Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
Pirate des mots et philanalyste en herbe
présente dans le cadre des propos libres sans gravité
un article sur l'art de vivre :
Pirate des mots et philanalyste en herbe
présente dans le cadre des propos libres sans gravité
un article sur l'art de vivre :
Ode au travail
Ce texte est construit à partir d'un papier proposé à la presse, refusé voici quelques années… parce qu’il était semble-t-il un peu trop engagé ! Le rédacteur en chef a eu en effet trop peur de publier une ode au travail dédiée à Martine AUBRY… craignant les foudres de son patron !
Le voici revisité, complété et annoté grâce à de nouvelles données d’actualités.
Il fait parti des propos libres et sans gravité sur l’art de vivre, écrits par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Si ce nom d’auteur est plusieurs fois cité dans cet article, c’est pour permettre aux moteurs de recherche de l’Internet de se rappeler à son bon souvenir…
Le voici revisité, complété et annoté grâce à de nouvelles données d’actualités.
Il fait parti des propos libres et sans gravité sur l’art de vivre, écrits par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Si ce nom d’auteur est plusieurs fois cité dans cet article, c’est pour permettre aux moteurs de recherche de l’Internet de se rappeler à son bon souvenir…
Est-ce un acte salvateur
Que d’abolir les trente-cinq heures ?
Ce matin, j’ai reçu d’un bon ami, une vidéo géniale !
Oh… mais quelle extraordinaire rencontre entre l’Extrême Orient et l’Occident sous forme d’une « ode au travail » par Son Excellence l'ancien ambassadeur de Chine en France, Wu JIANMIN à Alain JUPPÉ, en liste pour être à ce qu’il se dit, le futur président de la France (et des Français qui vont voter pour lui ou pour une autre personne, ou s’abstenir… c’est le principe de la démocratie d’être le président même de celles et ceux qui n’en veulent pas).
Je vous offre le petit résumé écrit qui était avec la vidéo qui dure trois minutes… mais je vous la projette, avant… elle vaut le détour :
Oh… mais quelle extraordinaire rencontre entre l’Extrême Orient et l’Occident sous forme d’une « ode au travail » par Son Excellence l'ancien ambassadeur de Chine en France, Wu JIANMIN à Alain JUPPÉ, en liste pour être à ce qu’il se dit, le futur président de la France (et des Français qui vont voter pour lui ou pour une autre personne, ou s’abstenir… c’est le principe de la démocratie d’être le président même de celles et ceux qui n’en veulent pas).
Je vous offre le petit résumé écrit qui était avec la vidéo qui dure trois minutes… mais je vous la projette, avant… elle vaut le détour :
Son Excellence l'ancien ambassadeur de Chine en France « donne un cours d'économie aux Français et un cours particulier à Alain JUPPÉ qui en tant qu'éternel fonctionnaire en a bien besoin.
Les trente-cinq heures de Martine AUBRY ont beaucoup fait rire les Chinois pour qui le travail est la source de la richesse, et bien fait, il n'est pas un fardeau (CONFUCIUS disait : "choisis un métier qui te plaît et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie") mais ceux qui s'oppose au travail encouragent la paresse. Enfin les trente-cinq heures plombent la compétitivité des entreprises françaises.
Jusqu'en 1978 en Chine, les chefs d'entreprise étaient considérés comme des malfaiteurs.
Depuis Deng XIAOPING, ce sont eux qui font marcher l'économie chinoise grâce au secteur privé qui crée 75% des emplois. Il y a maintenant cinquante millions de chefs d'entreprise en Chine.
Si Mao ZEDONG avait eu le même parcours que Deng XIAOPING, il n'y aurait pas eu autant de ravages en Chine pendant des décennies ».
Magnifique « relecture » de l’histoire !
Avant de nous plonger dans « l’ode au travail »… osons, nous aussi, un peu d’histoire sous un autre regard, pour s’interroger sur les deux mondes auxquels la politique d’ARISTOTE semble vouloir nous limiter : être de ceux qui travaillent ou faire partie des parasites…
Je suis convaincu cependant, depuis mon plus jeune âge, qu’il y a d’autres voies que cette réalité binaire, pour que l’humain vive et non sousvive ou survive !
Il y a quelque temps de cela, quelques troupeaux compacts de gentils Français moutons très sensibles aux manipulations des médias, ont senti comme une odeur de soufre planant sur la République.
La peur de chemises brunes dans la rue…
Les infâmes bruits de bottes…
Attention ! La bête immonde est de retour…
Jeunes en tête, les voilà forts nombreux dans nos rues pour sauver la démocratie et faire élire à 82 % le soi-disant garant de nos libertés et de notre bien être, Jacques CHIRAC.
La France était sauvée : Jean-Marie Le PEN n'avait pas pris le pouvoir par les urnes.
Nous laissions donc aux amis de Jacques CHIRAC le droit de vivre encore pour quelques années, très aisément dans les palais de la République, avec l’argent donné par des cons-tribuables, adeptes de la soumission volontaire !
Révolution après révolution, élection après élection, les gouvernements se suivent, toujours constitués d’arrivés, de pseudo notables embourgeoisés qui vivent en parasites sur le dos des peuples qui continuent à les gaver alors qu’ils ont bien souvent quelques difficultés à se nourrir eux-mêmes.
La France sera presque démocratique lorsque TOUS les politiciens fonctionnaires de l’État gagneront chacun grand maximum le SMIC… sans aucune compensation, ni AUCUN PRIVILÈGE autre que leur charge d’élu.
C’est presque le cas dans certains pays nordiques comme le Danemark et la Suède…
Représenter le peuple, ce n’est pas l’exploiter… c’est le servir !
Représenter le peuple ce doit être un honneur et non une suite de privilèges, de passe-droits et autres florilèges d’avantages payés par les peuples et qui les rendent exsangues !
Un Jean-Luc MÉNENCHON au SMIC horaire serait plus crédible auprès des ouvriers que de le savoir haut fonctionnaire cumulant des salaires et des retraites « de ministre » !
Quand nous savons combien gagnent les députés, sénateurs et autres tribuns… avec tous leurs droits… et personne ne s’insurge… le peuple même acquiesce !
Peut-être parce que le pion dans le jeu d’échec rêve encore d’être le roi ?
Mais cela n’est jamais arrivé…
L’espérance ou la soif du pouvoir ?
Oui !
C’est la chanson de Renaud SÉCHAN : Hexagone… à lire et à écouter, elle qui fut interdite à la radio… elle n’a pas vieillie en presque quarante ans… sauf que les cinquante millions de prétendants sont maintenant soixante !
Oh, c’est incroyable… hier soir lors d’une réunion où l’on discutait plutôt cinéma, alors que le sujet des intermittents pointait… j’ai osé aborder avec finesse les revenus de Jean-Luc MÉNENCHON que je trouvais en non adéquation avec ses discours sur le peuple qu’il dit comprendre et soutenir, voire même représenter… et quelle fut ma surprise : la demoiselle intermittente et le directeur de festival trouvaient ensemble « légitimes » les revenus du tribun en raison du travail fourni et de ses bien lourdes responsabilités !
Alors qu’elle donne tant d’heures pour créer du beau, cette jeune artiste… en ayant à peine de quoi vivre… elle trouve « normal » qu’un politicien gagne plus de vingt fois son salaire !
Ah, ce n’est pas demain la veille d’un changement, quand les petites gens se persuadent toujours que leur temps de travail vaut moins que celui du maître du moment…
Mais si le maître semble si grand, c’est peut-être que nous sommes à genoux devant lui ?
Debout ! dirait encore aujourd’hui Étienne de La BOÉTIE, s’il revenait nous édifier.
Dommage qu’il soit mort si jeune… ce bel amant de Michel de MONTAIGNE, très certainement empoisonné parce qu’il dérangeait par sa liberté et son audace, par ses sentiments et sa conscience de l’amour humain !
Mais non, mais non… nous disent les historiens d’État… C’est comme pour Blaise PASCAL de MONS ou pour Boris VIAN, Albert CAMUS et tant d’autres : toutes ces morts sont totalement naturelles pour ces humanistes qui dérangent dans un monde qui est actuellement régit par l’autorité, donc avec la violence et la corruption comme bon usage, si nous nous référons aux livres de lois comme « Le Prince » de Nicolas de MACHIAVEL — ouvrage préféré des politiques — où l’on apprends que « le mensonge est un devoir d’État » parce que « la fin justifie les moyens » !
Adolf HITLER écrivait la même chose dans son programme politique « Mein Kampf », « Mon Combat ».
Tant de petits qui veulent être plus grands afin d’obtenir des faveurs ou du pouvoir… donc, c’est-à-dire, à être abusé ou à abuser de l’autre au lieu de se considérer, de se respecter… de s’aimer pour être en mesure de considérer, de respecter, d’aimer l’autre !
Quand donc les humains oseront se libérer de l’autorité pour vivre ensemble en anarchie ?
Qui est prêt à abolir enfin les privilèges, et de vivre au gré du mérite de chacun, de se réjouir de nos valeurs, en étant à la recherche de l’amour humain ?
Les ors de la République, les palais, les fastes… fi de tout cela pour nos parasites embourgeoisés qui jouent aux tristes nobles poudrés de l’Ancien Régime, aux frais des cons-tribuables, à merci !
Les arts sont pour tous ceux qui sont acteurs…
Le beau se mérite, se construit, se gagne par l’apprentissage, la volonté, l’audace et le talent.
« Votez pour moi, vous êtes beaux, je vous aime, et vous ne serez pas déçu »… clamait Jacques CHIRAC, lui qui a toujours vécu « aux dépends de celui qui l’écoute » pour citer Jean de La FONTAINE !
Quand il est montré au peuple pour une de ses dernières saillies de grand vieillard malade, Jacques CHIRAC est toujours acclamé par une foule qui idolâtre un homme qui fut toute sa vie un parasite manipulateur et conspirateur, un tricheur au service de sa propre gloire.
C’est l’homme politique par excellence !
Louis Antoine de SAINT-JUST écrivait : « Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, c'est son gouvernement ».
Et encore : « Tous les arts ont produit des merveilles : l'art de gouverner n'a produit que des monstres ».
Il n’y a pas d’art à gouverner… encore moins d’art de la guerre…
L’art nous ouvre l’esprit au beau, au plaisir, à l’amour !
Un peuple qui se laisse gouverner va à sa perte : les moutons arrivent toujours à l’abattoir lorsqu’ils ont un berger présent pour les guider… et le loup est peut-être plus facilement évitable que le grand camion qui attends les trois petits cochons devant la ferme…
L’occasion d’une petite digression pour placer un peu de culture sous un autre regard : « La véritable histoire des trois petits cochons et du grand méchant loup, d’après des documents authentiques », par le même auteur, à lire en ligne dans : « Les nouveaux contes de moelle », des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
La démocratie ?
Le « droit de vote », c’est une grande illusion… l’art de fomenter une dictature sans que le sang ne coule en direct, où nous offrons à nos tyrans désignés le droit absolu de nous exploiter pour qu’ils profitent et s’engraissent à loisir, au sénat, à l’assemblée nationale, à l’assemblée européenne, dans les régions, les départements, les mairies, les préfectures, les ambassades, et toutes ces multiples niches paradisiaques où les salaires sont souvent à cinq chiffres et qui tombent tous les mois pour les politiques et leurs familles et amis, pendant que le bas peuple sousvie avec à peine un SMIC, ou un RSA, ou une pension, ou une faible retraite…
Connaissons-nous une seule élection qui ne soit pas trichée, manipulée, orchestrée, corrompue par un système qui utilise l’argent, les médias, la peur et la naïveté des votants ?
Il n’y en a pas…
L’histoire se réécrit par les puissants pour les puissants !
Hélas !
Et ce n’est pas pour être défaitiste ou pessimiste !
Écoutons Henri GUILLEMIN, historien plutôt intègre (c’est pourquoi il est toujours banni par les politiciens) lorsqu’il raconte par exemple cette situation atemporelle de « L’entre deux guerres » :
La première partie est un morceau de bravoure historique :
Les trente-cinq heures de Martine AUBRY ont beaucoup fait rire les Chinois pour qui le travail est la source de la richesse, et bien fait, il n'est pas un fardeau (CONFUCIUS disait : "choisis un métier qui te plaît et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie") mais ceux qui s'oppose au travail encouragent la paresse. Enfin les trente-cinq heures plombent la compétitivité des entreprises françaises.
Jusqu'en 1978 en Chine, les chefs d'entreprise étaient considérés comme des malfaiteurs.
Depuis Deng XIAOPING, ce sont eux qui font marcher l'économie chinoise grâce au secteur privé qui crée 75% des emplois. Il y a maintenant cinquante millions de chefs d'entreprise en Chine.
Si Mao ZEDONG avait eu le même parcours que Deng XIAOPING, il n'y aurait pas eu autant de ravages en Chine pendant des décennies ».
Magnifique « relecture » de l’histoire !
Avant de nous plonger dans « l’ode au travail »… osons, nous aussi, un peu d’histoire sous un autre regard, pour s’interroger sur les deux mondes auxquels la politique d’ARISTOTE semble vouloir nous limiter : être de ceux qui travaillent ou faire partie des parasites…
Je suis convaincu cependant, depuis mon plus jeune âge, qu’il y a d’autres voies que cette réalité binaire, pour que l’humain vive et non sousvive ou survive !
Il y a quelque temps de cela, quelques troupeaux compacts de gentils Français moutons très sensibles aux manipulations des médias, ont senti comme une odeur de soufre planant sur la République.
La peur de chemises brunes dans la rue…
Les infâmes bruits de bottes…
Attention ! La bête immonde est de retour…
Jeunes en tête, les voilà forts nombreux dans nos rues pour sauver la démocratie et faire élire à 82 % le soi-disant garant de nos libertés et de notre bien être, Jacques CHIRAC.
La France était sauvée : Jean-Marie Le PEN n'avait pas pris le pouvoir par les urnes.
Nous laissions donc aux amis de Jacques CHIRAC le droit de vivre encore pour quelques années, très aisément dans les palais de la République, avec l’argent donné par des cons-tribuables, adeptes de la soumission volontaire !
Révolution après révolution, élection après élection, les gouvernements se suivent, toujours constitués d’arrivés, de pseudo notables embourgeoisés qui vivent en parasites sur le dos des peuples qui continuent à les gaver alors qu’ils ont bien souvent quelques difficultés à se nourrir eux-mêmes.
La France sera presque démocratique lorsque TOUS les politiciens fonctionnaires de l’État gagneront chacun grand maximum le SMIC… sans aucune compensation, ni AUCUN PRIVILÈGE autre que leur charge d’élu.
C’est presque le cas dans certains pays nordiques comme le Danemark et la Suède…
Représenter le peuple, ce n’est pas l’exploiter… c’est le servir !
Représenter le peuple ce doit être un honneur et non une suite de privilèges, de passe-droits et autres florilèges d’avantages payés par les peuples et qui les rendent exsangues !
Un Jean-Luc MÉNENCHON au SMIC horaire serait plus crédible auprès des ouvriers que de le savoir haut fonctionnaire cumulant des salaires et des retraites « de ministre » !
Quand nous savons combien gagnent les députés, sénateurs et autres tribuns… avec tous leurs droits… et personne ne s’insurge… le peuple même acquiesce !
Peut-être parce que le pion dans le jeu d’échec rêve encore d’être le roi ?
Mais cela n’est jamais arrivé…
L’espérance ou la soif du pouvoir ?
Oui !
C’est la chanson de Renaud SÉCHAN : Hexagone… à lire et à écouter, elle qui fut interdite à la radio… elle n’a pas vieillie en presque quarante ans… sauf que les cinquante millions de prétendants sont maintenant soixante !
Oh, c’est incroyable… hier soir lors d’une réunion où l’on discutait plutôt cinéma, alors que le sujet des intermittents pointait… j’ai osé aborder avec finesse les revenus de Jean-Luc MÉNENCHON que je trouvais en non adéquation avec ses discours sur le peuple qu’il dit comprendre et soutenir, voire même représenter… et quelle fut ma surprise : la demoiselle intermittente et le directeur de festival trouvaient ensemble « légitimes » les revenus du tribun en raison du travail fourni et de ses bien lourdes responsabilités !
Alors qu’elle donne tant d’heures pour créer du beau, cette jeune artiste… en ayant à peine de quoi vivre… elle trouve « normal » qu’un politicien gagne plus de vingt fois son salaire !
Ah, ce n’est pas demain la veille d’un changement, quand les petites gens se persuadent toujours que leur temps de travail vaut moins que celui du maître du moment…
Mais si le maître semble si grand, c’est peut-être que nous sommes à genoux devant lui ?
Debout ! dirait encore aujourd’hui Étienne de La BOÉTIE, s’il revenait nous édifier.
Dommage qu’il soit mort si jeune… ce bel amant de Michel de MONTAIGNE, très certainement empoisonné parce qu’il dérangeait par sa liberté et son audace, par ses sentiments et sa conscience de l’amour humain !
Mais non, mais non… nous disent les historiens d’État… C’est comme pour Blaise PASCAL de MONS ou pour Boris VIAN, Albert CAMUS et tant d’autres : toutes ces morts sont totalement naturelles pour ces humanistes qui dérangent dans un monde qui est actuellement régit par l’autorité, donc avec la violence et la corruption comme bon usage, si nous nous référons aux livres de lois comme « Le Prince » de Nicolas de MACHIAVEL — ouvrage préféré des politiques — où l’on apprends que « le mensonge est un devoir d’État » parce que « la fin justifie les moyens » !
Adolf HITLER écrivait la même chose dans son programme politique « Mein Kampf », « Mon Combat ».
Tant de petits qui veulent être plus grands afin d’obtenir des faveurs ou du pouvoir… donc, c’est-à-dire, à être abusé ou à abuser de l’autre au lieu de se considérer, de se respecter… de s’aimer pour être en mesure de considérer, de respecter, d’aimer l’autre !
Quand donc les humains oseront se libérer de l’autorité pour vivre ensemble en anarchie ?
Qui est prêt à abolir enfin les privilèges, et de vivre au gré du mérite de chacun, de se réjouir de nos valeurs, en étant à la recherche de l’amour humain ?
Les ors de la République, les palais, les fastes… fi de tout cela pour nos parasites embourgeoisés qui jouent aux tristes nobles poudrés de l’Ancien Régime, aux frais des cons-tribuables, à merci !
Les arts sont pour tous ceux qui sont acteurs…
Le beau se mérite, se construit, se gagne par l’apprentissage, la volonté, l’audace et le talent.
« Votez pour moi, vous êtes beaux, je vous aime, et vous ne serez pas déçu »… clamait Jacques CHIRAC, lui qui a toujours vécu « aux dépends de celui qui l’écoute » pour citer Jean de La FONTAINE !
Quand il est montré au peuple pour une de ses dernières saillies de grand vieillard malade, Jacques CHIRAC est toujours acclamé par une foule qui idolâtre un homme qui fut toute sa vie un parasite manipulateur et conspirateur, un tricheur au service de sa propre gloire.
C’est l’homme politique par excellence !
Louis Antoine de SAINT-JUST écrivait : « Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, c'est son gouvernement ».
Et encore : « Tous les arts ont produit des merveilles : l'art de gouverner n'a produit que des monstres ».
Il n’y a pas d’art à gouverner… encore moins d’art de la guerre…
L’art nous ouvre l’esprit au beau, au plaisir, à l’amour !
Un peuple qui se laisse gouverner va à sa perte : les moutons arrivent toujours à l’abattoir lorsqu’ils ont un berger présent pour les guider… et le loup est peut-être plus facilement évitable que le grand camion qui attends les trois petits cochons devant la ferme…
L’occasion d’une petite digression pour placer un peu de culture sous un autre regard : « La véritable histoire des trois petits cochons et du grand méchant loup, d’après des documents authentiques », par le même auteur, à lire en ligne dans : « Les nouveaux contes de moelle », des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
La démocratie ?
Le « droit de vote », c’est une grande illusion… l’art de fomenter une dictature sans que le sang ne coule en direct, où nous offrons à nos tyrans désignés le droit absolu de nous exploiter pour qu’ils profitent et s’engraissent à loisir, au sénat, à l’assemblée nationale, à l’assemblée européenne, dans les régions, les départements, les mairies, les préfectures, les ambassades, et toutes ces multiples niches paradisiaques où les salaires sont souvent à cinq chiffres et qui tombent tous les mois pour les politiques et leurs familles et amis, pendant que le bas peuple sousvie avec à peine un SMIC, ou un RSA, ou une pension, ou une faible retraite…
Connaissons-nous une seule élection qui ne soit pas trichée, manipulée, orchestrée, corrompue par un système qui utilise l’argent, les médias, la peur et la naïveté des votants ?
Il n’y en a pas…
L’histoire se réécrit par les puissants pour les puissants !
Hélas !
Et ce n’est pas pour être défaitiste ou pessimiste !
Écoutons Henri GUILLEMIN, historien plutôt intègre (c’est pourquoi il est toujours banni par les politiciens) lorsqu’il raconte par exemple cette situation atemporelle de « L’entre deux guerres » :
La première partie est un morceau de bravoure historique :
Les relectures des élections depuis plus de cent-cinquante ans montrent systématiquement les jeux subtils réalisés pour que la raison soit donnée au plus fort comme l’expliquait encore Jean de La FONTAINE dans Le Loup et l’agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure » !
COLUCHE le disait avec humour : « Si voter servait à quelque chose, il y a longtemps que cela serait interdit » !
Et il nous faut rappeler encore et toujours les propos du Léopard du Panthéon en 1887 : « Ne votez pas, car voter c’est se soumettre, c’est désigner soi-même son maître ; c’est dire : je suis une bête incapable de me conduire »…
Quand un gouvernement est en place… il faut le crédibiliser… et le rentabiliser !
Ensuite, donc, on instaure toujours davantage de propriété privée, l’on vote des lois et des règlements, des interdits et des obligations pour que les entreprises des familles et des amis des partenaires au pouvoir puissent faire produire ce qui est dit bon pour le peuple par le peuple… qui en plus obtient du travail, et pourra ainsi à peine et avec peine nourrir sa progéniture…
Car ne l’oublions pas, la terre devrait être à tous… selon notre capacité à la cultiver pour vivre et faire vivre…
Hélas, les systèmes religieux et politiques mis en place depuis plus de deux mille cinq-cents ans en ont décidé autrement : les plus forts ou les plus rusés s’affirment propriétaires de droit divin et trouvent naturels d’exploiter l’humain plus faible, devenu esclave !
Rentabilité assurée par de nouvelles dépenses indispensables avec des mesures soi-disant préventives, des illusions de risques zéro, des étonnantes normes européennes… de l’alarme de piscine aux alcootests, des normes pour handicapés aux règlementations dans l’agriculture intensive… des consignes pour les hôpitaux publiques aux fabrications d’armes… des prisons construites et des écoles fermées, tout est bon pour que les copains entrepreneurs y trouvent leur compte !
Mais si le peuple a du travail, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles… que ce soit pour fabriquer des mines anti-personnelles ou des prothèses de jambes pour enfants… parfois pour un même patron vendeur de mort, de souffrance et de consolation !
Oh, vendre la mort et la vie, c’est une tradition plus que centenaire chez les grosses firmes industriels, pour ne citer que le groupe BAYER qui produit aussi bien notamment le gaz moutarde « ypérite » que l’héroïne, du désherbant total, des pilules contraceptives et des vitamines en grosses boîtes !
Le tout commerce est la raison d’être de nos sociétés bien avant le plaisir de l’humain ! Mais les millions de bouteilles de champagnes que boivent chaque année nos politiciens et leurs amis aux frais des contribuables font aussi tourner le commerce en France et donnent encore du travail au peuple qui se contente de payer le champagne de leurs dirigeants et de boire le gros rouge qui tache !
L’ouvrier qui travaille ses huit à douze heures par jour, fait tourner l’entreprise au même titre que le technicien, l’ingénieur et le patron… mais les salaires sont multipliés par trois-cents de l’un à l’autre…
Certains voudraient niveler les salaires des uns… d’autres voudraient augmenter le salaire des autres…
Illusion ou moquerie ?
Nous faire croire qu’il faut choisir entre capitalisme et communisme ?
Encore un état binaire désolant !
Et si nous lisions autrement l’histoire de l’humain ?
Nous pourrions alors considérer que l’artisan est lui-même patron, ingénieur, technicien et ouvrier de son œuvre, et qu’il gagne légitimement son dû par la valeur reconnue de ses actes…
L’artisan peut être associé avec d’autres techniciens, d’autres ouvriers et d’autres ingénieurs et tous œuvrent pour réaliser des biens qui sont troqués contre d’autres biens, selon les talents de chacun dans une société anarchique où le temps donné par chacun est considéré…
Oui, c’est une extraordinaire utopie qui est systématiquement mise à mort, hélas, depuis quelques milliers d’années parce que ces biens réalisés par l’artisan et son équipe, la société dirigée par des CICÉRON vient lui prendre comme impôt pour nourrir les parasites de la politique qui maintiennent un système économique naturellement corrompu !
Le communisme n’est en aucun cas la solution comme ne l’est le capitalisme, car l’un confisque la propriété d’usage quand l’autre développe la propriété privée, tous les deux par ruse ou par force.
De mes ancêtres, pour ceux qui se plaisaient à quelques charges auprès du peuple, ils en donnaient de leur propre bourse… plutôt que de s’enrichir sur les plus pauvres !
Certains étaient (pour beaucoup je l’espère, et j’en ai déjà quelques belles listes) des artistes ou des mécènes…
Certains étaient, hélas, des monstres qui exploitaient les plus faibles…
Certains étaient, hélas aussi, des faibles que d’autres exploitaient !
De nos ancêtres, les hommes libres sont peu nombreux…
Et aujourd’hui ?
Qu’est ce que la liberté ?
Ah… la liberté n’est surtout pas aristotélicienne, marxiste, machiavélique ou augustinienne ou d’autres idéologies binaires…
C’est Georg Wilhelm Friedrich HEGEL qui le démontre avec talent dans la dialectique du Maître et de l’esclave : une étude que l’on n’arrive toujours pas à traduire honnêtement… car encore et encore le mot n’est pas l’idée rappelle Alfred Abdank KORZYBSKI.
La langue française est si peu riche en vocabulaire que l’on en oublie les nombreux sens qui peuvent être attribués à un seul mot !
« C’est en œuvrant que l’on atteint la liberté » et surtout pas en « travaillant » !
Le peuple Allemand trouvait « normal » que les camps de travail fleurissent pendant le Reich… avec pour devise : « le travail rend libre », comme en union soviétique l’on écrivait aussi à la porte des camps : « par le travail, la liberté ».
On invente une « race », on stigmatise une religion…
Des masses d’esclaves au travail… pour que l’économie soit prospère !
Pour soulager un peuple, on en extermine un autre… que ce soit aux Amériques, en Asie ou en Europe… en Afrique aussi, bien entendu…
Pour l’Océanie, c’est du pareil au même mais les Anglais, notamment, savent cacher l’horreur mieux que quiconque.
Chacun cherche sa terre promise et se l’accapare par la ruse, la violence ou au nom d’un dieu… alors qu’elle est généralement déjà occupée par un envahisseur arrivé précédemment… mais la mémoire des peuples est si courte et l’on se croit toujours être le « légitime » propriétaire d’un bien !
La terre n’est à personne… c’est nous qui sommes à la terre !
Pas de propriété privée : une propriété d’usage dans le respect et la considération de tous et chacun !
Que ce soit en temps de guerre ou dans l’illusion de la paix, les peuples asservis se soumettent à une autorité pour fabriquer des armes afin d’être tôt ou tard envoyés avec, à la mort… et voir leurs fils et leurs filles aller tuer ou aller mourir au nom d’un idéal, d’une religion ou pour accroitre le territoire de leur tyran…
Le travail…
L’ode au travail…
Il y a quelques années, une femme que beaucoup voudrait oublier, s’est battue contre vents et marées pour donner aux salariés ce qui devait devenir le nouvel acte social de la part d’un gouvernement, à la mesure de la naissance des congés payés. C'était l'avènement des trente-cinq heures !
Oui, un TRÈS grand pas pour l'humanité servile, vers la liberté !
Annoncer à ces hommes et ces femmes qu’ils travaillent trop ! Leur expliquer que quelques heures de liberté gagnées chaque semaine serait la source d’une meilleure harmonisation des familles ! Enfin, que cela donnerait aussi (peut-être) un peu plus de travail à ceux qui sont mis à l’écart du système…
N’était-ce pas une formidable nouvelle ?
Les médias au service des puissances industrielles n'ont pas vraiment valorisé ces propos plaisants et le peuple n'a donc pas compris l'extraordinaire offre de vie qui lui était proposée !
En effet, l’aide de la presse était peu probable : comment croire qu’un journaliste puisse être indépendant lorsque l’on sait que tous les patrons de presse, avec leur étiquette politique, sont de gros banquiers, ou de riches patrons exploitants leur masse salariale !
L'épisode AUBRY n'est plus qu'un lointain mauvais souvenir pour les instances dirigeantes, comme l’avènement de Mai 68… et furent adoptés depuis, en conseil des ministres ou dans nos assemblées, quelques décrets qui ont donné progressivement la mort aux trente-cinq heures, aux RTT, et aux journées de repos en famille.
Les trente-cinq heures ? Une coquille vide sur laquelle certains politiciens s’épanchent encore, comme sur le soi-disant héritage de Mai 68… dilapidé depuis bien longtemps.
La presse et les médias sont toujours là pour nous dire ce qu’il est de bon ton de penser, de dire ou de faire.
Au journal télévisé, la proposition de descendre dans les rues pour sauver quelques heures de temps libre ne semblait pas au goût du jour. Il faut dire que le temps n’est plus ce qu’il était pour sortir tous ensemble.
Peut-être que les Français souhaitent travailler toujours davantage, parce qu’ils s’ennuient avec Arthur sur TF1 ?
La République n'est pas en danger tant que le peuple a du pain et des jeux en suffisance, après un dur labeur, ou une petite guerre.
L’on pourrait proposer bientôt, étant donné les étés pourris qui se suivent — parce que trop de pluie ou trop de sécheresse, trop de périodes froides ou de trop grandes chaleurs — que notre sage gouvernement supprime une ou deux semaines de congés payés et offrent aux « Français d’en bas » le régime des soixante-dix heures par semaine qui fut le lot de beaucoup de leurs ancêtres au XIX° siècle (retrouver le bon vieux temps où l’espérance de vie ne dépassait que rarement les trente ans pour les gens du peuple, ce qui ne causerait plus de souci aux caisses de retraite).
Oui réveillons nous : travaillons plus pour faire gagner encore plus à nos dirigeants.
Donnons aussi la possibilité aux jeunes de sept à douze ans qui traînent dans nos rues ou qui s’ennuient à l’école de la République, la joie de pousser des wagonnets dans les mines, et l’ordre des choses sera enfin rétabli !
À mon compte, professionnel encore indépendant et aimant mon métier, j’avais trouvé l’idée des trente-cinq heures assez révolutionnaire, et même évolutionnaire, pour ceux que le patronat exploite. J’y voyais aussi dans cette foule de termites consciencieux, des jeunes cadres sympathiques souvent de droite qui allaient en profiter. Oui, ces femmes et ces hommes plus ou moins bourrés de diplômes, qui, pour rester à leurs postes et ne pas perdre ces responsabilités gagnées (à la sueur de leur front ou par lettres de recommandations ou pour avoir bousculé le concurrent), se voient contraints de faire — avec esprit de sacrifice et de compétition — des semaines de cinquante où soixante heures, voire davantage, et qui se retrouveront à quarante ans seuls, très seuls, parce que la vie de famille n’a pas pu suivre, et malades pour avoir trop tiré sur la corde.
Les trente-cinq heures pouvaient sauver un grand nombre de couples et éviter bien des cancers et des dépressions !
Oh, bien entendu, en écrivant cela, je mesure la souffrance des patrons contraints de modifier vers le bas leur niveau de placements pour la retraite qu’ils savoureront avec Alzheimer et je les comprends face à cette terrible angoisse du dépôt de bilan s’ils devaient offrir à leurs esclaves — pardon, à leurs salariés — quelques heures de liberté.
Mais oui, ces trente-cinq heures qui laissaient présager les trente-deux puis vingt-neuf heures de travail hebdomadaires, me semblaient être une bonne réalisation sociale.
Rappelons-nous un peu l’histoire ?
Non ?
Pas de souvenirs ?
Cultivons-nous donc alors !
Il est amusant d’apprendre que travail serait selon les certitudes écrites et sacrées des trois grandes nébuleuses des religions monothéistes qui gèrent quasi les deux tiers de la population mondiale, une punition divine pour l’homme et la femme, chassés d’un paradis terrestre.
Le mot « travail » lui-même vient selon le Wiktionnaire : De l’ancien français (XIIe siècle) « travail » (tourment, souffrance), du bas latin (VIe siècle) « tripálĭus » du latin « tripálĭum » (instrument de torture à trois poutres).
Des hommes politiques qui n’ont jamais travaillé (c’est certainement une litote avec redondance) comme Nicolas SARKOSY, osent nous exhorter à « travailler plus pour gagner plus », sans aucune pudeur !
Cette affirmation me donne autant de dégout que sa grande sœur dont nous avons déjà parlé, écrite en lettres de métal, étalées sur le dessus du portail des camps d’Auschwitz et d’ailleurs : « travailler rend libre » !
Quelle horreur !
Otons l’idée de tous ces dieux vengeurs, de tous ces tyrans qui exploitent les peuples qui ont faim, et rétablissons le plaisir !
La vie ne doit pas se limiter à suer par tous ses pores dans des tâches de fourmis…
L’humain est actuellement conditionné pour rester à l’état animal, en donnant à la « reine » un confort qui dure !
Utiliser CONFUCIUS pour prôner le travail est une manipulation sordide…
CONFUCIUS disait : « choisis un métier qui te plaît et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie ».
Au-delà du travail avilissant, il y a les professions de service, d’écoute, l’artisanat, les métiers d’art qui étaient des charges anoblissantes avant la révolution de 1789. Il y a aussi le plaisir de donner la vie d’œuvrer pour le vivant dans une nature qu’il nous faut considérer…
Cultiver notre jardin, aller à la recherche du beau…
Vivre !
De l’artisan plâtrier au maître boulanger, du compagnon verrier au maître tapissier… de l’artisan à l’artiste, il y a une foule de métiers qui ne sont pas du travail, mais du bel ouvrage !
Le médecin qui préfère être au service du patient plutôt que de le dominer en politique (sachant que selon le serment d’HIPPOCRATE, politique et médecine ne sont pas compatibles)… L’avocat qui se présente comme un champion et non comme un profiteur de la faiblesse de son client… beaucoup d’autres professions encore où l’humain n’est pas esclave d’un travail !
Des femmes et des hommes volontaires, qui sont fiers de servir l’autre en étant considérés pour le temps et les compétences données, et d’autres heureux de produire du beau et du bon, d’abord pour eux-mêmes et les leurs, et qui vivent ainsi de leurs talents !
Mais aujourd’hui, l’indépendant est condamné à « mort ».
Il y a les parasites d’en haut (la foule des politiciens fonctionnaires de l’État avec toute sa nébuleuse) qui vivent grassement en ponctionnant ceux qui œuvrent à produire du beau…
Et depuis 1981 dans une situation amplifiée et consolidée avec la naissance du RMI, il y a toujours davantage de parasites d’en bas… « les Sans-Dents », cette fange désolante de laissés-pour-compte qui sousvivent dans la misère avec une ghettoïsation orchestrée. Hélas… des parasites qui végètent avec si peu de moyens et d’argent, pris aussi à ceux qui œuvrent. Des faibles, des handicapés de la vie que la République garde dans cet état d’inaction désolante pour affaiblir les indépendants… cette classe moyenne appelée elle aussi à descendre dans l’esclavage…
Pension d’invalidité ? Revenu Minimum d’Insertion… quel gag ?
Qui saurait s’insérer avec un RMI ?
Personne…
Et maintenant avec un RSA ?
Et c’est l’indépendant qui doit se sentir solidaire et d’entretenir la misère…
Oui…
Les parasites politiques d’en haut ne payent pas d’impôt… et pour celles et ceux qui ont des revenus commerciaux ou autres en sus de leurs charges politiques, ils ont les meilleurs avocats d’affaire qui leur trouvent les meilleurs combines (parfois légales) pour s’abstenir de donner quoi que ce soit de leur fortune au pot commun !
C’est l’indépendant, l’artisan, l’artiste qui paye pour les dirigeants et pour les « Sans-Dents »…
Parce qu’il faut tuer l’indépendant, l’artisan, l’artiste !
Oui, l’homme libre doit être mis à genoux et doit avoir peur ! En effet, celui qui n’est pas inquiet dans son plaisir de vivre en liberté, risque de se désintéresser de son élite dirigeante… et même de se détacher des parasites d’en haut !
On supprime les derniers indépendants de l’agriculture, de l’art, des professions libérales, du monde de l’artisanat… et l’on augmente la masse des esclaves.
Les femmes et les hommes du peuple doivent être réunifiés pour donner leurs mains ou leur tête au service d’un système, d’une guerre : être les prisonniers volontaires d’un groupe tenu par des tyrans…
C’est le retour en grande force des corporations gérées par des puissants, et qui exploitent à bas coup des êtres parfois brillants, condamnés à « travailler » pour un salaire de misère, à produire de la merde… qu’ils devront acheter, consommer pour sous vivre…
Être un jeune boulanger indépendant ?
Impossible : il faut appartenir à une chaîne de boulangerie industrielle, et être salarier esclave d’un patron qui gagne vingt à trente fois le salaire de misère proposé…
Et s’il veut forcer le système : les minoteries n’ont pas le droit (sous peine de perdre leurs gros contrats) de vendre la farine aux indépendants… et s’il trouve un petit moulin indépendant subsistant, qui a trouvé un paysan indépendant subsistant vendant son blé, alors qu’il tente de réussir dans sa belle boulangerie, la concurrence industrielle trouvera la faille ou la créera pour le faire couler…
Quelqu’un qui « fait une affaire » a nécessairement « baisé » quelqu’un d’autre !
Si Mc DONALD a fait fortune, c’est bien parce que le rapport entre la merde vendue et son coût de fabrication était extraordinairement rentable… Si la qualité était au rendez-vous pour le consommateur, Mc DONALD serait resté une enseigne modeste… et l’obésité une maladie rare…
C’est ce que j’entendais textuellement hier matin sur France Info… cette « Radio Paris » des temps modernes !
En effet, un des patrons instigateurs de la « ferme des mille vaches », en Picardie, près d’Abbeville, expliquait à la journaliste qui acquiesçait docilement, que « la production de mauvaise nourriture était nécessaire à développer en ces temps de crise, car les cons-sommateurs regardaient le prix avant la qualité »…
Dans le petit village de mon enfance, vivant quasiment en autarcie dans les années 1960, il y avait plus de vingt petites fermes et une dizaine de cafés épiceries, drogueries bazars, coiffeurs…
Aujourd’hui, plus aucune boutique en service et survivent trois ou quatre exploitations agricoles… et à trois kilomètres à vole d’oiseau, il annonçait maintenant, ce chef d’entreprise élevé au grain, lancer la création d’un poulailler géant à 250.000 volailles… pour nourrir le peuple qui a faim, avec ce qu’il y a de plus toxique pour lui !
Et de continuer bien entendu à supprimer les derniers petits fermiers indépendants qui produisent une nourriture saine… et les mettre au travail d’esclaves dans des monstrueuses usines à produire de la merde !
COLUCHE le disait avec humour : « Si voter servait à quelque chose, il y a longtemps que cela serait interdit » !
Et il nous faut rappeler encore et toujours les propos du Léopard du Panthéon en 1887 : « Ne votez pas, car voter c’est se soumettre, c’est désigner soi-même son maître ; c’est dire : je suis une bête incapable de me conduire »…
Quand un gouvernement est en place… il faut le crédibiliser… et le rentabiliser !
Ensuite, donc, on instaure toujours davantage de propriété privée, l’on vote des lois et des règlements, des interdits et des obligations pour que les entreprises des familles et des amis des partenaires au pouvoir puissent faire produire ce qui est dit bon pour le peuple par le peuple… qui en plus obtient du travail, et pourra ainsi à peine et avec peine nourrir sa progéniture…
Car ne l’oublions pas, la terre devrait être à tous… selon notre capacité à la cultiver pour vivre et faire vivre…
Hélas, les systèmes religieux et politiques mis en place depuis plus de deux mille cinq-cents ans en ont décidé autrement : les plus forts ou les plus rusés s’affirment propriétaires de droit divin et trouvent naturels d’exploiter l’humain plus faible, devenu esclave !
Rentabilité assurée par de nouvelles dépenses indispensables avec des mesures soi-disant préventives, des illusions de risques zéro, des étonnantes normes européennes… de l’alarme de piscine aux alcootests, des normes pour handicapés aux règlementations dans l’agriculture intensive… des consignes pour les hôpitaux publiques aux fabrications d’armes… des prisons construites et des écoles fermées, tout est bon pour que les copains entrepreneurs y trouvent leur compte !
Mais si le peuple a du travail, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles… que ce soit pour fabriquer des mines anti-personnelles ou des prothèses de jambes pour enfants… parfois pour un même patron vendeur de mort, de souffrance et de consolation !
Oh, vendre la mort et la vie, c’est une tradition plus que centenaire chez les grosses firmes industriels, pour ne citer que le groupe BAYER qui produit aussi bien notamment le gaz moutarde « ypérite » que l’héroïne, du désherbant total, des pilules contraceptives et des vitamines en grosses boîtes !
Le tout commerce est la raison d’être de nos sociétés bien avant le plaisir de l’humain ! Mais les millions de bouteilles de champagnes que boivent chaque année nos politiciens et leurs amis aux frais des contribuables font aussi tourner le commerce en France et donnent encore du travail au peuple qui se contente de payer le champagne de leurs dirigeants et de boire le gros rouge qui tache !
L’ouvrier qui travaille ses huit à douze heures par jour, fait tourner l’entreprise au même titre que le technicien, l’ingénieur et le patron… mais les salaires sont multipliés par trois-cents de l’un à l’autre…
Certains voudraient niveler les salaires des uns… d’autres voudraient augmenter le salaire des autres…
Illusion ou moquerie ?
Nous faire croire qu’il faut choisir entre capitalisme et communisme ?
Encore un état binaire désolant !
Et si nous lisions autrement l’histoire de l’humain ?
Nous pourrions alors considérer que l’artisan est lui-même patron, ingénieur, technicien et ouvrier de son œuvre, et qu’il gagne légitimement son dû par la valeur reconnue de ses actes…
L’artisan peut être associé avec d’autres techniciens, d’autres ouvriers et d’autres ingénieurs et tous œuvrent pour réaliser des biens qui sont troqués contre d’autres biens, selon les talents de chacun dans une société anarchique où le temps donné par chacun est considéré…
Oui, c’est une extraordinaire utopie qui est systématiquement mise à mort, hélas, depuis quelques milliers d’années parce que ces biens réalisés par l’artisan et son équipe, la société dirigée par des CICÉRON vient lui prendre comme impôt pour nourrir les parasites de la politique qui maintiennent un système économique naturellement corrompu !
Le communisme n’est en aucun cas la solution comme ne l’est le capitalisme, car l’un confisque la propriété d’usage quand l’autre développe la propriété privée, tous les deux par ruse ou par force.
De mes ancêtres, pour ceux qui se plaisaient à quelques charges auprès du peuple, ils en donnaient de leur propre bourse… plutôt que de s’enrichir sur les plus pauvres !
Certains étaient (pour beaucoup je l’espère, et j’en ai déjà quelques belles listes) des artistes ou des mécènes…
Certains étaient, hélas, des monstres qui exploitaient les plus faibles…
Certains étaient, hélas aussi, des faibles que d’autres exploitaient !
De nos ancêtres, les hommes libres sont peu nombreux…
Et aujourd’hui ?
Qu’est ce que la liberté ?
Ah… la liberté n’est surtout pas aristotélicienne, marxiste, machiavélique ou augustinienne ou d’autres idéologies binaires…
C’est Georg Wilhelm Friedrich HEGEL qui le démontre avec talent dans la dialectique du Maître et de l’esclave : une étude que l’on n’arrive toujours pas à traduire honnêtement… car encore et encore le mot n’est pas l’idée rappelle Alfred Abdank KORZYBSKI.
La langue française est si peu riche en vocabulaire que l’on en oublie les nombreux sens qui peuvent être attribués à un seul mot !
« C’est en œuvrant que l’on atteint la liberté » et surtout pas en « travaillant » !
Le peuple Allemand trouvait « normal » que les camps de travail fleurissent pendant le Reich… avec pour devise : « le travail rend libre », comme en union soviétique l’on écrivait aussi à la porte des camps : « par le travail, la liberté ».
On invente une « race », on stigmatise une religion…
Des masses d’esclaves au travail… pour que l’économie soit prospère !
Pour soulager un peuple, on en extermine un autre… que ce soit aux Amériques, en Asie ou en Europe… en Afrique aussi, bien entendu…
Pour l’Océanie, c’est du pareil au même mais les Anglais, notamment, savent cacher l’horreur mieux que quiconque.
Chacun cherche sa terre promise et se l’accapare par la ruse, la violence ou au nom d’un dieu… alors qu’elle est généralement déjà occupée par un envahisseur arrivé précédemment… mais la mémoire des peuples est si courte et l’on se croit toujours être le « légitime » propriétaire d’un bien !
La terre n’est à personne… c’est nous qui sommes à la terre !
Pas de propriété privée : une propriété d’usage dans le respect et la considération de tous et chacun !
Que ce soit en temps de guerre ou dans l’illusion de la paix, les peuples asservis se soumettent à une autorité pour fabriquer des armes afin d’être tôt ou tard envoyés avec, à la mort… et voir leurs fils et leurs filles aller tuer ou aller mourir au nom d’un idéal, d’une religion ou pour accroitre le territoire de leur tyran…
Le travail…
L’ode au travail…
Il y a quelques années, une femme que beaucoup voudrait oublier, s’est battue contre vents et marées pour donner aux salariés ce qui devait devenir le nouvel acte social de la part d’un gouvernement, à la mesure de la naissance des congés payés. C'était l'avènement des trente-cinq heures !
Oui, un TRÈS grand pas pour l'humanité servile, vers la liberté !
Annoncer à ces hommes et ces femmes qu’ils travaillent trop ! Leur expliquer que quelques heures de liberté gagnées chaque semaine serait la source d’une meilleure harmonisation des familles ! Enfin, que cela donnerait aussi (peut-être) un peu plus de travail à ceux qui sont mis à l’écart du système…
N’était-ce pas une formidable nouvelle ?
Les médias au service des puissances industrielles n'ont pas vraiment valorisé ces propos plaisants et le peuple n'a donc pas compris l'extraordinaire offre de vie qui lui était proposée !
En effet, l’aide de la presse était peu probable : comment croire qu’un journaliste puisse être indépendant lorsque l’on sait que tous les patrons de presse, avec leur étiquette politique, sont de gros banquiers, ou de riches patrons exploitants leur masse salariale !
L'épisode AUBRY n'est plus qu'un lointain mauvais souvenir pour les instances dirigeantes, comme l’avènement de Mai 68… et furent adoptés depuis, en conseil des ministres ou dans nos assemblées, quelques décrets qui ont donné progressivement la mort aux trente-cinq heures, aux RTT, et aux journées de repos en famille.
Les trente-cinq heures ? Une coquille vide sur laquelle certains politiciens s’épanchent encore, comme sur le soi-disant héritage de Mai 68… dilapidé depuis bien longtemps.
La presse et les médias sont toujours là pour nous dire ce qu’il est de bon ton de penser, de dire ou de faire.
Au journal télévisé, la proposition de descendre dans les rues pour sauver quelques heures de temps libre ne semblait pas au goût du jour. Il faut dire que le temps n’est plus ce qu’il était pour sortir tous ensemble.
Peut-être que les Français souhaitent travailler toujours davantage, parce qu’ils s’ennuient avec Arthur sur TF1 ?
La République n'est pas en danger tant que le peuple a du pain et des jeux en suffisance, après un dur labeur, ou une petite guerre.
L’on pourrait proposer bientôt, étant donné les étés pourris qui se suivent — parce que trop de pluie ou trop de sécheresse, trop de périodes froides ou de trop grandes chaleurs — que notre sage gouvernement supprime une ou deux semaines de congés payés et offrent aux « Français d’en bas » le régime des soixante-dix heures par semaine qui fut le lot de beaucoup de leurs ancêtres au XIX° siècle (retrouver le bon vieux temps où l’espérance de vie ne dépassait que rarement les trente ans pour les gens du peuple, ce qui ne causerait plus de souci aux caisses de retraite).
Oui réveillons nous : travaillons plus pour faire gagner encore plus à nos dirigeants.
Donnons aussi la possibilité aux jeunes de sept à douze ans qui traînent dans nos rues ou qui s’ennuient à l’école de la République, la joie de pousser des wagonnets dans les mines, et l’ordre des choses sera enfin rétabli !
À mon compte, professionnel encore indépendant et aimant mon métier, j’avais trouvé l’idée des trente-cinq heures assez révolutionnaire, et même évolutionnaire, pour ceux que le patronat exploite. J’y voyais aussi dans cette foule de termites consciencieux, des jeunes cadres sympathiques souvent de droite qui allaient en profiter. Oui, ces femmes et ces hommes plus ou moins bourrés de diplômes, qui, pour rester à leurs postes et ne pas perdre ces responsabilités gagnées (à la sueur de leur front ou par lettres de recommandations ou pour avoir bousculé le concurrent), se voient contraints de faire — avec esprit de sacrifice et de compétition — des semaines de cinquante où soixante heures, voire davantage, et qui se retrouveront à quarante ans seuls, très seuls, parce que la vie de famille n’a pas pu suivre, et malades pour avoir trop tiré sur la corde.
Les trente-cinq heures pouvaient sauver un grand nombre de couples et éviter bien des cancers et des dépressions !
Oh, bien entendu, en écrivant cela, je mesure la souffrance des patrons contraints de modifier vers le bas leur niveau de placements pour la retraite qu’ils savoureront avec Alzheimer et je les comprends face à cette terrible angoisse du dépôt de bilan s’ils devaient offrir à leurs esclaves — pardon, à leurs salariés — quelques heures de liberté.
Mais oui, ces trente-cinq heures qui laissaient présager les trente-deux puis vingt-neuf heures de travail hebdomadaires, me semblaient être une bonne réalisation sociale.
Rappelons-nous un peu l’histoire ?
Non ?
Pas de souvenirs ?
Cultivons-nous donc alors !
Il est amusant d’apprendre que travail serait selon les certitudes écrites et sacrées des trois grandes nébuleuses des religions monothéistes qui gèrent quasi les deux tiers de la population mondiale, une punition divine pour l’homme et la femme, chassés d’un paradis terrestre.
Le mot « travail » lui-même vient selon le Wiktionnaire : De l’ancien français (XIIe siècle) « travail » (tourment, souffrance), du bas latin (VIe siècle) « tripálĭus » du latin « tripálĭum » (instrument de torture à trois poutres).
Des hommes politiques qui n’ont jamais travaillé (c’est certainement une litote avec redondance) comme Nicolas SARKOSY, osent nous exhorter à « travailler plus pour gagner plus », sans aucune pudeur !
Cette affirmation me donne autant de dégout que sa grande sœur dont nous avons déjà parlé, écrite en lettres de métal, étalées sur le dessus du portail des camps d’Auschwitz et d’ailleurs : « travailler rend libre » !
Quelle horreur !
Otons l’idée de tous ces dieux vengeurs, de tous ces tyrans qui exploitent les peuples qui ont faim, et rétablissons le plaisir !
La vie ne doit pas se limiter à suer par tous ses pores dans des tâches de fourmis…
L’humain est actuellement conditionné pour rester à l’état animal, en donnant à la « reine » un confort qui dure !
Utiliser CONFUCIUS pour prôner le travail est une manipulation sordide…
CONFUCIUS disait : « choisis un métier qui te plaît et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie ».
Au-delà du travail avilissant, il y a les professions de service, d’écoute, l’artisanat, les métiers d’art qui étaient des charges anoblissantes avant la révolution de 1789. Il y a aussi le plaisir de donner la vie d’œuvrer pour le vivant dans une nature qu’il nous faut considérer…
Cultiver notre jardin, aller à la recherche du beau…
Vivre !
De l’artisan plâtrier au maître boulanger, du compagnon verrier au maître tapissier… de l’artisan à l’artiste, il y a une foule de métiers qui ne sont pas du travail, mais du bel ouvrage !
Le médecin qui préfère être au service du patient plutôt que de le dominer en politique (sachant que selon le serment d’HIPPOCRATE, politique et médecine ne sont pas compatibles)… L’avocat qui se présente comme un champion et non comme un profiteur de la faiblesse de son client… beaucoup d’autres professions encore où l’humain n’est pas esclave d’un travail !
Des femmes et des hommes volontaires, qui sont fiers de servir l’autre en étant considérés pour le temps et les compétences données, et d’autres heureux de produire du beau et du bon, d’abord pour eux-mêmes et les leurs, et qui vivent ainsi de leurs talents !
Mais aujourd’hui, l’indépendant est condamné à « mort ».
Il y a les parasites d’en haut (la foule des politiciens fonctionnaires de l’État avec toute sa nébuleuse) qui vivent grassement en ponctionnant ceux qui œuvrent à produire du beau…
Et depuis 1981 dans une situation amplifiée et consolidée avec la naissance du RMI, il y a toujours davantage de parasites d’en bas… « les Sans-Dents », cette fange désolante de laissés-pour-compte qui sousvivent dans la misère avec une ghettoïsation orchestrée. Hélas… des parasites qui végètent avec si peu de moyens et d’argent, pris aussi à ceux qui œuvrent. Des faibles, des handicapés de la vie que la République garde dans cet état d’inaction désolante pour affaiblir les indépendants… cette classe moyenne appelée elle aussi à descendre dans l’esclavage…
Pension d’invalidité ? Revenu Minimum d’Insertion… quel gag ?
Qui saurait s’insérer avec un RMI ?
Personne…
Et maintenant avec un RSA ?
Et c’est l’indépendant qui doit se sentir solidaire et d’entretenir la misère…
Oui…
Les parasites politiques d’en haut ne payent pas d’impôt… et pour celles et ceux qui ont des revenus commerciaux ou autres en sus de leurs charges politiques, ils ont les meilleurs avocats d’affaire qui leur trouvent les meilleurs combines (parfois légales) pour s’abstenir de donner quoi que ce soit de leur fortune au pot commun !
C’est l’indépendant, l’artisan, l’artiste qui paye pour les dirigeants et pour les « Sans-Dents »…
Parce qu’il faut tuer l’indépendant, l’artisan, l’artiste !
Oui, l’homme libre doit être mis à genoux et doit avoir peur ! En effet, celui qui n’est pas inquiet dans son plaisir de vivre en liberté, risque de se désintéresser de son élite dirigeante… et même de se détacher des parasites d’en haut !
On supprime les derniers indépendants de l’agriculture, de l’art, des professions libérales, du monde de l’artisanat… et l’on augmente la masse des esclaves.
Les femmes et les hommes du peuple doivent être réunifiés pour donner leurs mains ou leur tête au service d’un système, d’une guerre : être les prisonniers volontaires d’un groupe tenu par des tyrans…
C’est le retour en grande force des corporations gérées par des puissants, et qui exploitent à bas coup des êtres parfois brillants, condamnés à « travailler » pour un salaire de misère, à produire de la merde… qu’ils devront acheter, consommer pour sous vivre…
Être un jeune boulanger indépendant ?
Impossible : il faut appartenir à une chaîne de boulangerie industrielle, et être salarier esclave d’un patron qui gagne vingt à trente fois le salaire de misère proposé…
Et s’il veut forcer le système : les minoteries n’ont pas le droit (sous peine de perdre leurs gros contrats) de vendre la farine aux indépendants… et s’il trouve un petit moulin indépendant subsistant, qui a trouvé un paysan indépendant subsistant vendant son blé, alors qu’il tente de réussir dans sa belle boulangerie, la concurrence industrielle trouvera la faille ou la créera pour le faire couler…
Quelqu’un qui « fait une affaire » a nécessairement « baisé » quelqu’un d’autre !
Si Mc DONALD a fait fortune, c’est bien parce que le rapport entre la merde vendue et son coût de fabrication était extraordinairement rentable… Si la qualité était au rendez-vous pour le consommateur, Mc DONALD serait resté une enseigne modeste… et l’obésité une maladie rare…
C’est ce que j’entendais textuellement hier matin sur France Info… cette « Radio Paris » des temps modernes !
En effet, un des patrons instigateurs de la « ferme des mille vaches », en Picardie, près d’Abbeville, expliquait à la journaliste qui acquiesçait docilement, que « la production de mauvaise nourriture était nécessaire à développer en ces temps de crise, car les cons-sommateurs regardaient le prix avant la qualité »…
Dans le petit village de mon enfance, vivant quasiment en autarcie dans les années 1960, il y avait plus de vingt petites fermes et une dizaine de cafés épiceries, drogueries bazars, coiffeurs…
Aujourd’hui, plus aucune boutique en service et survivent trois ou quatre exploitations agricoles… et à trois kilomètres à vole d’oiseau, il annonçait maintenant, ce chef d’entreprise élevé au grain, lancer la création d’un poulailler géant à 250.000 volailles… pour nourrir le peuple qui a faim, avec ce qu’il y a de plus toxique pour lui !
Et de continuer bien entendu à supprimer les derniers petits fermiers indépendants qui produisent une nourriture saine… et les mettre au travail d’esclaves dans des monstrueuses usines à produire de la merde !
Quand le peuple est malade, les laboratoires pharmaceutiques sont aussi en grande forme !
Et les esclaves qui fabriquent les médicaments ont du travail !
Et le médecin d’État politicien va prescrire ces médicaments 100% remboursés par la caisse d’assurance maladie… payée par les indépendants à travers leurs multiples prélèvements, taxes, impôts et autres charges !
Et qui sont les patrons et actionnaires des laboratoires pharmaceutiques : les politiques !
Tout est dans l’ordre des choses !
La plus grande mafia, c’est l’État… et les politiciens sont nos parrains !
Et l’on nous dit que nous sommes une grande famille ?
Le bonheur d’une famille et les joies de l'amitié ont aussi du sens quand nous ne sommes pas dans la quête de l’exploitation de l’autre !
La famille… une douce illusion des imageries d’Épinal !
Quand ont travaille douze heures par jour en ne comptant pas toujours les transports, et les courses, le ménage et l’éducation des enfants… combien de temps reste-t-il à la vie de famille ?
La semaine d’une famille française type moyenne :
Lundi à vendredi, cinq jours à trimer : lever tôt, rentré tard, les gosses, et la télé…
Le samedi matin on gère les gosses et l’après midi, le super marché… et la soirée sera « exceptionnelle » si l’on n’est pas trop fatigué et pas trop fauché.
Le dimanche grasse mâtinée et le ménage l’après midi… et le journal de vingt heures !
Et parfois on vote !
C’est Le Meilleur des Mondes d’Aldous HUXLEY… avec le Soma qui est presque en service officiel dans beaucoup de familles sous forme d’antidépresseurs, de drogues douces ou d’alcool.
Pour restaurer « la famille en danger », les membres des gouvernements successifs tentent de proposer des solutions toujours plus parfumées aux souvenirs revisités de leur enfance bourgeoise ou de celle du voisin qu’ils rêvaient ou enviaient dans des romans et des films à l’eau de rose.
La vie idéale où la devise « travail, famille, dieu et patrie » peut nous donner quelques instants la joie des abeilles au sein de ruches protégeant des envahisseurs… ou après la guerre !
« La famille » que certains pensent voir disparaître avec le modernisme, ne ressemble pas à celle décrite par Émile ZOLA au sein du monde ouvrier : comment des pères ou des mères pouvaient s’occuper de leur progéniture alors qu’ils trimaient tous douze heures par jour ?
Et que dire de toutes ces guerres depuis deux mille cinq-cents ans qui tuent les enfants dans la force de l’âge, pour qu’un tyran s’assoie sur un trône toujours plus grand ?
Non, l’humain n’est peut-être pas sur terre pour travailler et combattre comme une fourmi et soigner ses reines.
Mais sommes nous des humains ?
Française, Français, une Dame vous proposait d’être un peu plus humains… un peu plus en famille, de profiter de vos enfants, de lire, d’écrire, d’apprendre et de transmettre, de visiter vos amis ou la grand-mère oubliée dans son mouroir… de créer du beau, pour vous, en liberté… de prendre soin de votre corps par les plaisirs du sport… que les philosophes de l’antiquité valorisaient !
« Une intelligence saine dans un corps sain » écrivait JUVÉNAL…
Oui… d’être un peu plus humain.
Un peu plus humain !
Alors que l’évolution devrait s’affirmer pour chacun d’entre nous, voici que les tyrans de l’Empire Jaune arrivent…
C’est maintenant, c’est le jour : la Chine s’est éveillée !
« Quand la Chine s'éveillera… le monde tremblera » écrivait Alain PEYREFITTE et cela s’annonce !
Les Chinois vont prendre possession de la petite Europe !
Ils arrivent avec des armes de destruction massive : de nouveaux programmes politiques pour exploiter l’humain…
Allons, sans rien dire, sans manifester, sans se révolter, le peuple de France va réellement reprendre le chemin des trente-neuf heures, puis des quarante-cinq heures, voire plus, comme dans ce beau pays de Chine où il fait si bon vivre pour les cinquante millions de chefs d’entreprise bien gras, encensés par Son Excellence l'ancien ambassadeur de Chine en France…
La Chine, où près d’un milliard et demi d’individus acceptent sans se révolter, d’être les esclaves d’un système… et d’avoir faim, comme depuis le jour où l’autorité a pris le pas sur l’anarchie…
Ah, l’utopie des trente-cinq heures !
Merci citoyenne Martine AUBRY, merci pour cette proposition pour un monde un peu meilleur !
Même si ton caractère est particulier, même si tu es difficile à apprécier en regard de ton état de tyran politique, tu as eu dans ta vie un geste qui t’aurait peut-être fait épargner la guillotine du temps de Louis Antoine de SAINT-JUST, lorsqu’il affirmait du haut de ses vingt-quatre ans que : « régner est un crime » !
Et les esclaves qui fabriquent les médicaments ont du travail !
Et le médecin d’État politicien va prescrire ces médicaments 100% remboursés par la caisse d’assurance maladie… payée par les indépendants à travers leurs multiples prélèvements, taxes, impôts et autres charges !
Et qui sont les patrons et actionnaires des laboratoires pharmaceutiques : les politiques !
Tout est dans l’ordre des choses !
La plus grande mafia, c’est l’État… et les politiciens sont nos parrains !
Et l’on nous dit que nous sommes une grande famille ?
Le bonheur d’une famille et les joies de l'amitié ont aussi du sens quand nous ne sommes pas dans la quête de l’exploitation de l’autre !
La famille… une douce illusion des imageries d’Épinal !
Quand ont travaille douze heures par jour en ne comptant pas toujours les transports, et les courses, le ménage et l’éducation des enfants… combien de temps reste-t-il à la vie de famille ?
La semaine d’une famille française type moyenne :
Lundi à vendredi, cinq jours à trimer : lever tôt, rentré tard, les gosses, et la télé…
Le samedi matin on gère les gosses et l’après midi, le super marché… et la soirée sera « exceptionnelle » si l’on n’est pas trop fatigué et pas trop fauché.
Le dimanche grasse mâtinée et le ménage l’après midi… et le journal de vingt heures !
Et parfois on vote !
C’est Le Meilleur des Mondes d’Aldous HUXLEY… avec le Soma qui est presque en service officiel dans beaucoup de familles sous forme d’antidépresseurs, de drogues douces ou d’alcool.
Pour restaurer « la famille en danger », les membres des gouvernements successifs tentent de proposer des solutions toujours plus parfumées aux souvenirs revisités de leur enfance bourgeoise ou de celle du voisin qu’ils rêvaient ou enviaient dans des romans et des films à l’eau de rose.
La vie idéale où la devise « travail, famille, dieu et patrie » peut nous donner quelques instants la joie des abeilles au sein de ruches protégeant des envahisseurs… ou après la guerre !
« La famille » que certains pensent voir disparaître avec le modernisme, ne ressemble pas à celle décrite par Émile ZOLA au sein du monde ouvrier : comment des pères ou des mères pouvaient s’occuper de leur progéniture alors qu’ils trimaient tous douze heures par jour ?
Et que dire de toutes ces guerres depuis deux mille cinq-cents ans qui tuent les enfants dans la force de l’âge, pour qu’un tyran s’assoie sur un trône toujours plus grand ?
Non, l’humain n’est peut-être pas sur terre pour travailler et combattre comme une fourmi et soigner ses reines.
Mais sommes nous des humains ?
Française, Français, une Dame vous proposait d’être un peu plus humains… un peu plus en famille, de profiter de vos enfants, de lire, d’écrire, d’apprendre et de transmettre, de visiter vos amis ou la grand-mère oubliée dans son mouroir… de créer du beau, pour vous, en liberté… de prendre soin de votre corps par les plaisirs du sport… que les philosophes de l’antiquité valorisaient !
« Une intelligence saine dans un corps sain » écrivait JUVÉNAL…
Oui… d’être un peu plus humain.
Un peu plus humain !
Alors que l’évolution devrait s’affirmer pour chacun d’entre nous, voici que les tyrans de l’Empire Jaune arrivent…
C’est maintenant, c’est le jour : la Chine s’est éveillée !
« Quand la Chine s'éveillera… le monde tremblera » écrivait Alain PEYREFITTE et cela s’annonce !
Les Chinois vont prendre possession de la petite Europe !
Ils arrivent avec des armes de destruction massive : de nouveaux programmes politiques pour exploiter l’humain…
Allons, sans rien dire, sans manifester, sans se révolter, le peuple de France va réellement reprendre le chemin des trente-neuf heures, puis des quarante-cinq heures, voire plus, comme dans ce beau pays de Chine où il fait si bon vivre pour les cinquante millions de chefs d’entreprise bien gras, encensés par Son Excellence l'ancien ambassadeur de Chine en France…
La Chine, où près d’un milliard et demi d’individus acceptent sans se révolter, d’être les esclaves d’un système… et d’avoir faim, comme depuis le jour où l’autorité a pris le pas sur l’anarchie…
Ah, l’utopie des trente-cinq heures !
Merci citoyenne Martine AUBRY, merci pour cette proposition pour un monde un peu meilleur !
Même si ton caractère est particulier, même si tu es difficile à apprécier en regard de ton état de tyran politique, tu as eu dans ta vie un geste qui t’aurait peut-être fait épargner la guillotine du temps de Louis Antoine de SAINT-JUST, lorsqu’il affirmait du haut de ses vingt-quatre ans que : « régner est un crime » !
Travailler toujours plus ou choisir davantage le plaisir de vivre ?
Travailler, travailler… encore et toujours ?
NON !
Martine, Martine… reviens, ils sont devenus fous !
Plutôt que d’abolir les trente-cinq heures,
Abolissons les privilèges !
Ce n’est pas le temps de la révolution qui s’annonce,
Mais celui de l’évolution !
Travailler, travailler… encore et toujours ?
NON !
Martine, Martine… reviens, ils sont devenus fous !
Plutôt que d’abolir les trente-cinq heures,
Abolissons les privilèges !
Ce n’est pas le temps de la révolution qui s’annonce,
Mais celui de l’évolution !
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N'hésitez pas à faire un don car les amendes et procès fragilisent l'écrivain engagé !
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Du bien fondé de l’abattage rituel !
Ou allez visiter les propos qui vous intéressent…
Ils sont mis en ligne au fur et à mesure…
En fonction de l'espace-temps que l'auteur peut leur donner :
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Propos libres sans gravité écrits par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe…
Toute phrase sortie de son contexte sera considérée comme acte de manipulation et sera rejetée par l'auteur.
Tous droits réservés ©.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville
Cet article aux propos libres et sans gravité garde un sens réel, uniquement dans sa totalité comme une réalisation consciente d’Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe…
En extraire une phrase, en raccourcir quelques expressions — en ajouter ou en supprimer un iota — pour en faire une arme de destruction massive à son encontre, serait considéré comme une agression nauséeuse qui démontrerait une fois encore ô combien certains médiocres se disent journalistes… alors qu’ils sont les tristes kapos de médias au service d’un système… et qu’ils font parti de la grande école des ratés de Dick MAY !
Ce texte se veut constructif, et engagé pour l’amour humain !
Il ne peut ni ne doit être divisé au risque de ne plus appartenir à son auteur, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, qui nierait alors tout lien avec un fragment utilisé pour de mauvaises intentions malsaines, blasphématoires ou injurieuses !
Cet article est dédié bien entendu à tous les mauvais journalistes — dont le chef de fil est certainement ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même* du Midi Libre — de ceux qui ont fait de la désinformation ou de la propagande, leur gagne pain d’un temps…
Si la presse s’écroule, si les médias sont exsangues… c’est parce qu’ils se sont auto détruits !
Ces femmes et ces hommes qui se disent journalistes, qui devaient informer sans déformer, qui devaient être au service du peuple en annonçant les nouvelles, réaliser des critiques constructrices, en veillant à respecter une intégrité les rendant historiens de l’instant, ont choisi une autre voie : en raison de leur médiocrité, en raison d’une certaine soif de pouvoir, la peur de déplaire ou la faim tout simplement… ils ont sali le bel ouvrage qu’ils possédaient !
Oui, j’aime alors citer ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même* dans mes articles aux propos libres et sans gravité.
En effet, certains — dont je suis — pourraient dire avec presque de l’humour :
« ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même* m’a tuer ».
Ce Monsieur continue semble-t-il pour quelques temps encore, à gribouiller quelques articles dans son Midi Libre, un petit journal de province en perdition. Yanick PHILIPPONNAT sera-t-il un le derniers des écrivailleurs du Midi Libre, celui même qui annoncera sa liquidation ?
Il a tant aimé massacrer des gens par ses propos souvent douteux, inexactes, mensongers, nauséeux, voire calomnieux… qu’il mérite bien d’être le fossoyeur du journal qui l’a nourrit !
En extraire une phrase, en raccourcir quelques expressions — en ajouter ou en supprimer un iota — pour en faire une arme de destruction massive à son encontre, serait considéré comme une agression nauséeuse qui démontrerait une fois encore ô combien certains médiocres se disent journalistes… alors qu’ils sont les tristes kapos de médias au service d’un système… et qu’ils font parti de la grande école des ratés de Dick MAY !
Ce texte se veut constructif, et engagé pour l’amour humain !
Il ne peut ni ne doit être divisé au risque de ne plus appartenir à son auteur, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, qui nierait alors tout lien avec un fragment utilisé pour de mauvaises intentions malsaines, blasphématoires ou injurieuses !
Cet article est dédié bien entendu à tous les mauvais journalistes — dont le chef de fil est certainement ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même* du Midi Libre — de ceux qui ont fait de la désinformation ou de la propagande, leur gagne pain d’un temps…
Si la presse s’écroule, si les médias sont exsangues… c’est parce qu’ils se sont auto détruits !
Ces femmes et ces hommes qui se disent journalistes, qui devaient informer sans déformer, qui devaient être au service du peuple en annonçant les nouvelles, réaliser des critiques constructrices, en veillant à respecter une intégrité les rendant historiens de l’instant, ont choisi une autre voie : en raison de leur médiocrité, en raison d’une certaine soif de pouvoir, la peur de déplaire ou la faim tout simplement… ils ont sali le bel ouvrage qu’ils possédaient !
Oui, j’aime alors citer ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même* dans mes articles aux propos libres et sans gravité.
En effet, certains — dont je suis — pourraient dire avec presque de l’humour :
« ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même* m’a tuer ».
Ce Monsieur continue semble-t-il pour quelques temps encore, à gribouiller quelques articles dans son Midi Libre, un petit journal de province en perdition. Yanick PHILIPPONNAT sera-t-il un le derniers des écrivailleurs du Midi Libre, celui même qui annoncera sa liquidation ?
Il a tant aimé massacrer des gens par ses propos souvent douteux, inexactes, mensongers, nauséeux, voire calomnieux… qu’il mérite bien d’être le fossoyeur du journal qui l’a nourrit !