passionnés par le sexe malsain. S’il faut en nommer un, je le ferai, non comme bouc émissaire, mais comme symbole du journalisme à la Dick MAY : ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T, celui qui écrit trop souvent « ce qu'on lui a rapporté » ou ce que ses grands maîtres lui ont demandé de diffuser à la presse… pour éduquer, pour formater le peuple !
Il est plus fort qu'un évangéliste… ce Yanick PHILIPPONNAT, à étaler la bonne parole et la vérité vraie… des certitudes, alors qu'il n'est pas si souvent présent sur les lieux lors des souffrances de ses proies !
Un chasseur de primes…
Certains traquent en effet comme lui, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T (ce « mètre-étalon » du journalisme désespérant, fils consanguin de Dick MAY, créatrice de l’école des médiocres : l’École de Journalisme d’État), le croustillant, le libidineux — notamment en matière de sexe — pour nous envahir d’informations douteuses, non à propos… et souvent calomnieuses.
Parler de la santé, c’est aussi parler sexe…
Sexe, sexe, sexe… Et si nous parlions d'amour ?
Faut-il alors continuer à se laisser endormir par ces journalistes nombreux dans la lignée des ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T, en quête de sensations, qui tissent leurs toiles nauséeuses à partir d’un extrait, d’une phrase, voire d’un mot pour mettre à mal un travail de recherches développé dans le but de permettre à l’humain d’évoluer enfin ?
Pour mon cas, la violence des attaques fut terrible.
Un vrai passage de l’Inquisition sur l'homme à abattre : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE !
C’est donc la parole libérée : le moyen choisi pour tenter de réparer le massacre orchestré par quelques juges iniques et une presse de caniveau salace et diffamante, notamment le Midi Libre de Montpellier, qui a besoin des brèves de comptoir de ses écrivailleurs semblant étrangement passionnés par le sexe malsain. S’il faut en nommer un, je le ferai, non comme bouc émissaire, mais comme symbole du journalisme à la Dick MAY : ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T, celui qui écrit trop souvent « ce qu'on lui a rapporté » ou ce que ses grands maîtres lui ont demandé de diffuser à la presse… pour éduquer, pour formater le peuple !
Il est plus fort qu'un évangéliste… ce Yanick PHILIPPONNAT, à étaler la bonne parole et la vérité vraie… des certitudes, alors qu'il n'est pas si souvent présent sur les lieux lors des souffrances de ses proies !
Un chasseur de primes…
Certains traquent en effet comme lui, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T (ce « mètre-étalon » du journalisme désespérant, fils consanguin de Dick MAY, créatrice de l’école des médiocres : l’École de Journalisme d’État), le croustillant, le libidineux — notamment en matière de sexe — pour nous envahir d’informations douteuses, non à propos… et souvent calomnieuses.
Parler de la santé, c’est aussi parler sexe…
Sexe, sexe, sexe… Et si nous parlions d'amour ?
Faut-il alors continuer à se laisser endormir par ces journalistes nombreux dans la lignée des ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T, en quête de sensations, qui tissent leurs toiles nauséeuses à partir d’un extrait, d’une phrase, voire d’un mot pour mettre à mal un travail de recherches développé dans le but de permettre à l’humain d’évoluer enfin ?
Pour mon cas, la violence des attaques fut terrible.
Un vrai passage de l’Inquisition sur l'homme à abattre : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE !
Comme l’écrivait donc le journaliste du Midi Libre, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T — passionné des bruits de talons dans la salle des pas perdus — « c’est le procès d’un hérétique ou d’un charlatan »…
Avant même le verdict, j’étais condamné par ce journaliste qui se permet dans ses articles de presse de se moquer de ma diction… signalant un cheveux sur la langue ! j’aurais eu un autre handicap visible ou audible… aurait-il encore osé davantage la moquerie ? Si j’avais trois testicules ou un seul… en aurait-il informé le lecteur, quand on lit ce qu’il ose écrire avec un tel voyeurisme nauséeux, et un approximatif inquiétant… ou un engagement totale :
« Yves de FRANCQUEVILLE est un hérétique ou un charlatan ? »… C’est au choix pour le journaliste : il propose avant que les juges ne décident : le bûcher ou la corde !
Ou la tête à couper ?
Avant même le verdict, j’étais condamné par ce journaliste qui se permet dans ses articles de presse de se moquer de ma diction… signalant un cheveux sur la langue ! j’aurais eu un autre handicap visible ou audible… aurait-il encore osé davantage la moquerie ? Si j’avais trois testicules ou un seul… en aurait-il informé le lecteur, quand on lit ce qu’il ose écrire avec un tel voyeurisme nauséeux, et un approximatif inquiétant… ou un engagement totale :
« Yves de FRANCQUEVILLE est un hérétique ou un charlatan ? »… C’est au choix pour le journaliste : il propose avant que les juges ne décident : le bûcher ou la corde !
Ou la tête à couper ?
Mais avant les procès…
en route vers les enfers !
en route vers les enfers !
Quatre gendarmes malsains, en quête de sensations, traquant « un pédé d'aristocrate » certainement dénoncé comme possible sectaire pédophile… Et tout cela aussi à la demande de leur supérieur dont la sœur fut mis à défaut par le psychanalyste conseiller familial, ayant demandé une enquête sociale, craignant pour la santé de ses enfants… il leur faut la tête de cet homme libre !
On ne touche pas aux secrets de la bourgeoisie …
La perquisition…
Sur quelques milliers de pages de notes conservées dans un ordinateur, un brouillon de mon « petit dictionnaire libéré sur la sexualité » fut découvert par un logiciel assez efficace et une demi phrase sortie de son contexte suffit à me mettre en examen !
J'écrivais dans mon brouillon : "PÉDOPHILE" est un joli mot, qui veut dire "aimer les enfants", et que pour dénoncer celui ou celle qui abuse et massacre un enfant par la sexualité, c'est "PEDOSEXUEL" qu'il serait plus honnête de proposer… et dire alors "HOMOPHILE" plutôt que le mot "HOMOSEXUEL"… car la sexualité de personnes libres, consentantes et d’âge nubile ne nous regarde pas…
Pour la procureur et la petite juge, toutes les deux en quête d’une nouvelle médaille, c’est suffisant… avec « "PÉDOPHILE" est un joli mot », cela suffit pour faire du philanalyste en herbe, un dangereux personnage !
Bon, j’explique aussi dans d’autres articles, en détail dans mes autres sites et blogs, que notamment — un peu par ma faute — un gentil notable proche parent d’un politique local et national, a eu (seulement) trois ans de prison ferme, pour avoir abusé pendant neuf années de sa belle fille mineure, sous le regard discret de la mère de cette dernière qui m’accuse évidemment d’avoir tout fomenté… préférant son compagnon à sa fille !
Cela fait désordre en effet dans une petite ville de province, et les liens sont nombreux entre certains hautement placés qui préfèrent le « silence on viole » au sauvetage d’une enfant !
Oui, aussi, le plus étrange, c'est de découvrir que le Journaliste ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T avait couvert lui-même discrètement l'affaire de mœurs sur la ville, avec un article très soft pour le notable proche de son « obédience politique » : un article du Midi Libre cette fois signé juste de ses initiales "YP"… impossible à trouver sur la toile de l’internet… avec très peu de fois nommé le condamné NAVARRO, alors que dans les articles sur Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, le nom du prévenu était cité et répété le plus possible afin de servir pour les moteurs de recherches !
Oh, comme c’est étrange.
J’ai aussi abusé de mon talent pour lutter contre quelques sectes fortement appréciées par certains bourgeois… et leur meilleure manière de me reprocher d’avoir libéré plusieurs de leurs sujets, fut de me dénoncer comme sectaire.
Heureusement que je ne suis pas « juif » ! (Il faudrait vérifier tout de même avec ma grand-mère maternelle et sa mère).
Enfin, laïc et chercheur, je n’ai pas la notion de l’idée de dieux et cela ne plaît pas trop (et même pas du tout) à certains, lorsque je fais un soi-disant amalgame entre excision et circoncision…
Là, si l’on touche à quelques points sensibles des courants religieux, nous voici donc en danger !
Je persiste et je signe !
Mes travaux vous sont offerts gratuitement, et de mon vivant… tout n’a pas été détruit en effet lors de la perquisition, car j’avais beaucoup de sauvegardes en des lieux divers.
Et surtout, je continue chaque jour à chercher des portes nouvelles, en étudiant, rencontrant, écoutant toujours davantage les vivants présents et acteurs, et ceux en devenir !
Pour mémoire donc, vous trouverez notamment bientôt une des causes du scandale dans mon dictionnaire en ligne ; à savoir que je pense en effet le mot « pédophile » est mal approprié pour parler d’une personne qui abuse hélas sexuellement d’un enfant : C’est bien le mot « pédosexuel » qu’il serait plus judicieux de proposer.
Ma quête est humaniste. Mes recherches sont sérieuses.
Je ne prétends pas avoir une quelconque vérité à proposer ou imposer : je suis un homme libre, un pirate des mots, un philanalyste en herbe : « qui s'intéresse à l'analyse de l'amour humain », qui tente de chercher à libérer par l'exemple et le désir, les prisonniers résignés d’une civilisation dirigée par le principe de consommation et la dictature des économistes, des religions comme celle des politiques…
Ah…
Ne plus se soumettre aux puissants de l’argent ou des idées.
Permettre à chacun de trouver une spiritualité qui lui est propre, axée sur des valeurs libérées de la morale, avec des traditions libérées du sacré !
Le monde souffre d’une morale étatique castratrice et avilissante qui pousse finalement les humains à vivre comme des bêtes.
Et beaucoup sont dans la servitude volontaire.
S’intéresser à notre santé… apprendre à aimer…
Et si l’on aborde le sujet de la sexualité, que cela rime avec plaisir et amour…
Alors nous pouvons découvrir d’autres mots comme harmonie, bien-être, entente cordiale entre les humains… et c’est formidable…
Je m’y adonne.
Merci de m'avoir lu…
Je suis vivant par votre lecture !
On ne touche pas aux secrets de la bourgeoisie …
La perquisition…
Sur quelques milliers de pages de notes conservées dans un ordinateur, un brouillon de mon « petit dictionnaire libéré sur la sexualité » fut découvert par un logiciel assez efficace et une demi phrase sortie de son contexte suffit à me mettre en examen !
J'écrivais dans mon brouillon : "PÉDOPHILE" est un joli mot, qui veut dire "aimer les enfants", et que pour dénoncer celui ou celle qui abuse et massacre un enfant par la sexualité, c'est "PEDOSEXUEL" qu'il serait plus honnête de proposer… et dire alors "HOMOPHILE" plutôt que le mot "HOMOSEXUEL"… car la sexualité de personnes libres, consentantes et d’âge nubile ne nous regarde pas…
Pour la procureur et la petite juge, toutes les deux en quête d’une nouvelle médaille, c’est suffisant… avec « "PÉDOPHILE" est un joli mot », cela suffit pour faire du philanalyste en herbe, un dangereux personnage !
Bon, j’explique aussi dans d’autres articles, en détail dans mes autres sites et blogs, que notamment — un peu par ma faute — un gentil notable proche parent d’un politique local et national, a eu (seulement) trois ans de prison ferme, pour avoir abusé pendant neuf années de sa belle fille mineure, sous le regard discret de la mère de cette dernière qui m’accuse évidemment d’avoir tout fomenté… préférant son compagnon à sa fille !
Cela fait désordre en effet dans une petite ville de province, et les liens sont nombreux entre certains hautement placés qui préfèrent le « silence on viole » au sauvetage d’une enfant !
Oui, aussi, le plus étrange, c'est de découvrir que le Journaliste ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même*T avait couvert lui-même discrètement l'affaire de mœurs sur la ville, avec un article très soft pour le notable proche de son « obédience politique » : un article du Midi Libre cette fois signé juste de ses initiales "YP"… impossible à trouver sur la toile de l’internet… avec très peu de fois nommé le condamné NAVARRO, alors que dans les articles sur Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, le nom du prévenu était cité et répété le plus possible afin de servir pour les moteurs de recherches !
Oh, comme c’est étrange.
J’ai aussi abusé de mon talent pour lutter contre quelques sectes fortement appréciées par certains bourgeois… et leur meilleure manière de me reprocher d’avoir libéré plusieurs de leurs sujets, fut de me dénoncer comme sectaire.
Heureusement que je ne suis pas « juif » ! (Il faudrait vérifier tout de même avec ma grand-mère maternelle et sa mère).
Enfin, laïc et chercheur, je n’ai pas la notion de l’idée de dieux et cela ne plaît pas trop (et même pas du tout) à certains, lorsque je fais un soi-disant amalgame entre excision et circoncision…
Là, si l’on touche à quelques points sensibles des courants religieux, nous voici donc en danger !
Je persiste et je signe !
Mes travaux vous sont offerts gratuitement, et de mon vivant… tout n’a pas été détruit en effet lors de la perquisition, car j’avais beaucoup de sauvegardes en des lieux divers.
Et surtout, je continue chaque jour à chercher des portes nouvelles, en étudiant, rencontrant, écoutant toujours davantage les vivants présents et acteurs, et ceux en devenir !
Pour mémoire donc, vous trouverez notamment bientôt une des causes du scandale dans mon dictionnaire en ligne ; à savoir que je pense en effet le mot « pédophile » est mal approprié pour parler d’une personne qui abuse hélas sexuellement d’un enfant : C’est bien le mot « pédosexuel » qu’il serait plus judicieux de proposer.
Ma quête est humaniste. Mes recherches sont sérieuses.
Je ne prétends pas avoir une quelconque vérité à proposer ou imposer : je suis un homme libre, un pirate des mots, un philanalyste en herbe : « qui s'intéresse à l'analyse de l'amour humain », qui tente de chercher à libérer par l'exemple et le désir, les prisonniers résignés d’une civilisation dirigée par le principe de consommation et la dictature des économistes, des religions comme celle des politiques…
Ah…
Ne plus se soumettre aux puissants de l’argent ou des idées.
Permettre à chacun de trouver une spiritualité qui lui est propre, axée sur des valeurs libérées de la morale, avec des traditions libérées du sacré !
Le monde souffre d’une morale étatique castratrice et avilissante qui pousse finalement les humains à vivre comme des bêtes.
Et beaucoup sont dans la servitude volontaire.
S’intéresser à notre santé… apprendre à aimer…
Et si l’on aborde le sujet de la sexualité, que cela rime avec plaisir et amour…
Alors nous pouvons découvrir d’autres mots comme harmonie, bien-être, entente cordiale entre les humains… et c’est formidable…
Je m’y adonne.
Merci de m'avoir lu…
Je suis vivant par votre lecture !
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Vous êtes de plus en plus nombreux à venir sur mes pages… et déjà une moyenne de 10.000 visites par mois sur l'ensemble des sites et blogs, depuis le mois de mai 2013. Merci encore !
Propos libres sans gravité écrits par Yves de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe. Tous droits réservés ©.
L'usage l'une phrase sortie de son contexte n'est surtout pas souhaitable… si c'est réalisé pour créer le trouble et servir à calomnier !
L'usage l'une phrase sortie de son contexte n'est surtout pas souhaitable… si c'est réalisé pour créer le trouble et servir à calomnier !
Auteur : Yves Philippe de Francqueville