Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
Pirate des mots et
Philanalyste en herbe
Présente des propos libres sans gravité
Dans la rubrique « politique ».
Pirate des mots et
Philanalyste en herbe
Présente des propos libres sans gravité
Dans la rubrique « politique ».
Le droit de vote,
ou l’art de la sodomie en politique
Compromis
Con promis, chose due, disait Coluche !
Le peuple grec ne voulait pas être enculé à sec, avec du gravier…
Il aura — semble-t-il — le droit à un peu de vaseline !
Con promis, chose due, disait Coluche !
Le peuple grec ne voulait pas être enculé à sec, avec du gravier…
Il aura — semble-t-il — le droit à un peu de vaseline !
Bon, il est « vrai » — à ce qu’il se dit — que les Grecs, comme tous les peuples du monde, aiment bien la sodomie.
À ce qu’il se dit… bien entendu.
Votez, votez, votez « oui » ou « non », comme il vous plaira, puisque les tyrans imposeront toujours leurs sages diktats.
Coluche disait aussi que :
À ce qu’il se dit… bien entendu.
Votez, votez, votez « oui » ou « non », comme il vous plaira, puisque les tyrans imposeront toujours leurs sages diktats.
Coluche disait aussi que :
« Si voter servait à quelque chose, il y a longtemps que ce serait interdit ».
Le Léopard du Panthéon qui ne rugit plus beaucoup de nos jours, hélas… Le Léopard du Panthéon, groupe de penseurs anarchistes éveillés, voulait déjà réveiller les peuples en 1887, avec des propos lapidaires, dont le célèbre article placardé sur les murs de Paris :
« Ne votez pas, car voter c’est se soumettre,
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
Il y a tant à dire sur l’art d’inviter un peuple à voter pour désigner son tyran !
Oui, en relisant l’histoire de l’humanité, il y aurait les dominants et les dominés.
De petits ou de grands rois partout… mais aussi des princes et d’autres souverains d’espaces plus ou moins vastes…
La soif du pouvoir : de l’acarien ciron, fier roi de la Mimolette ©®… au tyrannosaure rex, chef incontestable des dinosaures, avant leur extinction…
Une devise : s’imposer, toujours s’imposer !
Dans la nature, il y a le « roi des forêts », ce magnifique sapin qui sait comment y faire avec les autres plantes (pour les massacrer), afin d’assurer sa suprématie… et en d’autres lieux, quelques moisissures sont souveraines.
Et pour « le roi des animaux », son règne est semble-t-il légitimé par ses épouses ?
L’autorité a du bon !
Doit-on cependant envier ces reines des abeilles ou autre empereur, contemplant quarante siècles (ou bien davantage selon d’autres théories), perché sur sa fourmilière ?
Oui, en relisant l’histoire de l’humanité, il y aurait les dominants et les dominés.
De petits ou de grands rois partout… mais aussi des princes et d’autres souverains d’espaces plus ou moins vastes…
La soif du pouvoir : de l’acarien ciron, fier roi de la Mimolette ©®… au tyrannosaure rex, chef incontestable des dinosaures, avant leur extinction…
Une devise : s’imposer, toujours s’imposer !
Dans la nature, il y a le « roi des forêts », ce magnifique sapin qui sait comment y faire avec les autres plantes (pour les massacrer), afin d’assurer sa suprématie… et en d’autres lieux, quelques moisissures sont souveraines.
Et pour « le roi des animaux », son règne est semble-t-il légitimé par ses épouses ?
L’autorité a du bon !
Doit-on cependant envier ces reines des abeilles ou autre empereur, contemplant quarante siècles (ou bien davantage selon d’autres théories), perché sur sa fourmilière ?
« La Terre se nourrit du sang de son histoire »…
On ne peut pas faire autrement : c’est ce qui s’apprend dans les bonnes écoles, avec des enseignants éduqués à « l’école normale » en énumérant les guerres successives organisées par les tyrans qui ont fait la grandeur de ces belles civilisations qui aspirent à la paix depuis quelques millénaires…
C’est certainement très bien ainsi puisque tout le monde semble être d’accord.
Depuis si longtemps, des tyrans politiques ou religieux s’imposent par force ou par ruse, puis décident du sens à donner à la vie ou à la mort, des peuples qui obéissent.
Prendre le pouvoir parce qu’un dieu nouveau ou plus ancien, l’a décidé…
Prendre le pouvoir par les armes ou par le vote…
Se présenter en héros, ou annoncer le sacrifice de sa personne pour sauver la patrie en danger… et donc, encore prendre le pouvoir…
C’est toujours s’offrir un peuple pour en user et en abuser :
C’est certainement très bien ainsi puisque tout le monde semble être d’accord.
Depuis si longtemps, des tyrans politiques ou religieux s’imposent par force ou par ruse, puis décident du sens à donner à la vie ou à la mort, des peuples qui obéissent.
Prendre le pouvoir parce qu’un dieu nouveau ou plus ancien, l’a décidé…
Prendre le pouvoir par les armes ou par le vote…
Se présenter en héros, ou annoncer le sacrifice de sa personne pour sauver la patrie en danger… et donc, encore prendre le pouvoir…
C’est toujours s’offrir un peuple pour en user et en abuser :
La soumission volontaire, pour le bonheur de tous !
Que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, voilà des propos candides de ce bon gros Gottfried Wilhelm LEIBNIZ, qui étaient dénoncés bien avant leur formulation par Étienne de LA BOÉTIE, dans son génial opuscule, ce discours « de la servitude volontaire », écrit à dix-neuf ans. Ce jeune écrivain de talent précédait de plus de deux siècles VOLTAIRE, avec son conte philosophique « Candide ou l’Optimisme ».
Deux siècles encore plus tard : le peuple est invité à prendre un peu de Soma, pour oublier de penser à cultiver son jardin : devenir de parfaits cons – sommateurs !
« Le Meilleur des Mondes » d’Aldous HUXLEY est le quotidien de tout bon citoyen.
Il faut que chaque peuple reste bien installé dans sa Caverne du bon savoir…
Surtout ne pas l’inviter à se nourrir de l’arbre de la connaissance, montré par les magisters, mais l’inciter à écouter la voix des Maîtres, au service d’un Dominus.
Pour l’éclairer de l’histoire officielle, un peuple doit même croire à « la guerre du feu » qui serait à l’origine de toute civilisation évoluée.
Et ailleurs que « chez lui » ?
C’est du pareil au même !
Les enfants des peuples apprennent dans leurs écoles, qu'une bonne civilisation (la leur) doit se construire sur les cendres d’une autre civilisation nécessairement moins bien.
La guerre… c’est le principal intérêt que l’on offre à la vie des peuples…
Et la guerre plaît aux peuples… il y a tant de livres et de films consacrés aux guerres !
Comment ne pas penser à la saga « Star Wars », qui fut traduit en français par « La guerre des étoiles »… alors que le titre « Les guerres de l’Étoile » semblait davantage sensé ?
Les peuples doivent croire que la guerre est inéluctable… car rappelons-nous que pour Star Wars, en accord avec les lois du genre space opera — dixit Wikipédia — l'action se déroule « Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine ».
La paix est un instant étrange, rare et précieux, d’un « entre deux guerres »…
Le principe d'autorité existe pour nous assurer la paix.
Parce que la paix est un privilège, qui nécessite quelques concessions, aux dires des tyrans.
Alors, alors, depuis quelques millénaires… l’on invite les sujets à obéir, afin de permettre à l’ordre de régner.
Pour cela, quelques obligations s’imposent naturellement pour avoir la promesse d’un « bien-vivre » ensemble ; puis quelques interdits sont nécessaires, au nom du « risque zéro ».
De nouvelles obligations, avec quelques efforts indispensables pour le « bien commun »…
Encore des interdits parce qu’il le faut…
Et d’autres lois sont imposées quotidiennement…
Et le jour vient où le peuple est appelé au sacrifice !
Après les compromis, les concessions, les efforts en tous genres, voici le temps du sacrifice !
Enfin la guerre !
Tous ensemble, tous ensemble nous exigent les tyrans, pour apporter la bonne nouvelle à d’autres peuples ; ou tous ensemble, tous ensemble pour refuser les invasions des autres peuples… en sachant que les tyrans entre eux sont chacun plaisamment devant la table du jeu d’échecs où combattent les sujets, les pions.
C’est tout un art que d’envoyer des peuples mourir aux champs d’horreur !
Créer l’esprit d’unité nationale : le goût de la patrie… cela se travaille au corps !
Voici un extrait de Comme une abeille hors de sa ruche…
Une petite idée de ce jeu d’échecs de la vie où s’ébattent des sujets d’un système :
Deux siècles encore plus tard : le peuple est invité à prendre un peu de Soma, pour oublier de penser à cultiver son jardin : devenir de parfaits cons – sommateurs !
« Le Meilleur des Mondes » d’Aldous HUXLEY est le quotidien de tout bon citoyen.
Il faut que chaque peuple reste bien installé dans sa Caverne du bon savoir…
Surtout ne pas l’inviter à se nourrir de l’arbre de la connaissance, montré par les magisters, mais l’inciter à écouter la voix des Maîtres, au service d’un Dominus.
Pour l’éclairer de l’histoire officielle, un peuple doit même croire à « la guerre du feu » qui serait à l’origine de toute civilisation évoluée.
Et ailleurs que « chez lui » ?
C’est du pareil au même !
Les enfants des peuples apprennent dans leurs écoles, qu'une bonne civilisation (la leur) doit se construire sur les cendres d’une autre civilisation nécessairement moins bien.
La guerre… c’est le principal intérêt que l’on offre à la vie des peuples…
Et la guerre plaît aux peuples… il y a tant de livres et de films consacrés aux guerres !
Comment ne pas penser à la saga « Star Wars », qui fut traduit en français par « La guerre des étoiles »… alors que le titre « Les guerres de l’Étoile » semblait davantage sensé ?
Les peuples doivent croire que la guerre est inéluctable… car rappelons-nous que pour Star Wars, en accord avec les lois du genre space opera — dixit Wikipédia — l'action se déroule « Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine ».
La paix est un instant étrange, rare et précieux, d’un « entre deux guerres »…
Le principe d'autorité existe pour nous assurer la paix.
Parce que la paix est un privilège, qui nécessite quelques concessions, aux dires des tyrans.
Alors, alors, depuis quelques millénaires… l’on invite les sujets à obéir, afin de permettre à l’ordre de régner.
Pour cela, quelques obligations s’imposent naturellement pour avoir la promesse d’un « bien-vivre » ensemble ; puis quelques interdits sont nécessaires, au nom du « risque zéro ».
De nouvelles obligations, avec quelques efforts indispensables pour le « bien commun »…
Encore des interdits parce qu’il le faut…
Et d’autres lois sont imposées quotidiennement…
Et le jour vient où le peuple est appelé au sacrifice !
Après les compromis, les concessions, les efforts en tous genres, voici le temps du sacrifice !
Enfin la guerre !
Tous ensemble, tous ensemble nous exigent les tyrans, pour apporter la bonne nouvelle à d’autres peuples ; ou tous ensemble, tous ensemble pour refuser les invasions des autres peuples… en sachant que les tyrans entre eux sont chacun plaisamment devant la table du jeu d’échecs où combattent les sujets, les pions.
C’est tout un art que d’envoyer des peuples mourir aux champs d’horreur !
Créer l’esprit d’unité nationale : le goût de la patrie… cela se travaille au corps !
Voici un extrait de Comme une abeille hors de sa ruche…
Une petite idée de ce jeu d’échecs de la vie où s’ébattent des sujets d’un système :
(…)
Yeph :
— Bien sûr, voici deux monarques envoyant leurs citoyens bien-aimés s’entre-tuer, pour désigner la meilleure société possible...
Puisqu’ils ont été élus pour cela, les deux se valent comme joueurs légitimes !
Vous êtes au centre d’une partie d’échecs grandeur nature.
Un roi s’inclinera ce soir, sur un plateau de jeu plus ou moins chamboulé !
Des pions, un fou, une tour… peut-être deux ?
Un cavalier ?
Nul ne sait plus ce qui aura été renversé… ce qui le sera.
L'on prendra le temps nécessaire afin de remettre toutes les pièces en place… et demain ou un autre jour, une nouvelle partie se jouera.
Les échecs, voilà peut-être la triste réalité du monde ?
Ordalie d’hier, d’aujourd’hui et de demain !
Les pions, vous en trouverez autant que possible : comme vous, de la chair à canons, avec des héros, des oubliés et des traîtres… qui finissent tous ensemble dans l’urne commune de nos funératoriums.
Il y a la noblesse, les cavaliers.
Il faut savoir que les rois sont toujours prêts à sacrifier — avec art — en mesurant par le jeu des vanités, le rôle à leur donner au profit des sages — des conseillers, des ministres — ceux que l’on écoute… Oui, le temps de les remplacer par d’autres plus habiles, plus machiavéliques.
J’ai nommé les maîtres du biais : les fous.
Si besoin, sans inquiétude, les murs tomberont.
Cela donnera du travail aux survivants et les consortiums se réjouissent par avance : les tours sont jouées…
Enfin, pour forcer l’autre roi à s’incliner devant une grande habileté à guerroyer, un grand sacrifice est possible par raison d’État.
Absolument, si cela s’avère nécessaire — car en politique tout est envisageable — la reine pourra être répudiée sans mot dire : une mise à mort légitimée, afin de gagner la partie… puisqu’un simple pion bien positionné et ambitieux, saurait la remplacer !
(…)
C’est un extrait de « Comme une abeille hors de sa ruche… », troisième tome du « Cycle de l’Austrel », des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Lecture en ligne, libre, ou par achat de la version papier en quelques clics et pour pas cher.
Yeph :
— Bien sûr, voici deux monarques envoyant leurs citoyens bien-aimés s’entre-tuer, pour désigner la meilleure société possible...
Puisqu’ils ont été élus pour cela, les deux se valent comme joueurs légitimes !
Vous êtes au centre d’une partie d’échecs grandeur nature.
Un roi s’inclinera ce soir, sur un plateau de jeu plus ou moins chamboulé !
Des pions, un fou, une tour… peut-être deux ?
Un cavalier ?
Nul ne sait plus ce qui aura été renversé… ce qui le sera.
L'on prendra le temps nécessaire afin de remettre toutes les pièces en place… et demain ou un autre jour, une nouvelle partie se jouera.
Les échecs, voilà peut-être la triste réalité du monde ?
Ordalie d’hier, d’aujourd’hui et de demain !
Les pions, vous en trouverez autant que possible : comme vous, de la chair à canons, avec des héros, des oubliés et des traîtres… qui finissent tous ensemble dans l’urne commune de nos funératoriums.
Il y a la noblesse, les cavaliers.
Il faut savoir que les rois sont toujours prêts à sacrifier — avec art — en mesurant par le jeu des vanités, le rôle à leur donner au profit des sages — des conseillers, des ministres — ceux que l’on écoute… Oui, le temps de les remplacer par d’autres plus habiles, plus machiavéliques.
J’ai nommé les maîtres du biais : les fous.
Si besoin, sans inquiétude, les murs tomberont.
Cela donnera du travail aux survivants et les consortiums se réjouissent par avance : les tours sont jouées…
Enfin, pour forcer l’autre roi à s’incliner devant une grande habileté à guerroyer, un grand sacrifice est possible par raison d’État.
Absolument, si cela s’avère nécessaire — car en politique tout est envisageable — la reine pourra être répudiée sans mot dire : une mise à mort légitimée, afin de gagner la partie… puisqu’un simple pion bien positionné et ambitieux, saurait la remplacer !
(…)
C’est un extrait de « Comme une abeille hors de sa ruche… », troisième tome du « Cycle de l’Austrel », des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Lecture en ligne, libre, ou par achat de la version papier en quelques clics et pour pas cher.
Yves Philippe de Francqueville vous présente le troisième des quatre tomes du "Cycle de l'Austrel". Ce cycle est le fruit de vingt-cinq années de recherches philosophiques.
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Combien de morts pour une victoire ? Combien de morts pour une défaite ? Franch a choisi la lutte pour oublier, Sako l’exige de tous pour sauver son pouvoir…
Les rebelles recherchent d'autres possibilités d’actions que le combat. Yeph aspire à l'amour humain ! |
* * *
Les tyrans offrent aux peuples de « vivre » dans des systèmes que l’on dit « libres », mais qui manquent, en fait, cruellement de libertés !
Les peuples ne vivent pas ou très rarement : ils survivent parfois, ils sous-vivent souvent… et ils meurent toujours.
Mourir est une réalité qui attend tout individu, mais qui a commencé à vivre ?
L’essentiel, pour qu’un système fonctionne, c’est que les peuples obéissent.
Pour faciliter la compréhension du principe d’autorité, il y a une aide efficace : les religions.
Il y a bien entendu « la vraie religion » qu’il faut craindre, avec le devoir de rejeter toute forme sacrilège d’adoration d’autres dieux ou doctrines, non conformes aux principes du moment.
Donc les peuples — soumis comme il se doit — savent de toute certitude, qu’ils auront une « vie meilleure » dans l’autre monde, promis par les religieux.
Ah, la joie de tout supporter, de tout subir, pour gagner son paradis…
Et c’est certainement bien mérité de souffrir dans les enfers si l’on refuse d’obéir aux lois divines orchestrées par les religieux et les politiques, rapportées par les kapos du système : les journalistes, ceux de La grande École des ratés, à découvrir par un clic, si l’article vous tente !
Alors, alors, puisque les peuples ne se révoltent pas, ou pas trop… les lois qui se succèdent, s’apparentent toujours davantage à de nouvelles contraintes.
Au quotidien, tout devient faute, péché, honte ou scandale !
On ne peut plus fumer un cigare, mais l’on doit subir la pollution des usines…
Prendre un bain devient scandaleux pendant que les centrales nucléaires brassent des milliards de mètres cube d’eaux contaminées…
Conduire sans casque est réprimé, comme d’autres contraintes invoquant le « risque zéro » et l’on nous aide à mourir dans les hôpitaux, si nous ne sommes plus rentables…
L’ortolan est une espèce interdite à la consommation… mais se trouve en discrétion sur les plus riches tables de certains restaurants…
Ah, ah, ah…
Les tyrans et leurs élites sont, bien entendu, non soumis à ces décisions réservées aux peuples. Ils jouissent de certaines libertés, en lien avec leur rang et leurs obligations…
Afin de poursuivre l’éducation des peuples, la philosophie fut inventée : « des sages aimant la sagesse » se sont mis volontairement au service de tous, en étant les garants du bon sens de l’histoire.
Les grands philosophes d’État offrent alors aux peuples, ce qui semblait indispensable pour une bonne entente avec la tyrannie : une légitimité.
Et depuis quelques millénaires : tout va bien… à ce qu’il se dit !
Le plus « grand des philosophes », ARISTOTE, n’était-il pas le conseiller du sage ALEXANDRE Le GRAND, un fameux chef de guerre ?
MARC AURÈLE, gardien de la « Pax Romana » est aussi le symbole du sage juste, qui fait de son mieux pour garder l’intégrité d’un peuple, en le protégeant des mauvaises idées de sortir de son système politique ou religieux, hérité de ses pères.
MARC AURÈLE est un grand philosophe très utile pour édifier les peuples !
Il est aussi grand que le nouveau philosophe des temps modernes et du Café de Flore, Bernard-Henri LÉVY, celui qui, afin de protéger les peuples d’une nouvelle barbarie à visage humain, a pour devise guerrière :
« L'art de la philosophie ne vaut que s'il est un art de la guerre ».
Ridicule ? Oui… ou plutôt désolant et terriblement dangereux, oui.
Bien entendu, MARC AURÈLE, un philosophe ? Quelle bonne blague !
Pour Bernard-Henri LÉVY, la qualification de philosophe est une autre problématique.
C’est comme si certains prétendaient que l’on peut être « religieux et philosophe », ou « politique et philosophe »…
Mais quand on sait que BHL s’inspire d’ARISTOTE et de Jean-Baptiste BOTUL pour préparer ses discours guerriers, Alexandre le Grand peut reprendre du service, ou Napoléon le tout petit !
À lire, un article pour poursuivre cette réflexion : « Un philosophe religieux est-il un philosophe », sujet brûlant, car je risque une fois de plus les flammes des enfers, promises par toutes les bonnes religions de paix et d’amour à celle ou celui qui dit « NON » au système.
Et ceux qui veulent ma peau peuvent tirer une carte…
Bien entendu, MARC AURÈLE, un philosophe ? Quelle bonne blague !
Pour Bernard-Henri LÉVY, la qualification de philosophe est une autre problématique.
C’est comme si certains prétendaient que l’on peut être « religieux et philosophe », ou « politique et philosophe »…
Mais quand on sait que BHL s’inspire d’ARISTOTE et de Jean-Baptiste BOTUL pour préparer ses discours guerriers, Alexandre le Grand peut reprendre du service, ou Napoléon le tout petit !
À lire, un article pour poursuivre cette réflexion : « Un philosophe religieux est-il un philosophe », sujet brûlant, car je risque une fois de plus les flammes des enfers, promises par toutes les bonnes religions de paix et d’amour à celle ou celui qui dit « NON » au système.
Et ceux qui veulent ma peau peuvent tirer une carte…
* * *
Ah… c'est bien pour cela que je m'insurge aujourd'hui, face à toute autorité.
Hier encore… ou plutôt voici quelques années… j'étais dans l'idée que nous ne pouvions peut-être pas faire autrement que de subir en apparence, tout en vivant cachés pour être heureux, selon la bonne idée de Jean-Pierre CLARIS de FLORIAN dans sa fable « Le grillon ».
Je réfute la légitimité d’un tyran.
En prenant un peu de recul, « La Pax Romana » était une mise sous tutelle — en esclavage — de peuples que les soldats romains, obéissant à leur tyran, avaient envahi…
Ce territoire immense autour de la Méditerranée était comme toujours une réalisation après conquêtes, massacres humains et destructions de merveilles…
À l'issue de grandes guerres et de soumissions avec les peuples qui doivent s'incliner devant des tyrans… de nouvelles civilisations se développent par la promotion des arts.
Oui, quand les humains ne s’entrent-tuent pas, ils créent !
Aujourd’hui comme hier, dans les musées, les gens du peuple découvrent quelques merveilles des temps anciens… souvenirs, souvenirs, sauvés des pillages, des massacres et des destructions réalisées par les nouveaux tyrans, qui souhaitaient imposer leur légitimité politique et religieuse.
Hier encore… ou plutôt voici quelques années… j'étais dans l'idée que nous ne pouvions peut-être pas faire autrement que de subir en apparence, tout en vivant cachés pour être heureux, selon la bonne idée de Jean-Pierre CLARIS de FLORIAN dans sa fable « Le grillon ».
Je réfute la légitimité d’un tyran.
En prenant un peu de recul, « La Pax Romana » était une mise sous tutelle — en esclavage — de peuples que les soldats romains, obéissant à leur tyran, avaient envahi…
Ce territoire immense autour de la Méditerranée était comme toujours une réalisation après conquêtes, massacres humains et destructions de merveilles…
À l'issue de grandes guerres et de soumissions avec les peuples qui doivent s'incliner devant des tyrans… de nouvelles civilisations se développent par la promotion des arts.
Oui, quand les humains ne s’entrent-tuent pas, ils créent !
Aujourd’hui comme hier, dans les musées, les gens du peuple découvrent quelques merveilles des temps anciens… souvenirs, souvenirs, sauvés des pillages, des massacres et des destructions réalisées par les nouveaux tyrans, qui souhaitaient imposer leur légitimité politique et religieuse.
Oui, parce que pendant le temps de la paix, il y a des artistes qui créent.
Après, il y a le temps de la guerre : il y a le devoir de détruire.
Après, il y a le temps de la guerre : il y a le devoir de détruire.
* * *
Je pense avoir évolué depuis ma naissance.
Il y a eu le temps de l’inné, puis celui de l’acquis… qui ne me convenait vraiment pas.
C’était — étrangement — une pénible différence à vivre avec la plupart des individus que je croisais.
Se sentir différent ?
Oui, mais sans se croire supérieur ou inférieur : juste différent…
Je n’ai pas le désir de dominer, sans pouvoir accepter d’être dominé.
Étrange, vraiment !
Oui, je ne suis pas un « animal politique » alors que les œuvres rapportées d'ARISTOTE affirmait que c'était le lot de tout humain !
J’ai compris petit à petit — jour après jour — dans mon apprentissage de la vie, que j’étais un « Individu Hors Normalités », un « IHN ».
Je me croyais "malade", à ne pas avoir de honte, à ne pas être jaloux…
Alors plutôt que de jouer au mouton, au milieu d’un troupeau conduit par un bon berger vers un quelconque abattoir, j’ai préféré d’autres routes plus plaisantes, même si elles ne sont pas toujours faciles à vivre.
Souvent dans cette « Solitude Étrangère », je suis à la recherche d’autres humains en devenir, comme moi…
Ensuite est venu le temps plus délicat de désapprendre : j'aime de plus en plus alors la signification étymologique du mot « anarchie » : une considération des talents de chacun, dans une hiérarchie horizontale.
Un jour, ce fut une révélation à la lecture des travaux d’Alfred Abdank KORZYBSKI : il y a d’autres « Individus Hors Normalités », d’autres « IHN » à travers l’univers.
Selon ses études, même si je n’arrive pas à comprendre le sens invérifiable des statistiques, que je considère comme absolument peu fiables, il y aurait environ 0,3% d’individus sur cette planète, qui ne fonctionnent pas de manière binaire.
Sur ce sujet passionnant, vous pouvez lire en liberté et d’un clic, le conte de moelle : « Rapport d’Analyse ? », des écrits d’Yves Philippe de FRANCQUEVILLE (dont le nom est rappelé régulièrement pour réveiller les moteurs de recherche de l’internet).
KORZYBSKI explique fort bien le principe des non binaires — les Ā — avec La Sémantique Générale. Le terme de non-aristotélicien, repris par Alfred van VOGT dans son cycle du Ā, est peut-être maintenant à reconnaître comme injuste pour ARISTOTE. KORZYBSKI l’affirme déjà dans « Une carte n’est pas le territoire », pensant que c’est ce qui nous est rapporté d’ARISTOTE par les copistes au service de religions et de tyrans, qui en ont fait malgré lui, un « non-aristotélicien ».
Il est donc préférable de parler d’individus pluripossibles !
Donc, parler de philosophie au service d’un tyran ou d’une religion… c’est tragique !
Oui, le tyran Marc Aurèle ne pouvait pas faire mieux que de massacrer les chrétiens et autres évolutionnaires, afin de garder une « unité » au sein des territoires conquis par la guerre… et ça, ce n'est pas du tout mon idéal philosophique !
L'ordre public n'est pas toujours en corrélation avec l'amour humain… hélas !
Chacun sa vie…
Chacun devrait avoir la liberté de vivre son corps… et peut-être aussi de considérer, voire de respecter le corps de l’autre ?
Ne pas s’abîmer, ne pas abîmer l’autre !
Alors, alors, pour ce qui est d’être « pris pour un con », ce qui étymologiquement veut dire chez un homme, de se faire sodomiser… je préfère laisser cela aux autres !
C'est pour cela que l'acte de voter pour un individu qui pense être capable de penser à ma place… aller voter pour donner à un autre le devoir de penser à ma place… cela me semble impossible !
J'ai donc l'habitude d'aller voter pour moi-même et tenter de donner le meilleur de moi-même…
Suis-je du peuple ou non ?
NON.
Suis-je alors de l’élite ou non ?
NON.
Eh oui !
Qui d’autre ose penser qu’il y a des voies différentes que ce désolant principe binaire attribué par les tyrans à ARISTOTE ?
Étant passionné par la pluripossibilité, j’ai compris qu’un peuple comme son élite restent soumis à son tyran, tout en ayant pour certains quelques privilèges, le temps de la concorde.
Être de la « noblesse », c’est encore se soumettre.
Je préfère être un pirate !
Un pirate aristocrate, passionné par l’apprentissage… la découverte du beau, le désir inconditionnel de me cultiver, en évitant au maximum d’être manipulé par un système quelconque.
Un pirate des mots pour le plaisir de rendre ce qui fut volé… pour rétablir le sens.
Etymologiquement, le pirate est l’individu courageux, audacieux et ambitieux qui part à l’aventure pour rendre aux plus faibles ce que les tyrans ont volé par la ruse ou la peur.
Je suis un « Robin des Bois » de l’écriture !
J’étudie l’art de « Savoir que je ne sais rien », comme PLATON ose le faire dire de la bouche de SOCRATE, en ayant le plaisir d’apprendre, d’apprendre, d’apprendre chaque jour, chaque instant.
Devenir ce que je suis…
Pour reprendre la citation attribuée à PINDARE par Friedrich NIETZSCHE :
« Deviens ce que tu es quand tu l’auras appris ».
Chaque jour alors que le vent se lève, il faut tenter de vivre, écrivait Paul VALÉRY, dans son « Cimetière Marin ».
Cela se disait déjà au sein de communautés évoluées des premiers siècles de notre ère, ayant créé ce qui peut être appelé « l’idéal utopique chrétien ». Elles voulaient apprendre à vivre dans le monde, tout en n’étant pas de ce monde…
Me voici donc attentif à rencontrer d’autres vivants qui veulent vivre sans se soumettre, et sans être obsédés par un quelconque pouvoir.
Au plaisir de savourer ensemble ce programme de vie passionnante pour le pirate des mots que j’aspire à être, en tant que philanalyste en herbe :
Cela se disait déjà au sein de communautés évoluées des premiers siècles de notre ère, ayant créé ce qui peut être appelé « l’idéal utopique chrétien ». Elles voulaient apprendre à vivre dans le monde, tout en n’étant pas de ce monde…
Me voici donc attentif à rencontrer d’autres vivants qui veulent vivre sans se soumettre, et sans être obsédés par un quelconque pouvoir.
Au plaisir de savourer ensemble ce programme de vie passionnante pour le pirate des mots que j’aspire à être, en tant que philanalyste en herbe :
Vivre l’amour humain !
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Merci de partager…
Merci de partager…
Merci !
En juillet 2015, la moyenne calculée sur plus de deux années — sur tous mes sites et blogs — tourne entre 12.000 & 15.000 visites par mois… Merci pour votre fidélité qui m'encourage à écrire !
En juillet 2015, la moyenne calculée sur plus de deux années — sur tous mes sites et blogs — tourne entre 12.000 & 15.000 visites par mois… Merci pour votre fidélité qui m'encourage à écrire !
Les propos libres sans gravité, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©.
Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui considère la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
Toute phrase sortie de son contexte pour un usage fallacieux sera considérée comme acte détestable de manipulation et sera rejetée par l'auteur qui considère la légitimité de cet écrit uniquement reçu dans son intégralité.
Si le nom de l'auteur apparaît souvent, c'est pour donner de l'aisance aux moteurs de recherche…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville