Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
Pirate des mots et philanalyste en herbe…
présente un article politique :
Pirate des mots et philanalyste en herbe…
présente un article politique :
La TOURNANTE…
L’expliquer sous un autre regard…
Oui, un drame humain qui pourrait être évité :
Celui de la tournante, ce viol collectif…
Celui de la tournante, ce viol collectif…
Dans la nuit du 8 au 9 septembre, Marc-François RÉMY de LAYENS — âgé de 19 ans — et six autres jeunes acolytes — tous mineurs — abusent sexuellement c’est-à-dire, violent… une jeune fille, Marie Marguerite SOTHIEU, du village de Masny dans le département du Nord.
Sur dénonciation de témoins et plainte des parents de la victime, ils sont arrêtés…
Tous sont emprisonnés, mais ils réussissent à s’échapper de la prison peu de temps après, grâce à la complicité d’un gardien. L’on apprend très vite qu’ils ont passé la frontière…
Il faudra huit mois à la justice pour décider finalement de les condamner à « la pendaison par contumace », puis à être exécutés « en effigie » : des tableaux les représentant sont suspendus à la potence sur la Grand-Place de la ville de Douai.
Cette affaire dramatique se passe en… 1693, dans le nord du royaume de France.
Le seigneur de LAYENS — père de Marc-François — payera fort cher une rançon à l’Église catholique et à la ville de Douai pour que son criminel de fils soit relevé de sa peine et puisse rentrer d’exil sans passer par la potence. Ce jeune adulte décidera finalement de prendre pour épouse la drôlesse qui vivait avec un enfant issu de cette nuit terrible… mieux valait-il leur offrir un époux et père violeur mais héritier d’une famille fortunée que de les laisser emprisonnés dans un de ces couvents-prisons réservés aux filles mères, déclarées pécheresses quelle que soit la raison de leur état. Marc-François était le sixième enfant d’une famille de neuf, et le frère d’un ancêtre de l’auteur de ces propos rapportés.
Marc-François continuera sans souci sa carrière militaire, devenant Capitaine au régiment de Cavalerie de Costa au service de l'Espagne et sera même Échevin de Douai. Il mourra paisiblement à l’âge de 67 ans. Ses actes criminels de grand adolescent (il n’avait pas tout à fait 20 ans lors des faits) étaient semble-t-il oubliés par tous depuis fort longtemps !
De son « épouse » il aura encore cinq enfants…
Oui, il y a un peu plus de trois cent trente ans, les « tournantes » existaient déjà. Ce n’était pas un jeu de carte ou une partie de ping-pong mais bien une atteinte à l’intégrité de l’autre. Ici, dans notre dramatique fait divers, c’est l’histoire de « quelques jeunes de bonnes familles » qui ont tenté de s’initier sexuellement en se « tapant une jolie fille du village d’à côté »…
Ailleurs, aujourd’hui ou demain ce seront encore des gars du quartier voisin qui souhaitent à leurs dires « juste s’amuser un peu » avec une fille certainement « facile ».
On en parle… les médias s’excitent… et l’on oublie vite… et cela recommence !
Sur dénonciation de témoins et plainte des parents de la victime, ils sont arrêtés…
Tous sont emprisonnés, mais ils réussissent à s’échapper de la prison peu de temps après, grâce à la complicité d’un gardien. L’on apprend très vite qu’ils ont passé la frontière…
Il faudra huit mois à la justice pour décider finalement de les condamner à « la pendaison par contumace », puis à être exécutés « en effigie » : des tableaux les représentant sont suspendus à la potence sur la Grand-Place de la ville de Douai.
Cette affaire dramatique se passe en… 1693, dans le nord du royaume de France.
Le seigneur de LAYENS — père de Marc-François — payera fort cher une rançon à l’Église catholique et à la ville de Douai pour que son criminel de fils soit relevé de sa peine et puisse rentrer d’exil sans passer par la potence. Ce jeune adulte décidera finalement de prendre pour épouse la drôlesse qui vivait avec un enfant issu de cette nuit terrible… mieux valait-il leur offrir un époux et père violeur mais héritier d’une famille fortunée que de les laisser emprisonnés dans un de ces couvents-prisons réservés aux filles mères, déclarées pécheresses quelle que soit la raison de leur état. Marc-François était le sixième enfant d’une famille de neuf, et le frère d’un ancêtre de l’auteur de ces propos rapportés.
Marc-François continuera sans souci sa carrière militaire, devenant Capitaine au régiment de Cavalerie de Costa au service de l'Espagne et sera même Échevin de Douai. Il mourra paisiblement à l’âge de 67 ans. Ses actes criminels de grand adolescent (il n’avait pas tout à fait 20 ans lors des faits) étaient semble-t-il oubliés par tous depuis fort longtemps !
De son « épouse » il aura encore cinq enfants…
Oui, il y a un peu plus de trois cent trente ans, les « tournantes » existaient déjà. Ce n’était pas un jeu de carte ou une partie de ping-pong mais bien une atteinte à l’intégrité de l’autre. Ici, dans notre dramatique fait divers, c’est l’histoire de « quelques jeunes de bonnes familles » qui ont tenté de s’initier sexuellement en se « tapant une jolie fille du village d’à côté »…
Ailleurs, aujourd’hui ou demain ce seront encore des gars du quartier voisin qui souhaitent à leurs dires « juste s’amuser un peu » avec une fille certainement « facile ».
On en parle… les médias s’excitent… et l’on oublie vite… et cela recommence !
Pourquoi et comment pouvons-nous en arriver à de telles tragédies ?
Ce n’est pas « le siècle » qui veut cela. Tous les jours, depuis toujours, des êtres sont abusés, abîmés, massacrés sexuellement.
En 2014, ce qui change, c’est semble-t-il la plus grande facilité pour les victimes à porter plainte. Cependant, il ne faut pas trop se leurrer : la plupart du temps, le viol n’est pas vraiment « reconnu » car définir « un abus de faiblesse » n’est pas facile. Et les tourments se poursuivent encore par le voyeurisme de certains fonctionnaires, renchéri par le laxisme de la justice et les victimes sont offertes au monde, vivant cette exhibition comme un autre viol provoqué par des médias détestables… notamment ces journalistes jouisseurs, obsédés des malheurs à répandre, à étaler sur les pages des quotidiens, sur nos ondes et sur nos écrans.
Beaucoup de victimes se trouvent humiliées davantage, se sentent alors même coupables… Elles s’en veulent trop souvent d’avoir parlé de leur malheur, du drame qu’elles ont vécu.
Et ces êtres meurtris s’enfoncent plus encore dans la dépression…
Heureusement qu'il existe aussi des policiers et des gendarmes — souvent de sexe féminin — et quelques psychanalystes, psychothérapeutes, psychologues et même des psychiatres qui ont une haute opinion de leur charge pour protéger et soutenir et parfois restaurer au mieux les victimes en souffrance.
Il est vrai qu’il est très délicat de parler sexe en général. Lorsque cela touche son propre être, et qu’il y a eu violence… c’est plus difficile encore.
En 2014, ce qui change, c’est semble-t-il la plus grande facilité pour les victimes à porter plainte. Cependant, il ne faut pas trop se leurrer : la plupart du temps, le viol n’est pas vraiment « reconnu » car définir « un abus de faiblesse » n’est pas facile. Et les tourments se poursuivent encore par le voyeurisme de certains fonctionnaires, renchéri par le laxisme de la justice et les victimes sont offertes au monde, vivant cette exhibition comme un autre viol provoqué par des médias détestables… notamment ces journalistes jouisseurs, obsédés des malheurs à répandre, à étaler sur les pages des quotidiens, sur nos ondes et sur nos écrans.
Beaucoup de victimes se trouvent humiliées davantage, se sentent alors même coupables… Elles s’en veulent trop souvent d’avoir parlé de leur malheur, du drame qu’elles ont vécu.
Et ces êtres meurtris s’enfoncent plus encore dans la dépression…
Heureusement qu'il existe aussi des policiers et des gendarmes — souvent de sexe féminin — et quelques psychanalystes, psychothérapeutes, psychologues et même des psychiatres qui ont une haute opinion de leur charge pour protéger et soutenir et parfois restaurer au mieux les victimes en souffrance.
Il est vrai qu’il est très délicat de parler sexe en général. Lorsque cela touche son propre être, et qu’il y a eu violence… c’est plus difficile encore.
Qu’est-ce qu’un viol ?
— Est-ce que l’épouse qui n’a pas vraiment envie ce matin ou encore ce soir-là et qui écarte finalement les cuisses — pour être « honorée par son époux » selon l'expression religieuse réglementaire — pourrait se considérer comme violée ?
Oui…
Cependant, les religions « aux livres sacrés » estiment légitime que l’homme puisse assouvir ses besoins — selon son bon vouloir — auprès de son épouse…
— Est-ce qu’une adolescente timide est victime d’avoir été abusée pour avoir souri ou s’être confiée à un inconnu ou à un parent plus ou moins proche ?
Oui…
— Et même celle un peu moins timide qui a osé aller à la rencontre du « mâle », elle qui comme beaucoup, n’ayant jamais eu « la chance » de voir la nudité masculine absente des télévisions, des journaux et autres lieux publics où est étalée comme de la viande fraîche la gent féminine en son plus simple appareil…
Oui…
— Et celle qui a déshabillé le garçon pour voir de ses propres yeux et parfois de ses mains plus ou moins habiles, le sexe d’un homme… et désirer s’en suffire… doit-elle se sentir victime d’en subir les assauts virils sans pouvoir refuser ?
Oui…
— Et cette jeune demoiselle qui vit « protégée » par un notable — amant de sa mère — et qui doit savoir « remercier » en étant docile au besoin animal de ce « Monsieur très bien » pendant de longues années… sa mère acquiesçant en fermant les yeux !
Oui…
Mais ce n’est pas à dire… SILENCE ! Il y a des choses privées qui ne se dévoilent pas au monde… Même lorsque l’auteur de ces propos s’en mêle… ce qui lui vaudra quelques bons procès… car l’on ne doit pas toucher aux puissants de ce monde…
— Et cette femme qui se plaisait à être belle et rayonnante… qui se fait culbuter dans la rue par le mâle en rut qui passait par là, trouvant provocateur ces formes gracieuses, visibles à l’œil de tous ?
Oui…
Elle est aussi la proie de tous ces bipèdes qui s’estiment victimes de leurs pulsions animales, car « il faut couvrir ce sein que l’on ne saurait voir » ! Cette sentence de Tartuffe s’inscrit même dans les lois religieuses et sociétales à savoir cette supplique en prière au dieu du moment : « qu’il ne faut pas soumettre l’homme à la tentation ».
Oui… et certains irons jusqu’à dire, écrire et prôner qu’imposer le voile intégrale est certainement la bonne solution pour éviter les tentations… et donc les viols… car n’est-ce pas la femme qui est coupable finalement d’être provocatrice… d’attiser les pulsions naturelles des hommes ?
— Et il y a aussi des hommes violés par d’autres hommes… en manque de femme ou par peur des femmes !
Oui : il y a moins de deux cents ans encore, des « hommes » étaient utilisés « comme des femmes » sur les lieux de guerre ou en mer… les girons, les mousses…
C’est l’occasion de revisiter la chanson « Il était un petit navire » sous un autre regard…
Oui, aujourd’hui encore en prison on viole les plus faibles, parfois même en « tournantes » sans que rien ne soit dit…
Oui, il y a toujours aussi, dans les collèges, lycées, hôpitaux (souvent psychiatriques), instituts et ordres religieux — où les humains sont en espaces fermés — des êtres qui sont victimes « d’abus de faiblesse », massacrés par des violeurs ayant le plus souvent autorité…
Et souvenons-nous d’autres gamins — un très grand nombre d’apprentis — qui étaient violés jusqu’il y a peu dans des « tournantes », sous les rires de tous les spectateurs/acteurs au secret des ateliers et usines de France… droit coutumier que Maxence van der MEERSCH dénoncera et fera considérer par la justice comme un crime (en cas de plaintes plutôt rares car la honte transforme vite la victime en futur bourreau…), avec l’aide surprenante d’un homme d’Église : le Cardinal LIÉNART, un humaniste des années 1930.
En général, l’homme se sent tellement indispensable au plaisir de la femme… qu’il s’en persuade le maître… alors qu’il est cantonné le plus souvent à jouir seul… même en très agréable compagnie !
Quel leurre ! La femme n’a pas « besoin » de l’homme… Elle est davantage dans le désir quand l’homme est généralement dans la pulsion !
C’est pour cela d’ailleurs que beaucoup d’hommes sont des éjaculateurs précoces…
Seul, l’homme est plutôt lâche… sans certitudes… le danger est donc moindre pour qu’une personne se fasse violer : il faut de la ruse ou l’illusion d’un pouvoir, une pression morale ou des préceptes religieux… voire l’usage de la force, de la menace : la peur crée la domination.
« En groupe, en bande, en procession »… pour citer Jean FERRAT : en équipe… la situation n’est plus tout à fait la même.
Oui…
Cependant, les religions « aux livres sacrés » estiment légitime que l’homme puisse assouvir ses besoins — selon son bon vouloir — auprès de son épouse…
— Est-ce qu’une adolescente timide est victime d’avoir été abusée pour avoir souri ou s’être confiée à un inconnu ou à un parent plus ou moins proche ?
Oui…
— Et même celle un peu moins timide qui a osé aller à la rencontre du « mâle », elle qui comme beaucoup, n’ayant jamais eu « la chance » de voir la nudité masculine absente des télévisions, des journaux et autres lieux publics où est étalée comme de la viande fraîche la gent féminine en son plus simple appareil…
Oui…
— Et celle qui a déshabillé le garçon pour voir de ses propres yeux et parfois de ses mains plus ou moins habiles, le sexe d’un homme… et désirer s’en suffire… doit-elle se sentir victime d’en subir les assauts virils sans pouvoir refuser ?
Oui…
— Et cette jeune demoiselle qui vit « protégée » par un notable — amant de sa mère — et qui doit savoir « remercier » en étant docile au besoin animal de ce « Monsieur très bien » pendant de longues années… sa mère acquiesçant en fermant les yeux !
Oui…
Mais ce n’est pas à dire… SILENCE ! Il y a des choses privées qui ne se dévoilent pas au monde… Même lorsque l’auteur de ces propos s’en mêle… ce qui lui vaudra quelques bons procès… car l’on ne doit pas toucher aux puissants de ce monde…
— Et cette femme qui se plaisait à être belle et rayonnante… qui se fait culbuter dans la rue par le mâle en rut qui passait par là, trouvant provocateur ces formes gracieuses, visibles à l’œil de tous ?
Oui…
Elle est aussi la proie de tous ces bipèdes qui s’estiment victimes de leurs pulsions animales, car « il faut couvrir ce sein que l’on ne saurait voir » ! Cette sentence de Tartuffe s’inscrit même dans les lois religieuses et sociétales à savoir cette supplique en prière au dieu du moment : « qu’il ne faut pas soumettre l’homme à la tentation ».
Oui… et certains irons jusqu’à dire, écrire et prôner qu’imposer le voile intégrale est certainement la bonne solution pour éviter les tentations… et donc les viols… car n’est-ce pas la femme qui est coupable finalement d’être provocatrice… d’attiser les pulsions naturelles des hommes ?
— Et il y a aussi des hommes violés par d’autres hommes… en manque de femme ou par peur des femmes !
Oui : il y a moins de deux cents ans encore, des « hommes » étaient utilisés « comme des femmes » sur les lieux de guerre ou en mer… les girons, les mousses…
C’est l’occasion de revisiter la chanson « Il était un petit navire » sous un autre regard…
Oui, aujourd’hui encore en prison on viole les plus faibles, parfois même en « tournantes » sans que rien ne soit dit…
Oui, il y a toujours aussi, dans les collèges, lycées, hôpitaux (souvent psychiatriques), instituts et ordres religieux — où les humains sont en espaces fermés — des êtres qui sont victimes « d’abus de faiblesse », massacrés par des violeurs ayant le plus souvent autorité…
Et souvenons-nous d’autres gamins — un très grand nombre d’apprentis — qui étaient violés jusqu’il y a peu dans des « tournantes », sous les rires de tous les spectateurs/acteurs au secret des ateliers et usines de France… droit coutumier que Maxence van der MEERSCH dénoncera et fera considérer par la justice comme un crime (en cas de plaintes plutôt rares car la honte transforme vite la victime en futur bourreau…), avec l’aide surprenante d’un homme d’Église : le Cardinal LIÉNART, un humaniste des années 1930.
En général, l’homme se sent tellement indispensable au plaisir de la femme… qu’il s’en persuade le maître… alors qu’il est cantonné le plus souvent à jouir seul… même en très agréable compagnie !
Quel leurre ! La femme n’a pas « besoin » de l’homme… Elle est davantage dans le désir quand l’homme est généralement dans la pulsion !
C’est pour cela d’ailleurs que beaucoup d’hommes sont des éjaculateurs précoces…
Seul, l’homme est plutôt lâche… sans certitudes… le danger est donc moindre pour qu’une personne se fasse violer : il faut de la ruse ou l’illusion d’un pouvoir, une pression morale ou des préceptes religieux… voire l’usage de la force, de la menace : la peur crée la domination.
« En groupe, en bande, en procession »… pour citer Jean FERRAT : en équipe… la situation n’est plus tout à fait la même.
Qui sont les participants classiques d’une tournante ?
Au-delà des sociétés secrètes ou des groupes issus des « espaces clos » dont nous avons fait la description précédemment, ce sont le plus souvent de jeunes crâneurs cachant leur état de grands frustrés inquiets… Ils veulent à tout prix se comparer en discrétion et se mesurer à la voix, pour savoir s’ils peuvent se vanter faussement « de qui a la plus longue » ou « de qui a la plus grosse »… en buvant héroïquement, en usant de produits plus ou moins licites pour se désinhiber, ou encore en exhibant leurs scooters sur une roue comme une prothèse de pénis en érection, avec encore tant d’autres moyens de substitution pour ceux qui ont trop peur de « se la montrer ».
Ces petits ou grands adolescents sont pour la plupart, très mal dans leur peau dans un monde où lorsque l’on parle de sexualité, c’est toujours en mensonge, dans la honte ou la culpabilisation.
Ce sont aussi des êtres en souffrance qui trichent avec eux-mêmes !
La tournante, c’est un drame où l’individu violé (fille ou garçon) et les violeurs (généralement des garçons) sont finalement tous des victimes.
Oui.
Dans ce type de viols collectifs, il faut saisir la scène sous un autre regard : nous avons généralement comme protagonistes quelques jeunes frustrés, sans considération pour eux-mêmes, très fragiles dans leur sexualité narcissique bridée et brimée, tout en ayant leur part homophile fortement repoussée, rejetée, oubliée, refoulée dans l’inconscient personnel et collectif. C’est malheureusement en lien notamment avec les peurs en regard de la morale sociale et les interdits religieux.
Tout cela s’est construit progressivement dans notre histoire, dans les vérités de l’Histoire.
Oui, les rencontres narcissiques et homophiles, non assumées de l’enfance et de l’adolescence, entraînent de grands risques à façonner des tricheurs, des violeurs, des tueurs, des tyrans et… surtout des victimes !
Notre société s’est semble-t-il construite avec une morale politico-religieuse s’imposant sur des peuples d’esclaves volontaires, depuis un peu plus de 2.500 ans.
Ces petits ou grands adolescents sont pour la plupart, très mal dans leur peau dans un monde où lorsque l’on parle de sexualité, c’est toujours en mensonge, dans la honte ou la culpabilisation.
Ce sont aussi des êtres en souffrance qui trichent avec eux-mêmes !
La tournante, c’est un drame où l’individu violé (fille ou garçon) et les violeurs (généralement des garçons) sont finalement tous des victimes.
Oui.
Dans ce type de viols collectifs, il faut saisir la scène sous un autre regard : nous avons généralement comme protagonistes quelques jeunes frustrés, sans considération pour eux-mêmes, très fragiles dans leur sexualité narcissique bridée et brimée, tout en ayant leur part homophile fortement repoussée, rejetée, oubliée, refoulée dans l’inconscient personnel et collectif. C’est malheureusement en lien notamment avec les peurs en regard de la morale sociale et les interdits religieux.
Tout cela s’est construit progressivement dans notre histoire, dans les vérités de l’Histoire.
Oui, les rencontres narcissiques et homophiles, non assumées de l’enfance et de l’adolescence, entraînent de grands risques à façonner des tricheurs, des violeurs, des tueurs, des tyrans et… surtout des victimes !
Notre société s’est semble-t-il construite avec une morale politico-religieuse s’imposant sur des peuples d’esclaves volontaires, depuis un peu plus de 2.500 ans.
Importante digression historico-religieuse certainement nécessaire…
Plus de vingt-cinq années de recherches et d’études passionnées dont cinq au sein même d’institutions pyramidales : notamment à la Maison Saint-Augustin du Grand Séminaire de Paris et chez les Dominicains, dans l’Ordre des Frères Prêcheurs, me confortent chaque jour davantage dans mes découvertes sur notre fonctionnement actuel d’esclaves volontaires dans un monde où se soumettre est un acte choisi.
Les fondements généalogiques de nos frustrations s’inscrivent dans la construction des mythologies gréco-romaines puis avec l’apparition progressive du judaïsme — « père du christianisme et de l’islam » — lui-même issu semble-t-il de quelques religions primitives, nées des peurs et des répressions… cela après ce qui aurait provoqué la fin de grandes civilisations dont nous ne savons quasiment plus rien aujourd’hui…
Oui…
Les fondements généalogiques de nos frustrations s’inscrivent dans la construction des mythologies gréco-romaines puis avec l’apparition progressive du judaïsme — « père du christianisme et de l’islam » — lui-même issu semble-t-il de quelques religions primitives, nées des peurs et des répressions… cela après ce qui aurait provoqué la fin de grandes civilisations dont nous ne savons quasiment plus rien aujourd’hui…
Oui…
« Connais-toi
toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux »
Nous rappelle la devise inscrite à l’entrée du temple d’Apollon à Delphes selon les écrits rapportés de PLATON. Au-delà du « Connais-toi toi-même », la suite est plutôt légendaire, et utilisée à toutes les sauces religieuses et morales… Peut-être était-ce : « …tu pourras apprendre l’univers et tu seras dieu ».
Un dieu, cela signifie étymologiquement : un créateur. Celui qui permet le jaillissement…
Qu’il y eût des humains non-aristotéliciens (je préfère dire aujourd’hui : des humains pluripossibles. C’est en raison de mes recherches et de mes découvertes sur les fraudes innombrables dont sont victimes probablement les textes d’ARISTOTE), des êtres — femmes et hommes — vivant dans le plaisir et le beau, ayant la création et l’amour pour sens à donner à leur courte vie terrestre… c’est inimaginable d’avoir le droit de « croire » en cela ! C’est même « interdit » de penser que la vie existait plaisamment dans une axiologie anarchique, avant notre époque actuelle de violences, de massacres et de guerres où la soumission volontaire face au pouvoir des tyrans nous révèlent notre limite animale dualiste et politique… Tant de souffrances pour nous assurer, après un jugement dernier favorable, un paradis futur… une fois bien mort !
Ah ah ah !
Le mot ANARCHIE !
La société actuelle le présente comme la source du désordre et la certitude du chaos… alors que sa définition originelle annonce en fait l’ordre et la paix… et selon Wikipédia nous pouvons lire dans la partie « étymologique » ceci : L’anarchie (du grec ἀναρχία / anarkhia, composé de an, préfixe privatif : absence de, et arkhê, hiérarchie, commandement ou « primauté ») désigne la situation d’une société où il n'existe pas de chef, pas d'autorité unique, autrement dit où chaque sujet ne peut prétendre à un pouvoir sur l'autre. Il peut exister une organisation, un pouvoir politique ou même plusieurs, mais pas de domination unique ayant un caractère coercitif. (Sources reprises de Wikipédia).
Et le mot AXIOLOGIE !
C’est le philosophe Cyril ARNAUD qui en développe aujourd’hui le mieux la définition sous un nouveau regard notamment dans son site AXIOLOGIE consacré à l’éthique et à la philosophie des valeurs. Et selon Wikipédia : L’axiologie (du grec : axia ou axios, valeur, qualité) peut définir, soit la science des valeurs morales, soit, en philosophie, à la fois une théorie des valeurs (axios) ou une branche de la philosophie s'intéressant au domaine des valeurs. (Sources reprises de Wikipédia).
Des mystères de ces grandes civilisations disparues — dont on ne trouverait que quelques traces illusoires — l’on en a fait des mythes et des utopies que les historiens d’État au service de la morale et des religions actuelles, raillent avec délectation.
De tout cela je n’écrierai rien cette fois pour ne surtout pas faciliter la polémique et fragiliser mon étude sur la « tournante ».
Et pourtant, PLATON lui-même en racontait l’existence…
Je ne développerai pas ici non plus le travail considérable réalisé grâce à ma découverte des recherches de Georges DUMÉZIL, qui fut cependant pour moi d’une aide précieuse dans la réussite de mes études sur la part ternaire de l’humain dans la société actuelle… pour ne citer à la lecture que « Les dieux souverains des Indo-Européens » ou « L’Oubli de l’homme et l’honneur des dieux »… dans son œuvre immense, qui est à lier aux philosophes de l’Antiquité sur lesquels j’ai pu découvrir les trésors originels malgré les faussaires, pour mieux comprendre l’Histoire !
…
Alors, alors… aurait encore écrit Anatole FRANCE…
Alors il y a eu le temps des guerres, des conquêtes…
Alors, les envahisseurs d’hier seront envahis à leur tour… et les temples grecs et romains du bassin méditerranéen et de leurs colonies plus lointaines ont laissé place petit à petit à un monde judéo-christiano-musulman.
Très peu de personnes savent ou veulent savoir que les dieux se succèdent à d’autres dieux pour que les peuples se soumettent sans broncher aux tyrans qui s’en disent les hérauts !
Et Étienne de LA BOÉTIE, avec son « Discours de la servitude volontaire » écrit voici près de cinq cents ans, n’est toujours pas lu…
Oui !
Quand donc allons-nous réagir en saisissant enfin la force de cette maxime reprise par d’autres partisans de la liberté :
Un dieu, cela signifie étymologiquement : un créateur. Celui qui permet le jaillissement…
Qu’il y eût des humains non-aristotéliciens (je préfère dire aujourd’hui : des humains pluripossibles. C’est en raison de mes recherches et de mes découvertes sur les fraudes innombrables dont sont victimes probablement les textes d’ARISTOTE), des êtres — femmes et hommes — vivant dans le plaisir et le beau, ayant la création et l’amour pour sens à donner à leur courte vie terrestre… c’est inimaginable d’avoir le droit de « croire » en cela ! C’est même « interdit » de penser que la vie existait plaisamment dans une axiologie anarchique, avant notre époque actuelle de violences, de massacres et de guerres où la soumission volontaire face au pouvoir des tyrans nous révèlent notre limite animale dualiste et politique… Tant de souffrances pour nous assurer, après un jugement dernier favorable, un paradis futur… une fois bien mort !
Ah ah ah !
Le mot ANARCHIE !
La société actuelle le présente comme la source du désordre et la certitude du chaos… alors que sa définition originelle annonce en fait l’ordre et la paix… et selon Wikipédia nous pouvons lire dans la partie « étymologique » ceci : L’anarchie (du grec ἀναρχία / anarkhia, composé de an, préfixe privatif : absence de, et arkhê, hiérarchie, commandement ou « primauté ») désigne la situation d’une société où il n'existe pas de chef, pas d'autorité unique, autrement dit où chaque sujet ne peut prétendre à un pouvoir sur l'autre. Il peut exister une organisation, un pouvoir politique ou même plusieurs, mais pas de domination unique ayant un caractère coercitif. (Sources reprises de Wikipédia).
Et le mot AXIOLOGIE !
C’est le philosophe Cyril ARNAUD qui en développe aujourd’hui le mieux la définition sous un nouveau regard notamment dans son site AXIOLOGIE consacré à l’éthique et à la philosophie des valeurs. Et selon Wikipédia : L’axiologie (du grec : axia ou axios, valeur, qualité) peut définir, soit la science des valeurs morales, soit, en philosophie, à la fois une théorie des valeurs (axios) ou une branche de la philosophie s'intéressant au domaine des valeurs. (Sources reprises de Wikipédia).
Des mystères de ces grandes civilisations disparues — dont on ne trouverait que quelques traces illusoires — l’on en a fait des mythes et des utopies que les historiens d’État au service de la morale et des religions actuelles, raillent avec délectation.
De tout cela je n’écrierai rien cette fois pour ne surtout pas faciliter la polémique et fragiliser mon étude sur la « tournante ».
Et pourtant, PLATON lui-même en racontait l’existence…
Je ne développerai pas ici non plus le travail considérable réalisé grâce à ma découverte des recherches de Georges DUMÉZIL, qui fut cependant pour moi d’une aide précieuse dans la réussite de mes études sur la part ternaire de l’humain dans la société actuelle… pour ne citer à la lecture que « Les dieux souverains des Indo-Européens » ou « L’Oubli de l’homme et l’honneur des dieux »… dans son œuvre immense, qui est à lier aux philosophes de l’Antiquité sur lesquels j’ai pu découvrir les trésors originels malgré les faussaires, pour mieux comprendre l’Histoire !
…
Alors, alors… aurait encore écrit Anatole FRANCE…
Alors il y a eu le temps des guerres, des conquêtes…
Alors, les envahisseurs d’hier seront envahis à leur tour… et les temples grecs et romains du bassin méditerranéen et de leurs colonies plus lointaines ont laissé place petit à petit à un monde judéo-christiano-musulman.
Très peu de personnes savent ou veulent savoir que les dieux se succèdent à d’autres dieux pour que les peuples se soumettent sans broncher aux tyrans qui s’en disent les hérauts !
Et Étienne de LA BOÉTIE, avec son « Discours de la servitude volontaire » écrit voici près de cinq cents ans, n’est toujours pas lu…
Oui !
Quand donc allons-nous réagir en saisissant enfin la force de cette maxime reprise par d’autres partisans de la liberté :
« Si les tyrans nous semblent grands
C’est parce que nous sommes à genoux devant eux ».
C’est parce que nous sommes à genoux devant eux ».
Les écrits d’Étienne de La
BOÉTIE — cet homme épris de liberté, de plaisirs et de justice… mort trop jeune
dans des circonstances étranges — restent exemplaires malgré les censeurs et
les falsificateurs de ses propos…
À notre époque contemporaine, Roger LELOUP nous rappelle encore cette servitude volontaire de la bouche de Yoko TSUNO dans « La Spirale du Temps » :
À notre époque contemporaine, Roger LELOUP nous rappelle encore cette servitude volontaire de la bouche de Yoko TSUNO dans « La Spirale du Temps » :
« Les hommes se donnent des dieux pour se rassurer,
puis leurs inventent des légendes pour se faire peur ».
puis leurs inventent des légendes pour se faire peur ».
L’amour humain sous le prisme de la morale sociétale, donc religieuse…
Les livres sacrés des
religions actuelles proposent des textes fort ambigus sur cet état de l’amour
humain qui nous manque tant aujourd’hui : malgré certains versets qui peuvent se lire et être interprétés de plusieurs
manières, d’autres sont clairement et farouchement opposés aux amours narcissiques, comme celles
entre deux personnes de même sexe… les amours homophiles.
Et pour ce qui est de la compréhension des amours hétérophiles… le désir comme le plaisir ne sont pas dans l’ordre des choses : la sexualité devrait selon nos « maîtres », se limiter à la reproduction de l’espèce… donner la vie à « des petits d’hommes » pour la gloire d’un dieu ou de plusieurs… et les mettre vite au travail ou à la guerre !
Et les médecins spécialistes et experts se plaisent déjà à l’annoncer dans les médias : bientôt la reproduction humaine se passera de la sexualité… en raison de la stérilité croissante des hommes et des femmes, demandant de plus en plus l’aide médicale pour assurer une descendance ! C’est « Le Meilleur des Mondes » d’Aldous HUXLEY qui s’annonce enfin !
Le sexe ne sera donc bientôt plus nécessaire au peuple et attendons-nous à le voir interdit dans la pratique, pour donner des enfants qui vont mourir pour la Patrie, comme lors de la Grande Guerre, celle que je préfère… nous chantait Georges BRASSENS :
Et pour ce qui est de la compréhension des amours hétérophiles… le désir comme le plaisir ne sont pas dans l’ordre des choses : la sexualité devrait selon nos « maîtres », se limiter à la reproduction de l’espèce… donner la vie à « des petits d’hommes » pour la gloire d’un dieu ou de plusieurs… et les mettre vite au travail ou à la guerre !
Et les médecins spécialistes et experts se plaisent déjà à l’annoncer dans les médias : bientôt la reproduction humaine se passera de la sexualité… en raison de la stérilité croissante des hommes et des femmes, demandant de plus en plus l’aide médicale pour assurer une descendance ! C’est « Le Meilleur des Mondes » d’Aldous HUXLEY qui s’annonce enfin !
Le sexe ne sera donc bientôt plus nécessaire au peuple et attendons-nous à le voir interdit dans la pratique, pour donner des enfants qui vont mourir pour la Patrie, comme lors de la Grande Guerre, celle que je préfère… nous chantait Georges BRASSENS :
« Oui,
mon Colon, celle que je préfère, c’est la guerre de 14-18 ».
Et commencent au début de l'année 2014, les rétrospectives et les faux hommages qui vont nous envahir pendant cinq ans… du nauséeux, du dégoulinant, du détestable… des mensonges pieux pour nous faire croire encore à de belles histoires… que ces millions de morts de part et d’autre du Rhin, le furent pour la bonne cause !
Oui !
Oui…
Trois sur les quatre de mes arrières grands-pères furent sacrifiés au champ d’horreur avec la « Légion d’Honneur » reçue à titre posthume, jolie médaille que leurs veuves pouvaient fièrement arborer…
Voici la lettre écrite par l’un d’eux, la veille de son départ… sachant qu’il sera, avec tout son régiment — le 48° d’Infanterie de Guingamp — tous exterminés à Auvelais, en Belgique, quelques jours après…
Magnifique nécropole à visiter !
Ah, ces splendides cimetières militaires et ces monuments aux morts dans les 36.000 communes de France… Encore du travail pour les ouvriers et des revenus non négligeables pour les entreprises sachant surfer sur les bonnes vagues… et tout cela payé sur nos impôts…
Avant, pendant et après la guerre, il est toujours important de penser à « l’effort de guerre » !
Oui !
Oui…
Trois sur les quatre de mes arrières grands-pères furent sacrifiés au champ d’horreur avec la « Légion d’Honneur » reçue à titre posthume, jolie médaille que leurs veuves pouvaient fièrement arborer…
Voici la lettre écrite par l’un d’eux, la veille de son départ… sachant qu’il sera, avec tout son régiment — le 48° d’Infanterie de Guingamp — tous exterminés à Auvelais, en Belgique, quelques jours après…
Magnifique nécropole à visiter !
Ah, ces splendides cimetières militaires et ces monuments aux morts dans les 36.000 communes de France… Encore du travail pour les ouvriers et des revenus non négligeables pour les entreprises sachant surfer sur les bonnes vagues… et tout cela payé sur nos impôts…
Avant, pendant et après la guerre, il est toujours important de penser à « l’effort de guerre » !
Du Capitaine Robert PITTAUD
de FORGES :
(Lettre écrite à son épouse, la veille de son départ, le 4 août 1914… Il meurt avec tout son régiment le 21 du même mois).
« Je pars le cœur haut, en chrétien demandant à Dieu de me donner la force et l'intelligence pour accomplir, je ne dis pas mon devoir, mais le sacerdoce de notre métier sublime quand nous nous trouvons dans cette ruée des races pour la défense de notre patrie sacrée.
Ce n'est pas sans un serrement de cœur affreux que je laisse ma femme et mes petits mais c'est le moment de songer à la grandeur de notre rôle et de notre métier.
Faites de mes filles des femmes fortes, instruites, chrétiennes, capables de se diriger seules dans la vie.
Mon dernier souvenir sera pour ma mère bien aimée, pour ma femme adorée et pour mes enfants chéris. »
Robert de FORGES, le 4 août 1914.
(Lettre écrite à son épouse, la veille de son départ, le 4 août 1914… Il meurt avec tout son régiment le 21 du même mois).
« Je pars le cœur haut, en chrétien demandant à Dieu de me donner la force et l'intelligence pour accomplir, je ne dis pas mon devoir, mais le sacerdoce de notre métier sublime quand nous nous trouvons dans cette ruée des races pour la défense de notre patrie sacrée.
Ce n'est pas sans un serrement de cœur affreux que je laisse ma femme et mes petits mais c'est le moment de songer à la grandeur de notre rôle et de notre métier.
Faites de mes filles des femmes fortes, instruites, chrétiennes, capables de se diriger seules dans la vie.
Mon dernier souvenir sera pour ma mère bien aimée, pour ma femme adorée et pour mes enfants chéris. »
Robert de FORGES, le 4 août 1914.
Les guerres servent à gérer
l’économie des nations et permettre l’équilibre mondial…
Les puissants de ce monde aiment la guerre !
J’ai écrit un douloureux poème en souvenir de tous mes ancêtres, tant pour ceux qui ont tué ou qui ont envoyé d’autres tuer et se faire tuer… que pour ceux qui sont morts à la guerre… croyant agir pour la bonne cause !
Les puissants de ce monde aiment la guerre !
J’ai écrit un douloureux poème en souvenir de tous mes ancêtres, tant pour ceux qui ont tué ou qui ont envoyé d’autres tuer et se faire tuer… que pour ceux qui sont morts à la guerre… croyant agir pour la bonne cause !
Si
j'écrivais l'Histoire
I
L’air du temps de ces jours semble étrange et me fuit.
Tout sature en ce monde : on construit, on élève
Un sordide univers où le fer et l’humain
S’entassent sans raison. J’imagine un demain
Les puissants de la terre… Et l’un d’entre eux se lève
Au cours du haut conseil, au secret, dans la nuit.
« Silence ! Écoutez-moi ! » S'écrit-il en grand frère ;
« Refusons tout espoir — de vaines illusions —
Qui donnerait sur l’heure à qui voudrait y croire,
Un retour de son dieu dans une immense gloire.
Il serait bon qu’enfin, sans crainte, nous osions
Reconnaître la mort comme point de repère !
II
Il est temps mes amis de nous entre-tuer.
Détruisons les nations, donnons du sens à l’homme ;
Il nous faut des martyrs, de prodigieux héros…
Mais aussi quelques vils et pauvres numéros :
Longue liste infernale de bêtes de somme,
Enfants, femmes, vieillards… Sachons sans fin tuer ! »
Alors qu’ils écoutaient — vénérable auditoire —
En un commun accord, au dernier mot lancé,
Tous ensemble debout, voici qu’on félicite
À l’unanimité l’offre sans plébiscite,
Où la guerre est pesée, où le mort est pensé…
La terre se nourrit du sang de son histoire.
La terre se nourrit du sang de son histoire…
La terre se nourrit du sang de son histoire !
Poème extrait du recueil « Solitude Étrangère » écrit par Yves Philippe de Francqueville.
L’air du temps de ces jours semble étrange et me fuit.
Tout sature en ce monde : on construit, on élève
Un sordide univers où le fer et l’humain
S’entassent sans raison. J’imagine un demain
Les puissants de la terre… Et l’un d’entre eux se lève
Au cours du haut conseil, au secret, dans la nuit.
« Silence ! Écoutez-moi ! » S'écrit-il en grand frère ;
« Refusons tout espoir — de vaines illusions —
Qui donnerait sur l’heure à qui voudrait y croire,
Un retour de son dieu dans une immense gloire.
Il serait bon qu’enfin, sans crainte, nous osions
Reconnaître la mort comme point de repère !
II
Il est temps mes amis de nous entre-tuer.
Détruisons les nations, donnons du sens à l’homme ;
Il nous faut des martyrs, de prodigieux héros…
Mais aussi quelques vils et pauvres numéros :
Longue liste infernale de bêtes de somme,
Enfants, femmes, vieillards… Sachons sans fin tuer ! »
Alors qu’ils écoutaient — vénérable auditoire —
En un commun accord, au dernier mot lancé,
Tous ensemble debout, voici qu’on félicite
À l’unanimité l’offre sans plébiscite,
Où la guerre est pesée, où le mort est pensé…
La terre se nourrit du sang de son histoire.
La terre se nourrit du sang de son histoire…
La terre se nourrit du sang de son histoire !
Poème extrait du recueil « Solitude Étrangère » écrit par Yves Philippe de Francqueville.
Anatole FRANCE l’écrivait
déjà en 1920 :
« L’on
croit mourir pour la Patrie…
On meurt pour des industriels »
On meurt pour des industriels »
Nous restons les sujets des
dieux ou des rois de droit divin ou élu par un peuple qui semble bien vouloir
se donner les tyrans qu’il mérite… et tous seront les citoyens-esclaves d’une
nation qu’il faut faire vivre, entretenir et surtout protéger des « reconquêtes »
des envahis d’hier qui deviendront les envahisseurs de demain !
Ah… pourtant le Léopard du Panthéon l’écrivait déjà sur les murs de Paris en 1897 avec ces propos certes lapidaires :
Ah… pourtant le Léopard du Panthéon l’écrivait déjà sur les murs de Paris en 1897 avec ces propos certes lapidaires :
« Ne
votez pas, car voter c’est se soumettre,
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
Les autres systèmes politico-religieux issues de peuples plus lointains de la jeune Europe et de son bassin méditerranéen — qui me concernent plus particulièrement — s’inscrivent aussi dans des peurs et des hontes, limitant, voire interdisant la liberté humaine et donc bien entendu la sexualité.
Je résume aussi quelque peu dans cette longue explication, mes découvertes issues de recherches approfondies sur les travaux considérables de Friedrich NIETZSCHE — le génie du cœur — que ce soit notamment révélé à travers ses écrits dans les lettres, les poèmes, mais aussi ses essais nombreux comme : « Par-delà le bien et le mal » et « la généalogie de la Morale », pièces importantes de mes lectures.
De toutes les façons, il semble aux yeux des tyrans que la vie affective des peuples esclaves devait être limitée et surtout liée à une dizaine de commandements et des milliers de lois et d’interdits, de préceptes et d’obligations.
À découvrir notre monde tel qu’il risque d’être dans un futur proche, si nous ne réagissons pas… Lisez :
Je résume aussi quelque peu dans cette longue explication, mes découvertes issues de recherches approfondies sur les travaux considérables de Friedrich NIETZSCHE — le génie du cœur — que ce soit notamment révélé à travers ses écrits dans les lettres, les poèmes, mais aussi ses essais nombreux comme : « Par-delà le bien et le mal » et « la généalogie de la Morale », pièces importantes de mes lectures.
De toutes les façons, il semble aux yeux des tyrans que la vie affective des peuples esclaves devait être limitée et surtout liée à une dizaine de commandements et des milliers de lois et d’interdits, de préceptes et d’obligations.
À découvrir notre monde tel qu’il risque d’être dans un futur proche, si nous ne réagissons pas… Lisez :
Un théâtre philosophique en 4 tomes : « Souvenir d’un amour », « Notre sauveur », Comme une abeille hors de sa ruche », « La mort de l’Archyeur ». Et pour approfondir l’histoire de Chris, Yeph, Laurie, Sybil, Tomas, Franch, Emma et des autres protagonistes, retrouvez quelques récits issus des « contes de Moelle », œuvre du même auteur que ces propos libres et sans gravité… à lire en ligne ou si vous préférez la version « beaux livres papiers » en quelques clics… l’information est sur chaque site !
Servitude volontaire ?
Oui…
Et cela se poursuit depuis 2.500 ans dans une acceptation : une soumission générale !
La Révolution française aurait pu donner quelques espoirs… mais elle s’est fourvoyée dès les premières assemblées bourgeoises où la « sacro-sainte propriété privée » a été sauvée… comme le fondement nécessaire d’une pseudo République conservant ses principes tyranniques de l’esclavage des peuples au profit des « propriétaires », malgré les suppliques de Gracchus BABEUF :
Et cela se poursuit depuis 2.500 ans dans une acceptation : une soumission générale !
La Révolution française aurait pu donner quelques espoirs… mais elle s’est fourvoyée dès les premières assemblées bourgeoises où la « sacro-sainte propriété privée » a été sauvée… comme le fondement nécessaire d’une pseudo République conservant ses principes tyranniques de l’esclavage des peuples au profit des « propriétaires », malgré les suppliques de Gracchus BABEUF :
« Plus de propriété individuelle
des terres, la terre n'est à personne.
Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre :
Les fruits sont à tout le monde ».
Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre :
Les fruits sont à tout le monde ».
La Révolution russe et les suivantes
à travers le monde furent aussi de grandes illusions… en créant
systématiquement de nouvelles hiérarchies verticales et pyramidales, naturellement
aussi corrompues que les précédentes et encore et toujours la terreur comme mode d’expression, de « dialogue » avec les peuples soumis !
Religions
d’aujourd’hui…
Du fruit de mes recherches… il me semble qu’au fil des premiers siècles de notre ère — que l’on dit actuellement « chrétienne » — s’est développé petit à petit dans le bassin méditerranéen une religion nouvelle, construite sous la direction discrète de quelques grands prêtres et politiciens issus du judaïsme. Le développement se fera très lentement dans l’esprit des nombreuses sectes messianiques de l’époque, soucieuses de se libérer du joug des Romains. Un idéal christique s’annonce — l’histoire d’un sauveur — qui va prendre force pour s’affirmer et se démarquer du judaïsme vers le IIIème siècle (en transcription de notre ère…) et progressivement de s’imposer sur l’Empire Romain en déclin vers les IV et Vème siècles (en transcription de notre ère…). Enfin, plus sérieusement dans les jeunes royaumes d’Europe vers le VIIIème siècle… (toujours en transcription de notre ère…) l’on commence même à tenter d’imposer un calendrier ayant pour datation non plus la naissance de Rome, mais la date de naissance imaginaire d’un certain JÉSUS CHRIST.
Une diaspora, issue de tribus sémites dont celles nombreuses des hébreux, avait besoin de se donner des origines divines différentes de celle des dieux macédoniens, perses, grecs, mésopotamiens, égyptiens et autres adorés sur les terres où ils vivaient. Alors, la création du christianisme issu des très très nombreuses sectes messianiques de l’époque fut nécessaire pour qu’elle s’affirme historiquement comme descendante d’un peuple élu par un dieu supérieur. La vie de Jésus dont les origines était présentées comme hébraïques fut bâtie semble-t-il sur les histoires rapportées de dieux plus ou moins aimables et plus anciens et aussi sur les faits de quelques individus notables et savants des sectes messianiques, porteurs de messages de paix, d’amour et surtout d’espérance. L’existence humaine de Jésus donnait enfin au peuple de la diaspora une légitimité historique, révélant la généalogie de nombreux personnages comme MOÏSE et ABRAHAM.
Cela créa alors une vérité intouchable permettant de maintenir une mémoire qui les unis toujours à travers le monde depuis près de 2.300 ans.
Oui, grâce aux historiens du christianisme — issus pour les premiers du judaïsme — comme Flavius JOSÈPHE, revisité par les fraudes pieuses… la grande histoire des tribus hébraïques passe de la légende à une vérité que l’on ne peut plus réfuter sans risquer d’être mis au pilori…
Oui, la mort est toujours assurée pour celles et ceux qui ne sont pas en plein accord avec l’Histoire officielle !
Hier, la mort physique, aujourd’hui, plutôt une mort sociétale…
Et c’est ainsi que pour faire mémoire des origines des peuples hébreux, s’est admirablement construit un temple extraordinaire à Jérusalem vers le Xème siècle avant notre ère, que hélas, le célèbre et très méchant NABUCHODONOSOR II aurait détruit, d’après les vérités bibliques, reconnues historiques !
À cette époque très reculée et un peu primitive, après la fin des grandes civilisations… les tribus hébraïques comme beaucoup d’autres peuples vivaient semble-t-il en nomades et n’étaient pas toutes unies autour de mêmes croyances… alors l’aventure d’un « premier temple » bâti voici 3.000 ans semble être une belle histoire probablement créée tardivement !
Aussi… les grands historiens grecs comme HOMÈRE ou HÉSIODE ne connaissaient même pas ces petites tribus nomades… Et même HÉRODOTE ne parle pas des tribus des hébreux ni de ce « premier temple » qui aurait dû être logiquement inscrit parmi les Merveilles du Monde s’il avait été bâti, en regard des plans et maquettes splendides que l’on nous offre à voir.
Oui ce temple magnifique avec ses dorures et ses trésors devrait être logiquement sur la liste avec les Pyramides d’Égypte — dont nous ne savons pas encore la date réelle de la création et les moyens utilisés pour les édifier malgré des propositions fantasques qui font lois — et avec les Jardins suspendus de Babylone dont l’existence aux dires des experts spécialistes reste plutôt fumeuse !
Et pour le « second temple » réalisé à ce qu’il se dit au VIème siècle avant notre ère… comme enfin pour celui construit soi-disant à la demande du roi HÉRODE avec un chantier où plus de 100.000 personnes ont travaillé pendant 7 ans… ou 77 selon les sources… et surtout les contradictions, il y a beaucoup de questions à se poser sur la véracité de leur existence !
Oui, un chantier de 100.000 hommes, ce n’est pas simple à gérer… que ce soit sur 7 ans ou 77 ans !
Nous aurions donc trois merveilles du monde, oubliées ?
J’ai pu savourer voici plus de vingt ans une thèse remarquable, réalisée par un frère dominicain — le père Philippe N*** — de l’Ordre des Prêcheurs. Si je m’en souviens bien… Il avait étudié longuement et voulait expliquer non sans talents, et avec plus de 1.000 pages, les raisons étranges mais légitimes des chiffres contradictoires des mesures du « Temple de Salomon » dans le « premier Livre des Rois, de la Bible », entre la version hébraïque retenue par les juifs et celle dite « Septante » préférée par les chrétiens et légitimée notamment par la très controversée « lettre d'Aristée » que le célèbre Eusèbe de Césarée utilisa entre autres documents légendaires pour construire son histoire du christianisme.
Que d’encre pour un temple !
…
Pour résumer…
La Naissance du christianisme a donc légitimé le judaïsme…
Et L’islam va légitimer le christianisme et encrer… et ancrer davantage le judaïsme dans l’histoire de l’humanité !
Oui… nous vivons dans un monde « judéo-christiano-islamique » !
Si le Christianisme prend progressivement une place sérieuse et s’impose dans la gestion des peuples européens, c’est surtout grâce à la naissance de l’Islam et de sa révélation par son livre sacré « le Coran » qui affirme officiellement environ à partir de la fin du IXème siècle au monde entier, la véracité de la Bible et de ses acteurs, de l’Ancien comme du Nouveau Testament !
Il semble en effet que c’est bien vers les IXème et Xème siècles que le Coran a été présenté dans sa version définitive… mais de cela il n’est pas permis d’en discuter encore aujourd’hui… car parler d’un livre révélé comme d’un livre écrit, c’est la fatwa assurée !
Dès le IVème siècle de notre ère, (en transcription par rapport au calendrier basé sur la naissance de Rome), il faut noter pour la construction du christianisme, la destitution de l’Empereur Maxence par un des nombreux usurpateurs désireux du pouvoir : Constantin 1er.
Oui…
Dans une Rome en pleine décadence… n’arrivant pas à conserver sa « Paix Romaine » — cette pseudo unité où les peuples esclaves malgré la violence, les peurs et tant de guerres… et du pain et des jeux… ne se soumettaient plus — il fallait redonner un nouvel élan d’unité que les dieux de Rome ne proposaient plus…
Les vérités de CICÉRON — ce gros bourgeois politicien, pseudo philosophe, qui s’était grassement enrichit sur les impôts du peuple qu’il troussait avec ruse… avant qu’on ne lui coupe les mains et la tête — sont bien lointaines !
L’Empereur MARC AURÈLE — cet autre pseudo philosophe plutôt chef de guerre — n’est plus là pour tenir les frontières emprisonnant les peuples du bassin méditerranéen, dans la peur et le sang…
Les temples romains se construisaient cependant encore… et le culte aux dieux ne sera vraiment délaissé que vers le VIIème siècle dans tous les restes de l’empire romain !
Mais c’est avec l’Édit du 28 février 380 (transcription de notre ère chrétienne) que l’Empereur Théodose 1er fera de la religion chrétienne la religion unique et obligatoire… à imposer progressivement dans tout l’Empire avec les persécutions qui vont avec !
Déjà, vers 312 (transcription de notre ère), l’Empereur Constantin 1er avait construit les bases du christianisme grâce à Eusèbe de Césarée — véritable Père de l’Église, aussi dans le sens premier du terme — dit le spécialiste de la « fraude pieuse », trafiquant ou complétant les écrits des historiens plus anciens pour y insérer des légendes christiques. C’est à cette époque que furent inventés les Papes, en codifiant une liste commençant par « Saint-Pierre » !
Avec les « Pères et Docteurs de l’Église » dont le célèbre « Saint Augustin d’Hippone » cet ancien adorateur des dieux du prophète Mani (ou Manès) rallié sur le tard à la cause de Jésus, il se créa de nombreuses autres légendes qui construisirent le christianisme. Beaucoup des royaumes naissants ont alors profité de cette religion qui offre aux peuples soumis un paradis glorieux, pour imposer leurs tyrans, en bonne entente avec les grands prêtres… puis, ils ont laissé leurs petites mains exécutrices des basses tâches, gérer les restrictions et les répressions… sans pour autant ne pas en laisser le plaisir pour les instantes dirigeantes. L’empereur Napoléon 1er sera un grand partisan de la cause des peuples à mener à la guerre par cette citation au Conseil d’État :
« Ma politique est de gouverner les hommes comme le grand nombre veut l'être. C'est la manière de reconnaître la souveraineté du peuple. C'est en me faisant catholique que j'ai gagné la guerre de Vendée, en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte, en me faisant ultra-montain que j'ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais le peuple juif, je rétablirais le temple de Salomon ».
Des historiens d’États — évêques pour la plupart comme Grégoire de Tours — nous inventent alors de belles histoires avec des rois très chrétiens comme Clovis, ce petit chef de tribu et son sacre, pour donner une légitimité au tout petit royaume des Francs, qui ne deviendra « France » qu’à partir semble-t-il de l’an 987 (transcription de notre ère)… Et le plus comique est de voir que les historiens d’aujourd’hui dans la grande lignée des faussaires du XIXème siècle comme le terrible Adolphe THIERS, fondent leurs certitudes sur une « copie » latine de Grégoire de Tours (né vers 538 en transcription de notre ère) de ses « Histoires », texte datant approximativement du IXème siècle, toujours en transcription de notre ère, alors que le calendrier chrétien commençait à peine à s’imposer… ce qui n’était absolument pas le cas à l’époque de Grégoire de Tours… qui devait donc user des calendriers gallo-romains fondés sur la légende de la naissance de Rome et parfois même sur la plus extraordinaire naissance du Monde dans le calendrier hébreux (avec Adam) proposée par la Bible pour donner des dates de ses faits historico-religieux ! L’on sait que les multiples versions et éditions de tant de manuscrits dont ceux de Grégoire de Tours ont été revisités de nombreuses fois par les « faiseurs de l’Histoire » !
Il est nécessaire de parler ainsi de dates « en transcription de notre ère » jusqu’au temps où le nouveau calendrier — commençant à la naissance fixée définitivement de Jésus Christ — sera vraiment officialisé dans la grande Europe, et ce, seulement autour de la seconde moitié du XIème siècle.
Ce qui nous laisse très fortement à penser que les histoires de grandes peurs autour de « l’An 1.000 » sont bien des créations des siècles suivants ! Michel SARDOU aurait dû s’informer un peu avant de nous offrir sa chanson historique « L’An Mil » aux paroles ridicules… (quand on sait aussi que les cathédrales étaient quasiment inexistantes à cette époque, et surtout pas de style gothique à en « crever le Ciel comme des épées »). « L’An Mil », une chanson dont la musique est une belle « reprise » de « La Marche au supplice » de « La Symphonie Fantastique » d’Hector BERLIOZ…
Il se raconte même dans nos « livres éducatifs sur l’Histoire de France » que Clovis et ses troupes franques auraient pillé de nombreuses églises avant de se convertir au christianisme… alors que les premiers lieux de culte chrétiens dans le royaume des Francs sont datés semble-t-il vers le VIIème ou VIIIème siècle, toujours en transcription de notre ère… bien entendu construits la plupart du temps sur des édifices plus anciens, parfois dédiés à l’origine à d’autres dieux…
En fait, ce sont les « invasions arabes » des VIIIème et IXème siècles (transcription de notre ère) qui vont développer le christianisme en Europe, grâce aux historiens politiques et religieux de l’époque, voulant voir dans ces guerres de conquêtes, la rencontre entre « deux religions » obsédées par un prosélytisme, qui par leurs confrontations multiples, s’affirment légitimes pour les peuples qui meurent !
Les grandes invasions se sont succédées depuis 2.500 ans, et celles du monde arabe dans le bassin méditerranéen — revanche des conquêtes macédoniennes, mésopotamiennes, grecques ou romaines — a développé en même temps comme de coutume, toute une religion nouvelle dont nous n’avons pas encore la possibilité d’un recul nécessaire pour en comprendre son histoire… Il est aussi très complexe de pouvoir accéder à des documents « authentiques », car la plupart des « Commandeurs des croyants » ont usé et usent des mêmes techniques que les chefs chrétiens et juifs en faisant « table rase » des documents créateurs, brûlant les livres et détruisant les œuvres artistiques dérangeantes, puis en écrivant « l’Histoire officielle » par des politico-religieux…
Et toujours… c’est la mort pour qui ose nier la vérité écrite dans les livres sacrés !
L’Islam s’est développé alors comme le christianisme, en religion à imposer aux peuples conquis pour leur « bonheur », avec des persécutions qui vont avec… et le judaïsme a souvent compté les points, tout en ayant lui aussi ses temps de massacres, rappelant quand il le fallait son identité première de peuple élu !
Qui se souvient de l’origine même du mot « macchabé »… un mort, un cadavre ? à l’origine, le nom d’une famille… c’est l’histoire d’une famille… c’est l’histoire des martyrs d’Israël !
Une diaspora, issue de tribus sémites dont celles nombreuses des hébreux, avait besoin de se donner des origines divines différentes de celle des dieux macédoniens, perses, grecs, mésopotamiens, égyptiens et autres adorés sur les terres où ils vivaient. Alors, la création du christianisme issu des très très nombreuses sectes messianiques de l’époque fut nécessaire pour qu’elle s’affirme historiquement comme descendante d’un peuple élu par un dieu supérieur. La vie de Jésus dont les origines était présentées comme hébraïques fut bâtie semble-t-il sur les histoires rapportées de dieux plus ou moins aimables et plus anciens et aussi sur les faits de quelques individus notables et savants des sectes messianiques, porteurs de messages de paix, d’amour et surtout d’espérance. L’existence humaine de Jésus donnait enfin au peuple de la diaspora une légitimité historique, révélant la généalogie de nombreux personnages comme MOÏSE et ABRAHAM.
Cela créa alors une vérité intouchable permettant de maintenir une mémoire qui les unis toujours à travers le monde depuis près de 2.300 ans.
Oui, grâce aux historiens du christianisme — issus pour les premiers du judaïsme — comme Flavius JOSÈPHE, revisité par les fraudes pieuses… la grande histoire des tribus hébraïques passe de la légende à une vérité que l’on ne peut plus réfuter sans risquer d’être mis au pilori…
Oui, la mort est toujours assurée pour celles et ceux qui ne sont pas en plein accord avec l’Histoire officielle !
Hier, la mort physique, aujourd’hui, plutôt une mort sociétale…
Et c’est ainsi que pour faire mémoire des origines des peuples hébreux, s’est admirablement construit un temple extraordinaire à Jérusalem vers le Xème siècle avant notre ère, que hélas, le célèbre et très méchant NABUCHODONOSOR II aurait détruit, d’après les vérités bibliques, reconnues historiques !
À cette époque très reculée et un peu primitive, après la fin des grandes civilisations… les tribus hébraïques comme beaucoup d’autres peuples vivaient semble-t-il en nomades et n’étaient pas toutes unies autour de mêmes croyances… alors l’aventure d’un « premier temple » bâti voici 3.000 ans semble être une belle histoire probablement créée tardivement !
Aussi… les grands historiens grecs comme HOMÈRE ou HÉSIODE ne connaissaient même pas ces petites tribus nomades… Et même HÉRODOTE ne parle pas des tribus des hébreux ni de ce « premier temple » qui aurait dû être logiquement inscrit parmi les Merveilles du Monde s’il avait été bâti, en regard des plans et maquettes splendides que l’on nous offre à voir.
Oui ce temple magnifique avec ses dorures et ses trésors devrait être logiquement sur la liste avec les Pyramides d’Égypte — dont nous ne savons pas encore la date réelle de la création et les moyens utilisés pour les édifier malgré des propositions fantasques qui font lois — et avec les Jardins suspendus de Babylone dont l’existence aux dires des experts spécialistes reste plutôt fumeuse !
Et pour le « second temple » réalisé à ce qu’il se dit au VIème siècle avant notre ère… comme enfin pour celui construit soi-disant à la demande du roi HÉRODE avec un chantier où plus de 100.000 personnes ont travaillé pendant 7 ans… ou 77 selon les sources… et surtout les contradictions, il y a beaucoup de questions à se poser sur la véracité de leur existence !
Oui, un chantier de 100.000 hommes, ce n’est pas simple à gérer… que ce soit sur 7 ans ou 77 ans !
Nous aurions donc trois merveilles du monde, oubliées ?
J’ai pu savourer voici plus de vingt ans une thèse remarquable, réalisée par un frère dominicain — le père Philippe N*** — de l’Ordre des Prêcheurs. Si je m’en souviens bien… Il avait étudié longuement et voulait expliquer non sans talents, et avec plus de 1.000 pages, les raisons étranges mais légitimes des chiffres contradictoires des mesures du « Temple de Salomon » dans le « premier Livre des Rois, de la Bible », entre la version hébraïque retenue par les juifs et celle dite « Septante » préférée par les chrétiens et légitimée notamment par la très controversée « lettre d'Aristée » que le célèbre Eusèbe de Césarée utilisa entre autres documents légendaires pour construire son histoire du christianisme.
Que d’encre pour un temple !
…
Pour résumer…
La Naissance du christianisme a donc légitimé le judaïsme…
Et L’islam va légitimer le christianisme et encrer… et ancrer davantage le judaïsme dans l’histoire de l’humanité !
Oui… nous vivons dans un monde « judéo-christiano-islamique » !
Si le Christianisme prend progressivement une place sérieuse et s’impose dans la gestion des peuples européens, c’est surtout grâce à la naissance de l’Islam et de sa révélation par son livre sacré « le Coran » qui affirme officiellement environ à partir de la fin du IXème siècle au monde entier, la véracité de la Bible et de ses acteurs, de l’Ancien comme du Nouveau Testament !
Il semble en effet que c’est bien vers les IXème et Xème siècles que le Coran a été présenté dans sa version définitive… mais de cela il n’est pas permis d’en discuter encore aujourd’hui… car parler d’un livre révélé comme d’un livre écrit, c’est la fatwa assurée !
Dès le IVème siècle de notre ère, (en transcription par rapport au calendrier basé sur la naissance de Rome), il faut noter pour la construction du christianisme, la destitution de l’Empereur Maxence par un des nombreux usurpateurs désireux du pouvoir : Constantin 1er.
Oui…
Dans une Rome en pleine décadence… n’arrivant pas à conserver sa « Paix Romaine » — cette pseudo unité où les peuples esclaves malgré la violence, les peurs et tant de guerres… et du pain et des jeux… ne se soumettaient plus — il fallait redonner un nouvel élan d’unité que les dieux de Rome ne proposaient plus…
Les vérités de CICÉRON — ce gros bourgeois politicien, pseudo philosophe, qui s’était grassement enrichit sur les impôts du peuple qu’il troussait avec ruse… avant qu’on ne lui coupe les mains et la tête — sont bien lointaines !
L’Empereur MARC AURÈLE — cet autre pseudo philosophe plutôt chef de guerre — n’est plus là pour tenir les frontières emprisonnant les peuples du bassin méditerranéen, dans la peur et le sang…
Les temples romains se construisaient cependant encore… et le culte aux dieux ne sera vraiment délaissé que vers le VIIème siècle dans tous les restes de l’empire romain !
Mais c’est avec l’Édit du 28 février 380 (transcription de notre ère chrétienne) que l’Empereur Théodose 1er fera de la religion chrétienne la religion unique et obligatoire… à imposer progressivement dans tout l’Empire avec les persécutions qui vont avec !
Déjà, vers 312 (transcription de notre ère), l’Empereur Constantin 1er avait construit les bases du christianisme grâce à Eusèbe de Césarée — véritable Père de l’Église, aussi dans le sens premier du terme — dit le spécialiste de la « fraude pieuse », trafiquant ou complétant les écrits des historiens plus anciens pour y insérer des légendes christiques. C’est à cette époque que furent inventés les Papes, en codifiant une liste commençant par « Saint-Pierre » !
Avec les « Pères et Docteurs de l’Église » dont le célèbre « Saint Augustin d’Hippone » cet ancien adorateur des dieux du prophète Mani (ou Manès) rallié sur le tard à la cause de Jésus, il se créa de nombreuses autres légendes qui construisirent le christianisme. Beaucoup des royaumes naissants ont alors profité de cette religion qui offre aux peuples soumis un paradis glorieux, pour imposer leurs tyrans, en bonne entente avec les grands prêtres… puis, ils ont laissé leurs petites mains exécutrices des basses tâches, gérer les restrictions et les répressions… sans pour autant ne pas en laisser le plaisir pour les instantes dirigeantes. L’empereur Napoléon 1er sera un grand partisan de la cause des peuples à mener à la guerre par cette citation au Conseil d’État :
« Ma politique est de gouverner les hommes comme le grand nombre veut l'être. C'est la manière de reconnaître la souveraineté du peuple. C'est en me faisant catholique que j'ai gagné la guerre de Vendée, en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte, en me faisant ultra-montain que j'ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais le peuple juif, je rétablirais le temple de Salomon ».
Des historiens d’États — évêques pour la plupart comme Grégoire de Tours — nous inventent alors de belles histoires avec des rois très chrétiens comme Clovis, ce petit chef de tribu et son sacre, pour donner une légitimité au tout petit royaume des Francs, qui ne deviendra « France » qu’à partir semble-t-il de l’an 987 (transcription de notre ère)… Et le plus comique est de voir que les historiens d’aujourd’hui dans la grande lignée des faussaires du XIXème siècle comme le terrible Adolphe THIERS, fondent leurs certitudes sur une « copie » latine de Grégoire de Tours (né vers 538 en transcription de notre ère) de ses « Histoires », texte datant approximativement du IXème siècle, toujours en transcription de notre ère, alors que le calendrier chrétien commençait à peine à s’imposer… ce qui n’était absolument pas le cas à l’époque de Grégoire de Tours… qui devait donc user des calendriers gallo-romains fondés sur la légende de la naissance de Rome et parfois même sur la plus extraordinaire naissance du Monde dans le calendrier hébreux (avec Adam) proposée par la Bible pour donner des dates de ses faits historico-religieux ! L’on sait que les multiples versions et éditions de tant de manuscrits dont ceux de Grégoire de Tours ont été revisités de nombreuses fois par les « faiseurs de l’Histoire » !
Il est nécessaire de parler ainsi de dates « en transcription de notre ère » jusqu’au temps où le nouveau calendrier — commençant à la naissance fixée définitivement de Jésus Christ — sera vraiment officialisé dans la grande Europe, et ce, seulement autour de la seconde moitié du XIème siècle.
Ce qui nous laisse très fortement à penser que les histoires de grandes peurs autour de « l’An 1.000 » sont bien des créations des siècles suivants ! Michel SARDOU aurait dû s’informer un peu avant de nous offrir sa chanson historique « L’An Mil » aux paroles ridicules… (quand on sait aussi que les cathédrales étaient quasiment inexistantes à cette époque, et surtout pas de style gothique à en « crever le Ciel comme des épées »). « L’An Mil », une chanson dont la musique est une belle « reprise » de « La Marche au supplice » de « La Symphonie Fantastique » d’Hector BERLIOZ…
Il se raconte même dans nos « livres éducatifs sur l’Histoire de France » que Clovis et ses troupes franques auraient pillé de nombreuses églises avant de se convertir au christianisme… alors que les premiers lieux de culte chrétiens dans le royaume des Francs sont datés semble-t-il vers le VIIème ou VIIIème siècle, toujours en transcription de notre ère… bien entendu construits la plupart du temps sur des édifices plus anciens, parfois dédiés à l’origine à d’autres dieux…
En fait, ce sont les « invasions arabes » des VIIIème et IXème siècles (transcription de notre ère) qui vont développer le christianisme en Europe, grâce aux historiens politiques et religieux de l’époque, voulant voir dans ces guerres de conquêtes, la rencontre entre « deux religions » obsédées par un prosélytisme, qui par leurs confrontations multiples, s’affirment légitimes pour les peuples qui meurent !
Les grandes invasions se sont succédées depuis 2.500 ans, et celles du monde arabe dans le bassin méditerranéen — revanche des conquêtes macédoniennes, mésopotamiennes, grecques ou romaines — a développé en même temps comme de coutume, toute une religion nouvelle dont nous n’avons pas encore la possibilité d’un recul nécessaire pour en comprendre son histoire… Il est aussi très complexe de pouvoir accéder à des documents « authentiques », car la plupart des « Commandeurs des croyants » ont usé et usent des mêmes techniques que les chefs chrétiens et juifs en faisant « table rase » des documents créateurs, brûlant les livres et détruisant les œuvres artistiques dérangeantes, puis en écrivant « l’Histoire officielle » par des politico-religieux…
Et toujours… c’est la mort pour qui ose nier la vérité écrite dans les livres sacrés !
L’Islam s’est développé alors comme le christianisme, en religion à imposer aux peuples conquis pour leur « bonheur », avec des persécutions qui vont avec… et le judaïsme a souvent compté les points, tout en ayant lui aussi ses temps de massacres, rappelant quand il le fallait son identité première de peuple élu !
Qui se souvient de l’origine même du mot « macchabé »… un mort, un cadavre ? à l’origine, le nom d’une famille… c’est l’histoire d’une famille… c’est l’histoire des martyrs d’Israël !
Être tous unis autour du vrai dieu…
Malgré l’illusion durable, l’islam n’a jamais pu se construire d’une manière unitaire, tout comme les chrétiens très divisés et les juifs aussi, dans cette problématique entre l’interdit et le vécu… les droits et les devoirs… car si la Bible est très (trop) chargée en histoires, le livre sacré du Coran est assez (trop) limité en informations… Il y a « heureusement » pour les très nombreux courants religieux de l’Islam, comme pour les religions juives et chrétiennes, une multitude de textes « presque sacrés » aux vérités parfois relatives, donnant les bonnes routes à suivre pour espérer un jugement clément du vrai dieu lors de la confrontation post mortem…
Alors, chez les musulmans comme pour les autres croyants… devant les contradictions et les incompréhensions, ils doivent tous œuvrer dans le secret, que ce soit pour les princes ou les esclaves… avec toujours des expiations pour l’exemple !
Cependant, de nos jours il y a la montée d’une nouvelle culture islamique se disant proposer une religion pure, remontant aux sources véritables… permettant surtout d’offrir une unité dans l’exile et bien entendu une volonté de revanche sur les récentes persécutions coloniales.
Les chrétiens comme les juifs ont aussi leurs « intégrismes », des religions puristes n’ayant pas plus de fondements sérieux que celles combattues !
Oui, depuis 2.500 ans, l’on s’envahi chacun son tour et la peur reste l’outil admirable pour mener les peuples !
Alors, la lecture des textes considérés comme sacrés et de leurs commentaires donnent des lois nouvelles basées sur l’espoir d’un avenir plus radieux. Cela s’annonce surtout sur la terreur d’un jugement divin implacable en cas de non conformités aux volontés du tout puissant dieu, miséricordieux avec les justes et impitoyable avec les pécheurs !
L’on impose donc — pour le bien des peuples — par les dépositaires des textes sacrés et de leurs écrits religieux explicatifs, des interdits et des obligations toujours plus contraignantes où notamment les amours et la sexualité narcissique comme homophile sont non seulement condamnable à la mort en ce monde… mais surtout causant en suite la damnation pour l’éternité…
En enfer pour l’éternité… ah quelle horreur… quand on réalise que « l'éternité c'est long... surtout vers la fin » d’après Franz KAFKA, et repris par Woddy ALLEN !
Alors, chez les musulmans comme pour les autres croyants… devant les contradictions et les incompréhensions, ils doivent tous œuvrer dans le secret, que ce soit pour les princes ou les esclaves… avec toujours des expiations pour l’exemple !
Cependant, de nos jours il y a la montée d’une nouvelle culture islamique se disant proposer une religion pure, remontant aux sources véritables… permettant surtout d’offrir une unité dans l’exile et bien entendu une volonté de revanche sur les récentes persécutions coloniales.
Les chrétiens comme les juifs ont aussi leurs « intégrismes », des religions puristes n’ayant pas plus de fondements sérieux que celles combattues !
Oui, depuis 2.500 ans, l’on s’envahi chacun son tour et la peur reste l’outil admirable pour mener les peuples !
Alors, la lecture des textes considérés comme sacrés et de leurs commentaires donnent des lois nouvelles basées sur l’espoir d’un avenir plus radieux. Cela s’annonce surtout sur la terreur d’un jugement divin implacable en cas de non conformités aux volontés du tout puissant dieu, miséricordieux avec les justes et impitoyable avec les pécheurs !
L’on impose donc — pour le bien des peuples — par les dépositaires des textes sacrés et de leurs écrits religieux explicatifs, des interdits et des obligations toujours plus contraignantes où notamment les amours et la sexualité narcissique comme homophile sont non seulement condamnable à la mort en ce monde… mais surtout causant en suite la damnation pour l’éternité…
En enfer pour l’éternité… ah quelle horreur… quand on réalise que « l'éternité c'est long... surtout vers la fin » d’après Franz KAFKA, et repris par Woddy ALLEN !
Et dans la morale sociale ?
Il est à noter que la France
— même si elle reste extrêmement pétrie de christianisme dans ses fêtes et ses
us et coutumes — n’est plus un pays ayant une religion officielle obligatoire…
et cela depuis 1905 avec la « séparation de l’Église et de l’État »… Cependant,
à travers le monde, États-Unis d’Amérique inclus, les religions ont leur primauté
dans les constitutions… où l’on place le peuple et ses dirigeants sous la
protection d’un dieu ! Parfois encore, une
seule foi est non seulement autorisée… mais elle est de plus imposée !
Donc, c’est difficile de distinguer la morale sociale de la morale religieuse…
Alors…
Le système sociétal veut à tout prix codifier la sexualité humaine en espaces cloisonnés pour mieux maîtriser le peuple. Les écrits du docteur Alfred KINSEY datent pourtant de plus de soixante ans mais personne n'ose encore en parler, de peur de se confronter à des traditions et des peurs séculaires, voire millénaires. Le docteur Alfred KINSEY a réalisé des travaux considérables sur la sexualité humaine, que ce soit celle de la femme ou celle de l’homme. Il a donné des résultats d’études cliniques pouvant permettre de nous libérer des principes destructeurs établis par de nombreux « experts », des « spécialistes » fanatiques, complètement fous… comme les docteurs Samuel Auguste TISSOT et John Harvey KELLOGG dont les peuples subissent encore les dramatiques méfaits… comme l’excision ou la circoncision… la peur des effets mortels de la masturbation ou toutes les autres mensonges entraînant des frustrations avilissantes ou des mutilations imposées sous couvert de certitudes médicales !
Donc, c’est difficile de distinguer la morale sociale de la morale religieuse…
Alors…
Le système sociétal veut à tout prix codifier la sexualité humaine en espaces cloisonnés pour mieux maîtriser le peuple. Les écrits du docteur Alfred KINSEY datent pourtant de plus de soixante ans mais personne n'ose encore en parler, de peur de se confronter à des traditions et des peurs séculaires, voire millénaires. Le docteur Alfred KINSEY a réalisé des travaux considérables sur la sexualité humaine, que ce soit celle de la femme ou celle de l’homme. Il a donné des résultats d’études cliniques pouvant permettre de nous libérer des principes destructeurs établis par de nombreux « experts », des « spécialistes » fanatiques, complètement fous… comme les docteurs Samuel Auguste TISSOT et John Harvey KELLOGG dont les peuples subissent encore les dramatiques méfaits… comme l’excision ou la circoncision… la peur des effets mortels de la masturbation ou toutes les autres mensonges entraînant des frustrations avilissantes ou des mutilations imposées sous couvert de certitudes médicales !
Revenons aux tournantes…
Ces gamins — grands ados de toutes origines — ont toujours eu une très grosse envie de se comparer le sexe pour savoir s’ils sont comme les autres, sans s’en donner le droit, et dans la crainte d’être ridicules ou pire, d’être pris pour des « homosexuels »… Alors, quoi de plus simple que d’utiliser une fille comme objet centralisé dans une pénombre sécurisante, pour se comparer discrètement le sexe en « passant » chacun son tour dans la demoiselle ?
Voilà comment une jeune fille se fait violer par des gosses parfois à peine pubères qui vont finir en prison parce que notre société emprunte de tabous et d’interdits religieux n’est pas capable de parler sexualité intelligemment !
Quoi de plus destructeur en effet que des livres commis régulièrement sur « la sexualité des Français, des Américains ou des Belges… » ou sur la sexualité des hommes ou des femmes de ce monde… usant simplement pour références fiables, des certitudes de médecins ou de religieux… ou se fondant sur quelques appels téléphoniques établis à partir de ces fameux « cotas »… pour les sondages !
Quoi de plus inquiétant que ces émissions de radio ou de télévision avec des comédiens ou des jeunes « pas terminés », qui content quelques aventures picaresques à des journalistes voyeurs, nous assurant soi-disant de la véracité des propos tenus…
Hélas…
Lorsque que l’on vit une belle histoire d’amour, sommes-nous désireux de l’étaler au grand public ?
Et avec l’amour, il y a aussi le sexe !
L’être humain est sexué, cela dès sa naissance, et même pendant sa construction in utéro. Il se construit aussi dans le désir. Notre société, pour « protéger l’enfance » a décidé dans les chambres des Élus du peuple, que la vie sexuelle commencerait à partir de 18 ans… et de préférence — par obligation même — dans un encouplement réglementé par l’État et les religions… Le problème est que les organes génitaux féminins et masculins « fonctionnent » dès leur conception. Bien avant la puberté et la majorité donc… avec les pulsions et toujours, le désir !
Il y a aussi cet étrange mécanisme qu’est l’affect… cette force vive qu’est l’amour… et qui nous élève du rang animal…
Alors doit-on tout « raisonner » ?
Il faut arrêter de vouloir séparer la sexualité de l’art d’aimer.
Aimer, c’est de tout son corps, de tout son cœur et de tout son esprit.
C’est prendre enfin compte de notre réalité ternaire que l’on retrouve à travers la philanalyse : l’analyse de l’amour humain.
Si nous en avons conscience, les interdits créateurs de drames laisseront place aux règles constructrices de vies harmonieuses.
Certains psychologues, psychanalystes ou psychiatres persistent encore dans l’idée qu’il n’y a pas de « vraie » sexualité avant la puberté. Ils sont encore dans le rêve angélique que nos pulsions (de mort peut-être) sont effectives lorsque les organes reproducteurs sont achevés.
Pas si sûr… loin de là…
Soyons conscients que in utero des petits embryons mâles peuvent déjà être en érection… comme les petites filles en cour de formation… et de se masturber, même dans le ventre de leurs mères !
Et le jour de sa naissance, si le nourrisson trouve son sexe avec sa main — et qu’une sage-femme ou autre gardien de la morale ne l’en empêche pas — il saura se donner du plaisir.
D’ici à imaginer des jumeaux en train de vivre l’amour dans le ventre de leur mère, et René BARJAVEL — l’auteur, que j’estime philosophe, qui savait décrire les plus belles scènes d’amour — est battu alors par un autre écrivain capable de parler d’amour, comme lui, de manière totalement libérée…
J’ai dans mes notes les prémices d’un conte de moelle sur ce sujet…
Mais quel scandale si une autorité quelconque apprenait cela !
La tournante, c’est un drame qui peut être évité en éduquant les enfants à la vie, sans peur, sans honte, sans tabou, sans interdit à transgresser, avec l’apprentissage d’un idéal fondé sur la considération de soi et le respect mutuel dans la quête de l’amour humain… avec des règles constructrices !
Oui…
À découvrir en ligne deux livres écrits par l’auteur de ces propos libres et sans gravité :
Voilà comment une jeune fille se fait violer par des gosses parfois à peine pubères qui vont finir en prison parce que notre société emprunte de tabous et d’interdits religieux n’est pas capable de parler sexualité intelligemment !
Quoi de plus destructeur en effet que des livres commis régulièrement sur « la sexualité des Français, des Américains ou des Belges… » ou sur la sexualité des hommes ou des femmes de ce monde… usant simplement pour références fiables, des certitudes de médecins ou de religieux… ou se fondant sur quelques appels téléphoniques établis à partir de ces fameux « cotas »… pour les sondages !
Quoi de plus inquiétant que ces émissions de radio ou de télévision avec des comédiens ou des jeunes « pas terminés », qui content quelques aventures picaresques à des journalistes voyeurs, nous assurant soi-disant de la véracité des propos tenus…
Hélas…
Lorsque que l’on vit une belle histoire d’amour, sommes-nous désireux de l’étaler au grand public ?
Et avec l’amour, il y a aussi le sexe !
L’être humain est sexué, cela dès sa naissance, et même pendant sa construction in utéro. Il se construit aussi dans le désir. Notre société, pour « protéger l’enfance » a décidé dans les chambres des Élus du peuple, que la vie sexuelle commencerait à partir de 18 ans… et de préférence — par obligation même — dans un encouplement réglementé par l’État et les religions… Le problème est que les organes génitaux féminins et masculins « fonctionnent » dès leur conception. Bien avant la puberté et la majorité donc… avec les pulsions et toujours, le désir !
Il y a aussi cet étrange mécanisme qu’est l’affect… cette force vive qu’est l’amour… et qui nous élève du rang animal…
Alors doit-on tout « raisonner » ?
Il faut arrêter de vouloir séparer la sexualité de l’art d’aimer.
Aimer, c’est de tout son corps, de tout son cœur et de tout son esprit.
C’est prendre enfin compte de notre réalité ternaire que l’on retrouve à travers la philanalyse : l’analyse de l’amour humain.
Si nous en avons conscience, les interdits créateurs de drames laisseront place aux règles constructrices de vies harmonieuses.
Certains psychologues, psychanalystes ou psychiatres persistent encore dans l’idée qu’il n’y a pas de « vraie » sexualité avant la puberté. Ils sont encore dans le rêve angélique que nos pulsions (de mort peut-être) sont effectives lorsque les organes reproducteurs sont achevés.
Pas si sûr… loin de là…
Soyons conscients que in utero des petits embryons mâles peuvent déjà être en érection… comme les petites filles en cour de formation… et de se masturber, même dans le ventre de leurs mères !
Et le jour de sa naissance, si le nourrisson trouve son sexe avec sa main — et qu’une sage-femme ou autre gardien de la morale ne l’en empêche pas — il saura se donner du plaisir.
D’ici à imaginer des jumeaux en train de vivre l’amour dans le ventre de leur mère, et René BARJAVEL — l’auteur, que j’estime philosophe, qui savait décrire les plus belles scènes d’amour — est battu alors par un autre écrivain capable de parler d’amour, comme lui, de manière totalement libérée…
J’ai dans mes notes les prémices d’un conte de moelle sur ce sujet…
Mais quel scandale si une autorité quelconque apprenait cela !
La tournante, c’est un drame qui peut être évité en éduquant les enfants à la vie, sans peur, sans honte, sans tabou, sans interdit à transgresser, avec l’apprentissage d’un idéal fondé sur la considération de soi et le respect mutuel dans la quête de l’amour humain… avec des règles constructrices !
Oui…
À découvrir en ligne deux livres écrits par l’auteur de ces propos libres et sans gravité :
Un livret plus adapté pour
les enfants et pour se souvenir de l’enfant que nous avons été afin d’être
mieux armés pour comprendre et éduquer l’enfant et l’adolescent dans la
compréhension du mot « amour » et la découverte de la sexualité…
éviter ainsi les maladresses, pour ne pas provoquer de drames à venir !
Et :
Et :
Un livre à savourer avec
attention afin de mieux saisir le sens de la vie, la rencontre humaine en
général et dans le couple, au quotidien… la quête du plaisir… l’amitié… l’amour
sans oublier que nous sommes des êtres sexués et mortels !
Deux études sérieuses et claires donnant d’une manière précise et concise des réflexions fortement utiles issues de vingt cinq années de recherches.
Les livres sont aussi en quelques clics, et pour pas cher… à recevoir chez vous, version papier, édition de qualité qui respecte l’environnement !
Deux études sérieuses et claires donnant d’une manière précise et concise des réflexions fortement utiles issues de vingt cinq années de recherches.
Les livres sont aussi en quelques clics, et pour pas cher… à recevoir chez vous, version papier, édition de qualité qui respecte l’environnement !
Vive l’amour humain !
Vive l’Évolution !
Et toujours, gardons cette
règle de vie :
Apprendre à ne pas s’abîmer, être attentif à ne pas abîmer l’autre… essayer de grandir à la rencontre de l’autre… et si cela se présente : que l’autre grandisse à notre rencontre !
Apprendre à ne pas s’abîmer, être attentif à ne pas abîmer l’autre… essayer de grandir à la rencontre de l’autre… et si cela se présente : que l’autre grandisse à notre rencontre !
Sortir une phrase de son contexte pour en jouer serait minable et détestable et diffament pour l'auteur…
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE reconnait ces propos libres sans gravité dans leur globalité.
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Il y a plus de 10.000 visites par mois en moyenne sur mes différents sites et blogs depuis bientôt une année !
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La tournante, un drame qui pourrait être évité… c'est un article réalisé par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe. Tous droits réservés. ©…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville