Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
présente :
Pirate des mots et philanalyste en herbe
présente :
Une petite introduction
afin de se préparer à découvrir
des propos libres et sans gravité
sur la littérature
Voici quelques idées, remarques ou propos libérés jaillis de textes
d'hier, voire d'aujourd'hui, revisités par l'humeur d'un instant… puis
commentés, développés, amplifiés de réflexions et d’analyses issues de travaux
de recherches sérieusement approfondis !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ose en toute liberté et sans gravité vous faire part de ses découvertes pour exercer au mieux ce qui lui tient particulièrement à cœur : être un pirate des mots, et aller à l'abordage… Il se délecte à mettre à la lumière des pilleurs d'œuvres qui usent sans complexes de nègres pour s’approprier les trésors de la littérature oubliés. N’ayant pas le génie créateur ils les maquillent à peine pour les proposer en nouveautés…
Il savoure aussi le fait de démystifier ces falsificateurs, ces fraudeurs plus ou moins pieux… qui s’efforcent d’écrire et « réécrire l’Histoire » selon les orientations nécessaires à maintenir les peuples en esclavage. En tant que pirate, il invite à penser sous un autre regard pour sortir des croyances, des certitudes — aux crédules, aux candides, aux naïf, tous dans la servitude volontaire — comme quoi, si l’Histoire est écrite par des experts et des spécialistes… elle est nécessairement vraie !
Ah, quel bonheur de reprendre ces propos de Boris VIAN qui se présentent à nous comme une pépite d’or brute :
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ose en toute liberté et sans gravité vous faire part de ses découvertes pour exercer au mieux ce qui lui tient particulièrement à cœur : être un pirate des mots, et aller à l'abordage… Il se délecte à mettre à la lumière des pilleurs d'œuvres qui usent sans complexes de nègres pour s’approprier les trésors de la littérature oubliés. N’ayant pas le génie créateur ils les maquillent à peine pour les proposer en nouveautés…
Il savoure aussi le fait de démystifier ces falsificateurs, ces fraudeurs plus ou moins pieux… qui s’efforcent d’écrire et « réécrire l’Histoire » selon les orientations nécessaires à maintenir les peuples en esclavage. En tant que pirate, il invite à penser sous un autre regard pour sortir des croyances, des certitudes — aux crédules, aux candides, aux naïf, tous dans la servitude volontaire — comme quoi, si l’Histoire est écrite par des experts et des spécialistes… elle est nécessairement vraie !
Ah, quel bonheur de reprendre ces propos de Boris VIAN qui se présentent à nous comme une pépite d’or brute :
« Dans la vie l'essentiel
est de porter sur tout des jugements à priori. Il apparaît en effet que les
masses ont tort, et les individus toujours raison. Il faut se garder d'en
déduire des règles de conduite : elles ne doivent pas avoir besoin d'être
formulées pour qu'on les suive. Il y a seulement deux choses: c’est l’amour, de
toutes les façons, avec des jolies filles, et la musique de la Nouvelle-Orléans
ou de Duke Ellington. Le reste devrait disparaître, car le reste est laid, et
les quelques pages de démonstration qui suivent tirent toute leur force du fait
que l’histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à
l'autre ».
Oui, et cette pépite d’or… brute, de Boris VIAN (la phrase finale est
en préambule de « L’Écume des Jours »
— comme celles de beaucoup d’autres écrivains géniaux — va être passée par le
feu du pirate des mots… ce feu qui tente de révéler l’essence même des idées
sans que le mot soit triché par l’autocensure.
Oui, l’autocensure est plus insidieuse que la censure… car elle se construit en partie inconsciemment avec les manques, les peurs et les blessures, liés aux dangers qui menacent toujours celles ou ceux qui aimeraient s’exprimer « en liberté ». « La crainte d’un autre coup » affaibli l’audace de l’écrivain sans toujours lui laisser la lucidité suffisante face à son œuvre, à savoir que « le mot n’est pas l’idée ».
Oui, l’autocensure est plus insidieuse que la censure… car elle se construit en partie inconsciemment avec les manques, les peurs et les blessures, liés aux dangers qui menacent toujours celles ou ceux qui aimeraient s’exprimer « en liberté ». « La crainte d’un autre coup » affaibli l’audace de l’écrivain sans toujours lui laisser la lucidité suffisante face à son œuvre, à savoir que « le mot n’est pas l’idée ».
LIBERTÉ
I
Laisse-moi je te prie
Le temps qu'il me faudra
Non pour te pardonner
Mais pour savoir t'aimer.
Je suis comme un oiseau
Libre, ainsi je m'envole
Et dans mes soirs de rêves,
Je jouis des nuages.
Oui ! J’ose m’exprimer :
M’élancer vers les cieux,
Rejoindre la lumière
Oublier tout danger…
II
Alors, à mes dépens
Sans loi, sans roi, sans chaîne,
Me voici une proie
Pour le moindre fusil.
Souvent, je suis blessé
Puis tout cela s’oublie,
Car pour la liberté
Je donnerais ma vie.
Aussi, je me relève
Mais en mon cœur meurtri,
La peur d'un autre coup
Semble affaiblir mes ailes.
Des nuits et des larmes
Puis le grand jour enfin
Où, confiant, joyeux,
J'exulte ivre de ciel.
I
Laisse-moi je te prie
Le temps qu'il me faudra
Non pour te pardonner
Mais pour savoir t'aimer.
Je suis comme un oiseau
Libre, ainsi je m'envole
Et dans mes soirs de rêves,
Je jouis des nuages.
Oui ! J’ose m’exprimer :
M’élancer vers les cieux,
Rejoindre la lumière
Oublier tout danger…
II
Alors, à mes dépens
Sans loi, sans roi, sans chaîne,
Me voici une proie
Pour le moindre fusil.
Souvent, je suis blessé
Puis tout cela s’oublie,
Car pour la liberté
Je donnerais ma vie.
Aussi, je me relève
Mais en mon cœur meurtri,
La peur d'un autre coup
Semble affaiblir mes ailes.
Des nuits et des larmes
Puis le grand jour enfin
Où, confiant, joyeux,
J'exulte ivre de ciel.
Oui, la Liberté, dans la grande prise de conscience d’Alfred Abdank
KORZYBSKI, avec la sémantique générale, c’est un outil précieux permettant de
créer quelques bijoux formidables réalisés sur mesure pour votre plaisir et
celui de l’auteur de ces propos libres, sans gravité !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, au-delà de sa quête auprès des génies de l’art afin de les aider à se dévoiler par un jaillissement créateur, se plaît toujours davantage à lutter contre tous les faussaires, tricheurs, censeurs et autres vils petits joueurs de l'écriture pour offrir aux lecteurs passionnés le plus possible de trésors originaux, et parfois même certains restaurés au mieux, sans trahison !
C’est un honneur et un plaisir de visiter sous un autre regard telle ou telle merveille de la littérature qui subsiste encore de nos jours malgré l’acharnement des religieux et des politiques, depuis plus de 2.500 ans, obsédés à nous limiter l’information comme l’accès à la culture.
Oui, les copistes et les traducteurs dépendant d’un parti politique ou religieux… n’ont pas, hélas, la considération suffisante pour les œuvres au regard de l’autorité qui leur impose des modifications allant parfois jusqu’à dénaturer complètement les idées d’un auteur.
Oui, il y a toujours eu celles et ceux qui créent des bibliothèques et celles et ceux qui s’efforcent de les brûler. Qu’ils soient juifs, chrétiens, bouddhistes, musulmans ou d’autres religions… qu’ils soient communistes, libéraux, nazis ou d’autres tendances politiques, on détruit l’art soi-disant pour « respecter » les croyances religieuses, les « imposer » ou parfois même les interdire !
Et demain ?
Le livre « Fahrenheit 451 » de Ray BRADBURY nous l’explique dramatiquement bien… en réponse aux nombreux livres d’Aldous HUXLEY comme notamment « Le plus sot animal » et bien entendu « le Meilleur des mondes » : le principe est de nous enfumer d’informations mesurées et calibrées et de drogues légales et fortement conseillées… empêchant le développement de notre aptitude à la réflexion !
Du pain et des jeux… le peuple se laisse alors mener comme des moutons silencieux à l’abattoir !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, au-delà de sa quête auprès des génies de l’art afin de les aider à se dévoiler par un jaillissement créateur, se plaît toujours davantage à lutter contre tous les faussaires, tricheurs, censeurs et autres vils petits joueurs de l'écriture pour offrir aux lecteurs passionnés le plus possible de trésors originaux, et parfois même certains restaurés au mieux, sans trahison !
C’est un honneur et un plaisir de visiter sous un autre regard telle ou telle merveille de la littérature qui subsiste encore de nos jours malgré l’acharnement des religieux et des politiques, depuis plus de 2.500 ans, obsédés à nous limiter l’information comme l’accès à la culture.
Oui, les copistes et les traducteurs dépendant d’un parti politique ou religieux… n’ont pas, hélas, la considération suffisante pour les œuvres au regard de l’autorité qui leur impose des modifications allant parfois jusqu’à dénaturer complètement les idées d’un auteur.
Oui, il y a toujours eu celles et ceux qui créent des bibliothèques et celles et ceux qui s’efforcent de les brûler. Qu’ils soient juifs, chrétiens, bouddhistes, musulmans ou d’autres religions… qu’ils soient communistes, libéraux, nazis ou d’autres tendances politiques, on détruit l’art soi-disant pour « respecter » les croyances religieuses, les « imposer » ou parfois même les interdire !
Et demain ?
Le livre « Fahrenheit 451 » de Ray BRADBURY nous l’explique dramatiquement bien… en réponse aux nombreux livres d’Aldous HUXLEY comme notamment « Le plus sot animal » et bien entendu « le Meilleur des mondes » : le principe est de nous enfumer d’informations mesurées et calibrées et de drogues légales et fortement conseillées… empêchant le développement de notre aptitude à la réflexion !
Du pain et des jeux… le peuple se laisse alors mener comme des moutons silencieux à l’abattoir !
Pendant ce temps là…
Dans sa quête vers « l'idée du beau », un pirate est heureux aussi de vous faire vivre, au-delà de ses trouvailles, un peu de sa création, au fil du temps…
Il est vivant, et si les corsaires et leurs sbires — ces petites mains ensanglantés des basses tâches des tyrans — ne le pendent pas trop vite haut et court à l’un des plus beaux mats de leurs vaisseaux au service des monarques du jour, vous allez pouvoir profiter au fil des ans et selon l’espace-temps qui lui est donné… d'un très grand nombre d'histoires, de contes et de pièces de théâtre, de la poésie et des romans… ainsi que des essais philosophiques, des propositions pédagogiques… des réflexions politiques !
C'est vraiment l'espace-temps qu'il lui faut maîtriser ainsi que la vie au quotidien… la gestion de l’ordinaire… la question financière, en raison de sa situation fragilisée par une suite de procès et d’attaques ciblées !
En effet… l'écriture n'est pas aisée… même lorsque l'on a du talent.
Il faut être dans une sécurité relative !
Malgré le jaillissement sublime dans l'esprit, « la nausée » est continuelle si cela n’est pas posé hors de soi, sans tricher… et Jean Paul SARTRE en avait bien pris conscience avec un certain dégoût pour lui-même et les autres.
Oui ! Le roman que j’ai « dans la tête » existe-t-il ?
Des milliers de pages de notes font-elles une œuvre ?
Devons-nous nous réjouir ou pleurer devant ces si nombreux textes proposés « post mortem »… des écrits inachevés, et d’autres plus dramatiquement « achevés » par des tricheurs médiocres ou géniaux, après la mort d’artistes qui furent souvent massacrés de leur vivant, rejetés, oubliés ou détestés… pour leur permettre outre-tombe de donner gloire et argent à des descendants, des voleurs, ou des éditeurs avides de renommée par procuration ?
Qui oserait dire aujourd’hui par exemple, que Blaise PASCAL de MONS est une victime de sa sœur Jacqueline et de la secte des Jansénistes de Port-Royal ?
Avons-nous le droit de proposer une version nouvelle et libérée, de ce philosophe « prisonnier » d’une Histoire officielle qui n’est pas la sienne ?
Qui saurait en effet expliquer et faire comprendre aux crédules qui le voit comme un dévot à la cause divine, la note singulière de ses « Pensées » révélant son inconditionnelle liberté d’esprit malgré les chaînes religieuses imposées par la peur et la maladie, qui le contraignaient à écrire — aux dires de Jacques PRÉVERT — « Les Paris stupides »…
Ah oui, imprégnons-nous de cette autre pépite d’or qui révèle ce gai luron de Blaise PASCAL de MONS sous un autre regard :
Dans sa quête vers « l'idée du beau », un pirate est heureux aussi de vous faire vivre, au-delà de ses trouvailles, un peu de sa création, au fil du temps…
Il est vivant, et si les corsaires et leurs sbires — ces petites mains ensanglantés des basses tâches des tyrans — ne le pendent pas trop vite haut et court à l’un des plus beaux mats de leurs vaisseaux au service des monarques du jour, vous allez pouvoir profiter au fil des ans et selon l’espace-temps qui lui est donné… d'un très grand nombre d'histoires, de contes et de pièces de théâtre, de la poésie et des romans… ainsi que des essais philosophiques, des propositions pédagogiques… des réflexions politiques !
C'est vraiment l'espace-temps qu'il lui faut maîtriser ainsi que la vie au quotidien… la gestion de l’ordinaire… la question financière, en raison de sa situation fragilisée par une suite de procès et d’attaques ciblées !
En effet… l'écriture n'est pas aisée… même lorsque l'on a du talent.
Il faut être dans une sécurité relative !
Malgré le jaillissement sublime dans l'esprit, « la nausée » est continuelle si cela n’est pas posé hors de soi, sans tricher… et Jean Paul SARTRE en avait bien pris conscience avec un certain dégoût pour lui-même et les autres.
Oui ! Le roman que j’ai « dans la tête » existe-t-il ?
Des milliers de pages de notes font-elles une œuvre ?
Devons-nous nous réjouir ou pleurer devant ces si nombreux textes proposés « post mortem »… des écrits inachevés, et d’autres plus dramatiquement « achevés » par des tricheurs médiocres ou géniaux, après la mort d’artistes qui furent souvent massacrés de leur vivant, rejetés, oubliés ou détestés… pour leur permettre outre-tombe de donner gloire et argent à des descendants, des voleurs, ou des éditeurs avides de renommée par procuration ?
Qui oserait dire aujourd’hui par exemple, que Blaise PASCAL de MONS est une victime de sa sœur Jacqueline et de la secte des Jansénistes de Port-Royal ?
Avons-nous le droit de proposer une version nouvelle et libérée, de ce philosophe « prisonnier » d’une Histoire officielle qui n’est pas la sienne ?
Qui saurait en effet expliquer et faire comprendre aux crédules qui le voit comme un dévot à la cause divine, la note singulière de ses « Pensées » révélant son inconditionnelle liberté d’esprit malgré les chaînes religieuses imposées par la peur et la maladie, qui le contraignaient à écrire — aux dires de Jacques PRÉVERT — « Les Paris stupides »…
Ah oui, imprégnons-nous de cette autre pépite d’or qui révèle ce gai luron de Blaise PASCAL de MONS sous un autre regard :
« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît
point ».
L’écrivain se doit de pouvoir sans trop de contraintes, poser mot après
mot sur le papier. Il lui faut transcrire les phrases à l'ordinateur, puis les
travailler des heures et des heures, des jours et des nuits, des années et des
siècles s’il le pouvait… Puis de ces textes qui prennent vie — dans cette
époque riche en moyens de communication — passer par une étape nouvelle qui est
celle de les mettre en ligne sur
l’Internet afin de vous inviter à en partager les fruits avant d’oser la
transformation en livre papier.
Et après, il y a la chance ou non… de la rencontre avec le lecteur !
Lire nécessite une démarche certaine où le temps n'est plus compté… pour écrire, c'est davantage une rencontre avec le vécu, transformé par le néant de soi-même pour permettre le jaillissement.
Il suffit de quelques secondes pour que le mot se pose, mais parfois des années sont nécessaires afin que le mot se rapproche au plus près de l'idée, dans le souhait, le désir le plus sincère — comme j’aime à le répéter — du comte Alfred Abdank KORZYBSKI. Ce monsieur oublié avait aussi compris dans son « Introduction à la Sémantique Générale » « qu’une carte n’est pas le territoire ». Ses travaux et son œuvre pillée ont fait notamment la fortune et la gloire du Goncourt 2010, nominé parmi ces écrivailleurs appréciés par le « tout public », pour citer Michel HOUELLEBECQ. Il est ce « Zarathoustra des classes moyennes », selon ses propres mots puisés dans son livre commis… ce monsieur accusé par certains de vols et de plagiat avec « La Carte et le Territoire »…
Pour vous offrir le meilleur de la littérature, il est donc nécessaire de savoir prendre son temps, et parfois — à l’exemple de Charles BAUDELAIRE — revenir sans cesse sur ses œuvres. Oui, comme pour les séries de toiles aux thèmes de prédilection de Claude MONNET, la lumière de chaque instant nous donne la possibilité de proposer des créations très différentes.
Chaque jour, ayant prit connaissance de nouvelles portes, un article, un conte, une nouvelle ou un poème peut se trouver écrit autrement. C'est ce que racontait Anatole FRANCE — vieillard avisé ayant encore toute sa tête — à propos de la relecture de ses premiers livres :
Et après, il y a la chance ou non… de la rencontre avec le lecteur !
Lire nécessite une démarche certaine où le temps n'est plus compté… pour écrire, c'est davantage une rencontre avec le vécu, transformé par le néant de soi-même pour permettre le jaillissement.
Il suffit de quelques secondes pour que le mot se pose, mais parfois des années sont nécessaires afin que le mot se rapproche au plus près de l'idée, dans le souhait, le désir le plus sincère — comme j’aime à le répéter — du comte Alfred Abdank KORZYBSKI. Ce monsieur oublié avait aussi compris dans son « Introduction à la Sémantique Générale » « qu’une carte n’est pas le territoire ». Ses travaux et son œuvre pillée ont fait notamment la fortune et la gloire du Goncourt 2010, nominé parmi ces écrivailleurs appréciés par le « tout public », pour citer Michel HOUELLEBECQ. Il est ce « Zarathoustra des classes moyennes », selon ses propres mots puisés dans son livre commis… ce monsieur accusé par certains de vols et de plagiat avec « La Carte et le Territoire »…
Pour vous offrir le meilleur de la littérature, il est donc nécessaire de savoir prendre son temps, et parfois — à l’exemple de Charles BAUDELAIRE — revenir sans cesse sur ses œuvres. Oui, comme pour les séries de toiles aux thèmes de prédilection de Claude MONNET, la lumière de chaque instant nous donne la possibilité de proposer des créations très différentes.
Chaque jour, ayant prit connaissance de nouvelles portes, un article, un conte, une nouvelle ou un poème peut se trouver écrit autrement. C'est ce que racontait Anatole FRANCE — vieillard avisé ayant encore toute sa tête — à propos de la relecture de ses premiers livres :
« Il me faudrait tout reprendre, tout écrire
de nouveau…
Mon style a progressé, ma conscience a évolué…
Et mon caractère, et bien, n'en parlons pas ! ».
Mon style a progressé, ma conscience a évolué…
Et mon caractère, et bien, n'en parlons pas ! ».
Voilà donc la quête de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots
et philanalyste en herbe : étudier, écrire, relire, étudier de nouveau… œuvrer
sans cesse et offrir parfois… pour son plaisir !
Il serait enchanté que vous puissiez aussi trouver une certaine gratification intellectuelle, affective et même peut-être sensuelle à la lecture de ses propos…
Bonne lecture des articles, mis en ligne au fur et à mesure de leur écriture et de leur progression…
Si vous souhaitez aider l’auteur dans son quotidien, n’hésitez pas, faites un don !
Il serait enchanté que vous puissiez aussi trouver une certaine gratification intellectuelle, affective et même peut-être sensuelle à la lecture de ses propos…
Bonne lecture des articles, mis en ligne au fur et à mesure de leur écriture et de leur progression…
Si vous souhaitez aider l’auteur dans son quotidien, n’hésitez pas, faites un don !
Vous avez aimé ?
merci de partager !
merci de partager !
C'était l'introduction aux propos libres et sans gravité par Yves de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe… Tous droits réservés ©…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville