Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des
mots et philanalyste en herbe présent une :
Lettre ouverte au monde médical
Et plus particulièrement, à celles et ceux qui
s'intéressent aux psys de toutes confessions…
Psychiatres, psychologues,
psychothérapeutes
et autres psychanalystes…
Cette lettre est écrite notamment à propos des
textes de lois imposés voici quelques années par Monsieur le Docteur Bernard
ACCOYER alors qu’il était député et président de l’Assemblée Nationale de la
République française…
Il s’est présenté comme l’expert en la matière pour gérer la réglementation des professions « psy » et plus particulièrement celles de psychothérapeute et de psychanalyste, au lieu peut-être de s’interroger sur le fonctionnement économique parfois totalitaire, voire sectaire du monde de la médecine et plus particulièrement celui des psychiatres, agents commerciaux des grands groupes chimiques et pharmaceutiques.
Il s’est présenté comme l’expert en la matière pour gérer la réglementation des professions « psy » et plus particulièrement celles de psychothérapeute et de psychanalyste, au lieu peut-être de s’interroger sur le fonctionnement économique parfois totalitaire, voire sectaire du monde de la médecine et plus particulièrement celui des psychiatres, agents commerciaux des grands groupes chimiques et pharmaceutiques.
Ah… tous ces grands malades qui nous soignent,
et qui nous gouvernent !
Je pensais que les politiciens
« élus » qui nous « représentent », notamment à l’Assemblée
Nationale, allaient enfin — par sagesse — adopter un projet de loi demandant la
nécessité, voire peut-être la condition sine
qua non, d'avoir eu un suivi analytique pour être autorisé à exercer la
profession de médecin, surtout pour les psychiatres.
Bien entendu tous les psychologues devraient aussi être suivis quant à leurs aptitudes psychologiques à aider des êtres en fragilité. Un diplôme universitaire peut cacher des tares pathologiques graves et l’on croise hélas, dans les institutions, bien des psychologues plus malades que leurs patients… et particulièrement chez les professionnels au service des tribunaux !
Il faut aussi aller découvrir de ses propres yeux, l’état psychique d’un grand nombre d’étudiants en médecine ou en psychologie… et s’affoler sur le comportement inquiétant de certains élèves : on peut être brillants scolairement, et vraiment dérangés mentalement !
Pour les psychothérapeutes, il faut savoir que beaucoup de ces femmes et hommes d’âge mûr — attentifs au bien-être — ont déjà eu la sagesse et l’humilité de s’occuper d’eux-mêmes avant d’aller tenter de soigner les autres.
Oui, s’il faut discuter entre politiciens de la santé du peuple, quelle formidable idée que de donner quelques directives dans ce bon sens : de proposer par exemple une psychanalyse sérieuse à ces gens qui soignent, et que cela puisse être étendu aussi par la suite à toutes les professions où il y a contact avec « l’humain »…
S'il y a beaucoup d'infirmières compétentes et dévouées malgré le trop grand manque de considération de la profession par les docteurs, les abaissant souvent au rang de "bonnes sœurs sans voile", il y a aussi malheureusement des « Misery » à la Stephen KING ! Il est nécessaire enfin de s'intéresser et de « prendre soin » de la santé de notre personnel médical… et particulièrement de la santé mentale de ces hommes et de ces femmes qui ont de si grandes responsabilités !
Toute personne au service d'êtres en fragilité doit avoir la possibilité d'accéder à des « espaces » de rencontres, des référents pour l'aider dans sa responsabilité d’écoute et/ou de soin.
Vouloir être médecin, avoir la « vocation » de médecin… ce n’est pas innocent !
Ce contact avec la maladie, la souffrance, le handicap, le corps… doit être davantage pris au sérieux dans le choix des études pour un élève, en lien avec son état psychologique !
Quelle « vocation » à être proctologue, urologue ou dermatologue ?
Médecin de famille à l'écoute…
Médecin de campagne qui se déplace à domicile, ou docteur au sein d'un centre médicale, qui attends la venue du malade ?
Quelle passion morbide pourrait-il y avoir dans le fait d’être médecin légiste ?
Pourquoi choisir pédiatre ?
Quel plaisir à soigner les dents du peuple ?
Cancérologue ou urgentiste ?
Être passionnés de Botox ou se trouver sensible à la chirurgie réparatrice après cancer ou accident ?
Qu’est-ce qu’un « homme » peut comprendre de la psychologie et du corps d’une « femme » en étant gynécologue ?
Qu’est ce donc qui attire des étudiants à faire des études de médecine ?
Un médecin n’est pas toujours « un docteur Bernard RIEUX ».
N'est-ce pas, Monsieur Albert CAMUS ?
Parce que la peste n'est pas contractée uniquement par malédiction divine… et que l'on soit blanc ou noir, chrétien ou musulman… Français de premier rang ou d'une catégorie inférieure… un médecin se doit d'être au service du malade.
S'il y a des docteurs humanistes ayant l'état d'esprit et le dévouement de Bernard RIEUX, il y a aussi des docteurs comme Louis Ferdinand CÉLINE (DESTOUCHES) qui traînent des pathologies et des pensées racistes, voire totalement antisémite… fortement éloignées de l’idéal du « médecin » qui devrait soigner l’être humain en souffrance, sans distinction : qu’il soit femme ou homme, noir, jaune ou blanc, sans religion, juif, chrétien ou musulman, Allemand ou Français… Hutu ou Tutsi…
Oui, le docteur Louis Ferdinand CÉLINE — médecin et écrivain — dans son œuvre littéraire, dresse des tableaux du monde médical souvent très très sombres, en ne se mettant surtout pas en valeur.
Il faudrait donc enfin penser à réformer le monde médical pour que « l’humain » trouve ou retrouve sa place au-delà des pouvoirs politiques, religieux ou économiques !
Bien entendu tous les psychologues devraient aussi être suivis quant à leurs aptitudes psychologiques à aider des êtres en fragilité. Un diplôme universitaire peut cacher des tares pathologiques graves et l’on croise hélas, dans les institutions, bien des psychologues plus malades que leurs patients… et particulièrement chez les professionnels au service des tribunaux !
Il faut aussi aller découvrir de ses propres yeux, l’état psychique d’un grand nombre d’étudiants en médecine ou en psychologie… et s’affoler sur le comportement inquiétant de certains élèves : on peut être brillants scolairement, et vraiment dérangés mentalement !
Pour les psychothérapeutes, il faut savoir que beaucoup de ces femmes et hommes d’âge mûr — attentifs au bien-être — ont déjà eu la sagesse et l’humilité de s’occuper d’eux-mêmes avant d’aller tenter de soigner les autres.
Oui, s’il faut discuter entre politiciens de la santé du peuple, quelle formidable idée que de donner quelques directives dans ce bon sens : de proposer par exemple une psychanalyse sérieuse à ces gens qui soignent, et que cela puisse être étendu aussi par la suite à toutes les professions où il y a contact avec « l’humain »…
S'il y a beaucoup d'infirmières compétentes et dévouées malgré le trop grand manque de considération de la profession par les docteurs, les abaissant souvent au rang de "bonnes sœurs sans voile", il y a aussi malheureusement des « Misery » à la Stephen KING ! Il est nécessaire enfin de s'intéresser et de « prendre soin » de la santé de notre personnel médical… et particulièrement de la santé mentale de ces hommes et de ces femmes qui ont de si grandes responsabilités !
Toute personne au service d'êtres en fragilité doit avoir la possibilité d'accéder à des « espaces » de rencontres, des référents pour l'aider dans sa responsabilité d’écoute et/ou de soin.
Vouloir être médecin, avoir la « vocation » de médecin… ce n’est pas innocent !
Ce contact avec la maladie, la souffrance, le handicap, le corps… doit être davantage pris au sérieux dans le choix des études pour un élève, en lien avec son état psychologique !
Quelle « vocation » à être proctologue, urologue ou dermatologue ?
Médecin de famille à l'écoute…
Médecin de campagne qui se déplace à domicile, ou docteur au sein d'un centre médicale, qui attends la venue du malade ?
Quelle passion morbide pourrait-il y avoir dans le fait d’être médecin légiste ?
Pourquoi choisir pédiatre ?
Quel plaisir à soigner les dents du peuple ?
Cancérologue ou urgentiste ?
Être passionnés de Botox ou se trouver sensible à la chirurgie réparatrice après cancer ou accident ?
Qu’est-ce qu’un « homme » peut comprendre de la psychologie et du corps d’une « femme » en étant gynécologue ?
Qu’est ce donc qui attire des étudiants à faire des études de médecine ?
Un médecin n’est pas toujours « un docteur Bernard RIEUX ».
N'est-ce pas, Monsieur Albert CAMUS ?
Parce que la peste n'est pas contractée uniquement par malédiction divine… et que l'on soit blanc ou noir, chrétien ou musulman… Français de premier rang ou d'une catégorie inférieure… un médecin se doit d'être au service du malade.
S'il y a des docteurs humanistes ayant l'état d'esprit et le dévouement de Bernard RIEUX, il y a aussi des docteurs comme Louis Ferdinand CÉLINE (DESTOUCHES) qui traînent des pathologies et des pensées racistes, voire totalement antisémite… fortement éloignées de l’idéal du « médecin » qui devrait soigner l’être humain en souffrance, sans distinction : qu’il soit femme ou homme, noir, jaune ou blanc, sans religion, juif, chrétien ou musulman, Allemand ou Français… Hutu ou Tutsi…
Oui, le docteur Louis Ferdinand CÉLINE — médecin et écrivain — dans son œuvre littéraire, dresse des tableaux du monde médical souvent très très sombres, en ne se mettant surtout pas en valeur.
Il faudrait donc enfin penser à réformer le monde médical pour que « l’humain » trouve ou retrouve sa place au-delà des pouvoirs politiques, religieux ou économiques !
Non, hélas…
Le Docteur Bernard ACCOYER — médecin et
politique — préféra attaquer les psychothérapeutes et les psychanalystes
indépendants. C’est peut-être en lien avec une souffrance familiale, une
vexation ou une désillusion, voire une trahison ou une erreur subie qui l’invita
à se venger contre toute une famille de professions ? Nous n'en savons
rien encore vraiment à ce jour… sur les sources premières de cette guerre sans
merci par ce notable politique qu'est le docteur Bernard ACCOYER, si ce n'est
peut-être quelques souffrances rapportées en discrétion vis-à-vis d’un fils… en
lien avec ses relations très conflictuelles concernant le monde des psy !
Son dernier livre commis, « Un homme politique peut-il dire toute la vérité ? » dont le titre se suffit à lui même, nous rappelle les propos de Nicholas de MACHIAVEL dans « Le Prince », à savoir que le mensonge était une raison d’État.
À vouloir se venger… à tenter de punir un membre coupable de maladresses ou de vilénies, l’on massacre une famille…
La télévision, la presse, la radio, l’Internet… les médias en général, aiment particulièrement jouer du marronnier avec ces vilains méchants psychothérapeutes ou psychanalystes qui sont certainement tous sectaires et dangereux…
Des hérétiques, des charlatans…
Il y en a… hélas, oui… et la plupart du temps — heureusement — la mauvaise réputation diffusée par le bouche à oreille les fait disparaître rapidement.
Mais tenter de parler des nombreuses dérives du monde de la médecine, c’est autrement plus délicat !
Ah, les statuts sacrés des « Médecins », des « Pharmaciens » et des « Dentistes » !
Et si nous osions ?
Et si j’osais donner une place plus humaine à ces demi-dieux ?
Ma démarche est carrément interdite, et va encore me causer quelques menaces ou procès… puisque les Ordres des médecins, des dentistes et des pharmaciens veillent… comme toutes leurs loges exclusives…
Oui, souvenons-nous, les corporations furent supprimées à la Révolution de 1789 : « La liberté, l’égalité et la fraternité » pour tous sera rappelée régulièrement entre deux guerres ou autres révolutions…
Merci Pierre d'ALLARDE ! Vous étiez désireux de poser des fondements solides à une égalité des droits dans la liberté de profession et de commerce… que la Révolution bourgeoise menée par Georges DANTON, — après avoir éliminé Maximilien de ROBESPIERRE et Louis Antoine de SAINT-JUST — va s’empresser de supprimer…
Pour le monde médical, cela sera plus insidieux et c’est le Régime de Vichy qui va restaurer les dernières structures pyramidales et améliorer cette idée que « hors de tout Ordre… moral… rien n’est bon ».
Alors que dans le cochon, tout est bon…
Une haute autorité pense, décide, moralise, sanctionne et glorifie…
Les « autres » obéissent ou doivent partir !
Les médecins juifs furent chassés d’ailleurs de cet « Ordre des bons médecins » jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale…
L’Ordre des avocats fit de même sans trop de scrupules… On n’a pas CICÉRON comme dieu pour rien… Ah, CICÉRON, cet avocat politique était tellement intéressé, voire obsédé par le pouvoir et l’argent à tout prix, que ses détracteurs, avant de le décapiter, lui couperont les mains sur lesquelles le sang et l'or n'en finissaient pas de couler…
Écarter les « sous hommes », c’est une des premières décisions de cet Ordre des Médecins, tout fraîchement créé par le régime de Vichy légalement arrivé au pouvoir par un vote à l’Assemblée Nationale, et qui régna sous la haute autorité du Maréchal PÉTAIN, obéissant sagement aux désirs du gouvernement LAVAL de l'époque, au service de l’Allemagne nazie.
La guerre finie, maintenant que le Général De GAULLE eut désigné les nouveaux gentils, tous ceux qui n’étaient pas morts sont rentrés dans l’Ordre… des médecins, faisant fête à leurs confrères qu'ils avaient laissé être déportés quatre ans plus tôt !
Et les avocats survivants seront aussi accueillis de nouveau par leurs frères des temps de paix… innocents d’un passé surveillé dont ils ne sont bien entendu que les victimes !
« L’Ordre de Cicéron » est une bande dessinée audacieuse de Paul GILLON et de Richard MALKA, à découvrir sur le fonctionnement des Ordres…
Son dernier livre commis, « Un homme politique peut-il dire toute la vérité ? » dont le titre se suffit à lui même, nous rappelle les propos de Nicholas de MACHIAVEL dans « Le Prince », à savoir que le mensonge était une raison d’État.
À vouloir se venger… à tenter de punir un membre coupable de maladresses ou de vilénies, l’on massacre une famille…
La télévision, la presse, la radio, l’Internet… les médias en général, aiment particulièrement jouer du marronnier avec ces vilains méchants psychothérapeutes ou psychanalystes qui sont certainement tous sectaires et dangereux…
Des hérétiques, des charlatans…
Il y en a… hélas, oui… et la plupart du temps — heureusement — la mauvaise réputation diffusée par le bouche à oreille les fait disparaître rapidement.
Mais tenter de parler des nombreuses dérives du monde de la médecine, c’est autrement plus délicat !
Ah, les statuts sacrés des « Médecins », des « Pharmaciens » et des « Dentistes » !
Et si nous osions ?
Et si j’osais donner une place plus humaine à ces demi-dieux ?
Ma démarche est carrément interdite, et va encore me causer quelques menaces ou procès… puisque les Ordres des médecins, des dentistes et des pharmaciens veillent… comme toutes leurs loges exclusives…
Oui, souvenons-nous, les corporations furent supprimées à la Révolution de 1789 : « La liberté, l’égalité et la fraternité » pour tous sera rappelée régulièrement entre deux guerres ou autres révolutions…
Merci Pierre d'ALLARDE ! Vous étiez désireux de poser des fondements solides à une égalité des droits dans la liberté de profession et de commerce… que la Révolution bourgeoise menée par Georges DANTON, — après avoir éliminé Maximilien de ROBESPIERRE et Louis Antoine de SAINT-JUST — va s’empresser de supprimer…
Pour le monde médical, cela sera plus insidieux et c’est le Régime de Vichy qui va restaurer les dernières structures pyramidales et améliorer cette idée que « hors de tout Ordre… moral… rien n’est bon ».
Alors que dans le cochon, tout est bon…
Une haute autorité pense, décide, moralise, sanctionne et glorifie…
Les « autres » obéissent ou doivent partir !
Les médecins juifs furent chassés d’ailleurs de cet « Ordre des bons médecins » jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale…
L’Ordre des avocats fit de même sans trop de scrupules… On n’a pas CICÉRON comme dieu pour rien… Ah, CICÉRON, cet avocat politique était tellement intéressé, voire obsédé par le pouvoir et l’argent à tout prix, que ses détracteurs, avant de le décapiter, lui couperont les mains sur lesquelles le sang et l'or n'en finissaient pas de couler…
Écarter les « sous hommes », c’est une des premières décisions de cet Ordre des Médecins, tout fraîchement créé par le régime de Vichy légalement arrivé au pouvoir par un vote à l’Assemblée Nationale, et qui régna sous la haute autorité du Maréchal PÉTAIN, obéissant sagement aux désirs du gouvernement LAVAL de l'époque, au service de l’Allemagne nazie.
La guerre finie, maintenant que le Général De GAULLE eut désigné les nouveaux gentils, tous ceux qui n’étaient pas morts sont rentrés dans l’Ordre… des médecins, faisant fête à leurs confrères qu'ils avaient laissé être déportés quatre ans plus tôt !
Et les avocats survivants seront aussi accueillis de nouveau par leurs frères des temps de paix… innocents d’un passé surveillé dont ils ne sont bien entendu que les victimes !
« L’Ordre de Cicéron » est une bande dessinée audacieuse de Paul GILLON et de Richard MALKA, à découvrir sur le fonctionnement des Ordres…
Revenons au monde médical…
Il y a, malgré tout ce passé sulfureux pesant lourdement sur la médecine en France et dans le monde, des docteurs humanistes formidables, attentifs aux vivants, qui se souviennent du serment d’HIPPOCRATE.
Peu de médecins, hélas, cependant le prononcent encore… il est si « ringard » aux yeux de beaucoup, que l’on propose même aux promus qui le souhaitent, de lire un ersatz édulcoré pour une petite fête sans la solennité nécessaire !
Certaines femmes et quelques hommes diplômés d’une faculté de médecine — préférant servir que dominer — sont davantage des humanistes plutôt que des carriéristes et voient dans leur profession, une vocation à soulager les souffrances de l’espèce humaine, dans la considération des préceptes d’HIPPOCRATE.
D’autres jouent toujours aux apprentis sorciers, se prenant pour des demi-dieux en pensant sauver le monde et guérir les hommes à coups de médicaments, d’opérations ou de camisoles… puis prennent le pouvoir en devenant des « politiques » !
Il y a les petits pouvoirs comme celui de ce « médecin de campagne » de mon enfance qui s’occupait mensuellement de « stériliser » les handicapés des Centre d’Aide par le Travail, et autres « fous » des asiles, au nom du bien être de la société consentante… Une rente annuelle intéressante…
Il y a aussi les grands pouvoirs qui se prennent par les urnes ou les armes…
« Régner est un crime » nous rappelle le bel éphèbe Louis Antoine de SAINT-JUST, avant de monter sur l’échafaud à l'âge de 26 ans… pour avoir voulu puiser dans les réserves des notables, afin de donner du pain au peuple qui criait famine… L’Histoire de France de monsieur Adolphe THIERS saura réécrire ces temps glorieux en des temps de Terreur… Il est plaisant d'écouter les conférences du professeur Henri GUILLEMIN pour découvrir l'Histoire sous un autre regard… près de 150 vidéos passionnantes sont disponibles à ce jour sur YouTube…
Le peuple a la mémoire si fragile…
Monsieur le docteur Bernard ACCOYER est le fils d'un pharmacien militaire… et l’horreur de la guerre aurait pu lui donner le désir d’être au service des femmes et des hommes en souffrance… Non, il a préféré devenir comme Ernesto GUEVARA, dit le CHE… un médecin qui de soigneur devient légiste, juge et partie… et bourreau par ses propres mains ou celles des autres !
Ah, réveillons-nous… dans le serment d’HIPPOCRATE, il est explicitement écrit que l’on ne peut pas être soigneur ET politicien…
Le médecin est à côté du patient, sans avoir d’autorité sur lui !
Un médecin selon HIPPOCRATE, ne s’autorise à aucun pouvoir sur le peuple !
Médecine et politique ne sont pas honnêtement compatibles d’après les dires d’HIPPOCRATE lui-même…
Ah, que de traductions déformées de ce texte écrit voici plus de 2.500 ans, un peu avant la décadence… lorsque les humains ont hélas préféré la guerre à l’Art ! Et ne nous méprenons pas… la guerre n'est PAS un art, même si quelques pseudo philosophes veulent s'en persuader pour justifier les crimes contre les peuples au nom d'une politique économique ! Anatole FRANCE le disait en 1922 : « On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels ».
Voici une version du serment d'HIPPOCRATE qui semble plutôt proche du texte grec et qui nous montre clairement que le médecin est là pour soigner, non pour diriger, imposer ses certitudes par la force et légiférer :
Il y a, malgré tout ce passé sulfureux pesant lourdement sur la médecine en France et dans le monde, des docteurs humanistes formidables, attentifs aux vivants, qui se souviennent du serment d’HIPPOCRATE.
Peu de médecins, hélas, cependant le prononcent encore… il est si « ringard » aux yeux de beaucoup, que l’on propose même aux promus qui le souhaitent, de lire un ersatz édulcoré pour une petite fête sans la solennité nécessaire !
Certaines femmes et quelques hommes diplômés d’une faculté de médecine — préférant servir que dominer — sont davantage des humanistes plutôt que des carriéristes et voient dans leur profession, une vocation à soulager les souffrances de l’espèce humaine, dans la considération des préceptes d’HIPPOCRATE.
D’autres jouent toujours aux apprentis sorciers, se prenant pour des demi-dieux en pensant sauver le monde et guérir les hommes à coups de médicaments, d’opérations ou de camisoles… puis prennent le pouvoir en devenant des « politiques » !
Il y a les petits pouvoirs comme celui de ce « médecin de campagne » de mon enfance qui s’occupait mensuellement de « stériliser » les handicapés des Centre d’Aide par le Travail, et autres « fous » des asiles, au nom du bien être de la société consentante… Une rente annuelle intéressante…
Il y a aussi les grands pouvoirs qui se prennent par les urnes ou les armes…
« Régner est un crime » nous rappelle le bel éphèbe Louis Antoine de SAINT-JUST, avant de monter sur l’échafaud à l'âge de 26 ans… pour avoir voulu puiser dans les réserves des notables, afin de donner du pain au peuple qui criait famine… L’Histoire de France de monsieur Adolphe THIERS saura réécrire ces temps glorieux en des temps de Terreur… Il est plaisant d'écouter les conférences du professeur Henri GUILLEMIN pour découvrir l'Histoire sous un autre regard… près de 150 vidéos passionnantes sont disponibles à ce jour sur YouTube…
Le peuple a la mémoire si fragile…
Monsieur le docteur Bernard ACCOYER est le fils d'un pharmacien militaire… et l’horreur de la guerre aurait pu lui donner le désir d’être au service des femmes et des hommes en souffrance… Non, il a préféré devenir comme Ernesto GUEVARA, dit le CHE… un médecin qui de soigneur devient légiste, juge et partie… et bourreau par ses propres mains ou celles des autres !
Ah, réveillons-nous… dans le serment d’HIPPOCRATE, il est explicitement écrit que l’on ne peut pas être soigneur ET politicien…
Le médecin est à côté du patient, sans avoir d’autorité sur lui !
Un médecin selon HIPPOCRATE, ne s’autorise à aucun pouvoir sur le peuple !
Médecine et politique ne sont pas honnêtement compatibles d’après les dires d’HIPPOCRATE lui-même…
Ah, que de traductions déformées de ce texte écrit voici plus de 2.500 ans, un peu avant la décadence… lorsque les humains ont hélas préféré la guerre à l’Art ! Et ne nous méprenons pas… la guerre n'est PAS un art, même si quelques pseudo philosophes veulent s'en persuader pour justifier les crimes contre les peuples au nom d'une politique économique ! Anatole FRANCE le disait en 1922 : « On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels ».
Voici une version du serment d'HIPPOCRATE qui semble plutôt proche du texte grec et qui nous montre clairement que le médecin est là pour soigner, non pour diriger, imposer ses certitudes par la force et légiférer :
« Je jure par Apollon, médecin,
Asklépios, Hugéia et Panakéia, prenant à témoin tous les Dieux et toutes les
Déesses d’accomplir, selon mon pouvoir et mon jugement, ce serment et cet
engagement écrit.
Je jure de considérer à l’égal de mes parents celui qui m’aura enseigné l’art de la médecine ; de partager avec lui ma subsistance et de pourvoir à ses besoins, s’il est dans la nécessité : de regarder ses fils comme des frères et, s’ils veulent étudier cet art, de le leur apprendre sans salaire ni contrat : de communiquer les préceptes généraux, les leçons orales et tout le reste de la doctrine à mes fils à ceux de mon maître et aux disciples enrôlés et assermenté suivant la loi médicale, mais à aucun autre. Je ferai servir un régime diététique à l’avantage des malades selon mon pouvoir et mon jugement : pas pour leur dommage et leur malheur. Et je ne donnerai pas, quiconque m’en prierait, une drogue homicide ni ne prendra l’initiative de pareille suggestion : De même, je ne donnerai à aucune femme un pessaire abortif. Par la chasteté et la sainteté, je sauvegarderai ma vie et ma profession. Je ne taillerai pas les calculeux et je laisserai cette pratique à des professionnels. En quelque maison que je doive entrer, je m’y rendrai pour l’utilité des malades, évitant tout méfait volontaire et corrupteur et très particulièrement, les entreprises lascives sur le corps des femmes ou des hommes, qu’ils soient libres ou esclaves. Les choses que, dans l’exercice ou même hors de l’exercice de mon art je pourrai voir ou entendre sur l’existence des hommes et qui ne doivent pas être divulguées au-dehors, je les tairai, estimant que ces choses-là ont droit au secret des mystères.
Si j’accomplis jusqu’au bout ce serment et lui fais honneur, qu’il me soit donné de jouir des fruits de la vie et de cet art, honoré à jamais parmi tous les hommes. Mais si je viole et si je me parjure, qu’il m’arrive tout le contraire » !
Je jure de considérer à l’égal de mes parents celui qui m’aura enseigné l’art de la médecine ; de partager avec lui ma subsistance et de pourvoir à ses besoins, s’il est dans la nécessité : de regarder ses fils comme des frères et, s’ils veulent étudier cet art, de le leur apprendre sans salaire ni contrat : de communiquer les préceptes généraux, les leçons orales et tout le reste de la doctrine à mes fils à ceux de mon maître et aux disciples enrôlés et assermenté suivant la loi médicale, mais à aucun autre. Je ferai servir un régime diététique à l’avantage des malades selon mon pouvoir et mon jugement : pas pour leur dommage et leur malheur. Et je ne donnerai pas, quiconque m’en prierait, une drogue homicide ni ne prendra l’initiative de pareille suggestion : De même, je ne donnerai à aucune femme un pessaire abortif. Par la chasteté et la sainteté, je sauvegarderai ma vie et ma profession. Je ne taillerai pas les calculeux et je laisserai cette pratique à des professionnels. En quelque maison que je doive entrer, je m’y rendrai pour l’utilité des malades, évitant tout méfait volontaire et corrupteur et très particulièrement, les entreprises lascives sur le corps des femmes ou des hommes, qu’ils soient libres ou esclaves. Les choses que, dans l’exercice ou même hors de l’exercice de mon art je pourrai voir ou entendre sur l’existence des hommes et qui ne doivent pas être divulguées au-dehors, je les tairai, estimant que ces choses-là ont droit au secret des mystères.
Si j’accomplis jusqu’au bout ce serment et lui fais honneur, qu’il me soit donné de jouir des fruits de la vie et de cet art, honoré à jamais parmi tous les hommes. Mais si je viole et si je me parjure, qu’il m’arrive tout le contraire » !
Souvenez-vous du « coq », messieurs
les médecins, vous qui avez nos vies entre les mains !
Rappelez-vous le coq à offrir à ASCLEPIOS !
Socrate est guéri, soit, mais grâce au dieu !
Le médecin soigne, et le patient « se guérit »…
On donne à qui bon nous semble la « raison » de cette harmonie restaurée d’un corps avec l’esprit et le cœur, sachant que nous allons tous un jour ou l’autre… mourir !
Guérir ne veut donc rien dire !
Personne ne guérit personne…
Le médecin est un être précieux pour rassurer, apaiser, restaurer la confiance et prodiguer des soins.
Il veille à ce que nous allions bien, comme dans certaines époques où la Chine avaient des sages.
Le médecin peut aussi être un habile chirurgien, un merveilleux « réparateur » des blessures du monde…
Le médecin doit avant tout être un chercheur ayant foi en l’humain !
Hélas, si beaucoup de patients sont « entre de bonnes mains », il y a quotidiennement d’autres êtres en souffrance, qui se mettent davantage en danger en allant consulter des diplômés de médecine (qu'ils soient psychiatres ou autres) ou des psychologues, qui sont finalement en incohérence totale avec eux-mêmes, comme avec le sens à donner à ces professions.
Rappelez-vous le coq à offrir à ASCLEPIOS !
Socrate est guéri, soit, mais grâce au dieu !
Le médecin soigne, et le patient « se guérit »…
On donne à qui bon nous semble la « raison » de cette harmonie restaurée d’un corps avec l’esprit et le cœur, sachant que nous allons tous un jour ou l’autre… mourir !
Guérir ne veut donc rien dire !
Personne ne guérit personne…
Le médecin est un être précieux pour rassurer, apaiser, restaurer la confiance et prodiguer des soins.
Il veille à ce que nous allions bien, comme dans certaines époques où la Chine avaient des sages.
Le médecin peut aussi être un habile chirurgien, un merveilleux « réparateur » des blessures du monde…
Le médecin doit avant tout être un chercheur ayant foi en l’humain !
Hélas, si beaucoup de patients sont « entre de bonnes mains », il y a quotidiennement d’autres êtres en souffrance, qui se mettent davantage en danger en allant consulter des diplômés de médecine (qu'ils soient psychiatres ou autres) ou des psychologues, qui sont finalement en incohérence totale avec eux-mêmes, comme avec le sens à donner à ces professions.
Combien de « malades » nous
soignent ?
Combien de « malades » nous dirigent ?
Combien de « malades » nous dirigent ?
Combien de médecins connaissent de graves
dépressions ou bien sont malades à être eux-mêmes internés, sectaires, ou
simplement inapte, voire escrocs…
Les médecins qui font du « chiffre », voire « de l’abattage », sont hélas nombreux…
D’autres sont sous médicaments pour « aller travailler » ?
D’autres sont les prescripteurs acharnés de médicaments rentables dont les cours sont en bourse !
C’est aussi dramatique dans l’univers nébuleux des chirurgiens dentistes où pour ne pas perdre son sourire on saurait croire tous les propos les plus pertinents de certains arracheurs de dents.
Quel est le véritable prix de la peur de nos peurs ?
Qui se souvient encore de ces médicaments de mort — à base de radium — prescrits par des médecins sûrs d’eux-mêmes et des pharmaciens attentionnés ?
Ces poisons légaux furent utilisés en grande quantité, vendus à la population crédule au début du XX° siècle, parce que la découverte de Marie et Pierre CURIE bouleversait le monde de la Recherche et qu’il devait y avoir certainement beaucoup d’argent à se faire.
Bravo pour ces innovations mortelles comme les couches pour bébés au radium, ces crèmes de soin au radium, ces boissons énergisantes porteuses de mort comme le REDBULL ©®, non, à l’époque c’était juste de la limonade au radium…
Combien de milliers de morts, de centaines de milliers de malades ou de handicaps divers et variés à répertorier un jour ?
Et pas un seul médecin ou pharmacien ne fut semble-t-il condamné pour avoir été vendeur de la maladie ou de la mort par le radium !
Les guerres nous font oublier avec art « les petites erreurs » du monde médical !
Le fait de posséder un diplôme quelconque (mérité ? Sans tricher ? Sans piston ? Avec ou sans redoublement ? À Paris ou en province ? En France où à l’étranger ? En Europe ou dans le reste du Monde ? Non acheté ? Sans bakchich ?) ne remplacera jamais un travail sur soi-même et une recherche de chaque jour.
Il y a des médecins qui continuent à apprendre, même après avoir obtenu leur diplôme !
Un peu d’humilité semble indispensable pour tous… et notamment pour tout praticien de santé.
SOCRATE nous disait par les écrits de PLATON, qu’il ne savait rien… C’est bien que tout évolue et qu’il est essentiel de se remettre continuellement en question.
Les pages jaunies d’un vieux professeur de collège ou de lycée sont tristes comme lui, comme ses cours, devant des élèves endormis d’ennui…
Les médecins seront-ils un jour dans la nécessité de suivre des contrôles médicaux qui garantiraient à tout patient leur bon équilibre mental ?
Créer une médecine du travail pour le monde médical ?
Oui, c’est bien à ces questions, Docteur ACCOYER, qu’il eut-été audacieux de se pencher lors de vos débats certainement passionnants à l’Assemblée Nationale, dans un hémicycle quasiment vide… où vous étiez avec vos confrères élus du peuple, une bonne trentaine à débattre… comme d'habitude, sur le sort de plus de soixante millions de Français !
Le docteur HOUSE doit-il encore exercer la médecine ?
Les médecins d’hôpitaux psychiatriques ou délégués aux prisons ou aux camps, ne devraient pas être simplement cantonnés à prescrire des médicaments (comme les antidépresseurs, le Médiator ©® ou autres perles des laboratoires pharmaceutiques), où à pratiquer sur des cobayes enfermés loin des yeux du petit peuple, des expériences dignes des grandes époques du Docteur Jean Martin CHARCOT égalant certainement dans l’horreur, les pratiques que feront par la suite des cinglés comme le Docteur Josef MENGELE.
Tous les médecins des camps, quelques soient les dictatures… sont bardés de diplômes… et entre deux guerres, beaucoup sont des notables estimés !
Léon DAUDET et les frères GONCOURT seront les très rares « survivants » à oser peindre des portraits peu flatteurs de Jean Martin CHARCOT, celui que le monde considère encore comme « un grand homme de la science médicale », un des pionniers de la psychiatrie : celui que Sigmund FREUD consultait… Ce même FREUD qui voyait en la Cocaïne ®©, certainement le plus grand médicament du XX° siècle !
Les médecins qui font du « chiffre », voire « de l’abattage », sont hélas nombreux…
D’autres sont sous médicaments pour « aller travailler » ?
D’autres sont les prescripteurs acharnés de médicaments rentables dont les cours sont en bourse !
C’est aussi dramatique dans l’univers nébuleux des chirurgiens dentistes où pour ne pas perdre son sourire on saurait croire tous les propos les plus pertinents de certains arracheurs de dents.
Quel est le véritable prix de la peur de nos peurs ?
Qui se souvient encore de ces médicaments de mort — à base de radium — prescrits par des médecins sûrs d’eux-mêmes et des pharmaciens attentionnés ?
Ces poisons légaux furent utilisés en grande quantité, vendus à la population crédule au début du XX° siècle, parce que la découverte de Marie et Pierre CURIE bouleversait le monde de la Recherche et qu’il devait y avoir certainement beaucoup d’argent à se faire.
Bravo pour ces innovations mortelles comme les couches pour bébés au radium, ces crèmes de soin au radium, ces boissons énergisantes porteuses de mort comme le REDBULL ©®, non, à l’époque c’était juste de la limonade au radium…
Combien de milliers de morts, de centaines de milliers de malades ou de handicaps divers et variés à répertorier un jour ?
Et pas un seul médecin ou pharmacien ne fut semble-t-il condamné pour avoir été vendeur de la maladie ou de la mort par le radium !
Les guerres nous font oublier avec art « les petites erreurs » du monde médical !
Le fait de posséder un diplôme quelconque (mérité ? Sans tricher ? Sans piston ? Avec ou sans redoublement ? À Paris ou en province ? En France où à l’étranger ? En Europe ou dans le reste du Monde ? Non acheté ? Sans bakchich ?) ne remplacera jamais un travail sur soi-même et une recherche de chaque jour.
Il y a des médecins qui continuent à apprendre, même après avoir obtenu leur diplôme !
Un peu d’humilité semble indispensable pour tous… et notamment pour tout praticien de santé.
SOCRATE nous disait par les écrits de PLATON, qu’il ne savait rien… C’est bien que tout évolue et qu’il est essentiel de se remettre continuellement en question.
Les pages jaunies d’un vieux professeur de collège ou de lycée sont tristes comme lui, comme ses cours, devant des élèves endormis d’ennui…
Les médecins seront-ils un jour dans la nécessité de suivre des contrôles médicaux qui garantiraient à tout patient leur bon équilibre mental ?
Créer une médecine du travail pour le monde médical ?
Oui, c’est bien à ces questions, Docteur ACCOYER, qu’il eut-été audacieux de se pencher lors de vos débats certainement passionnants à l’Assemblée Nationale, dans un hémicycle quasiment vide… où vous étiez avec vos confrères élus du peuple, une bonne trentaine à débattre… comme d'habitude, sur le sort de plus de soixante millions de Français !
Le docteur HOUSE doit-il encore exercer la médecine ?
Les médecins d’hôpitaux psychiatriques ou délégués aux prisons ou aux camps, ne devraient pas être simplement cantonnés à prescrire des médicaments (comme les antidépresseurs, le Médiator ©® ou autres perles des laboratoires pharmaceutiques), où à pratiquer sur des cobayes enfermés loin des yeux du petit peuple, des expériences dignes des grandes époques du Docteur Jean Martin CHARCOT égalant certainement dans l’horreur, les pratiques que feront par la suite des cinglés comme le Docteur Josef MENGELE.
Tous les médecins des camps, quelques soient les dictatures… sont bardés de diplômes… et entre deux guerres, beaucoup sont des notables estimés !
Léon DAUDET et les frères GONCOURT seront les très rares « survivants » à oser peindre des portraits peu flatteurs de Jean Martin CHARCOT, celui que le monde considère encore comme « un grand homme de la science médicale », un des pionniers de la psychiatrie : celui que Sigmund FREUD consultait… Ce même FREUD qui voyait en la Cocaïne ®©, certainement le plus grand médicament du XX° siècle !
«
Charcot était un homme ambitieux, jaloux de toute supériorité, animé d'une
haine féroce contre ceux qui déclinaient ses invitations à ses réceptions, un
tyran universitaire dur avec les malades au point de leur parler sans
ménagement de leur mort imminente mais poltron lorsqu'il était lui-même malade.
Il était tyrannique envers ses enfants et contraignit par exemple son fils Jean
qui voulait être marin à faire de la médecine. Dans son activité scientifique,
Charcot offrait un curieux mélange de génie et de charlatanisme. Ce qui était
particulièrement déplaisant chez lui, c'était la façon dont il racontait les
histoires de ses clients ».
Ou encore :
« Charcot était de petite taille. Il avait un corps trapu, un cou de taureau, un front bas, de larges joues, une bouche à l'arc méditatif et dur... La voix était impérieuse... ironique... l'œil d'un feu extraordinaire... Son érudition était immense... Il avait une profonde pitié des animaux... Je n'ai jamais connu d'homme plus autoritaire ni qui fit peser sur son entourage un despotisme plus ombrageux... Il ne supportait pas la contradiction... son besoin de domination faisait qu'il était entouré de médiocres ».
Ou encore :
« Charcot était de petite taille. Il avait un corps trapu, un cou de taureau, un front bas, de larges joues, une bouche à l'arc méditatif et dur... La voix était impérieuse... ironique... l'œil d'un feu extraordinaire... Son érudition était immense... Il avait une profonde pitié des animaux... Je n'ai jamais connu d'homme plus autoritaire ni qui fit peser sur son entourage un despotisme plus ombrageux... Il ne supportait pas la contradiction... son besoin de domination faisait qu'il était entouré de médiocres ».
J’entendais, avec une centaine d’autres
témoins voici quelques années à Montpellier… un « très grand professeur
reconnu » — médecin psychiatre et expert auprès du tribunal, de son état —
s’exprimer selon des termes désespérants, lors d'une conférence-débat (au sein même
de son hôpital psychiatrique) à laquelle je participais en tant qu'intervenant
psychanalyste.
Il disait notamment, ce notable du monde médical :
Il disait notamment, ce notable du monde médical :
« De nos jours, les laboratoires créent des molécules et il nous faut inventer la maladie qui va avec » !
Merci monsieur le professeur de médecine, pour
cette annonce publique sans équivoque !
La mainmise de l'État sur la médecine psychiatrique relève davantage du principe des pays totalitaires où les gênants sont incarcérés, plutôt qu'à celui — espéré — des idées libérées et constructrices, souhaitées au pays des droits de l'homme.
Beaucoup — bien trop — de nos députés, sénateurs ou ministres ou maires ou autres conseillers territoriaux sont issus du monde médical.
Mélanger politique, santé et économie, c’est le grand piège !
Avec l’industrie du TABAC, pour ne citer que cet exemple, l’État français utilise le même monde médical de chercheurs qui rendent le tabac toujours plus addictif et toxique et qui « inventent » aussi les produits anti-tabac… et les « aides » fort coûteuses pour nous libérer de l’addiction ! Donc, quoi qu’il arrive, le tabac reste une manne financière internationale… avec le monde médical bien attentif à nous guérir des maladies causées par le tabac…
Tous à l’œuvre… 100% remboursé par la Caisse d’Assurance Maladie… l’ensemble payé par les impôts des contribuables…
Eh oui grâce au tabac… les cliniques et les hôpitaux comme les laboratoires pharmaceutiques décrochent chaque jour le « jackpot » !
73.000 morts par ans en France, rien que pour le tabac… ce sont des milliards qui sont joués à la loterie… et tous les bénéfices ne sont pas du tout pour le peuple !
Retrouverons-nous un jour l’époque où le tabac sera un plaisir et un cadeau du Ciel… selon les propos de SGANARELLE, valet de Don Juan dans la pièce de théâtre éponyme de Monsieur de MOLIÈRE ?
La mainmise de l'État sur la médecine psychiatrique relève davantage du principe des pays totalitaires où les gênants sont incarcérés, plutôt qu'à celui — espéré — des idées libérées et constructrices, souhaitées au pays des droits de l'homme.
Beaucoup — bien trop — de nos députés, sénateurs ou ministres ou maires ou autres conseillers territoriaux sont issus du monde médical.
Mélanger politique, santé et économie, c’est le grand piège !
Avec l’industrie du TABAC, pour ne citer que cet exemple, l’État français utilise le même monde médical de chercheurs qui rendent le tabac toujours plus addictif et toxique et qui « inventent » aussi les produits anti-tabac… et les « aides » fort coûteuses pour nous libérer de l’addiction ! Donc, quoi qu’il arrive, le tabac reste une manne financière internationale… avec le monde médical bien attentif à nous guérir des maladies causées par le tabac…
Tous à l’œuvre… 100% remboursé par la Caisse d’Assurance Maladie… l’ensemble payé par les impôts des contribuables…
Eh oui grâce au tabac… les cliniques et les hôpitaux comme les laboratoires pharmaceutiques décrochent chaque jour le « jackpot » !
73.000 morts par ans en France, rien que pour le tabac… ce sont des milliards qui sont joués à la loterie… et tous les bénéfices ne sont pas du tout pour le peuple !
Retrouverons-nous un jour l’époque où le tabac sera un plaisir et un cadeau du Ciel… selon les propos de SGANARELLE, valet de Don Juan dans la pièce de théâtre éponyme de Monsieur de MOLIÈRE ?
De l’Acte
1, scène 1 …
"SGANARELLE, tenant une tabatière :
— Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner à droit et à gauche, partout où l'on se trouve ? On n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au-devant du souhait des gens : tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu à tous ceux qui en prennent". (…)
"SGANARELLE, tenant une tabatière :
— Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner à droit et à gauche, partout où l'on se trouve ? On n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au-devant du souhait des gens : tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu à tous ceux qui en prennent". (…)
L'art de la modération et la quête du plaisir ?
Trouver un sens à la vie ou sombrer dans la folie ?
Trouver un sens à la vie ou sombrer dans la folie ?
La psychiatrie reste aussi un domaine très
complexe du monde médicale… quand il est dramatiquement en lien intime avec un
régime politique… totalitaire de surcroit !
Tous les psychiatres de l’Allemagne nazie, de l’Argentine de Pinochet comme ceux des régimes communistes passés (ou présents) avaient leurs diplômes. Les tristes époques des États-Unis d’Amérique pendant les années 1930 notamment, usaient de la psychiatrie comme moyen courant pour se débarrasser des gêneurs !
Il y a heureusement pendant ce temps là, des femmes et des hommes libres, agissant pour le bien être de l’humain.
En lien avec les médecins humanistes, il y a dans le monde médical les psychothérapeutes comme les psychanalystes. Ces femmes et ces hommes ne sont ni nécessairement des psychologues et encore moins des médecins psychiatres. Ce sont la plupart du temps des professionnels à formations multiples où l’expérience de leur vie entre le plus souvent pour beaucoup en action dans la rencontre humaine. Il faut noter aussi leur pratique humaniste de l'écoute lors de la consultation.
Vouloir cantonner à la faculté de médecine ou à celle de psychologie, les formations des thérapeutes, cela semble ridicule, dangereux et terriblement réducteur. C’est tendre à transformer ces professionnels en pions des grands laboratoires pharmaceutiques comme (pour en citer un en exemple) le groupe international, le géant BAYER ©®. Ah, BAYER ©® célèbre entreprise industrielle appréciée par les peuples pour l’invention de l’Aspirine ©®, du Gaz Moutarde ©® (dit aussi « Ypérite » pour faire mémoire de ces milliers de morts sur les champs de bataille pendant la première guerre mondiale, notamment autour de la ville de Ypres, en Belgique), de l’Héroïne ©® (si, si…) et des pilules de troisième et quatrième génération… celles qui permettent notamment aux adolescentes de ne pas avoir une acné déplaisante, pilules 100% remboursées par la caisse d’Assurance Maladie. C’est donc « nous » les cons-tribuables qui avons fait la fortune de BAYER ©® et des autres groupes chimiques et pharmaceutiques… en contribuant à « l’effort de guerre » ou pour les « bienfaits » de la science médicale !
Les membres de l’Assemblée Nationale française furent à une époque guerrière d’une belle couleur « bleue horizon » de tous ces colonels et généraux qui envoyaient à la mort la jeunesse française plutôt « rouge sang ». Ceux de l'actuelle Assemblée Nationale sont davantage « blouses blanches », et se composent en grande partie de personnes issues du monde médical, d’actionnaires de ces firmes qui jouent aux apprentis sorciers pour la gloire de leurs comptes en banque et des bourses internationales.
Nous avons oublié que la médecine et la psychologie sont les petites sœurs de la philosophie.
Socrate, à travers l'œuvre de PLATON, est le symbole de humilité face à tous ces grands sages qui pensent sauver le monde avec leur soi-disant connaissance de l’homme… qu’un simple diplôme jauni, encadré dans la salle d’attente, confirmera au commun des mortels que nous sommes trop souvent, dans notre souffrance, d’une infériorité crasse !
Que nos politiciens relisent « L’Amour Médecin » de MOLIÈRE : un homme entre les mains d’un docteur est enfin en bonne santé lorsqu’il est mort !
Le thérapeute comme l’analyste est là — plus modestement — non pour guérir, mais pour nous donner une chance de vivre et de mourir en harmonie avec ce que nous sommes.
Considérer les psychothérapeutes ou les psychanalystes comme des charlatans, des hérétiques ou des gourous, avec le danger pour les citoyens de se laisser berner par leurs boniments, est encore très réducteur.
Si un boulanger fait du mauvais pain, vous n’y retournerez plus. L’on va voir un bon thérapeute ou un bon analyste lorsqu'il nous a été recommandé ; sa réputation le précède.
Consulter un médecin ou un psychologue, c’est plus souvent par obligation. Les CMPP — Centres Médicaux Psycho Pédagogiques — font même parfois pression sur des mamans fragiles pour obliger un suivi « très » régulier de l’enfant à 133,28 € la séance de trente cinq minutes, entièrement remboursée par la Caisse d’assurance maladie !
Tous les psychiatres de l’Allemagne nazie, de l’Argentine de Pinochet comme ceux des régimes communistes passés (ou présents) avaient leurs diplômes. Les tristes époques des États-Unis d’Amérique pendant les années 1930 notamment, usaient de la psychiatrie comme moyen courant pour se débarrasser des gêneurs !
Il y a heureusement pendant ce temps là, des femmes et des hommes libres, agissant pour le bien être de l’humain.
En lien avec les médecins humanistes, il y a dans le monde médical les psychothérapeutes comme les psychanalystes. Ces femmes et ces hommes ne sont ni nécessairement des psychologues et encore moins des médecins psychiatres. Ce sont la plupart du temps des professionnels à formations multiples où l’expérience de leur vie entre le plus souvent pour beaucoup en action dans la rencontre humaine. Il faut noter aussi leur pratique humaniste de l'écoute lors de la consultation.
Vouloir cantonner à la faculté de médecine ou à celle de psychologie, les formations des thérapeutes, cela semble ridicule, dangereux et terriblement réducteur. C’est tendre à transformer ces professionnels en pions des grands laboratoires pharmaceutiques comme (pour en citer un en exemple) le groupe international, le géant BAYER ©®. Ah, BAYER ©® célèbre entreprise industrielle appréciée par les peuples pour l’invention de l’Aspirine ©®, du Gaz Moutarde ©® (dit aussi « Ypérite » pour faire mémoire de ces milliers de morts sur les champs de bataille pendant la première guerre mondiale, notamment autour de la ville de Ypres, en Belgique), de l’Héroïne ©® (si, si…) et des pilules de troisième et quatrième génération… celles qui permettent notamment aux adolescentes de ne pas avoir une acné déplaisante, pilules 100% remboursées par la caisse d’Assurance Maladie. C’est donc « nous » les cons-tribuables qui avons fait la fortune de BAYER ©® et des autres groupes chimiques et pharmaceutiques… en contribuant à « l’effort de guerre » ou pour les « bienfaits » de la science médicale !
Les membres de l’Assemblée Nationale française furent à une époque guerrière d’une belle couleur « bleue horizon » de tous ces colonels et généraux qui envoyaient à la mort la jeunesse française plutôt « rouge sang ». Ceux de l'actuelle Assemblée Nationale sont davantage « blouses blanches », et se composent en grande partie de personnes issues du monde médical, d’actionnaires de ces firmes qui jouent aux apprentis sorciers pour la gloire de leurs comptes en banque et des bourses internationales.
Nous avons oublié que la médecine et la psychologie sont les petites sœurs de la philosophie.
Socrate, à travers l'œuvre de PLATON, est le symbole de humilité face à tous ces grands sages qui pensent sauver le monde avec leur soi-disant connaissance de l’homme… qu’un simple diplôme jauni, encadré dans la salle d’attente, confirmera au commun des mortels que nous sommes trop souvent, dans notre souffrance, d’une infériorité crasse !
Que nos politiciens relisent « L’Amour Médecin » de MOLIÈRE : un homme entre les mains d’un docteur est enfin en bonne santé lorsqu’il est mort !
Le thérapeute comme l’analyste est là — plus modestement — non pour guérir, mais pour nous donner une chance de vivre et de mourir en harmonie avec ce que nous sommes.
Considérer les psychothérapeutes ou les psychanalystes comme des charlatans, des hérétiques ou des gourous, avec le danger pour les citoyens de se laisser berner par leurs boniments, est encore très réducteur.
Si un boulanger fait du mauvais pain, vous n’y retournerez plus. L’on va voir un bon thérapeute ou un bon analyste lorsqu'il nous a été recommandé ; sa réputation le précède.
Consulter un médecin ou un psychologue, c’est plus souvent par obligation. Les CMPP — Centres Médicaux Psycho Pédagogiques — font même parfois pression sur des mamans fragiles pour obliger un suivi « très » régulier de l’enfant à 133,28 € la séance de trente cinq minutes, entièrement remboursée par la Caisse d’assurance maladie !
C’est du 60.000€ TTC le suivi moyen d’un
enfant sur 3 ans…
Et qui paye tout cela : NOUS, les cons-tribuables…
Et qui « gouvernent » les CMPP ? Généralement de bons vieux médecins qui font aussi de la politique, et qui règnent avec attention sur des « affaires bien rentables ».
Ces espaces « gratuits » pour les indigents et terriblement chers pour les classes moyennes sont de plus en plus nombreux. En ces lieux sont exploités des psychologues de tout style n'ayant pas les moyens ou les compétences pour travailler à leur compte.
Payés au « lance-pierres » ils viennent progressivement détruire le travail de qualité que pouvait proposer un bon psychologue, un bon psychothérapeute, ou un bon psychanalyste, sous prétexte que « cela doit être accessible à tous », et « gratuitement » ?
Faux prétexte…
Les psychologues comme les psychanalystes « indépendants » et même certains médecins, savent adapter leurs tarifs… sans creuser davantage le « trou de la Sécurité Sociale » et de la Caisse d’assurance Maladie, qu'ils doivent eux-mêmes combler par le payement toujours plus important de leurs charges, de leurs impôts… Ils sont ponctionnés toujours davantage par des taxes toujours plus fortes, alors que les « gros » s’enrichissent en parasites.
Mais c’est interdit par la loi « d’adapter » ses tarifs de consultation !
On peut alors être condamné pour escroquerie !
Pour la société dualiste construite sur le principe qu’il y a les « dirigeants » et « la masse populaire », il est nécessaire régulièrement de supprimer cette « classe moyenne » qui renait régulièrement de ses cendres, malgré les guerres et les épidémies !
Ceux qui pensent par eux-mêmes, ceux qui vivent dans une soif de liberté, à la recherche du beau, sans aspirer au pouvoir…
Il faut régulièrement les éliminer… arracher cette mauvaise herbe !
L’humain qui pense est dangereux.
Il faut donc affaiblir les indépendants…
Si l'on ne peut pas les engluer de médicaments, de « soma », à la Aldous Huxley dans son Meilleur des Mondes… le meilleur moyen reste de les stigmatiser, de les presser financièrement un peu plus chaque année… de les désigner comme coupables de toutes les misères du monde… ceux qui osent dire « NON », ceux qui osent se poser des questions et informer les peuples de soumis dont ils se savent issus…
Ceux qui n'entrent pas en résistance, se condamnent d'eux-mêmes… se résignant à la servitude volontaire !
Et cela fonctionne notamment dans beaucoup de domaines comme l’artisanat ou l’agriculture… et aussi pour le monde des « psys » car il n'y a quasiment plus de vrais psys indépendants, en France, qu’ils soient psychiatres, psychologues, psychothérapeutes ou psychanalystes !
Ils sont de plus en plus parqués en centres, salariés pour une association, un groupe, un système étatique…
Et tout est parfaitement rodé pour que tout soit fait pour le mieux dans le meilleur des mondes possible !
Incroyable : parfois c’est même le taxi ambulance qui vient chercher l’enfant (toujours aux frais des cons-tribuables qui n’en ont pas suffisamment « ras-le-bol » de payer encore et encore pour une société où les gagnants sont les politiques parasites de notre monde… et qui restent encore silencieux) à la sortie de l’école pour le mener à son CMPP plusieurs fois par semaine et c’est à l’institutrice de distribuer aux élèves un peu trop vivants dans des classes de 35 enfants, les pilules magiques type « Ritaline ©® » ou « Concerta ©® » ; ah… ces merveilleuses drogues qui tuent la force vive des enfants et qui seront peut-être à la une dans les prochains grands scandales sur les médicaments dangereux, si une petite guerre ne vient pas nettoyer la fange dérangeante et malade de notre population de moutons ?
Oui, il semble important de « soigner bien » les malades avec toujours plus de médicaments et en enfermant soigneusement les humains dans des systèmes corporatifs : finalement dans le principe des sectes.
Créer une psychose vis-à-vis des psychothérapeutes et des psychanalystes en développant le soupçon d'un danger sectaire sous prétexte qu’ils n’ont pas de diplôme d’État de médecin ou de psychologue, c’est dramatique et tellement facile grâce aux médias à la solde des puissants.
En effet, de plus en plus la connaissance va se réduire à l’obligation de régurgiter un savoir aseptisé, canalisé et réducteur donné par la « vérité télévisuelle ».
Le mur de la Caverne de PLATON, revisité par Aldous HUSKLEY avec « Le Meilleur des Mondes » nous conforte dans le fait que la vérité se résume hélas trop souvent à ce que « l’on nous a dit », à ce que nous « pensons voir ».
Les sectes en France et dans le monde sont dramatiquement pour certaines très largement peuplées de notables issus aussi de toutes les professions médicales et les plus dangereuses sociétés secrètes ont dans leurs « cadres » « d’éminentes personnalités ».
Vous pouvez lire « du silence au mensonge », un récit retrouvé au fond d’une vieille malle scoute par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, en ligne ou version papier…
Et qui paye tout cela : NOUS, les cons-tribuables…
Et qui « gouvernent » les CMPP ? Généralement de bons vieux médecins qui font aussi de la politique, et qui règnent avec attention sur des « affaires bien rentables ».
Ces espaces « gratuits » pour les indigents et terriblement chers pour les classes moyennes sont de plus en plus nombreux. En ces lieux sont exploités des psychologues de tout style n'ayant pas les moyens ou les compétences pour travailler à leur compte.
Payés au « lance-pierres » ils viennent progressivement détruire le travail de qualité que pouvait proposer un bon psychologue, un bon psychothérapeute, ou un bon psychanalyste, sous prétexte que « cela doit être accessible à tous », et « gratuitement » ?
Faux prétexte…
Les psychologues comme les psychanalystes « indépendants » et même certains médecins, savent adapter leurs tarifs… sans creuser davantage le « trou de la Sécurité Sociale » et de la Caisse d’assurance Maladie, qu'ils doivent eux-mêmes combler par le payement toujours plus important de leurs charges, de leurs impôts… Ils sont ponctionnés toujours davantage par des taxes toujours plus fortes, alors que les « gros » s’enrichissent en parasites.
Mais c’est interdit par la loi « d’adapter » ses tarifs de consultation !
On peut alors être condamné pour escroquerie !
Pour la société dualiste construite sur le principe qu’il y a les « dirigeants » et « la masse populaire », il est nécessaire régulièrement de supprimer cette « classe moyenne » qui renait régulièrement de ses cendres, malgré les guerres et les épidémies !
Ceux qui pensent par eux-mêmes, ceux qui vivent dans une soif de liberté, à la recherche du beau, sans aspirer au pouvoir…
Il faut régulièrement les éliminer… arracher cette mauvaise herbe !
L’humain qui pense est dangereux.
Il faut donc affaiblir les indépendants…
Si l'on ne peut pas les engluer de médicaments, de « soma », à la Aldous Huxley dans son Meilleur des Mondes… le meilleur moyen reste de les stigmatiser, de les presser financièrement un peu plus chaque année… de les désigner comme coupables de toutes les misères du monde… ceux qui osent dire « NON », ceux qui osent se poser des questions et informer les peuples de soumis dont ils se savent issus…
Ceux qui n'entrent pas en résistance, se condamnent d'eux-mêmes… se résignant à la servitude volontaire !
Et cela fonctionne notamment dans beaucoup de domaines comme l’artisanat ou l’agriculture… et aussi pour le monde des « psys » car il n'y a quasiment plus de vrais psys indépendants, en France, qu’ils soient psychiatres, psychologues, psychothérapeutes ou psychanalystes !
Ils sont de plus en plus parqués en centres, salariés pour une association, un groupe, un système étatique…
Et tout est parfaitement rodé pour que tout soit fait pour le mieux dans le meilleur des mondes possible !
Incroyable : parfois c’est même le taxi ambulance qui vient chercher l’enfant (toujours aux frais des cons-tribuables qui n’en ont pas suffisamment « ras-le-bol » de payer encore et encore pour une société où les gagnants sont les politiques parasites de notre monde… et qui restent encore silencieux) à la sortie de l’école pour le mener à son CMPP plusieurs fois par semaine et c’est à l’institutrice de distribuer aux élèves un peu trop vivants dans des classes de 35 enfants, les pilules magiques type « Ritaline ©® » ou « Concerta ©® » ; ah… ces merveilleuses drogues qui tuent la force vive des enfants et qui seront peut-être à la une dans les prochains grands scandales sur les médicaments dangereux, si une petite guerre ne vient pas nettoyer la fange dérangeante et malade de notre population de moutons ?
Oui, il semble important de « soigner bien » les malades avec toujours plus de médicaments et en enfermant soigneusement les humains dans des systèmes corporatifs : finalement dans le principe des sectes.
Créer une psychose vis-à-vis des psychothérapeutes et des psychanalystes en développant le soupçon d'un danger sectaire sous prétexte qu’ils n’ont pas de diplôme d’État de médecin ou de psychologue, c’est dramatique et tellement facile grâce aux médias à la solde des puissants.
En effet, de plus en plus la connaissance va se réduire à l’obligation de régurgiter un savoir aseptisé, canalisé et réducteur donné par la « vérité télévisuelle ».
Le mur de la Caverne de PLATON, revisité par Aldous HUSKLEY avec « Le Meilleur des Mondes » nous conforte dans le fait que la vérité se résume hélas trop souvent à ce que « l’on nous a dit », à ce que nous « pensons voir ».
Les sectes en France et dans le monde sont dramatiquement pour certaines très largement peuplées de notables issus aussi de toutes les professions médicales et les plus dangereuses sociétés secrètes ont dans leurs « cadres » « d’éminentes personnalités ».
Vous pouvez lire « du silence au mensonge », un récit retrouvé au fond d’une vieille malle scoute par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, en ligne ou version papier…
Il y a heureusement des associations qui
œuvrent pour lutter contre les dérives sectaires, contre toutes les
manipulations…
Certaines sont formidables pour leur indépendance et leurs actions efficaces !
Hélas, d'autres sont corrompues… c’est aussi parfois simple d’utiliser le principe de la « guerre contre les sectes » pour en protéger d’autres…
Combien de présidents de MIVILUDES — une association reconnue pour lutter contre certaines sectes, qui n’est malheureusement pas indépendante de l’État — sont eux-mêmes « d’étranges personnages » ayant des liens complexes avec les pouvoirs financiers, politiques ou religieux ?
Ce qui dérange nos politiques, c’est qu’un thérapeute n’est pas un agent de l’État mais une femme ou un homme libre.
Les thérapeutes, les analystes — ces personnages parfois atypiques — sont des êtres guidés le plus souvent par un sens réel de l’humanisme.
Ils ne sont pas carriéristes, ils ne cherchent pas à s’enrichir sur le peuple crédule !
Ceux sont eux notamment qui osent dire NON à la lobotomisation du peuple par les puissants qui nous gouvernent, sous le couvert d'une soi-disant démocratie…
La Révolution française est bien loin… Elle n’a eu de valeur humaniste que pendant quelques jours… ces quelques heures d’espoirs où le peuple a pensé que le bonheur était possible en « liberté » selon les espérances de Louis Antoine de SAINT-JUST. Les corporations ont malheureusement repris formes sous d’autres noms, pour étouffer les libertés individuelles.
Il y a de très bons thérapeutes et de très bons psychanalystes indépendants…
Il y a aussi de très bons médecins — des docteurs, des chirurgiens, des dentistes et des professeurs brillants — des chercheurs attentifs au sens de la vie : des personnes qui s'abstiennent de faire de la politique ou de gérer leurs actions dans des cliniques privées, des laboratoires pharmaceutiques côtés en bourse.
Sachons leur rendre hommage et allons à leur rencontre avant qu'ils ne prennent leur retraite ou soient massacrés par leur Conseil de l’Ordre des Médecins.
Oui, Monsieur le docteur Bernard ACCOYER, la médecine et la pharmacie ne méritent pas d’être utilisées par le monde des politiques et le jeu des financiers.
Rappelons que chaque jour les « meilleurs médicaments en vente » les médicaments les plus « rentables » et leurs chers laboratoires sont des éléments clés du commerce mondial et influent sur les cours des bourses internationales !
Un médecin ne doit pas faire de politique !
Ah, Bachar el-ASSAD, le président de la Syrie — en tant que médecin — c’est certainement un grand homme…
Ernesto GUEVARA dit le CHE fut probablement lui aussi un bon médecin… jusqu'à ce que la politique en fasse un « tyran tueur » !
Y aura-t-il encore dans vingt ans des médecins libres et indépendants ?
La camisole chimique s’installe tranquillement.
Depuis la fin du XIXème siècle la médecine a été progressivement emprisonnée par l’État.
François RABELAIS, à son époque, présentait la médecine autrement et l’on pouvait vivre — hors guerres, famines ou autres malheurs — vieux et en bonne santé.
Certaines sont formidables pour leur indépendance et leurs actions efficaces !
Hélas, d'autres sont corrompues… c’est aussi parfois simple d’utiliser le principe de la « guerre contre les sectes » pour en protéger d’autres…
Combien de présidents de MIVILUDES — une association reconnue pour lutter contre certaines sectes, qui n’est malheureusement pas indépendante de l’État — sont eux-mêmes « d’étranges personnages » ayant des liens complexes avec les pouvoirs financiers, politiques ou religieux ?
Ce qui dérange nos politiques, c’est qu’un thérapeute n’est pas un agent de l’État mais une femme ou un homme libre.
Les thérapeutes, les analystes — ces personnages parfois atypiques — sont des êtres guidés le plus souvent par un sens réel de l’humanisme.
Ils ne sont pas carriéristes, ils ne cherchent pas à s’enrichir sur le peuple crédule !
Ceux sont eux notamment qui osent dire NON à la lobotomisation du peuple par les puissants qui nous gouvernent, sous le couvert d'une soi-disant démocratie…
La Révolution française est bien loin… Elle n’a eu de valeur humaniste que pendant quelques jours… ces quelques heures d’espoirs où le peuple a pensé que le bonheur était possible en « liberté » selon les espérances de Louis Antoine de SAINT-JUST. Les corporations ont malheureusement repris formes sous d’autres noms, pour étouffer les libertés individuelles.
Il y a de très bons thérapeutes et de très bons psychanalystes indépendants…
Il y a aussi de très bons médecins — des docteurs, des chirurgiens, des dentistes et des professeurs brillants — des chercheurs attentifs au sens de la vie : des personnes qui s'abstiennent de faire de la politique ou de gérer leurs actions dans des cliniques privées, des laboratoires pharmaceutiques côtés en bourse.
Sachons leur rendre hommage et allons à leur rencontre avant qu'ils ne prennent leur retraite ou soient massacrés par leur Conseil de l’Ordre des Médecins.
Oui, Monsieur le docteur Bernard ACCOYER, la médecine et la pharmacie ne méritent pas d’être utilisées par le monde des politiques et le jeu des financiers.
Rappelons que chaque jour les « meilleurs médicaments en vente » les médicaments les plus « rentables » et leurs chers laboratoires sont des éléments clés du commerce mondial et influent sur les cours des bourses internationales !
Un médecin ne doit pas faire de politique !
Ah, Bachar el-ASSAD, le président de la Syrie — en tant que médecin — c’est certainement un grand homme…
Ernesto GUEVARA dit le CHE fut probablement lui aussi un bon médecin… jusqu'à ce que la politique en fasse un « tyran tueur » !
Y aura-t-il encore dans vingt ans des médecins libres et indépendants ?
La camisole chimique s’installe tranquillement.
Depuis la fin du XIXème siècle la médecine a été progressivement emprisonnée par l’État.
François RABELAIS, à son époque, présentait la médecine autrement et l’on pouvait vivre — hors guerres, famines ou autres malheurs — vieux et en bonne santé.
Nous allons vers des lendemains qui ne
chantent pas si nous ne nous réveillons pas.
Soyons des pirates…
Apprenons… écoutons, découvrons… osons…
Aimons !
ÉVOLUONS…
Et vive la liberté !
Soyons des pirates…
Apprenons… écoutons, découvrons… osons…
Aimons !
ÉVOLUONS…
Et vive la liberté !
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Ces propos libres sans gravité sont écrit par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE,
pirate des mots, humaniste chercheur, philanalyste en herbe. Tous droits réservés ! Sortir une phrase de son contexte serait malveillant et pitoyable… L'auteur de ce texte déclinerait alors toute apparenté légitime à une découpe même partielle de ses propos pour en faire un mauvais usage ou vouloir leurs faire dire ce qu'ils ne sont pas… ©…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville